MEMOIRE

Télécharger au format docx, pdf ou txt
Télécharger au format docx, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 28

AVERTISSEMENT

L’Institut Universitaire d' Abidjan n’entend donner aucune approbation ni improbation aux
informations contenues dans le présent mini- mémoire.
Ces idées et opinions doivent par conséquent être considérées comme propres à leur auteur.
DÉDICACE

J ai le grand plaisir d’adresser ce modeste travail à ma très chère mère qui me donne toujours
l'espoir de vivre et qui n’a jamais cessé de prier pour moi.
A mon très cher père pour ses encouragements, son soutien afin que rien n’entrave le
déroulement de mes études.
REMERCIEMENTS

Je dis merci à Dieu mon créateur pour tout ses innombrables bienfaits.
Aussi, je remercie mon directeur de mémoire le professeur ZO'OBO d’avoir accepté de
m’encadrer dans la conception de l’élaboration de ce travail.
SIGLES ET ABREVIATIONS

CCNUCC : Convention-Cadre des Nations Unies sur le changement climatique

COP: Conférence des Parties

ONU : Organisation des Nations Unies

GIEC : Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’évolution du climat

NDC : Contribution Déterminer au niveau National

PMA : Pays les Moins Avancés

GSE : Gaz à Effet de serre

AFOLU: Agriculture, Foresterie et Autre Utilisation des Terres

PNUE : Programme des Nations Unies Pour l’Environnement

OMM : Organisation Météorologique Mondiale


SOMMAIRE

Première partie: Les préventions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique………………………………………...…………………………………….P13-P21

Chapitre 1 : L’importance d’une coopération internationale …………………….…P13-P19

Chapitre 2 : Les investissements dans les énergies renouvelables et des politiques de


protection de l'environnement …………………………………………………….……P19-21

Deuxième partie : Les résolutions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique………………………………………………………………………………P21-P25

Chapitre 1 : Intégration du climat dans les politiques nationales…………….………P22-P24

Chapitre 2 : Le renforcement des institutions internationales………………………P24-P25


INTRODUCTION

I. PRESENTATION DE L’ETUDE

Depuis des siècles, l’humanité se lance dans un défi à court et a long terme pour
contrôler son environnement.
Cependant, nous sommes sans ignorer que le réchauffement climatique résulte en grande
partie des activités humaines, engendre des conséquences désastreuses telle que les
phénomènes météorologiques extrêmes, la montée du niveau de la mer et la dégradation des
écosystèmes.

De par cette analyse des faits, le besoins de réduire les effets du changement
climatique à l’échelle mondiale C est fait ressentir avec acuité.
C est sans doute dans ce contexte que le droit international émerge comme un pilier essentiel
pour encadrer les actions visant a atténuer les effets du changement climatique et a
promouvoir une adaptation durable. Mais face à cette réalité les instruments juridiques
internationaux vont être les réponses adéquatent pour répondre aux défis climatiques.

II. L OBJET DE L ' ETUDE

D' emblée , il faut relevé que les cadres juridiques existants, les instruments
internationaux, les lois nationales et les politiques régionales qui régissent les questions liées
au changement climatique inclut l'examen des obligations légales des États en matière de
réduction des émissions de gaz à effet de serre, d'adaptation aux impacts du changement
climatique, de protection de l'environnement et de promotion du développement durable.

Cette étude évalue aussi l'efficacité des mécanismes juridiques et des institutions en
place pour relever les défis du changement climatique, ainsi qu'à identifier les opportunités
d'amélioration dans les systèmes juridiques nationaux et internationaux.
III. LA DELIMITATION DE L 'ETUDE

La réflexion de notre analyse s’articulera sur deux volets essentiels sur le plan
matériel et temporel. La délimitation au plan matériel du droit international et du changement
climatique se concentre sur les aspects spécifiques du droit international qui régissent les
questions liées au changement climatique à savoir :

Les Accords internationaux sur le climat qui englobent les principaux accords
internationaux qui traitent spécifiquement du changement climatique, tels que la Convention-
cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), le Protocole de Kyoto
et l'Accord de Paris. Ces accords établissent les principes, les objectifs et les obligations des
États en matière de lutte contre le changement climatique et Le droit international climatique
repose aussi sur plusieurs principes juridiques fondamentaux, tels que le principe de
responsabilité commune mais différenciée, le principe de précaution, le principe de
participation publique, le principe de coopération internationale, et le principe de prise en
compte des connaissances scientifiques.

Ensuite, les Mesures d'atténuation couvrent les mesures prises par les États pour
réduire les émissions de gaz à effet de serre et atténuer les impacts du changement climatique.
Cela inclut les politiques nationales, les plans d'action climatique, les marchés du carbone, les
objectifs de réduction des émissions, et les efforts de transition vers des sources d'énergie
propre.

De plus, le Financement climatique est une catégorie qui englobe les mécanismes de
financement climatique pour soutenir les efforts d'atténuation et d'adaptation dans les pays en
développement. Cela comprend le Fonds vert pour le climat, les contributions financières des
pays développés, les investissements privés dans les énergies propres, et les mécanismes de
financement innovants.

Enfin, Le droit international sur le changement climatique comprend également des


dispositions relatives au développement et au transfert de technologies propres pour soutenir
les actions climatiques dans les pays en développement. Cela inclut les accords de transfert de
technologie, les partenariats public-privé, et les initiatives de partage des connaissances.
Le cadre temporel du droit international en matière de changement climatique englobe
une période significative, marquée par des développements clés dans la reconnaissance de
l'urgence climatique et l'adoption de mesures pour y faire face.
Avant les années 1980, la question du changement climatique n'était pas pleinement reconnue
au niveau international. Les premières recherches scientifiques sur le sujet ont émergé dans
les années 1960 et 1970, mais il n'y avait pas de consensus mondial sur l'ampleur du
problème.

Les années 1980 ont marqué le début de la reconnaissance internationale croissante du


changement climatique en tant que problème urgent nécessitant une action mondiale. En
1988, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a été créé
pour évaluer les connaissances scientifiques sur le climat.

Ensuite, Les années 1990 ont été marquées par une intensification des négociations
internationales sur le climat. En 1992, la Convention-cadre des Nations unies sur les
changements climatiques (CCNUCC) a été adoptée lors du Sommet de la Terre à Rio de
Janeiro, établissant un cadre global pour la coopération internationale sur le climat.

Par ailleurs, en 1997, le Protocole de Kyoto a été adopté, établissant des engagements
contraignants de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour les pays développés. Il
est entré en vigueur en 2005 et a été le premier accord international juridiquement
contraignant sur le climat. Et Au cours des années 2000 et 2010, les négociations
internationales sur le climat se sont poursuivies avec des sommets annuels de la CCNUCC. Le
Sommet de Copenhague en 2009 a été un moment clé, mais les résultats ont été mitigés.
Cependant, les efforts de coopération internationale se sont poursuivis avec l'Accord de
Cancún en 2010 et l'Accord de Durban en 2011.

Enfin, L'Accord de Paris, adopté lors de la COP21 en 2015, représente le dernier


développement majeur du cadre temporel du droit international sur le changement climatique.
Il vise à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2 degrés Celsius par rapport
aux niveaux préindustriels, avec des efforts pour le limiter à 1,5 degré Celsius, et à renforcer
la résilience aux impacts du changement climatique.
Mais, depuis son adoption les efforts internationaux se sont concentrés sur sa mise en œuvre
et son renforcement, ainsi que sur l'accélération des actions climatiques à l'échelle mondiale
pour atteindre ses objectifs.

IV. LA CLARIFICATION DES TERMES ET CONCEPTS

Pour mieux saisir notre sujet, Il est de notre charge de définir les termes et d expliquer la
conception du droit international et le changement climatique. A cet effet nous allons élucider
les termes et les concepts suivant :

 Droit international :
Le droit international est un ensemble de règles, de normes et de principes qui régissent les
relations entre les États et d'autres acteurs internationaux. Il s'agit d'un système de normes
juridiques élaborées par les États eux-mêmes, ainsi que par des organisations internationales
et des traités. Le droit international régit divers domaines, tels que le commerce, les droits de
l'homme, le droit de la mer, le droit de la guerre et la protection de l'environnement, y compris
le changement climatique.

 Changement climatique :
Le changement climatique fait référence à une modification à long terme des schémas
météorologiques mondiaux, principalement causée par les activités humaines, telles que
l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Ces activités
comprennent la combustion de combustibles fossiles, la déforestation, l'agriculture intensive
et l'industrialisation. Les conséquences du changement climatique comprennent l'élévation des
températures moyennes, l'élévation du niveau de la mer, les phénomènes météorologiques
extrêmes, la dégradation des écosystèmes et les impacts socio-économiques.

 Conception du droit international et du changement climatique :


La conception du droit international en matière de changement climatique implique la mise
en place de mécanismes juridiques et institutionnels visant à atténuer les effets du changement
climatique et à promouvoir l'adaptation aux changements climatiques déjà en cours. Cela
comprend la négociation, l'adoption et la mise en œuvre d'accords internationaux tels que la
Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et l'Accord
de Paris, ainsi que la création de dispositifs de suivi, de transparence et de responsabilisation
pour garantir le respect des engagements pris par les États.

V. INTERET DE L ETUDE

L intérêt de notre étude se présente à deux niveaux: au plan personnel et au plan


juridique.

L'étude peut avoir un impact significatif sur le plan personnel. Cela nous permettrait
d'approfondir nos connaissances dans ces domaines, nous offrant ainsi une expertise
précieuse et un sentiment d'accomplissement intellectuel.

De plus, cela nous donnerait l'occasion de contribuer de manière tangible à la


recherche et à la compréhension des défis environnementaux mondiaux, ce qui pourrait nous
procurer une grande satisfaction personnelle. Enfin, cela pourrait également ouvrir des portes
vers des opportunités professionnelles dans le domaine du droit international, de la politique
environnementale ou d'autres domaines liés à la durabilité.

Sur le plan juridique, Cela permet d'analyser en profondeur les traités, les
conventions et les accords internationaux qui régissent la protection de l'environnement et la
lutte contre le changement climatique. En examinant les lacunes et les défis juridiques
existants, cela ouvre la voie à des recommandations pour renforcer le cadre juridique
international afin de mieux répondre aux défis climatiques. De plus, cela contribue à
sensibiliser les acteurs juridiques et politiques sur l'urgence d'agir et sur les meilleures
pratiques en matière de réglementation environnementale à l'échelle mondiale.

VI. REVUE DE LA LITTERATURE/ ETAT DE LA QUESTION

1. ROBERT KONDEL, le réchauffement climatique : le grand risque, 127


pages, publié en 2002.

L’auteur dans son œuvre explique aux lecteurs les différents gaz a effet de serre comme un
facteur du réchauffement planétaire. Il décortique aussi les tenants et les aboutissants des
différentes recherches effectuées à travers le monde pour comprendre la relation du climat
actuel et celui du passé.
De plus il analyse les réalités et les risques entourant la réchauffement planétaire.

Enfin, l’auteur évoque une des crucial dans la problématique des changements
climatiques a savoir : la politique.

2. Isabelle Roussel et Helga -jane , le changement climatique : quand le


climat nous pousse à changer d ère, Villeneuve d'Ascq en France, 12
janvier 2018, 358 pages

Dans cet ouvrage, les auteurs mettent en lumière l’irruption de la planète dans notre
vision du monde, fait voler en éclats cloison et certitude tout en imposant sa finitude.
Ils détaillent ensuite les phénomènes climatiques paroxysmique entrent en résonance avec
l’alerte construite par les scientifiques du monde entier sur le changement climatique. Mais
l’illusion d un monde technique et complètement artificialisé a fait long feu, la planète
s’imposé au rendez-vous des citoyens alors qu’elle avait été oublié, exploiter pendant le temps
de L industrialisation du monde occidental.

Pour finir, cette rencontre ne se fait pas sans heurts mais pas non plus dans le malheur
comme la vision médiatique du changement climatique voudrait trop souvent le faire croire.

VII. PROBLEMATIQUE

Eu égard de ce qui précède, la question centrale qui retient notre attention est celle de
savoir : quel est L apport du droit international lié aux problèmes du changement climatique ?

VIII. LES HYPOTHESE DE RECHERCHE

Les hypothèses de notre présente étude offrent un point de départ pour explorer
différents aspects du droit international et du changement climatique, en examinant les défis,
les opportunités et les impacts des cadres juridiques et institutionnels existants sur la réponse
mondiale au changement climatique.
IX. LES METHODES DE RECHERCHE

Dans cette étape deux méthodes nous servirons d’appui, une première méthode
portant sur l’analyse des textes juridiques et une seconde méthode sur l’innovation
technologique.

La méthode de l’analyse des textes juridiques implique l'examen approfondi des


textes juridiques internationaux pertinents, tels que les traités, les conventions, les protocoles
et les accords multilatéraux sur le changement climatique. Cela comprend également l'analyse
des décisions et des avis des organes juridictionnels internationaux.

La méthode de l'innovation technologique joue un rôle crucial dans la lutte contre le


changement climatique en offrant des solutions nouvelles et améliorées pour réduire les
émissions de gaz à effet de serre, promouvoir l'efficacité énergétique et favoriser l'adaptation
aux impacts du changement climatique.

X. ARTICULATION ET JUSTIFICATION DU PLAN

Dans notre analyse du sujet, nous verrons d' une part les préventions du droit
international dans la lutte contre le changement climatique en (première partie) et d
autre part le résolutions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique en (deuxième partie)
PREMIERE PARTIE : LES PREVENTIONS DU DROIT INTERNATIONAL DANS
LA LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Pour protéger notre planète contre les aléas climatique, le droit international a mis en
avant l’idée de la proportion d une coopération mondiale et de l ' apport des finances dans
les énergies nouvelles

CHAPITRE 1 : L’IMPORTANCE D UNE COOPERATION INTERNATIONALE

Le sommet international entre les Etats signataires a permis l élaboration d' un traité
international notamment appelé convention - cadre des nations unies sur le changement
climatique (CCNUCC) que nous verrons en ( section 1 )et les organes et /où agences de
décisions internationaux en( section 2 )

SECTION 1 : LA CONVENTION- CADRE DES NATIONS UNIES SUR LE


CHANGEMENT CLIMATIQUE (CCNUCC)

La convention cadre des nations unies comprend son élaboration en (paragraphe 1) et les
grands axes (paragraphe 2)

Paragraphe 1 : La naissance d’une convention - cadre des nations unies

1. L'Adoption de la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements


Climatiques représente un Engagement Mondial pour un Avenir Durable.
En effet, en décembre 1992, la communauté internationale a marqué un tournant
décisif dans sa réponse collective aux défis posés par le changement climatique en
adoptant la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements Climatiques
(CCNUCC) lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro. Cette convention historique
représentait une reconnaissance sans précédent de la gravité du changement climatique
et de la nécessité d'une action concertée à l'échelle mondiale pour y faire face.
L'adoption de la convention cadre des nations unies (CCNUCC) a marqué le début
d'un processus continu de négociation et de coopération internationale visant à
renforcer les actions de lutte contre le changement climatique. Elle a conduit à la
création de la Conférence des Parties (COP), un forum annuel où les pays signataires
se réunissent pour évaluer les progrès, discuter de nouvelles initiatives et négocier des
accords supplémentaires pour renforcer la réponse mondiale au changement
climatique.

2. L'Entrée en Vigueur de la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements


Climatiques marque Un Pas Crucial vers une Action Collective. cependant, Le 21
mars 1994 témoignage d une étape historique dans la lutte contre le changement
climatique alors que la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements
Climatiques (CCNUCC) entre en vigueur. Ce jour symbolise un engagement mondial
sans précédent à adresser les défis climatiques qui menacent notre planète et ses
habitants.
En effet, L'entrée en vigueur de la CCNUCC signifie que les pays signataires ont
officiellement accepté les obligations et les engagements énoncés dans le cadre de
cette convention historique. Ces engagements incluent la stabilisation des
concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui empêche toute
perturbation anthropique dangereuse du système climatique. La CCNUCC établit un
cadre juridique contraignant pour la coopération internationale sur les questions
climatiques et reconnaît les responsabilités communes mais différenciées des pays
dans la lutte contre le changement climatique. Elle met également en place des
mécanismes de suivi et de reporting pour évaluer les progrès réalisés par les pays dans
la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l'adaptation aux impacts du
changement climatique.

De plus, L'entrée en vigueur de la convention - cadre des nations unies de lutte


contre le changement climatique (CCNUCC) indique le début d'un processus continu
de négociation et de coopération internationale visant à renforcer les actions de lutte
contre le changement climatique. Elle conduit à la création de la Conférence des
Parties (COP), un forum annuel où les pays signataires se réunissent pour évaluer les
progrès, discuter de nouvelles initiatives et négocier des accords supplémentaires pour
renforcer la réponse mondiale au changement climatique. Ce moment historique
témoigne de la volonté collective de la communauté internationale de s'unir pour
affronter l'un des défis les plus pressants de notre époque. Il met en lumière la
nécessité d'une action urgente et concertée pour protéger notre planète et ses habitants
des impacts dévastateurs du changement climatique.

Paragraphe 2 : les grands axes de la convention cadre des nations unies sur les
changements climatiques

1. La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques


(CCNUCC) repose sur plusieurs principes fondamentaux qui guident les actions
des pays signataires dans leur lutte contre le changement climatique tel que :

 Le Principe de précaution est la nécessité d agir de manière préventive face


au risque du changement climatique même en l absence de preuve scientifique
définitive.

 Le Principe de responsabilité commune mais différencier, ce principe


reconnais a tout les pays une responsabilité commune de Lutter contre le
dérèglement climatique mais la responsabilité est différente au niveau de la
capacité économique et de développement respectifs des pays

 Le Principe de participation et d'engagement encourage la participation active


et l engagement de tout les pays ainsi que les parties prenantes et non étatiques
de Lutter contre le changement climatique.

 le Principe de justice climatique garantir l’équité et la justice dans les actions


de Lutter contre le changement climatique

 Le Principe de coopération et de partenariat prône la coopération et le


partenariat entre les Etats, les organisations internationales, les sociétés civiles,
le secteur privé et d autres parties prenantes dans la mise en œuvre des mesures
de lutte contre le changement climatique.

2. la convention cadre des nations unies sur les changements climatiques


(CCNUCC) a pour objectifs principaux de stabiliser les concentrations de gaz à
effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation
anthropique dangereuse du système climatique. Plus spécifiquement les objectifs
de la CCNUCC sont les suivants :

 Le principal objectif de la CCNUCC est de stabiliser les concentrations de gaz


à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui permette de prévenir toute
perturbation anthropique dangereuse du système climatique. Cela vise à éviter
les effets néfastes du changement climatique, tels que l'augmentation des
températures mondiales, l'élévation du niveau de la mer, les phénomènes
météorologiques extrêmes et la perte de biodiversité.

 La Réduction des émissions de gaz à effet de serre est un objectif clé de la


CCNUCC est de réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant des
activités humaines. Cela inclut notamment les émissions de dioxyde de
carbone (CO2) provenant de la combustion des combustibles fossiles, ainsi
que les émissions de méthane (CH4), de protoxyde d'azote (N2O) et d'autres
gaz à effet de serre.

 L’Adaptation aux impacts du changement climatique de La CCNUCC


reconnaît également l'importance de s'adapter aux impacts inévitables du
changement climatique. Cela comprend la mise en place de mesures pour
protéger les populations et les écosystèmes contre les effets néfastes du
changement climatique, tels que l'élévation du niveau de la mer, les
sécheresses, les inondations et les vagues de chaleur.

 La Promotion du développement durable de La CCNUCC encourage la


promotion du développement durable, c'est-à-dire d'un développement qui
répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations
futures à répondre à leurs propres besoins. Cela inclut la promotion de modes
de production et de consommation durables, la protection des écosystèmes et la
réduction des inégalités sociales et économiques.

 La Coopération internationale est un objectif essentiel de la CCNUCC est de


promouvoir la coopération internationale pour lutter contre le changement
climatique. Cela implique la mobilisation de ressources financières,
technologiques et humaines pour soutenir les pays en développement dans
leurs efforts d'atténuation et d'adaptation, ainsi que la promotion du partage des
connaissances et des meilleures pratiques entre les pays.

Au regard de ce qui précède, nous pouvons dire c’est grâce à la volonté des États de
coopérer qui ont permit la création d un traité international de lutte contre le changement
climatique. Cependant nous allons voir par la suite les organes de décision internationaux

SECTION 2 : LES ORGANES ET AGENCES DE DECISIONS INTERNATIONAUX


ET LEUR ROLE

Paragraphe 1 : les représentants internationaux et leur rôle

1. Les agents des populations signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur
les changements climatiques (CCNUCC) se réfèrent généralement aux représentants
désignés par les pays signataires pour participer aux processus de négociation et de
mise en œuvre des politiques climatiques. Ces agents peuvent être des fonctionnaires
gouvernementaux, des experts techniques, des diplomates ou d'autres personnes
mandatées par leur gouvernement pour représenter leurs intérêts et leurs engagements
en matière de changement climatique.
Outre, les populations signataires sont également représentées par diverses parties
prenantes non gouvernementales, telles que des organisations de la société civile, les
peuples autochtones, des groupes de défense de l'environnement, des entreprises et des
groupes de recherche, qui participent également aux processus de négociation en tant
qu'observateurs et apportent leur expertise et leurs perspectives sur les questions
climatiques.
En effet, Ces agents jouent un rôle crucial dans les négociations internationales sur le
climat, notamment lors des sessions de la Conférence des Parties (COP) de la
CCNUCC, où les politiques et les actions climatiques sont discutées et élaborées.
Leur travail consiste à représenter les positions et les intérêts de leur pays, à négocier
des accords et des engagements, à coordonner la mise en œuvre des politiques
nationales et à contribuer à l'élaboration de solutions communes pour relever les défis
climatiques mondiaux.

2. Les observateurs représentent une diversité d'acteurs non gouvernementaux, tels que
des organisations de la société civile, des groupes de défense de l'environnement, des
entreprises, des universités et des groupes de recherche et Les agences des
organisations internationales sont le Programme des Nations unies pour
l'environnement (PNUE), l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque
mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) et d'autres, apportent leur expertise,
leurs ressources et leur soutien technique aux processus de négociation et d'action
climatique. Mais, ils jouent un rôle important dans les processus de négociation et de
mise en œuvre des politiques climatiques au sein de la Convention-cadre des Nations
unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en fournissant des contributions
diversifier en renforçant la collaboration et la mise en œuvre d actions concrètes pour
lutter contre le changement climatique.

Paragraphe 2 : les traités majeurs dans les efforts de lutte contre le


changement climatique

1. Le Protocole de Kyoto est un accord international contraignant visant à réduire les


émissions de gaz à effet de serre (GES) responsables du changement climatique.
Adopté en 1997 dans le cadre de la Convention-cadre des Nations unies sur les
changements climatiques (CCNUCC), il est considéré comme l'un des premiers
accords majeurs sur le climat.

2. L accord de Paris est un accord international sur le climat adopté en décembre 2015
lors de la 21e Conférence des Parties (COP21) de la Convention-cadre des Nations
unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Cet accord représente un effort
mondial concerté pour lutter contre le changement climatique en réduisant les
émissions de gaz à effet de serre (GES) et en renforçant la résilience aux impacts
climatiques.
A la lecture de notre analyse, nous pouvons formuler que la convention cadre des nations
unies a suivi une procédure de son élaboration et est entrée en vigueur. Ainsi, il faut noter
qu’à coté de la convention les organes de décisions et les agences ont été indiqué pour lutte
contre le changement climatique. Cependant, qu’en est-il des investissements dans les
énergies renouvelables et des politiques de protection de l environnement ?

CHAPITRE 2 : LES INVESTISSEMENTS DANS LES ENERGIES


RENOUVELABLES ET DES POLITIQUES DE PROTECTION DE
L’ENVIRONNEMENT

Nous observerons le financement dans les énergies nouvelles en (section 1) avant de mettre
en lumière la promotion de la pratique agricole durable (section 2)

SECTION 1 : L'INVESTISSEMENT DANS LES ENERGIES RENOUVELABLES

L’engagement financier contribue a s acquérir des énergies renouvelables pour la


recherche et le développement de nouvelles technologies énergétiques en (paragraphe 1) et le
programme d’éducations de sensibilisation mise en place pour encourager les individus et les
entreprises sur les sources d énergies plus propre et durable en (paragraphe 2).

Paragraphe 1 : les subventions pour la recherche et le développement de


nouvelles technologies énergétiques

1. les subventions contribue a accéléré le développement et a la commercialisation de


nouvelles technologies et réduire les risques en particulier dans les domaines des
technologies émergentes.
Par ailleurs, elle concoure à l’innovation collaborative dans laquelle elle peut
encourager la collaboration entre différents acteurs de recherche et de développement
tel que les instituts de recherche.

2. l attributions d'une subvention se réalise par l’annonce à l’appel et a la proposition


invite les candidats potentiels a soumettre leurs projets.
Mais encore dans La sélection des bénéficiaires les décisions sont prises en fonction
de la pertinence de la qualité, de l’impact potentiel.

Paragraphe 2 : le programme d’éducations et de sensibilisation établi pour


encourager les individus et les entreprises sur les sources d énergies plus
durable

1. Les programmes éducatifs pour enseigner aux individus et aux entreprises les
principes fondamentaux des sources d énergies durable

2. L’organisation d’une campagne de sensibilisation à grandes échelles pour informer le


public et les entreprises sur les enjeux lié à l’énergie durable.

De ce qui précède, nous pouvons expliquer que les subventions contribue au développement
durable et a surmonté les obstacles financier en créant des emplois tout en soutenant la
transition vers l économie bas carbone et résilientes au changement climatique. Mais qu’en
est-il de la promotion de la pratique agricole durable ?

SECTION 2 : LA PROMOTION DE LA PRATIQUE AGRICOLE DURABLE

La promotion comprend une politique agricole sur la pratique durable (paragraphe 1) une
organisation des programmes de formations et de sensibilisation sur les pratiques agricoles
(paragraphe 2)

Paragraphe 1 : une politique agricole sur la pratique durable

1. la Promotion de l'agriculture biologique consiste à Encourager la conversion vers des


pratiques agricoles biologiques qui évitent l'utilisation de pesticides synthétiques,
d'engrais chimiques et d'organismes génétiquement modifiés. Cela favorise la santé
des sols, la biodiversité et la qualité des produits agricoles tout en réduisant la
pollution et les risques pour la santé humaine.

2. Le Soutien aux pratiques agroécologiques est d’investir dans la recherche et


l'extension agricole pour promouvoir les pratiques agroécologiques qui intègrent les
principes écologiques dans la gestion des exploitations agricoles. Cela peut inclure
l'agroforesterie, l'agriculture de conservation, la permaculture et d'autres approches qui
favorisent la durabilité à long terme.

Paragraphe 2 : une organisation des programmes de formation et de


sensibilisation sur les pratiques agricoles

1. le Développement du programme est de Concevoir un programme de formation et de


sensibilisation qui couvre les aspects clés des pratiques agricoles durables, tels que la
conservation des sols, la gestion de l'eau, l'agroforesterie, la biodiversité, l'utilisation
efficace des ressources, etc. Le programme doit être adapté aux besoins spécifiques
des participants et inclure des activités pratiques sur le terrain.

2. La Planification et l organisation des sessions de formation est de tenir en compte des


disponibilités des participants et en utilisant des méthodes d'apprentissage
participatives et interactives. Les sessions peuvent inclure des présentations, des
démonstrations sur le terrain, des discussions en groupe, des exercices pratiques et des
visites d'exploitations agricoles exemplaires.

A la lumière de notre première analyse nous pouvons attester que le droit international a mis
toute disposition nécessaire de prévention pour anticiper le changement climatique cependant
qu’en est-il des résolutions ?

DEUXIEME PARTIE : LES RESOLUTIONS DU DROIT INTERNATIONAL DANS


LA LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Les résolutions du changement climatique regorgent l’intégration du climat dans les politiques
nationales et le renforcement des institutions internationales
CHAPITRE 1 : L INTEGRATION DU CLIMAT DANS LES POLITIQUES
NATIONALES

Nous verrons l’adoption de réglementation et des normes environnementales en (section 1)


avant de mettre en exergue l’investissement dans les infrastructures résilientes au climat et
sensibilisation du public aux enjeux du changement climatique (section 2).

SECTION 1 : L’ADOPTION DE REGLEMENTATION ET DE NORME


ENVIRONNEMENTAL

Cette étape comprend l’élaboration des réglementations et des normes environnementale en


(paragraphe 1) et la révision de l’efficacité des réglementations environnementales en
(paragraphe 2)

Paragraphe 1 : l Élaboration des règlementations et normes environnementales

1. Élaboration des propositions de normes et réglementations portant sur la protection de


l'environnement et la santé publique tout en réduisant les risques pour la santé
publique en limitant L' exposition aux substances toxiques et en assurant la qualité d
aire et de L eau ce qui peut réduire les taux de maladie.

2. les normes environnementales peuvent promouvoir L adoption de la technologie et de


pratique qui améliore L efficacité énergétique des véhicules , des bâtiments et des
équipements , réduisant ainsi la demande totale d énergies et les émissions de CO2
associés

Paragraphe 2 : la révision de L efficacité de la réglementation


environnementale

1. la révision devrait inclure une évaluation de L efficacité de la surveillance et de L


application de la règlementation en examinant si les autorités compétentes disposent
des ressources nécessaires pour faire respecter les normes et les règlementations
environnementale
2. la révision doit impliquer la consultation des parties prenantes y compris les
entreprises, les organisations non gouvernementales, les scientifiques, et le grand
public pour garantir la perspective et les besoins de tous doivent être pris en compte.

En considération de notre première section nous pouvons dire les normes sont les moyens
efficaces pour lutter contre le dérèglement climatique. Mais qu en est il l apport des finances
dans les infrastructures résilientes ?

SECTION 2 : L’INVESTISSEMENTS DANS LES INFRASTRUCTURES


RESILIENTES AU CLIMAT

Nous verrons L utilisation de technologies innovantes (paragraphe 1 ) et la mobilisation des


jeunes dans initiatives de sensibilisation en (Paragraphe 2)

Paragraphe 1 : l utilisation de technologies innovantes

1. l’utilisation des énergies renouvelables telle les panneaux solaires, les éoliennes, et les
centrales hydroélectriques permettent de produire de L énergies propres et
renouvelables, réduisant ainsi la dépendance combustible fossile et les émissions de
gaz à effet de serre associés.

2. Les véhicules électriques et les transports en commun a faible émissions contribue a


réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports, tout en
favorisant la mobilité durable et la décarbonations des villes.

Paragraphe 2 : mobilisation des jeunes dans les initiatives de sensibilisation et


organisation des évènements public

1. Les recrutements de bénévoles doivent se faire en ligne en utilisant les médias, les
forums en ligne et site web pour diffuser des informations d initiatives et encourager
les jeunes à s’impliqué.
De plus, il faut établir les campagnes de marketing ciblée dont le but est de créer des
campagnes de marketing ciblée pour attirer des bénévoles spécifiques en fonction de
leur intérêt et de leur compétence

2. La planification d événements publics consiste élabore des budgets dont le but est d
évalué les coût prévu et identifier les sources de financement potentielles et la
promotion de L événements par l utilisation des flyers d’email , de médias sociaux et
de relations publiques pour faire connaître votre événement.

En considération de notre analyse précédente, nous pouvons affirmer que la loi, la


sensibilisation et le financement dans les infrastructures résilientes au joue un rôle
prépondérant dans la lutte contre le changement climatique. Mais qu en est il du renforcement
des institutions internationales ?

CHAPITRE 2 : LE RENFORCEMENT DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES

Le durcissement des institutions internationales connait une amélioration des mécanismes de


gouvernance des institutions internationales en (section1) et l’affermissement de l’application
des accords internationaux en (section 2).

SECTION 1 : L AMELIORATION DES MECANISMES DE GOUVERNEMENCE


DES INSTITUTIONS INTERNATIONALES

On verra d une part le renforcement des mécanismes de suivi et de vérification (paragraphe


1) et d autre part les sanctions en cas de non - respect en (paragraphe 2).

Paragraphe 1 : le renforcement des mécanismes de suivi et de vérification

1. le mécanisme de contrôle indépendant pourrait être la création d'une commission


d'audit externe composée d'experts indépendants dans différents domaines pertinents
pour les activités de l'institution internationale. Cette commission serait chargée de
réaliser des audits réguliers des opérations financières, des processus décisionnels et
de la conformité aux normes et aux objectifs établis.
Quant à La commission d'audit externe on aurait un accès complet à toutes les
informations et aux documents pertinents de l'institution internationale, et elle
mènerait ses audits de manière objective et transparente. Ses conclusions et
recommandations seraient présentées publiquement, renforçant ainsi la responsabilité
et la transparence de l'institution

2. la participation des parties prenantes se réduit à établir des conseils consultatifs,


composé de représentants des parties prenantes pour conseiller l’institution
internationale sur des questions spécifiques.

Paragraphe 2 : les sanctions en cas de non respect

1. Les mesures juridiques permettent d intente une action en justice devant les tribunaux
nationaux. Dans ce cas les parties prenantes lésées peuvent intenter des actions en
justice devant les tribunaux nationaux du pays.
Et il existe aussi le recours devant les tribunaux internationaux. Dans cette situation
les parties prenantes peuvent avoir recours a des tribunaux internationaux compétent
tel que la cour internationale de justice (CIJ) où d autre tribunaux spécialisée pour
résoudre les différends de non respect des participations.

2. La suspension de financement peut se faire de manière temporaire. En effet la


Suspension temporaire de L'institution internationale peut décider de suspendre
temporairement tout financement ou assistance à la partie responsable du non-respect.
Cette suspension peut être assortie de conditions précises à remplir avant que le
financement ou l'assistance ne soit rétabli.
Puis, l’exclusion de futurs financements ou programmes en cas de non-respect grave
ou répété, l'institution peut décider d'exclure la partie responsable de tout financement
ou programme futur. Cette mesure peut avoir des conséquences significatives à long
terme pour la partie concernée.
CONCLUSION

En conclusion, le droit international joue un rôle crucial dans la réponse mondiale au


changement climatique. À travers l'analyse des accords internationaux, des principes
juridiques et des mécanismes de mise en œuvre, il est clair que des progrès significatifs ont
été réalisés dans la reconnaissance et la prise en compte des défis climatiques. L'Accord de
Paris représente une étape importante dans cet effort, en établissant un cadre global pour
l'action climatique et en mobilisant l'engagement des États, des organisations internationales,
du secteur privé et de la société civile.

Cependant, malgré ces avancées, des défis persistants subsistent. Les engagements pris par les
États ne sont pas toujours suffisamment ambitieux pour atteindre les objectifs de limitation du
réchauffement climatique. De plus, la mise en œuvre et le respect des accords internationaux
rencontrent des obstacles politiques, économiques et institutionnels. Il est donc impératif de
renforcer les mécanismes de responsabilité, de transparence et de financement pour garantir
une action climatique efficace et équitable.

En outre, il est nécessaire d'intégrer les dimensions sociales, économiques et


environnementales du changement climatique dans les cadres juridiques et institutionnels
existants, en tenant compte des besoins et des perspectives des populations les plus
vulnérables. Cela nécessite une approche multidimensionnelle et inclusive de la gouvernance
climatique, qui reconnaît l'interdépendance des défis climatiques avec d'autres enjeux
mondiaux tels que la pauvreté, les inégalités et la sécurité.

Enfin, la lutte contre le changement climatique exige une collaboration internationale


renforcée et une action collective à tous les niveaux de gouvernance. Les États, en tant
qu'acteurs principaux du droit international, ont la responsabilité de prendre des mesures
ambitieuses pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, promouvoir l'adaptation aux
impacts du changement climatique et soutenir les populations les plus touchées. Seule une
action concertée et déterminée permettra de relever ce défi urgent et crucial pour l'avenir de
notre planète et de ses habitants.
BIBLIOGRAPHIE

1. Fabre, C. (2015). Le droit international de l'environnement. LGDJ.


2. Mégret, F. (2017). Le droit international de l'environnement et les changements
climatiques. Presses de l'Université Laval.
3. Boisson de Chazournes, L., & Vinuales, J. E. (2015). Droit international de
l'environnement. Dalloz.
4. Fernandez, M. (2018). Le droit international de l'environnement face au changement
climatique: vers un nouvel ordre écologique mondial?. Bruylant.
5. Benabdallah, S. (2019). L'accès à l'énergie dans le contexte du changement climatique:
quelles perspectives pour le droit international?. Larcier.
6. Caron, D. D., & Gervais, D. J. (2017). Droit et gouvernance du climat: l'apport des juristes.
Éditions Yvon Blais.
7. Barrault, P. (2019). Droit international de l'environnement et du développement durable.
Editions Tec & Doc.
8. Dumas, S. (2015). La protection internationale du climat. Presses universitaires de France.
9. Viñuales, J. E. (2016). Droit international de l'environnement: Emergences et
convergences. Presses universitaires de France.
10. Robidoux, P. (2018). Le droit international de l'environnement et le changement
climatique: de Kyoto à Paris. Editions Yvon Blais.
11. Robert kandel,(2002) le changement climatique : le grand risque . Presse Universitaire de
France.
12. Isabelle Roussel et Helga - Jane Scarwell, (2018).le changement climatique : quand le
climat nous pousse à changer d ère. Villeneuve d'Ascq en France.
TABLE DES MATIERES

I. PRESENTATION DE L’ETUDE....................................................................................6
II. L OBJET DE L ' ETUDE.................................................................................................6
III. LA DELIMITATION DE L 'ETUDE..........................................................................7
IV. LA CLARIFICATION DES TERMES ET CONCEPTS..........................................9
V. INTERET DE L ETUDE................................................................................................10
VI. REVUE DE LA LITTERATURE/ ETAT DE LA QUESTION..............................10
1. ROBERT KONDEL, le réchauffement climatique : le grand risque, 127 pages,
publié en 2002...................................................................................................................10
2. Isabelle Roussel et Helga -jane , le changement climatique : quand le climat
nous pousse à changer d ère, Villeneuve d'Ascq en France, 12 janvier 2018, 358
pages..................................................................................................................................11
VII. PROBLEMATIQUE....................................................................................................11
VIII. LES HYPOTHESE DE RECHERCHE....................................................................11
IX. LES METHODES DE RECHERCHE.......................................................................12
X. ARTICULATION ET JUSTIFICATION DU PLAN..................................................12

Vous aimerez peut-être aussi

pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy