MEMOIRE
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L’Institut Universitaire d' Abidjan n’entend donner aucune approbation ni improbation aux
informations contenues dans le présent mini- mémoire.
Ces idées et opinions doivent par conséquent être considérées comme propres à leur auteur.
DÉDICACE
J ai le grand plaisir d’adresser ce modeste travail à ma très chère mère qui me donne toujours
l'espoir de vivre et qui n’a jamais cessé de prier pour moi.
A mon très cher père pour ses encouragements, son soutien afin que rien n’entrave le
déroulement de mes études.
REMERCIEMENTS
Je dis merci à Dieu mon créateur pour tout ses innombrables bienfaits.
Aussi, je remercie mon directeur de mémoire le professeur ZO'OBO d’avoir accepté de
m’encadrer dans la conception de l’élaboration de ce travail.
SIGLES ET ABREVIATIONS
Première partie: Les préventions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique………………………………………...…………………………………….P13-P21
Deuxième partie : Les résolutions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique………………………………………………………………………………P21-P25
I. PRESENTATION DE L’ETUDE
Depuis des siècles, l’humanité se lance dans un défi à court et a long terme pour
contrôler son environnement.
Cependant, nous sommes sans ignorer que le réchauffement climatique résulte en grande
partie des activités humaines, engendre des conséquences désastreuses telle que les
phénomènes météorologiques extrêmes, la montée du niveau de la mer et la dégradation des
écosystèmes.
De par cette analyse des faits, le besoins de réduire les effets du changement
climatique à l’échelle mondiale C est fait ressentir avec acuité.
C est sans doute dans ce contexte que le droit international émerge comme un pilier essentiel
pour encadrer les actions visant a atténuer les effets du changement climatique et a
promouvoir une adaptation durable. Mais face à cette réalité les instruments juridiques
internationaux vont être les réponses adéquatent pour répondre aux défis climatiques.
D' emblée , il faut relevé que les cadres juridiques existants, les instruments
internationaux, les lois nationales et les politiques régionales qui régissent les questions liées
au changement climatique inclut l'examen des obligations légales des États en matière de
réduction des émissions de gaz à effet de serre, d'adaptation aux impacts du changement
climatique, de protection de l'environnement et de promotion du développement durable.
Cette étude évalue aussi l'efficacité des mécanismes juridiques et des institutions en
place pour relever les défis du changement climatique, ainsi qu'à identifier les opportunités
d'amélioration dans les systèmes juridiques nationaux et internationaux.
III. LA DELIMITATION DE L 'ETUDE
La réflexion de notre analyse s’articulera sur deux volets essentiels sur le plan
matériel et temporel. La délimitation au plan matériel du droit international et du changement
climatique se concentre sur les aspects spécifiques du droit international qui régissent les
questions liées au changement climatique à savoir :
Les Accords internationaux sur le climat qui englobent les principaux accords
internationaux qui traitent spécifiquement du changement climatique, tels que la Convention-
cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), le Protocole de Kyoto
et l'Accord de Paris. Ces accords établissent les principes, les objectifs et les obligations des
États en matière de lutte contre le changement climatique et Le droit international climatique
repose aussi sur plusieurs principes juridiques fondamentaux, tels que le principe de
responsabilité commune mais différenciée, le principe de précaution, le principe de
participation publique, le principe de coopération internationale, et le principe de prise en
compte des connaissances scientifiques.
Ensuite, les Mesures d'atténuation couvrent les mesures prises par les États pour
réduire les émissions de gaz à effet de serre et atténuer les impacts du changement climatique.
Cela inclut les politiques nationales, les plans d'action climatique, les marchés du carbone, les
objectifs de réduction des émissions, et les efforts de transition vers des sources d'énergie
propre.
De plus, le Financement climatique est une catégorie qui englobe les mécanismes de
financement climatique pour soutenir les efforts d'atténuation et d'adaptation dans les pays en
développement. Cela comprend le Fonds vert pour le climat, les contributions financières des
pays développés, les investissements privés dans les énergies propres, et les mécanismes de
financement innovants.
Ensuite, Les années 1990 ont été marquées par une intensification des négociations
internationales sur le climat. En 1992, la Convention-cadre des Nations unies sur les
changements climatiques (CCNUCC) a été adoptée lors du Sommet de la Terre à Rio de
Janeiro, établissant un cadre global pour la coopération internationale sur le climat.
Par ailleurs, en 1997, le Protocole de Kyoto a été adopté, établissant des engagements
contraignants de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour les pays développés. Il
est entré en vigueur en 2005 et a été le premier accord international juridiquement
contraignant sur le climat. Et Au cours des années 2000 et 2010, les négociations
internationales sur le climat se sont poursuivies avec des sommets annuels de la CCNUCC. Le
Sommet de Copenhague en 2009 a été un moment clé, mais les résultats ont été mitigés.
Cependant, les efforts de coopération internationale se sont poursuivis avec l'Accord de
Cancún en 2010 et l'Accord de Durban en 2011.
Pour mieux saisir notre sujet, Il est de notre charge de définir les termes et d expliquer la
conception du droit international et le changement climatique. A cet effet nous allons élucider
les termes et les concepts suivant :
Droit international :
Le droit international est un ensemble de règles, de normes et de principes qui régissent les
relations entre les États et d'autres acteurs internationaux. Il s'agit d'un système de normes
juridiques élaborées par les États eux-mêmes, ainsi que par des organisations internationales
et des traités. Le droit international régit divers domaines, tels que le commerce, les droits de
l'homme, le droit de la mer, le droit de la guerre et la protection de l'environnement, y compris
le changement climatique.
Changement climatique :
Le changement climatique fait référence à une modification à long terme des schémas
météorologiques mondiaux, principalement causée par les activités humaines, telles que
l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Ces activités
comprennent la combustion de combustibles fossiles, la déforestation, l'agriculture intensive
et l'industrialisation. Les conséquences du changement climatique comprennent l'élévation des
températures moyennes, l'élévation du niveau de la mer, les phénomènes météorologiques
extrêmes, la dégradation des écosystèmes et les impacts socio-économiques.
V. INTERET DE L ETUDE
L'étude peut avoir un impact significatif sur le plan personnel. Cela nous permettrait
d'approfondir nos connaissances dans ces domaines, nous offrant ainsi une expertise
précieuse et un sentiment d'accomplissement intellectuel.
Sur le plan juridique, Cela permet d'analyser en profondeur les traités, les
conventions et les accords internationaux qui régissent la protection de l'environnement et la
lutte contre le changement climatique. En examinant les lacunes et les défis juridiques
existants, cela ouvre la voie à des recommandations pour renforcer le cadre juridique
international afin de mieux répondre aux défis climatiques. De plus, cela contribue à
sensibiliser les acteurs juridiques et politiques sur l'urgence d'agir et sur les meilleures
pratiques en matière de réglementation environnementale à l'échelle mondiale.
L’auteur dans son œuvre explique aux lecteurs les différents gaz a effet de serre comme un
facteur du réchauffement planétaire. Il décortique aussi les tenants et les aboutissants des
différentes recherches effectuées à travers le monde pour comprendre la relation du climat
actuel et celui du passé.
De plus il analyse les réalités et les risques entourant la réchauffement planétaire.
Enfin, l’auteur évoque une des crucial dans la problématique des changements
climatiques a savoir : la politique.
Dans cet ouvrage, les auteurs mettent en lumière l’irruption de la planète dans notre
vision du monde, fait voler en éclats cloison et certitude tout en imposant sa finitude.
Ils détaillent ensuite les phénomènes climatiques paroxysmique entrent en résonance avec
l’alerte construite par les scientifiques du monde entier sur le changement climatique. Mais
l’illusion d un monde technique et complètement artificialisé a fait long feu, la planète
s’imposé au rendez-vous des citoyens alors qu’elle avait été oublié, exploiter pendant le temps
de L industrialisation du monde occidental.
Pour finir, cette rencontre ne se fait pas sans heurts mais pas non plus dans le malheur
comme la vision médiatique du changement climatique voudrait trop souvent le faire croire.
VII. PROBLEMATIQUE
Eu égard de ce qui précède, la question centrale qui retient notre attention est celle de
savoir : quel est L apport du droit international lié aux problèmes du changement climatique ?
Les hypothèses de notre présente étude offrent un point de départ pour explorer
différents aspects du droit international et du changement climatique, en examinant les défis,
les opportunités et les impacts des cadres juridiques et institutionnels existants sur la réponse
mondiale au changement climatique.
IX. LES METHODES DE RECHERCHE
Dans cette étape deux méthodes nous servirons d’appui, une première méthode
portant sur l’analyse des textes juridiques et une seconde méthode sur l’innovation
technologique.
Dans notre analyse du sujet, nous verrons d' une part les préventions du droit
international dans la lutte contre le changement climatique en (première partie) et d
autre part le résolutions du droit international dans la lutte contre le changement
climatique en (deuxième partie)
PREMIERE PARTIE : LES PREVENTIONS DU DROIT INTERNATIONAL DANS
LA LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE
Pour protéger notre planète contre les aléas climatique, le droit international a mis en
avant l’idée de la proportion d une coopération mondiale et de l ' apport des finances dans
les énergies nouvelles
Le sommet international entre les Etats signataires a permis l élaboration d' un traité
international notamment appelé convention - cadre des nations unies sur le changement
climatique (CCNUCC) que nous verrons en ( section 1 )et les organes et /où agences de
décisions internationaux en( section 2 )
La convention cadre des nations unies comprend son élaboration en (paragraphe 1) et les
grands axes (paragraphe 2)
Paragraphe 2 : les grands axes de la convention cadre des nations unies sur les
changements climatiques
Au regard de ce qui précède, nous pouvons dire c’est grâce à la volonté des États de
coopérer qui ont permit la création d un traité international de lutte contre le changement
climatique. Cependant nous allons voir par la suite les organes de décision internationaux
1. Les agents des populations signataires de la Convention-cadre des Nations unies sur
les changements climatiques (CCNUCC) se réfèrent généralement aux représentants
désignés par les pays signataires pour participer aux processus de négociation et de
mise en œuvre des politiques climatiques. Ces agents peuvent être des fonctionnaires
gouvernementaux, des experts techniques, des diplomates ou d'autres personnes
mandatées par leur gouvernement pour représenter leurs intérêts et leurs engagements
en matière de changement climatique.
Outre, les populations signataires sont également représentées par diverses parties
prenantes non gouvernementales, telles que des organisations de la société civile, les
peuples autochtones, des groupes de défense de l'environnement, des entreprises et des
groupes de recherche, qui participent également aux processus de négociation en tant
qu'observateurs et apportent leur expertise et leurs perspectives sur les questions
climatiques.
En effet, Ces agents jouent un rôle crucial dans les négociations internationales sur le
climat, notamment lors des sessions de la Conférence des Parties (COP) de la
CCNUCC, où les politiques et les actions climatiques sont discutées et élaborées.
Leur travail consiste à représenter les positions et les intérêts de leur pays, à négocier
des accords et des engagements, à coordonner la mise en œuvre des politiques
nationales et à contribuer à l'élaboration de solutions communes pour relever les défis
climatiques mondiaux.
2. Les observateurs représentent une diversité d'acteurs non gouvernementaux, tels que
des organisations de la société civile, des groupes de défense de l'environnement, des
entreprises, des universités et des groupes de recherche et Les agences des
organisations internationales sont le Programme des Nations unies pour
l'environnement (PNUE), l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque
mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) et d'autres, apportent leur expertise,
leurs ressources et leur soutien technique aux processus de négociation et d'action
climatique. Mais, ils jouent un rôle important dans les processus de négociation et de
mise en œuvre des politiques climatiques au sein de la Convention-cadre des Nations
unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en fournissant des contributions
diversifier en renforçant la collaboration et la mise en œuvre d actions concrètes pour
lutter contre le changement climatique.
2. L accord de Paris est un accord international sur le climat adopté en décembre 2015
lors de la 21e Conférence des Parties (COP21) de la Convention-cadre des Nations
unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Cet accord représente un effort
mondial concerté pour lutter contre le changement climatique en réduisant les
émissions de gaz à effet de serre (GES) et en renforçant la résilience aux impacts
climatiques.
A la lecture de notre analyse, nous pouvons formuler que la convention cadre des nations
unies a suivi une procédure de son élaboration et est entrée en vigueur. Ainsi, il faut noter
qu’à coté de la convention les organes de décisions et les agences ont été indiqué pour lutte
contre le changement climatique. Cependant, qu’en est-il des investissements dans les
énergies renouvelables et des politiques de protection de l environnement ?
Nous observerons le financement dans les énergies nouvelles en (section 1) avant de mettre
en lumière la promotion de la pratique agricole durable (section 2)
1. Les programmes éducatifs pour enseigner aux individus et aux entreprises les
principes fondamentaux des sources d énergies durable
De ce qui précède, nous pouvons expliquer que les subventions contribue au développement
durable et a surmonté les obstacles financier en créant des emplois tout en soutenant la
transition vers l économie bas carbone et résilientes au changement climatique. Mais qu’en
est-il de la promotion de la pratique agricole durable ?
La promotion comprend une politique agricole sur la pratique durable (paragraphe 1) une
organisation des programmes de formations et de sensibilisation sur les pratiques agricoles
(paragraphe 2)
A la lumière de notre première analyse nous pouvons attester que le droit international a mis
toute disposition nécessaire de prévention pour anticiper le changement climatique cependant
qu’en est-il des résolutions ?
Les résolutions du changement climatique regorgent l’intégration du climat dans les politiques
nationales et le renforcement des institutions internationales
CHAPITRE 1 : L INTEGRATION DU CLIMAT DANS LES POLITIQUES
NATIONALES
En considération de notre première section nous pouvons dire les normes sont les moyens
efficaces pour lutter contre le dérèglement climatique. Mais qu en est il l apport des finances
dans les infrastructures résilientes ?
1. l’utilisation des énergies renouvelables telle les panneaux solaires, les éoliennes, et les
centrales hydroélectriques permettent de produire de L énergies propres et
renouvelables, réduisant ainsi la dépendance combustible fossile et les émissions de
gaz à effet de serre associés.
1. Les recrutements de bénévoles doivent se faire en ligne en utilisant les médias, les
forums en ligne et site web pour diffuser des informations d initiatives et encourager
les jeunes à s’impliqué.
De plus, il faut établir les campagnes de marketing ciblée dont le but est de créer des
campagnes de marketing ciblée pour attirer des bénévoles spécifiques en fonction de
leur intérêt et de leur compétence
2. La planification d événements publics consiste élabore des budgets dont le but est d
évalué les coût prévu et identifier les sources de financement potentielles et la
promotion de L événements par l utilisation des flyers d’email , de médias sociaux et
de relations publiques pour faire connaître votre événement.
1. Les mesures juridiques permettent d intente une action en justice devant les tribunaux
nationaux. Dans ce cas les parties prenantes lésées peuvent intenter des actions en
justice devant les tribunaux nationaux du pays.
Et il existe aussi le recours devant les tribunaux internationaux. Dans cette situation
les parties prenantes peuvent avoir recours a des tribunaux internationaux compétent
tel que la cour internationale de justice (CIJ) où d autre tribunaux spécialisée pour
résoudre les différends de non respect des participations.
Cependant, malgré ces avancées, des défis persistants subsistent. Les engagements pris par les
États ne sont pas toujours suffisamment ambitieux pour atteindre les objectifs de limitation du
réchauffement climatique. De plus, la mise en œuvre et le respect des accords internationaux
rencontrent des obstacles politiques, économiques et institutionnels. Il est donc impératif de
renforcer les mécanismes de responsabilité, de transparence et de financement pour garantir
une action climatique efficace et équitable.
I. PRESENTATION DE L’ETUDE....................................................................................6
II. L OBJET DE L ' ETUDE.................................................................................................6
III. LA DELIMITATION DE L 'ETUDE..........................................................................7
IV. LA CLARIFICATION DES TERMES ET CONCEPTS..........................................9
V. INTERET DE L ETUDE................................................................................................10
VI. REVUE DE LA LITTERATURE/ ETAT DE LA QUESTION..............................10
1. ROBERT KONDEL, le réchauffement climatique : le grand risque, 127 pages,
publié en 2002...................................................................................................................10
2. Isabelle Roussel et Helga -jane , le changement climatique : quand le climat
nous pousse à changer d ère, Villeneuve d'Ascq en France, 12 janvier 2018, 358
pages..................................................................................................................................11
VII. PROBLEMATIQUE....................................................................................................11
VIII. LES HYPOTHESE DE RECHERCHE....................................................................11
IX. LES METHODES DE RECHERCHE.......................................................................12
X. ARTICULATION ET JUSTIFICATION DU PLAN..................................................12