Article OUSSOU DIAGNOSYIC Curriculum Hist Geo Primaire
Article OUSSOU DIAGNOSYIC Curriculum Hist Geo Primaire
Article OUSSOU DIAGNOSYIC Curriculum Hist Geo Primaire
Résumé
Cet article vise à analyser les différents niveaux curriculaires de l’histoire-géographie à l’école primaire
ivoirienne. Les curriculums prescrits et implémentés ont été examinés pour comprendre la transférabilité
de compétence aux élèves à l’aune de l’approche par compétence. Cette étude s’appuie sur une analyse de
corpus (les programmes éducatifs et guides d’exécutions des classes de CE1, CE2, CM1, CM2, les
cahiers et fiches de leçon, les emplois du temps) ; les observations de séances de cours et des entretiens semi-
dirigés. Il ressort de cette étude que les programmes d’histoire sont centrés sur l’étude de l’organisation
sociale, politique et de la décolonisation de la Côte d’Ivoire. Ceux de géographie sont centrés sur la
description des milieux. Les programmes en cours élémentaires ne connaissance pas un achèvement tandis
que ceux des cours moyen connaissent une finition. Les pratiques enseignantes ordinaires sont en majorité
celles des cours magistralo-dialogués. Ces dernières ne favorisent pas un transfert de compétences en raison
des limites au nombre desquels la durée impartie à cette discipline scolaire, les effectifs pléthoriques des
classes, des manuels inadaptés, le sous-équipement des établissements etc.
Abstract
This article aims to analyse the different curricular levels of history-geography in Ivorian primary schools.
Prescribed and implemented curricula were examined in order to understand the transferability of skills
to pupils in the light of the competency-based approach. This study is based on a corpus analysis
(educational programmes and implementation guides for CE1, CE2, CM1, CM2 classes, lesson
notebooks and sheets, timetables); observations of class sessions and semi-structured interviews. The study
revealed that the history syllabus focused on the social and political organisation and decolonisation of
Côte d'Ivoire. The geography syllabus focuses on describing the environment. The syllabus for elementary
classes has not yet been completed, while the syllabus for intermediate classes has been finalized. The
majority of teaching practices are based on the active method. However, they are not conducive to skills
transfer because of a number of limitations, including the length of time allocated to this school subject,
overcrowded classrooms, unsuitable textbooks, under-equipped schools, etc.
129
Introduction
130
1. Les différents niveaux curriculaires et la spécificité de
l’enseignement de l’histoire-géographie en primaire
133
œuvre de l’APC dans le système éducatif ivoirien non sans balbutiement.
En effet, si l’enjeu de cette approche pédagogique est de :
« 1. rapprocher le monde de l’enseignement du
monde de l’entreprise ;
2. recentrer la formation, de la maternelle à
l’université, sur les exigences premières du marché
du travail : l’adaptabilité et la mobilité des
travailleurs ;
3. résoudre la contradiction entre un enseignement
largement commun (de l’école maternelle jusqu’à
12, 14 ou 16 ans, selon les pays) et un marché du
travail de plus en plus polarisé » (Hirtt, 2009,
p.11)
Les pratiques enseignantes en APC restent très théoriques, abstraites. Ce
qui la différencie de la pédagogie par objectif (PPO), est l’insertion dans
la mise en œuvre d’une séquence de cours d’une situation d’apprentissage
comportant un contexte, une circonstance et des tâches ; des évaluations
formatives à la fin de chaque séance et de chaque séquence pour
permettre à l’enseignant(e) de vérifier si les savoirs, savoir-faire qu’il ou
elle a transféré sont acquises par les élèves. Cette démarche est mise à
l’épreuve dans les pratiques enseignantes dans un contexte de classes
pléthoriques, de sous-équipements des établissements, de longues
progressions annuelles, de cloisonnement horaire, de démotivation de
nombreux enseignants etc. (Oussou, 2022).
Pour recueillir les données relatives à cette étude, nous avons procédé à
l’analyse de divers corpus (programmes éducatifs et guides d’exécution
des classes de CE1, CE2, CM1, CM2 ; les emplois du temps, les cahiers
de cours d’élèves ; les manuels d’histoire-géographie), effectué des
entretiens semi-dirigés de divers acteurs (instituteurs des classes de CE1,
CE2, CM1, CM2 en milieu urbain et en milieu rural) ; observé des
séances de cours en histoire et en géographie.
Corpus Objectifs
1 Guides éducatifs et Connaitre les thèmes abordés en histoire
d’exécution des classes de et géographie en primaire
CE1, CE2, CM1, CM2 Connaitre les techniques pédagogiques
suggérées pour la mise en œuvre des
contenus
Connaitre l’agencement des leçons
2 Les emplois du temps des Connaitre et analyser le volume horaire
classes de CE1, CE2, imparti à l’histoire-géographie, ainsi que
CM1, CM2 les moments de la semaine
3 Les cahiers de cours Un contrôle des résumés produit par les
d’élèves enseignants
4 Les manuels d’histoire- Vérifier la congruence entre le contenu
géographie des manuels et le curriculum prescrit
135
Tableau 2: Guide des entretiens semi-dirigés
N° Questions Objectifs
1 Comment l’histoire-géographie Connaitre les stratégies
doit-être enseignée selon votre enseignées dans les formations
formation initiale au CAFOP initiales pour mettre en œuvre les
contenus d’histoire-géographie
2 Avant la mise en œuvre d’une Connaitre le processus de
leçon d’histoire-géo en classe, préparation d’une leçon
comment la préparez-vous ? d’histoire-géographie
3 Quelles sont les démarches que Identifier les démarches dans la
vous utilisez dans la mise en mise en œuvre d’une leçon.
œuvre d’une leçon d’histoire-
géo ?
4 Quelles sont les techniques Identifier les techniques
pédagogiques que vous utilisez pédagogiques (discussion dirigé,
en cours d’histoire-géographie ? sortie de terrain, brainstorming,
jeu de rôle utilisées en cours
d’histoire-géographie
5 Quelles sont les spécificités de Analyser les traits de l’APC en
l’APC en classe d’histoire- primaire en classe d’histoire-géo
géographie ?
6 Quelles sont les difficultés Analyser les difficultés
rencontrées dans la mise en rencontrées dans la mise en
œuvre des contenus d’histoire- œuvre des contenus d’histoire-
géo ? géo
136
2002). Dix points essentiels nous ont intéressés dans les pratiques
ordinaires des enseignants.
CE2 Idem
CM1 Idem
CM2 Idem
138
semaine. Il peut s’agir d’une semaine d’histoire ou de géographie.
L’emploi du temps dans l’enseignement primaire ivoirien est national.
Celui de l’année-scolaire 2023-2024 place la séance hebdomadaire
d’histoire-géographie du cours moyen 1 et 2 les lundis de 16h15 à 16h45
pour les CM1 et de 15h30 à 16h pour le CM2 et celle du cours
élémentaire les vendredis après-midi de 15h à 15h30 pour le CE1 et le
CE2.
142
- Situation
d’apprentissage - Les élèves
(inscrite à droite écoutent
du tableau, l’instituteur
lecture et
identification des
tâches)
Développement - Organisation - les élèves Boucle Documents 28 à 35
des élèves en déplacent les didactique textuels ou minutes
groupes tables-bancs iconographiques
d’apprentissage et font du Organisation des
(les tables-bancs bruit élèves par pairs
sont déplacés,
- Distribution
d’un support à
chaque groupe
- L’enseignant - les élèves Travail
tente de calmer par groupe individuel
le bruit donnent des
- A partir de réponses sur
consignes et de leurs
questions, ardoises. Un
l’enseignant des élèves
exploite le d’un groupe
document, il volontaire
inscrit les donne les
réponses au réponses
tableau
- Un résumé est - Les élèves
produit par sont invités à
l’enseignant au prendre le
tableau résumé plu
tard
Evaluation Des tests - certains Travail 1à2
objectifs sont élèves lèvent individuel minutes
proposés aux la main et
élèves à l’oral proposent
une réponse
Le modèle dominant se traduit par le rituel d’APC tel que proposé par
les structures de formations initiales. Il se présente comme suit : la séance
commence par des questions et consignes sur le prérequis des élèves.
Lorsque ces questions et consignes sont bien formulées, les élèves
donnent diverses réponses qui sont consignées au tableau sous la forme
d’hypothèses. L’enseignant valide les bonnes réponses. Une situation
d’apprentissage est proposée, lu et les taches sont dégagées. Il s’ensuit
une distribution des supports (documents textuels ou iconographiques)
aux élèves par groupe d’élèves ou par pairs. Chaque groupe exploite le
document à partir des consignes de l’enseignant. Un groupe volontaire
est désigné pour rendre compte de son travail. Les bonnes réponses sont
validées et servent de résumé pour l’ensemble de la classe. Le résumé est
couvert par un tissu et sera recopié entre midi et deux. Une activité
143
d’application est proposée à l’oral aux élèves. Tous ce processus se
déroulent en trente minutes et a comme conséquence une précipitation,
une course contre la montre des enseignants. L’enseignante SK dit
qu’« on a affaire à un processus de mise en œuvre trop mécanique. Les enseignants
stagiaires qui sont contraints de respecter les trente minutes agissent comme des
robots. »
L’accent est peu mis sur l’exploitation des documents et l’explication des
contenus.
Toutefois des tentatives de mise en œuvre de la méthode active à travers
un questionnement des élèves est au cœur de l’acte d’enseigner. De
nombreux enseignants à travers des consignes et questions tentent une
construction du savoir. Si les enseignants interrogés pensent mettre en
œuvre la méthode active, il convient de signifier qu’il s’agit davantage de
cours magistralo-dialogué. Ils ont recours au constructivisme et au
socioconstructivisme qui sont des approches qui mettent l’élève au cœur
de l’apprentissage. Ces consignes et réponses d’élèves qui entrent dans le
cadre de la boucle didactique (N. Tutiaux-Guillon, 1998) ne sont pas bien
menées. L’enseignant cherche toujours à ce que ce soit la réponse qu’il a
proposé sur sa fiche de leçon qui soit trouvé par l’élève. Le constat
général est une exploitation superficielle des contenus qui est justifiée par
les enseignants par le cloisonnement horaire des séances à trente minutes.
On est loin de la secondarisassions des savoirs car pour l’essentiel des
observations effectuées les enseignants du premier degré ont eu des
difficultés à faire passer les élèves de savoirs « premiers », relevant de
l’expérience quotidienne du monde, à des savoirs « seconds », relevant
du champ de la géographie comme discipline. De plus, les élèves sont
rarement mis en situation de développer une activité cognitive de niveau
élevé. Leur activité consiste principalement à répondre à des questions
qui induisent une prise d’information ponctuelle dans les documents. Les
évaluations en fin de séances se déroulent oralement entre une et deux
minutes. Elles ne permettent pas d’identifier les élèves qui n’ont pas
cerné un contenu en vue d’initier une remédiation et une régulation. En
cours de géographie, les pratiques déclarées sont dominées par des
activités de « description-localisation-nomination » et sont peu propices
à ce que les élèves comprennent les réalités géographiques étudiées.
A côté de ces modèles dominant figurent d’autres pratiques enseignantes
peu recommandés car non promues par les structures de formation
initiales. Dans la course à l’achèvement des programmes surtout en CM2,
144
les pratiques sont celles qui consistent pour l’enseignant d’écrire le
résumé au tableau et à le faire lire par des élèves.
Des écarts émergent des pratiques ordinaires. Il s’agit d’enseignants qui
font copier des résumés sans un recours à la démarche APC ;
l’organisation des apprenants en groupes d’apprentissages est éluder ; les
séances réservées pour les évaluations sont utilisées pour rattraper celles
des séances de cours.
Effectifs
pléthoriques
28%
Emplois du
temps non
favorables
Absence de 55%
manuels
adaptés
17%
147
est le profil voir le portrait de l’enseignant du primaire aujourd’hui ? Quel
est celui du professeur de CAFOP ? Comprendre ces profils nous aidera
à comprendre ce qui est proposé aux instituteurs stagiaires dans les
CAFOP. Nous évoquerons aussi le profil des élèves avant de suggérer
des propositions.
Le professeur de CAFOP d’histoire-géographie est un instituteur
ordinaire qui n’a aucune formation universitaire en histoire-géographie
et qui après un certain nombre d’année postule au concours
professionnel d’entrée à l’ENS pour une formation de deux ans dont une
en formation initiale et une en stage dans un CAFOP. Ce « formé » a-t-il
le « bagage intellectuel » nécessaire en histoire-géographie pour
prétendre former des instituteurs ? Nous pensons que non. En effet,
l’ENS propose certes des contenus universitaires aux étudiants qu’ils
forment mais la pratique a démontré que ces futurs professeurs de
CAFOP sont de faibles niveaux sur le plan disciplinaire. In fine, ce sont
des formateurs qui se focalisent sur des aspects pédagogiques de
formation sans se montrer maître de leur connaissance.
Nous proposons que ces professeurs d’histoire-géographie de CAFOP
soient titulaires d’un diplôme universitaire en histoire-géographie comme
leurs collègues qui postulent concours professionnel en vue d’exercer
comme professeur de collège. Être un ancien instituteur est certes un
critère important mais ne saurait être la seule condition pour accéder à la
formation d’autres enseignants à l’histoire-géographie. A propos des
instituteurs, il présente un profil qui amène à prendre du recul quant à
leur capacité à être des « maîtres ». Depuis plus d’une décennie, pour
postuler au concours d’entrée au CAFOP, le ministère de l’éducation
nationale organisateur du concours offre la quasi-totalité des postes au
titulaire du BEPC. Evoquant le niveau de ces instituteurs, D.K qui a
encadré des instituteurs stagiaires, nous dit que « le niveau des stagiaires que
nous avions il y a trois ans était très faible. Ils avaient de nombreuses lacunes à l’écrit
comme à l’oral ». Sans spéculer sur les motivations d’un tel choix, nous
pensons qu’un enseignant qui a un niveau 3e a nécessairement des
difficultés globales. Enseigner l’histoire-géographie nécessite un certain
nombre de connaissances dans ces disciplines et des dispositions en
termes de maîtrise des enjeux. En formation dans les CAFOP, les
formateurs doivent tenir compte des insuffisances des futurs instituteurs.
Une fois recruté, c’est la démotivation qui gagne le rang des enseignants.
En effet, ils disent que le ministère ainsi que certaines ONG leur ont
148
arraché ‘’l’autorité du maître’’. D.K dit pour se faire qu’ « aujourd’hui, les
enfants ont davantage de droits que nous, ils décident quand ils veulent faire cours,
faire des exercices, copier leurs leçons. Ils nous écoutent à peine. Cette situation nous
démotive ». Ce facteur expliquant la démotivation de certains enseignants
doit être traité par une analyse sociologique du contexte dans lequel
évoluent les écoles en Côte d’Ivoire en vue de trouver une solution.
Les progressions annuelles d’histoire-géographie sont longues. Nous
proposons dix leçons en moyenne par niveaux et une augmentation de
la durée hebdomadaire des séances. Passer de 30 minutes à deux heures
par semaine en maintenant les 30 minutes par séance par exemple,
permettra aux enseignants de mieux organiser les enseignements.
Le profil des élèves est une donnée importante à prendre en compte. En
effet, ils accèdent en CE1 entre 7 et 8 ans et en CM2 entre 10 et 12 ans.
A cet âge mental, l’usage de documents textuels paraît abstrait. Les
stratégies pédagogiques mettant les élèves en contact avec leur milieu
proche surtout en géographie sont à privilégier. Les travaux en thèse de
géographie d’Elsa Philâtre (2021) sur l’école primaire nous édifient sur
la question.
Conclusion
149
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150
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