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Bécon-les-Granits

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Bécon-les-Granits
Bécon-les-Granits
La mairie.
Blason de Bécon-les-Granits
Héraldique
Bécon-les-Granits
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou
Maire
Mandat
Marie-Ange Fouchereau
2020-2026
Code postal 49370
Code commune 49026
Démographie
Gentilé Béconnais
Population
municipale
2 782 hab. (2021 en évolution de −0,96 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 12″ nord, 0° 47′ 59″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 88 m
Superficie 46,17 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bécon-les-Granits
(ville isolée)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Bécon-les-Granits
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Bécon-les-Granits
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Bécon-les-Granits
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Bécon-les-Granits
Liens
Site web becon.mairie49.fr

Bécon-les-Granits est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

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Localisation

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Commune angevine du Segréen, Bécon-les-Granits se situe au sud-ouest de Saint-Clément-de-la-Place, sur les routes D 963, Le Louroux-Béconnais / Saint-Léger-des-Bois, et D 961, La Pouëze / Saint-Augustin-des-Bois[1].

Bécon-les-Granits se trouve à 19 km au nord-ouest d'Angers[2].

L'IGN a déterminé en juin 2015 que Bécon-les-Granits (limite avec la commune de Saint-Augustin-des-Bois) est le centre géographique de la région Pays de la Loire[3].

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Moyenne vallée de la Loire »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Bécon-les-Granits est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bécon-les-Granits[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,2 %), prairies (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie et héraldique

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Bisconium en 1125-1148[16].

Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

De sinople au mont de Granit d’argent, sur lequel rampent à dextre une chèvre et à senestre un porc, tous les deux affrontés de sable, au chef cousu d’azur chargé de deux fleurs de lys d'or.

Bécon-les-Granits, autrefois Besconum, est entourée de forêts et réunit deux voies romaines. L´église de Bécon appartient dès le XIe siècle à l´abbaye de Saint-Nicolas. La cure est un fief laïc dont le domaine et la justice foncière dépenda de Beaupréau et le reste du fief de Champtocé. La terre de Bécon appartient alors à une famille qui en prend le nom. En 1218, Jacques de La Poeze, membre d´une puissante famille de la région, en est le seigneur, puis ce sont les familles de Montjean, de Leveneur, puis les comtes de Serrant (les Bautru, puis les Walsh). Thaumas de la Thaumassière[17] prétend que les seigneurs de Bécon, comme ceux d'Ancenis et sans jouir de prérogatives particulières, prend le titre de princes de Bécon, ce que conteste Célestin Port ; en tout cas, ils deviennent barons de Bécon en toute justice en 1562, et Le Louroux dépend de cette seigneurie puis baronnie[18],[19],[20].

Pendant la Première Guerre mondiale, 76 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 8 habitants sont tués[21].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Moreau    
1798 1799 Caillault   agent municipal[Note 3]
1799 1800 François Bodet   agent municipal[Note 3]
29 juin 1800 1808 Aimé-Jacques de Meaulne de la Carterie   maire
1808 1810 Paul de Scépeaux    
1810 1830 de Meaulne de la Carterie    
1830 1832 Mr Cosnard    
1833 1841 J. Berthelot    
1841 1847 Mr Cosnard    
31 mars 1847   Paul Abraham    
9 juin 1847 1862 Alexandre Briau    
1862 1874 Charles Delhomel    
1874 1892 Armand Marais    
1892 1908 Ambroise de Meaulne    
1908 1925 Roger de Maillé    
1925 1929 Achille Roffay    
1929 1935 René de La Villebiot    
1935 1971 Olivier Cassin RG puis DVD conseiller général (1936-1940 puis 1945-1964)
nommé conseiller départemental en 1943
mars 1971 mars 1989 Pierre Manoury    
mars 1989 mars 2014 Marcel Pichavant[23] DVD retraité de l'enseignement
conseiller général (2001-2008)
président de la CC Ouest-Anjou (2001-2014)
mars 2014 En cours
(au 31 mai 2020)
Marie-Ange Fouchereau[24],[25] DVD infirmière
vice-présidente de la CC Ouest-Anjou
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou, après disparition de la communauté de communes Ouest-Anjou[26], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

Autres circonscriptions

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Jusqu'en 2014, Bécon-les-Granits fait partie du canton du Louroux-Béconnais et de l'arrondissement d'Angers[27]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[28].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 2 782 habitants[Note 4], en évolution de −0,96 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4441 2921 3351 3101 5431 5631 6511 9141 924
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9622 0062 1322 0572 1552 2362 2722 1872 042
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0362 0611 9811 9051 8301 6911 6111 6581 704
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6061 5631 4321 8202 2522 3272 4892 5512 672
2014 2019 2021 - - - - - -
2 7902 7892 782------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 418 hommes pour 1 378 femmes, soit un taux de 50,72 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
1,9 
5,2 
75-89 ans
7,1 
14,4 
60-74 ans
14,7 
18,1 
45-59 ans
18,2 
20,5 
30-44 ans
21,7 
18,2 
15-29 ans
18,0 
22,3 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Sur 209 établissements présents sur la commune à fin 2010, 21 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 44 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[36].

On y trouvait par exemple l'entreprise Ve-hotech, fermée en 2019[37].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments classés :

Autres lieux :

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 315-318.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 281-283.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. a et b Célestin Port 1965, p. 318, Caillault (1798) et François Bodet (1799) mentionnés comme agents municipaux.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail Bécon-les-Granits (49), consulté le 18 août 2012.
  2. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Bécon-les-Granitsé (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 18 août 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. « L’IGN calcule la position du centre géographique des 13 nouvelles régions métropolitaines ! »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bécon-les-Granits et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bécon-les-Granits », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bécon-les-Granits ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Célestin Port 1965, p. 315, formes anciennes du nom.
  17. Coutumes du Berry, chapitre XXV, page 45.
  18. Mentionné dans Au plaisir de durer, tome I.
  19. Association famille La Poëze, Histoire de la Famille La Poeze et de la Colaissière, consulté le 14 janvier 2014.
  20. Célestin Port 1874, p. 317, 2e colonne.
  21. Célestin Port 1965, p. 315.
  22. Célestin Port 1965, p. 318, liste des maires jusqu'en 1965.
  23. Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 27.
  24. Ouest-France, Le maire et les adjoints ont été choisis, article du 31 mars 2014.
  25. « Bécon-les-Granits. Marie-Ange Fouchereau réélue », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  26. Insee, Composition de l'EPCI d'Ouest Anjou (244900858), consulté le 8 décembre 2013.
  27. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Bécon-les-Granits, consultée le 15 février 2015.
  28. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  29. « Jumelages », sur Mairie de Bécon-les-Granits, (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bécon-les-Granits (49026) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  36. Insee, Statistiques locales du territoire de Bécon-les-Granits (49), consultées le 5 décembre 2012.
  37. Site de Ve-hotech, Mentions légales, consulté le 8 septembre 2013.
  38. « PORTRAIT. Maine-et-Loire : Catherine Chabaud, de la course au large au Parlement européen », sur Ouest-France, .
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