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Cathédrale Sainte-Marie d'Oloron

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Cathédrale
Sainte-Marie d'Oloron
La cathédrale vue depuis le chevet du XIVe siècle
La cathédrale vue depuis le chevet du XIVe siècle
Présentation
Culte Catholique romain
Dédicataire Sainte Marie
Type Cocathédrale
Rattachement Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron
Début de la construction XIIe siècle
Fin des travaux XIVe siècle
Style dominant Roman
Gothique
Protection Logo monument historique Classée MH (1939)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (1998)
Site web Paroisses la Trinité d'Oloron et Saint Jacques du Piémont
Géographie
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Ville Oloron-Sainte-Marie
Coordonnées 43° 11′ 16″ nord, 0° 36′ 57″ ouest
Patrimoine mondial Patrimoine mondial
Site du Bien Chemins de Compostelle en France
Numéro
d’identification
868-019
Année d’inscription

Carte

La cathédrale Sainte-Marie d'Oloron est une cathédrale située à Oloron-Sainte-Marie, dans le département français des Pyrénées-Atlantiques. Elle est classée monument historique le [1] et inscrite au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1998 au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France[2].

Présentation

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L'église d'Oloron a été détruite en 848 par les Vikings quand ils ont anéanti la cité. C'est au concile de Toulouse (1229) que l'évêché et la cité sont relevés. Le comte Centulle repeuple la ville d'Oloron en 1080. L'évêque Amat pose la première pierre de l'église Sainte-Croix, vers 1080, à l'emplacement d'un ancien édifice.

Vers 1102, le vicomte de Béarn Gaston IV le Croisé décide de construire une nouvelle cathédrale que l'évêque Roger de Sentes commence à bâtir sur la rive gauche du gave d'Aspe. Après sa mort, en 1114, son successeur est Arnaud d'Araux, moine de l'abbaye de Cluny, prieur de Sainte-Foi de Morlaàs. Son successeur, Arnaud d'Izeste, moine de Cluny, prieur de Sainte-Foi de Morlaàs, lui succède jusqu'en 1168. Il reste de cette cathédrale du XIIe siècle le portail roman protégé par le clocher-porche ainsi que des éléments dans le transept.

En 1212, Gaston VI de Béarn a pris le parti du comte de Toulouse. Une bande de routiers favorable au parti albigeois est logée dans la ville. Un des soudards s'est revêtu des habits pontificaux et fait un simulacre de messe et de sermon dans la cathédrale. Ces soudards ont incendié le palais épiscopal et le feu aurait atteint la cathédrale. Dans un concile tenu à Lavaur, le comte de Béarn est tenu pour responsable et excommunié[3]. Le vicomte de Béarn cède en 1215 ses droits seigneuriaux sur l'agglomération Sainte-Marie à l'évêque qui transfère alors le siège épiscopal de la ville haute à la bourgade de plaine[4]. L'évêque de Lescar était qualifié de premier baron du Béarn, l'évêque d'Oloron est le second baron.

L'église est brûlée au XIIIe siècle au cours d'une émeute. La nef est construite au XIIIe siècle. La sacristie actuelle, ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste, est construite à la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle. L'édifice est en partie incendié par la foudre en 1302. Le chœur et le chevet sont reconstruits au XIVe siècle. Deux chapelles latérales voûtées d'ogives à liernes et tiercerons sont ajoutées à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle.

En 1569, à l'arrivée de Montgommery à Oloron, la cathédrale est pillée et ravagée. L'évêque Claude Orégon (ou Claude Régin) doit se réfugier à Mauléon puis Vendôme. Henri IV rétablit le culte catholique dans le Béarn. Arnaud de Maytie est nommé évêque d'Oloron en 1597[5].

La cathédrale est rendue à l'évêque Arnaud de Maytie en 1602. Des travaux de réparations sont faits en 1617, essentiellement dans la nef. La cathédrale est agrandie par l'évêque François de Revol en 1749 par quatre chapelles latérales avec des retables de part et d'autre de la nef et en réalisant un nouveau décor.

Cette cathédrale était le siège épiscopal de l'ancien diocèse d'Oloron, qui a été supprimé en 1802. En 1909, l'évêque de Bayonne relève le titre d'évêque d'Oloron et de Lescar. Le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron compte depuis cette date une église-mère (cathédrale de Bayonne) et deux co-cathédrales (cathédrale d'Oloron et cathédrale de Lescar).

La restauration de l'église a été entreprise à partir de 1859.

L'édifice a été classé au titre des monuments historiques le [1].

En , la cathédrale est victime d'une attaque à la voiture-bélier. Parmi les vols, des habits datant du XVIe siècle appartenant à François Ier, ont été dérobés[6],[7].

Description

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En avant de son portail roman, un massif clocher-porche du XIIe siècle de caractère défensif surmonte une toiture d'ardoise. Le tympan principal est orné d'une descente de croix sculptée.

Portail roman

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L'antique Iluro était située au confluent des gaves d'Aspe et d'Ossau. C'était une station sur la voie romaine menant vers l'Espagne, Jaca et Pampelune, devenue le chemin vicomtal.

Les rois de Castille ont favorisé le développement du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle avec l'aide de l'abbaye de Cluny. Ce chemin passant par Oloron a permis des circulations de styles architecturaux entre l'abbaye de Moissac, la cathédrale romane de Pampelune et Saint-Jacques-de-Compostelle.

Le portail roman est l'œuvre de deux sculpteurs que l'on distingue par leur technique. L'un d'eux est appelé le maître d'Oloron. Avec son atelier, il a œuvré sur les chemins de Compostelle, notamment à Santa Maria de Uncastillo[8].

Le tympan de la cathédrale d'Oloron est original dans son iconographie et son style. Le thème principal de la descente de croix du Christ est très rare dans une église à cet emplacement[9]. Cette représentation reprend le récit de la mort du Christ donné dans l'Évangile selon Jean :

  • Jn 19,25 : « Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait… » ;
  • Jn 19,38-40 : « Après cela, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate la permission de prendre le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Il vint donc, et prit le corps de Jésus. Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d'environ cent livres de myrrhe et d'aloès. »

Autour de la croix, on peut voir à gauche, Marie, mère de Jésus, les mains sur le cœur, Marie, mère de Jacques, baise la main du Christ qui a été libéré, un personnage qui tient le corps du Christ, Joseph d'Arimathie tient des tenailles pour déclouer la main gauche du Christ, et l'apôtre Jean avec une main contre sa joue pour manifester sa douleur profonde. Au-dessus de la traverse horizontale de la croix, deux bustes, qui représentent le soleil et la lune pour rappeler les ténèbres qui se produisent au moment de la mort de Jésus. Au pied de la croix, un chrisme. Sous le chrisme a été sculptée une tête de veau ou de taureau dont l'interprétation n'est pas assurée.

La représentation est proche de celle d'un chapiteau du cloître roman de la cathédrale de Pampelune se trouvant aujourd'hui dans le musée de Navarre[10].

Jacques Lacoste a proposé de dater le début de la réalisation des sculptures du tympan principal de la deuxième décennie du XIIe siècle. Il voit une parenté avec les reliquaires en ivoire de San Millán de la Cogolla, celui de San Millán réalisé vers 1060, et celui de San Felices datant de 1090.

Reliquaire de San Millán de Yuso
Reliquaire de San Felices

Les petits tympans sont des réfections de la fin du XIXe siècle. Jacques Lacoste a signalé la présence de plaques de marbre sculptées dans les murs intérieurs du porche qui pourraient être des restes des sculptures refaites. Elles pourraient représenter Daniel dans la fosse aux lions et l'ascension d'Alexandre le Grand[note 1].

Les sculptures de l'archivolte sont d'un style plus évolué, après la réalisation du portail de Moissac, rappelant la sculpture languedocienne et attentif aux réalisations dans l'Ouest de la France où il a emprunté le thème des vieillards de l'Apocalypse (Ap 4,4) placés de part et d'autre de l'Agneau pascal avec l'inscription « In cruce salus, in cruce vita », ou remplir une voussure d'une série de scènes anecdotiques pouvant être une illustration des saisons réparties autour d'une tête de lion. Il a utilisé les deux thèmes du cavalier traité en ronde-bosse et le lion ou diable androphage de l'ouest de la France. Les sculptures de cette archivolte ont dû être réalisées une vingtaine d'années après le tympan.

Au-dessus de l'archivolte sont représentés deux hommes d'arme regardant une scène ayant disparu qui devait être une résurrection.

Les « atlantes » enchaînés du trumeau du portail ouest.

En partie basse du trumeau, on trouve une sculpture représentant deux hommes enchaînés qui ont été pris pour des atlantes. Cette interprétation a été critiquée car ce thème n'apparaît pas dans les églises au début du XIIe siècle en France et en Italie. Jacques Lacoste propose d'y voir les hommes enchaînés par l'Ancienne Loi attendant la délivrance à la porte de l'Église et non des captifs musulmans selon la tradition locale.

Portail de l'église Sainte-Foy de Morlaàs.

Jacques Lacoste a souligné la ressemblance entre le portail de la cathédrale Sainte-Marie et celui de l'église Sainte-Foy de Morlaàs qui est plus récent et malgré sa réfection totale au XIXe siècle[11].

La chaire à prêcher du XVIIIe siècle a été classée à titre d'objet en 1908[12].

Le trésor est constitué d’objets d’orfèvrerie, d’ébénisterie et de vêtements liturgiques datant des XVIIe et XVIIIe siècles. Il est abrité dans les chapelles latérales nord restaurées et réhabilitées.

  • Du chapier, meuble curieux et imposant du XIXe siècle, présentant une collection d'ornements sacerdotaux du XIVe siècle et XVIIe siècle portés par les évêques d’Oloron comprenant un voile, un manipule, une étole, deux chasubles, trois dalmatiques, deux chapes classés à titre d'objet en 1906[13].
  • Une crèche de Noël à décor et personnages du 1er quart du XVIIIe siècle classée à titre d'objet du XVIIIe siècle en 1908[14].
  • Orfrois[note 2] représentant saint Denis, sainte Barbe, un saint évêque, le voile de la Sainte-Face de Véronique tenu par deux anges datant du XVIe siècle, classés au titre d'objet en 1959[15].
  • Des pièces d’orfèvrerie du XVIe siècle au XIXe siècle[16].

Dans la nuit du au , une partie du trésor (chape donnée par François Ier et objets liturgiques) a disparu à la suite d'un cambriolage à la voiture-bélier[17].

La première travée de la nef et la tribune de l'orgue.

L'orgue a été construit grâce à la générosité de Pierre de Gassion, évêque d'Oloron, entre 1647 et 1652[18].

Le buffet d'orgue a été classé à titre d'objet en 1906[19]. L'orgue est restauré en 1771 suivant les plans de Dom Bédos de Celles. L'orgue est démonté à la Révolution. Aristide Cavaillé-Coll installe en 1870 un orgue dans le buffet du XVIIe siècle. L'instrument a été classé à titre d'objet en 1971[20].

L'orgue a été relevé à l'identique en 1981 par Danion-Gonzalez.

Les transmissions sont mécaniques avec machine Barker au grand orgue.

Composition
Grand-Orgue
54 notes
Principal 16'
Montre 8'
Bourdon 8'
Flûte harmonique 8'
Viole de gambe 8'
Prestant 4'
Octave 4'
Doublette 2'
Plein-jeu harmonique V
Basson 16'
Trompette 8'
Clairon 4'
Récit expressif
54 notes
Flûte traversière 8'
Viole de gambe 8'
Voix céleste 8'
Flûte octaviante 4'
Octavin 2'
Trompette 8'
Basson-hautbois 8'
Voix humaine 8'
Pédale
30 notes
Soubasse 16'
Flûte 8'
Bombarde 16'
Trompette 8'
La Vierge, l'Enfant Jésus et Joseph. E. Thibaud, 1867.

Des vitraux ont été posés au XIXe siècle après la restauration de l'église.

Un vitrail du chevet représente la présentation de Marie au Temple et l'Annonciation.

Un autre, représentant la Vierge Marie, l'Enfant Jésus et saint Joseph, est signé Émile Thibaud, 1867.

Notes et références

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  1. C'est un sujet profane qui remonte à l'Antiquité, familier des ivoiriers de Byzance. Il se retrouve sur un grand nombre de monuments en Italie, en France (sur les chapiteaux de l'abbaye de Conques), sur des églises le long du Rhin. Sur un char, attelé de deux griffons ailés, Alexandre serait monté au ciel selon le récit du Pseudo-Callisthène.
  2. Les orfrois sont des étoffes tissées d’or et dont on se servait pour désigner les parements d’une chape, d’une chasuble.

Références

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  1. a et b « Église Sainte-Marie », notice no PA00084466, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le
  2. Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France: Patrimoine mondial de l'humanité, site de l'Unesco
  3. Laborde 1931, p. 56
  4. Andral 1941, p. 415
  5. Laborde 1931, p. 60
  6. « Pyrénées-Atlantiques : la cathédrale d'Oloron-Sainte-Marie victime d'une attaque à la voiture-bélier »,
  7. Stanislas Poyet, « La cathédrale d'Oloron-Sainte-Marie attaquée à la voiture-bélier », sur Le Figaro,
  8. Bulletin sur l'art médiéval. Centre International d'Art Roman d'Oloron-Sainte-Marie.
  9. Durliat 1974, p. 243
  10. Mora 1992, planche III, fig.6, p. 245
  11. Marcel Durliat, Le portail roman de Morlaàs, p. 55-61, dans Bulletin Monumental, 1978, volume 136, no 1 (lire en ligne)
  12. « chaire à prêcher », notice no PM64000355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  13. « voile, manipule, étole, 2 chasubles, 3 dalmatiques, 2 chapes », notice no PM64000350, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  14. Notice no PM64000353, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  15. « orfroi : saint Denis, sainte Barbe, saint Evêque, voile de Véronique tenu par deux anges », notice no PM64000359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  16. « calice, patène », notice no PM64000349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  17. AFP, « Pyrénées-Atlantiques : la cathédrale d’Oloron-Sainte-Marie cambriolée à la voiture-bélier », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. Association des amis des grandes orgues de Pau : Oloron, cathédrale Sainte-Marie
  19. « orgue de tribune : tribune et buffet d'orgue », notice no PM64000351, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  20. « orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM64000364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

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Bibliographie

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  • Christian de Mérindol, Le portail roman de l’église Sainte-Marie d’Oloron, en Béarn. Nouvelles lectures, p. 57-65, dans Société des sciences, lettres et arts de Pau et du Béarn, 1996, tome 23.
  • Jacques Gardelles, Aquitaine gothique, p. 102-106, Picard, Paris, 1992, (ISBN 2-7084-0421-0).
  • Bernadette Mora, « La sculpture du cloître de la cathédrale de Pampelune et sa répercussion sur l'art roman navarrais », Cahiers de civilisation médiévale, vol. 35, no 139,‎ (lire en ligne).
  • Ruth Bartal, Le programme iconographique du portail roman de Sainte Marie d'Oloron, et son contexte historique, p. 95–124, dans Cahiers de Saint Michel de Cuxa 18, 1987.
  • Marcel Durliat, Victor Allègre, Pyrénées romanes, p. 292-296, Éditions Zodiaque (collection la nuit des temps no 30), La Pierre-qui-Vire, 1978.
  • Marcel Durliat, « Le portail de Sainte-Marie d'Oloron », Bulletin Monumental, vol. 132, no 3,‎ (lire en ligne).
  • Jacques Lacoste, Le portail roman de Sainte-Marie d'Oloron, p. 45-78, dans Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Pau et du Béarn, 1973, no 1
  • Collectif, Dictionnaire des Églises de France, tome IIIA, Pyrénées. Gascogne, p. 98-100, Robert Laffont, Paris, 1967.
  • Victor Allègre, Les vieilles églises du Béarn. Étude archéologique, Imprimerie régionale, Toulouse, 1952.
  • Gabriel Andral, « Oloron-Sainte-Marie », Congrès archéologique de France. 102e session 1939, Société française d'archéologie,‎ .
  • J.-B. Laborde, « L'évêché d'Oloron », Revue historique et archéologique du Béarn et du Pays basque, vol. 14,‎ (lire en ligne).
  • P. Mayeur, Le portail occidental de l'église Sainte-Marie d'Oloron, p. 23-27, dans Revue de l'art chrétien, 1909, tome V.
  • Abbé Lacoste, Cathédrale Sainte-Marie. Portail-porche, p. 359-369, dans Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Pau, 1889, IIe série, tome 18 (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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