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Chermignac

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Chermignac
Chermignac
L'église de Chermignac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Jean-Michel Rouger
2020-2026
Code postal 17460
Code commune 17102
Démographie
Gentilé Chermignacais
Population
municipale
1 266 hab. (2021 en évolution de +0,96 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 03″ nord, 0° 40′ 14″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 68 m
Superficie 13,43 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thénac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Chermignac
Géolocalisation sur la carte : France
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Chermignac
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
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Chermignac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Chermignac
Liens
Site web www.chermignac.fr

Chermignac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Chermignacais et les Chermignacaises[1].

Géographie

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OpenStreetMap
Limite communale.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Chermignac
Pessines Saintes
Chermignac Thénac
Rétaud

Au , Chermignac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle est située hors unité urbaine[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[3]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,8 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), forêts (18,6 %), zones urbanisées (6 %)[6]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chermignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[7]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[8].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chermignac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[9].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 601 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 559 sont en aléa moyen ou fort, soit 93 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[10],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[11].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2002, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[7].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[12].

Le nom du village est lié à la création d'un domaine à l'époque gallo-romaine. Il provient de l'anthroponyme gallo-romain Carminius avec le suffixe -acum. Chermignac représente donc un ancien Carminiacum ou villa Carminii. Selon les toponymistes, « Le village s'est donc développé à partir du domaine gallo-romain de Carminius, un riche propriétaire terrien »[13].

L'homme occupe le site des Barrets dès le Néolithique, puis à la période gallo-romaine, comme en témoignent les tuiles à rebords et céramiques mises au jour.

D'autres vestiges antiques sont retrouvés, notamment un habitat aux fenêtres, un tambour de fût de colonne transformé en margelle de puits, au Puits Mérolé, des monnaies et une pierre funéraire exhumées aux Guillots, là ou la voie romaine de Blaye se divise pour rejoindre Périgueux ou Poitiers via Saintes.

Au XIXe siècle, Adolphe Ménudier fait de son domaine du Plaud une ferme-école et participe activement à la reconquête des sols par la vigne après la crise du phylloxéra.

De 1894 à 1947, la commune est desservie par la ligne de Chemin de fer économique des Charentes, Saintes-Mortagne-sur-Gironde. La ligne présentait un arrêt facultatif à Chadignac et aux Guillots. La gare, toujours présente, est en face des Établissements Bailly sur la route actuelle Saintes-Chermignac[14].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Raymond Chartier    
1971 1983 Marc Touzeau    
1983 1995 Alain Kleinhans    
1995 1996 Gilles Brossard    
1996 En cours Jean-Pierre Sagot DVD Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

La commune de Chermignac appartient au canton de Thénac depuis mars 2015. Avant cette date, elle faisait partie des neuf communes qui composaient le canton de Saintes-Ouest, ce dernier étant issu d'un redécoupage de la carte administrative de 1985 où l'ancien canton de Saintes-Sud, créé en 1801, a été refondu.

Intercommunalité

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Chermignac adhère à la Communauté de communes du Pays Santon dont le siège administratif est situé à Saintes.

De même, la commune appartient au Pays de Saintonge Romane dont le siège est également fixé à Saintes.

Carte représentant la commune de Saintes et ses communes limitrophes
Saintes et ses communes limitrophes (en orangé : Communauté de communes du Pays Santon).

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].

En 2021, la commune comptait 1 266 habitants[Note 2], en évolution de +0,96 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
736788708699788834800772785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
722736668730736721630600590
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
598611581531522479484466437
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4895565878629681 0151 1001 1281 261
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2541 2711 266------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 623 hommes pour 632 femmes, soit un taux de 50,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,15 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,9 
8,2 
75-89 ans
8,3 
24,4 
60-74 ans
25,5 
22,3 
45-59 ans
21,2 
15,7 
30-44 ans
18,6 
12,5 
15-29 ans
9,7 
16,0 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2021 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
10,1 
75-89 ans
12,6 
22 
60-74 ans
23,2 
20,1 
45-59 ans
19,7 
16,1 
30-44 ans
15,6 
15,2 
15-29 ans
12,7 
15,4 
0-14 ans
13,6 

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Au XIIe siècle est construite l'église Saint-Quentin qui relève du chapitre de Saintes. Cet édifice, en grande partie gothique aujourd'hui, possède une cloche de 1601.

L'église Saint-Quentin de Chermignac et la croix hosannière de Chermignac sont classées monuments historiques depuis le 5 novembre 1906.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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  • Arthur André Marie Éveillé (Saintes 1835-Chermignac 1900) Il est l'auteur d'un « glossaire saintongeais ». Il est le beau-frère de Georges Vallein. Son fils André, avocat et auteur d'un livre sur le droit des émigrés en France, sera maire de Chermignac en 1945 (réf : François Julien-Labruyére Dictionnaire biographique des Charentais).
  • Pierre Adolphe Ménudier : né le 28 octobre 1815 à La Tremblade -décédé en 1901 à Chermignac ; agriculteur moderniste ; titulaire de la Légion d'honneur. Après sa carrière de chirurgien de la marine il a habité au domaine familial du Plaud. Il a contribué ou créé entre autres le comité central de lutte contre le phylloxéra (1876), le syndicat général agricole des comices (1886) et sera en 1894 le premier président de la société anonyme du Crédit Agricole de Charente-inférieure. L'école élémentaire de Chermignac porte son nom[21].
  • Hubert Rouger : désit le Jhavasson : agriculteur-viticulteur patoisant né le 13 février 1927 à Chermignac. Auteur de nombreux textes, poèmes, pièces de théâtre et autres animations, il a été récompensé par de nombreux prix dont le premier prix régional UPCP en 2004 et le Conseil régional lui a décerné en 2006 le prix de la meilleure poésie en patois.
  • La famille Vallein : grande famille de Chermignac. Depuis 1792 elle possède un domaine viticole important et a donné à la commune de nombreux maires (voir dans la rubrique administration). Georges sera à l'origine de la construction de la mairie et de l'école et de la rénovation de l'église Saint-Quentin. Paul sera accusé à tort d'avoir fait du commerce avec l'occupant et exécuté par les FTP à Rioux en 1944. Victor (1810-1873) est connu comme journaliste polémiste et l'auteur d'ouvrages régionaux. Il est également l'un des fondateurs de L'Indépendant de la Charente-inférieure. Actuellement le domaine familial existe sous le nom Vallein-Tercinier[22].
  • André Trochut, ancien coureur cycliste français, né le 6 novembre 1931 à Chermignac et décédé le 4 août 1996.

Héraldique

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Blason à dessiner Blason
Parti : au 1er de sinople à la croix hosannière du lieu d'argent, au 2e coupé au I d'argent à la grappe de raisin d'or tigée et feuillée au naturel, au II de gueules au chaudron d'or accosté de deux branches de laurier du même[23].
Détails
Adopté le 8 mars 2021.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saintes », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  7. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chermignac », sur Géorisques (consulté le ).
  8. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  9. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  10. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  11. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chermignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  13. Origine des Noms de Villes et Villages de Charente-Maritime. Jean-Marie Cassagne- Stéphane Seguin. Éditions Jean-Michel Bordessoules
  14. Le patrimoine des communes des Villes de la Charente-Maritime.
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chermignac (17102) », (consulté le ).
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  21. Bernard Aumailley Dictionnaire biographique des Charentais
  22. François Julien-Labruyére et Frédéric Morin, Dictionnaire biographique des Charentais
  23. « Chermignac », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Liens externes

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