Clémentine Ballot
Naissance | |
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Décès |
(à 84 ans) Paris 17e |
Nom de naissance |
Alphonsine Marie Antoinette Clémentine Leroi |
Nationalité | |
Activité | |
Formation |
Cours Fernand Desmoulins |
Mouvement | |
Influencée par | |
Distinction |
1er prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs (1922), Chevalier de la Légion d'honneur (1938), Prix Puvis-de-Chavannes (1950) |
Clémentine Ballot, née à Paris 17e le [1] et morte à Paris 17e le [2], est une artiste peintre française de paysages.
Biographie
[modifier | modifier le code]Alphonsine Marie Antoinette Clémentine Leroi nait à Paris (17e arrondissement) en 1879.
Enfant et adolescente, elle est douée pour le dessin et consacre ses économies de jeune fille à acheter des reproductions de Manet, Monet, Renoir, Sisley, Cézanne et Toulouse-Lautrec[3]. Puis elle se forme au cours de peinture et de dessin de Fernand Desmoulins, avec l'appui de son mari, Jules Gabriel Ballot, rentier, épousé en 1902. Ce dernier l'emmène très vite visiter la Creuse, dont sa famille est originaire. Elle est éblouie par les paysages et travaille à Gargilesse et Fresselines[4], mais aussi en Bretagne Nord à Loguivy, et sur la côte varoise à Agay. Elle rencontre Léon Detroy dans la Creuse et exécute quelques toiles pointillistes sur ses conseils, mais ne veut pas s'enfermer dans cette méthode[3].
Elle est essentiellement peintre de paysages[5], et Soleil levant est une de ses premières œuvres remarquées[6]. Elle expose à Paris dès 1907 au salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs, et dès 1908 au Salon de la Société nationale des beaux-arts, où elle accrochera jusqu'à son décès.
En 1912, elle fait la connaissance d'Armand Guillaumin à Crozant. Celui-ci reconnait son talent déjà formé et l'encourage[7]. Une solide amitié se forme, dont témoigne la correspondance de Guillaumin[8]. La guerre saisit Clémentine Ballot en Bretagne, à Loguivy, mais elle la passera en grande partie à Crozant, avec ses deux jeunes fils, André (né en 1903) et Roger (né en 1904), tandis que son mari est au front, servant comme photographe dans l'armée. Dans la vallée de la Creuse, elle rencontre Eugène Alluaud, Anders Osterlind, Mania Mavro, Georges-Hanna-Sabbagh, Alfred Smith, Francis Picabia, Paul Madeline et Armand Point. Ces artistes logent ou se retrouvent souvent à l'hôtel Lépinat[9] à Crozant.
Elle obtient le 2e prix de l'Union des femmes peintres et sculpteurs en 1913[10].
Clémentine Ballot est rattachée à l'école de Crozant, mais ses séjours dans la Creuse prennent fin en 1918[4], et elle évolue vers une conception plus personnelle et différemment construite du tableau, en procédant à des touches qui résument la forme, tout en gardant la luminosité et la délicatesse de sa première période dans ses paysages. Une partie de la critique lui reproche cependant, dans sa composition des toiles en particulier, de réaliser des « pastiches » de Guillaumin[11].
Après la guerre, tout en résidant à Paris, 97 rue de Monceau, Paris 17e[12], elle part peindre sur le motif plusieurs mois chaque année. De 1920 à 1929, elle se rend principalement aux Andelys, au bord de la Seine. Dès lors, son style évolue vers plus de construction des formes, peut-être sous l'influence de Nicolas Poussin, né en ces lieux[3], et de Paul Cézanne. Elle y rencontre Henri Lebasque, Maximilien Luce, Jean-Eugène Clary, Paul-Émile Pissaro, Albert Lebourg, Signac, et est reçue par Monet[13]. Elle travaille aussi dans les années 1920 dans le Poitou. Dans les années 1930, elle peint dans le Lot, la Dordogne, aux Baléares à Majorque, à Cadaqués en Catalogne, et dans le Midi de la France à Saint-Paul-de-Vence, Saint-Tropez, Bormes-les-Mimosas, Cassis. Elle y réalise aussi de grands fusains des vieux villages de Provence. En 1922, elle reçoit le premier prix de l'Union[10]. En 1924, elle est sociétaire de la Société nationale des beaux-arts.
À partir de 1923, elle expose fréquemment dans les galeries : après celle de Georges Petit, elle expose à la galerie Ecalle, chez Bernheim Jeune en 1936[14], puis notamment à la galerie Contemporaine, chez Marcel Bernheim, à la galerie de l'Institut, à la galerie Saint Placide, et jusqu'en 1963 à la galerie des Orfèvres.
En 1932, elle fait partie du jury de peinture du salon de la Société nationale des beaux-arts[15]. En 1937, elle participe à l'Exposition universelle[5]. Après le décès subit de son mari en 1937, elle peint en Corse. Elle est décorée de la Légion d'honneur le [16] et reçoit le prix Cottet (second prix de peinture de la Société nationale des beaux-arts) en 1944[17]. Elle passe une partie de la Seconde Guerre mondiale à Mollans-sur-Ouvèze, dans la Drôme. De 1945 à 1950, elle se rend notamment dans l'Yonne et à Arcy-sur-Cure. Elle est en 1946 la seule femme membre du Conseil de la Société nationale des beaux-arts[18],[19].
En 1950, Clémentine Ballot est la deuxième femme (après Élisabeth Chaplin en 1927) à recevoir, pour l'ensemble de son œuvre, le prix Puvis-de-Chavannes de la Société nationale des beaux-arts[20]. Dans les années 1950, septuagénaire, elle sillonne la Bretagne. En 1952, elle expose aux Indépendants[21]. Amie du peintre Jean-Eugène Clary et de son épouse, elle reçoit de cette dernière le portrait de Suzanne Valadon à vingt ans, peint par son mari vers 1887, et fait don de cette œuvre en 1956 au musée national d'Art moderne.
Octogénaire, elle peint encore à Menton, pendant l'été 1964, quelque temps avant son décès, à son domicile du 10 rue de Saint-Senoch (Paris, 17e). Elle est inhumée au cimetière des Batignolles[22].
Salons et expositions
[modifier | modifier le code]- 1907 : Lever de soleil à Gargilesse
- 1908 : Entrée de village au soleil couchant
- 1909 : Coucher de soleil en Bretagne[23]
- 1910 : Bords de la Creuse[24]
- 1912 : Sur la côte bretonne (dépôt musée de Senlis)
- 1913 : Après-midi d'été, Matin d'été, Crépuscule et Effet de soleil
- 1916 : Les ruines de Crozant et Les géraniums
- 1917 : L'embouchure du Trieux et La Creuse
- 1918 : Les rochers rouges, Agay et Nature morte
- 1919 : Gelée blanche
- 1920 : Paysage de Creuse
- 1921 : Chaumière bretonne, Brouillard sur la Creuse, La Creuse, Anémones et oranges
- 1922 : Matin d'Octobre, Bords de la rivière, Le moulin, Automne, Brouillard d'Octobre, Matinée d'hiver, Lever de soleil dans le brouillard
Salon de la Société nationale des beaux-arts
[modifier | modifier le code]- 1908 : L'église de Fresselines[25]
- 1914 : Le moulin de la folie, musée Lafontaine, Chateau Thierry
- 1919 : Gelée blanche en Creuse[26]
- 1920 : Moulin sur la Sédelle, Brumes d'Octobre et Matin bleu[26]
- 1921 : Matinée d'automne, La Sédelle, soir, tournant de rivière[26]
- 1922 : Vallée de la Sédelle et Fleurs[26]
- 1923 : Lever de soleil dans le brouillard, Les capucines, et De ma fenêtre, temps gris
- 1924 :
- 1925 : Le bouquet matinal, Les Andelys et Dans le jardin, matin, Les Andelys[27]
- 1928 : L'heure du thé (œuvre reproduite dans l'article)[28]
- 1929 : La femme à la rose[29]
- 1930[30]
- 1931 : Le gué, Angles sur Anglin[27]
- 1932 : Le moulin, Angles sur Anglin[27]
- 1933 : Les bords de l'Anglin[27]
- 1934 : Village provençal et Saint-Paul-de-Vence[31]
- 1936 : Une rue de Cadaquès[32]
- 1937 : Moulin, automne (Angles sur Anglin)
- 1938 : Le port de la Selva, Espagne
- 1939 : Calvi[27]
- 1940 : Vieux quartier à Calvi, Vieille maison et Château de Najac[27]
- 1945 : Avant l'orage, hiver en Drôme[33]
- 1946 : Les bords de l'Ouvèze, printemps en Drôme
- 1948[34]
- 1950 : Aurore et Matin à Cassis[27]
- 1951 : Rocher de la fileuse et les ruines
- 1962 : Printemps, Angle sur Anglin et Le bouquet de la mariée
- 1963 : La fenêtre ouverte
- 1964 : La forteresse de Crozant
- 1965 : Le chemin des chevaliers au lever du soleil
Expositions particulières
[modifier | modifier le code]- 1923 : peintures, Les Andelys, fleurs et paysages, galerie Georges Petit, 1er-15 décembre
- 1928 : Plein air (Les Andelys), galerie Georges Petit, 3-15 novembre (avec René Leverd, René Ligeron, Fernand Bivel et Jandon)[35]
- 1931 : Peintures, galerie Ecalle, Paris, 16-28 novembre
- 1933 : galerie Ecalle[36]
- 1936 : Paysages de France et d'Espagne, galerie Bernheim-Jeune, 16 mars-18 avril (avec Lucien Simon)[37]
- 1939 : Dessins et peintures (Corse et Provence), galerie Contemporaine, 10 février-1er mars[38]
- 1939 : Maison des intellectuels
- 1952 : Cinquante ans de peinture, galerie Marcel Bernheim, Paris
- 1954 : Galerie Marcel Bernheim
- 1959 : Dessins et aquarelles, galerie de l'Institut, 23 mai-6 juin
- 1960 : Peintures, galerie Saint-Placide, Paris, 6-19 mai
- 1963 : galerie des Orfèvres, 23 avril-12 mai (essentiellement des toiles peintes à Crozant entre 1912 et 1918)[39]
Autres expositions
[modifier | modifier le code]- 1929 : Exposition 12 artistes normands, 13 avenue de la Grande Armée, Paris[40].
- 1930 : Exposition Les peintres de la vallée de la Creuse, salle du Petit Parisien, 118 Avenue des Champs-Elysées, 23-30 mai.
- 1937 : Exposition internationale des arts et des techniques appliqués à la vie moderne : Le Vieux Malaucène (Vaucluse).
- 1937 : Exposition universelle.
- 1951 : Exposition "Montagnes", Galerie Vibaux, Paris, 27 octobre-11 novembre.
- 1952 : Salon des indépendants : Automne en Bourgogne et Paysage des Hautes-Pyrénées[21].
Expositions rétrospectives
[modifier | modifier le code]- 1965 : Clémentine Ballot, impressionist paintings and drawings, Madden Galleries, Londres
- 1966 : Lincoln Association Art Centre, Lincoln, Royaume-Uni
- 2022-2023 : Clémentine Ballot, femme impressionniste, Hôtel Lépinat, Centre d'interprétation du patrimoine des peintres de la vallée de la Creuse, Crozant[41]
- Exposition Armand Guillaumin et ses amis, château de Gargilesse[42]
Œuvres dans les collections publiques
[modifier | modifier le code]- En Allemagne
- En Algérie
- Aux Pays-Bas
- En Espagne
- En France
- Ajaccio, musée Fesch : Vieilles maisons du port de Cadaquès[44]
- Albi, musée d'Albi : Avant l'orage, Petit Andely[45]
- Almont-les-Junies (Aveyron), mairie : L'Ilette au Cap d'Antibes[46]
- Bayonne, musée de Bayonne : peinture[45]
- Bordeaux, musée de Bordeaux : Vieilles maisons sur l'Aveyron à Saint-Antonin[45]
- Chartres, musée de Chartres : Soucis à la fenêtre, Les Andelys[45]
- Châtenay-Malabry, mairie : Le jardinier, achat de la ville de Paris en 1932[47]
- Dreux, mairie : Moulin sur la Sédelle, achat de l'État en 1913[48]
- Étréchy, atelier Lucien Mariotti : Sur la côte bretonne[49]
- Figeac, mairie : La chapelle des pénitents à Beaulieu sur Dordogne
- Les Andelys, Hôtel de ville : La femme en rose
- Limoges, musée des beaux-arts : Village au bord de l'eau[50]
- Locronan, musée de Locronan : Marée basse[45]
- Luxeuil, musée Jules Adler : Les ruines de Crozant au printemps[45]
- Montauban, musée Ingres : La Seine au Petit-Andelys, huile sur toile[51]
- Muret (Haute-Garonne), mairie : La Chartreuse de Valdemossa à Majorque[52]
- Palaiseau, École polytechnique, bibliothèque centrale : Les Bords de l'Ouvèze au printemps, achat de l'État à l'artiste en 1949, dépôt du FNAC
- Paris, ministère de la Défense, croiseur-cuirassé Jules Michelet : Fleurs à contre-jour, achat de 1923[53]
- Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Pompidou : Aurore, Prix Puvis-de-Chavannes, grand prix de la Société National des Beaux-Arts 1950, achat de l'État en 1954[54]
- Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Pompidou : Puerto de la Selva[55]
- Paris, Petit Palais : Les bords de la Sédelle, Crozant, achat de la ville de Paris en 1921[47]
- Paris, Petit Palais : L'église de Cadaquès, achat de la ville de Paris en 1936[47]
- Paris, Assemblée nationale : Les Platanes, achat de l'État en 1925[56]
- Paris, ministère de l'Éducation nationale, de la recherche et de la technologie, Office du baccalauréat : Cadaquès Catalogne[57]
- Paris, Ministère de la Défense : Fleurs à contre-jour, huile sur toile, à l'origine au musée de Rouen[58]
- Perpignan, musée de Perpignan : La Gartempe à Montmorillon, Vienne[47]
- Poitiers, musée de Poitiers : Les bords de l'Anglin, ville basse[45]
- Rodez, préfecture de l'Aveyron : Le Village d'Arcy en automne[59], La Vallée de la Sédelle, Crozant[60]
- Les Sables-d'Olonne (Vendée), mairie : Marée basse à Doëlan, achat en 1959[61]
- Saint Denis de la Réunion, Préfecture : barques de pêcheur, Cadaquès, achat de l'État en 1947[62]
- Senlis, musée d'Art et d'Archéologie : Sur la côte bretonne (Loguivy), achat du Ministère de la Guerre, 1912, dépôt du CNAP[63]
- Localisation inconnue : En barque, Les Andelys, achat de la ville de Paris en 1930[47]
- Localisation inconnue : Avant l'orage, hiver en Drôme, achat de la ville de Paris en 1949[47]
- Localisation inconnue : Le port de Sainte-Marine, la barque bleue, achat de la ville de Paris en 1952[47]
- Localisation inconnue : Le palmier, Seillans, Haut Var, achat de la ville de Paris en 1954[47]
- Localisation inconnue : Nature morte à la langouste, Camaret, achat de la ville de Paris en 1957[47]
- Localisation inconnue : Vieilles maisons du port de Calvi, dessin au fusain, achat de la ville de Paris en 1957[47]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Archives de Paris, 17e arrondissement, acte n°3142 du 20/12/1879, vue 9/16.
- Archives de Paris, 17e arrondissement, acte n°1555 du 17/11/1964, vue 17/31.
- Maximilien Gauthier, Clémentine Ballot, Paris, Les Gémeaux, .
- Amédée Carriat, Dictionnaire bio-bibliographique des auteurs du pays creusois et des écrits le concernant, des origines à nos jours, 2e fascicule : B-D, Aubusson, Imprimerie Marchoise, (ISBN 978-2-307-34856-6, lire en ligne), p. 130.
- (en) « Ballot, Clémentine - Painter », notice du Dictionnaire Bénézit référencée dans la base Oxford Index.
- Charmet 1965.
- Tiphaine Hirou, « Clémentine Ballot et Armand Guillaumin : Histoire d’une amitié », sur Sites culturels et touristiques du Pays Dunois, .
- (en) Christopher Gray, Armand Guillaumin, Chester, Connecticut, USA, The Pequot Press, , 243 p..
- Aujourd'hui devenu un centre d'exposition.
- Catalogue du salon de l'Union des femmes peintres et sculpteurs 1926.
- L'Œuvre du 20 février 1923 sur Gallica.
- Colonial Library, Leiden University Libraries Exposition internationale de 1937.
- (en) Max Wykes-Joyce, Clémentine Ballot, impressionist paintings and drawings, Londres, Madden galleries, .
- « Clémentine Ballot », sur universdesarts.com.
- L'Intransigeant du 28 mars 1932 sur Gallica.
- « Cote 19800035/579/65719 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- La Croix du 20 mai 1944 sur Gallica.
- Son fils André, avocat, en est alors conseiller juridique.
- Catalogue du salon de la Société Nationale des Beaux-Arts 1946 sur Gallica.
- « Prix Puvis de Chavannes », sur www.nationaledesbeauxarts.com.
- Catalogue de la 63e exposition de la Société des artistes indépendants 1952 sur Gallica.
- Paris, Cimetière des Batignolles, registres journaliers d'inhumation, 06/05/1964 - 02/07/1965, p.13.
- La Vie illustrée du 12 février 1909 sur Gallica.
- Paris, ancienne Gazette des étrangers du 12 février 1910 sur Gallica.
- Catalogue de l'exposition de la SNBA 1908.
- Archives de l'artiste.
- CV manuscrit, archives de l'artiste.
- Optima du 12 mai 1928 sur Gallica.
- Reproduite dans l'Illustration du 11 mai 1929, numéro de Printemps Beaux-Arts et Tourisme 4497, spécial Salon de Peinture.
- La Croix du 13 mai 1930 sur Retronews.
- Le Temps du 22 mai 1934 sur Gallica.
- Photo dans le Figaro du 29 Avril 1936.
- Indication manuscrite de l'artiste sur photo du tableau.
- Combat du 10 juin 1948 sur Gallica.
- La Renaissance du 27 octobre 1928 sur Gallica.
- Mercure de France du 15 décembre 1932 sur Gallica.
- Mobilier et décoration du 1er janvier 1936 sur Gallica.
- La Croix du 24 février 1939 sur Gallica.
- Mémoires de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques (Creuse) du 1er janvier 1963 sur Gallica.
- Paris-soir du 24 décembre 1929 sur Gallica.
- « L’Hôtel Lépinat expose Clémentine Ballot », La Montagne, (lire en ligne).
- Catalogue de l'exposition Armand Guillaumin et ses amis dans la vallée de la Creuse, Lancosme multimedia.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000051690.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000054907.
- Liste des œuvres dans les collections publiques, archives de l'artiste.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000025997.
- Liste des œuvres achetées par la ville de Paris, archives de l'artiste.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000062456.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000062093.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n°D15-000885.
- « La Seine au Petit-Andelys », notice no 06070002849, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000052733.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000046519.
- Catalogue interministériel des dépôts d'œuvres d'art de l'État, n° 150000000007681.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-150000000027580.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000046976.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000053773.
- « Fleurs à contre-jour », notice no 00000058228, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000035532.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000062826.
- Catalogue Interministériel des dépôts d'Œuvres d'Art de l'État, n° FNAC-140000000025495.
- Catalogue CNAP n°140000000032764.
- Notice sur le tableau, objet du mois, novembre 2023, site web du musée.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, vol. 1 (Aa-Beduschi), Paris, Gründ, , 958 p. (ISBN 978-2-7000-3010-5, lire en ligne), p. 690.
- Raymond Charmet, Dictionnaire de l'art contemporain, Larousse, , 344 p. (ISBN 978-2-307-51378-0, lire en ligne), p. 25.
- René Édouard-Joseph, Supplément au Dictionnaire biographique des artistes contemporains, Paris, SADAG, , 162 p. (lire en ligne), p. 13-14 & 162.
- Maximilien Gauthier, Clémentine Ballot, Les Gémeaux, 1956.
- (en) Max Wykes-Joyce, (introduction) Clémentine Ballot, impressionist paintings and drawings, Madden, Galleries, Londres, 1965.
- (en) Max Wykes-Joyce, (préface) Impressionnist paintings, pastels, drawings by Pierre Prins & Clémentine Ballot , Lincoln Association Art Centre, Lincoln, 1966.
- (en) Chris Petteys, Dictionary of Women Artists : An international dictionary of women artists born before 1900, Boston, G.K. Hall, , 851 p. (ISBN 978-0-8161-8456-9, OCLC 11316630, lire en ligne), p. 39.
- (de) Hans Vollmer, Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler des XX Jahrhunderts, vol. I (A-D), Leipzig, E.A. Seemann, , 620 p. (lire en ligne), p. 104.
- (de) Saur, Allgemeines Künstlerlexikon - Die Bildenden Künstler aller Zeiten und Völker, vol. 6 (Avogaro-Barbieri), Munich / Leipzig, K. G. Saur, , 680 p. (lire en ligne), p. 500.
Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la vie publique :
- Tiphaine Hirou, « (Re)découvrir Clémentine Ballot », sur Sites culturels et touristiques du Pays Dunois, .
- « Clémentine Ballot, une peintre affirmée », La Montagne, (lire en ligne).