Luc-en-Diois
Luc-en-Diois | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Mellet 2020-2026 |
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Code postal | 26310 | ||||
Code commune | 26167 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lucois, Lucoises | ||||
Population municipale |
565 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 56″ nord, 5° 27′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 501 m Max. 1 245 m |
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Superficie | 23,49 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Die (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Luc-en-Diois est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à 84 km au sud-est de Valence, à 53 km à l'est de Crest et à 18 km au sud de Die.
Montlaur-en-Diois | Menglon | |||
Poyols | N | Miscon | ||
O Luc-en-Diois E | ||||
S | ||||
Beaumont-en-Diois | Lesches-en-Diois |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sites particuliers :
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bellegarde-en-Diois à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Luc-en-Diois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Die, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), terres arables (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), prairies (4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,9 %), zones urbanisées (1,7 %), cultures permanentes (1,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[12] :
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la route départementale 93 (axe de Valence à Gap) et possède une gare sur la ligne de Livron à Aspres-sur-Buëch.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]- 77 : Lucus Augusti (Pline l'Ancien, Naturalis Historia, III, 37)[13],[14].
- 106-109 : Lucus municipium Vocontiorum est (Tacite, Historiae, I, 66)[13],[14].
- 333 : mansio Luco (Anonyme de Bordeaux).
- Ve siècle : Lucus (Table de Peutinger)[13].
- 1159 : castrum de Luco et castellum quod appellatur Luc (cartulaire de Die, 17)[13].
- 1165 : castrum de Luc (cartulaire de Die, 6)[13].
- 1178 : mention du mandement : mandamentum de Luco (cartulaire de Die, 1)[13].
- 1201 : castrum Luci (Valbonnais, I, 122)[13].
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Luco (pouillé de Die)[13].
- XVIe siècle : mention de la paroisse : capella de Luco (pouillé de Die)[13].
- 1509 : mention de l'église : ecclesia parrochialis Beate Marie de Luco (visites épiscopales)[13].
- 1516 : mention de la paroisse : cura de Luco (pouillé de Die)[13].
- 1788 : Luc (Alman. du Dauphiné)[13].
- 1891 : Luc-en-Diois, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Die[13].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Plusieurs hypothèses :
- Lucus serait le mot latin pour désigner un bois sacré : Lucus Augusti (« Bois sacré d'Auguste »).
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Luc-en-Diois et Vaison-la-Romaine sont les deux capitales de la cité de la tribu gauloise des Voconces.
Les fouilles ont révélé les restes d'un grand temple, construit sur le même modèle que le temple d'Auguste et de Livie de Vienne. Un bras de statue monumentale (plus de 4 m de haut) et de nombreuses inscriptions sont visibles au musée de Die et du Diois.
Vestiges romains : autel octogonal orné, murs gallo-romains, monnaies[15].
Pour des raisons inconnues, la capitale des Voconces est transférée vers Die au début du IIe siècle.
Peu à peu, la ville va se dépeupler. L'itinéraire appelé l'Anonyme de Bordeaux la cite en 333 comme mansio Luco sur la voie romaine. Un fortin est installé à la même époque au sommet du pic de Luc[16], afin de surveiller la voie stratégique passant par la vallée de la Drôme, entre la Durance et le Rhône. Cette voie est la plus praticable en hiver pour relier Milan à Cologne sur le Rhin où combattent les armées romaines.
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[13] :
- Au point de vue féodal, Luc-en-Diois était une terre (ou seigneurie) du patrimoine des anciens comtes de Diois.
- Dès le XIIe siècle : elle est hommagée aux évêques de Die.
- Vers 1225 : la terre passe (par mariage) aux Agoult.
- XVIe siècle : elle est appelée baronnie.
- 1540 : elle passe aux Lhère de Glandage.
- Elle passe (par mariage) aux La Baume-Suze.
- 1705 : la terre appartient aux Gilbert de Sallières.
- La moitié passe (par mariage) aux Morard.
- Les Morard acquièrent l'autre moitié. Ils sont les derniers seigneurs.
En 1442, une partie du Pic de Luc, la montagne dominant le village, se détache du flanc opposé au village et se brise en blocs énormes, barrant la Drôme en amont de l'agglomération. L'amas rocheux reçut le nom de Claps[17]. Ainsi se formèrent deux lacs, l'un — le Grand Lac (5 km de long environ, 300 hectares de surface) — en amont de la montagne, et l'autre au pied du Pic de Luc, le Petit Lac (6 hectares)[réf. nécessaire].
L'assèchement du Grand Lac par le percement du « saut de la Drôme », commencé avant la Révolution et continué après, provoqua plusieurs procès entre les chartreux, propriétaires des terres, et les habitants qui utilisaient les atterrissements (zones du lac naturellement comblées par la Drôme) comme pâturages et pour s'approvisionner en saules et broussailles[18].
Avant 1790, Luc-en-Diois était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à la Vierge Marie, était celle d'un prieuré de bénédictins de la filiation d'Aurillac, connu dès le XIVe siècle, et dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes[13].
Le mandement de Luc-en-Diois comprenait la commune de ce nom et peut-être celle de Miscon[13].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, Luc-en-Diois devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Barnave, Jansac, Luc-en-Diois, Miscon, Montlaur, Montmaur, Pennes, Poyols et Recoubeau. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) distrait de ce canton la commune de Montlaur mais y adjoint en retour onze communes (Aucelon, la Bâtie-Cramezin, la Bâtie-des-Fonts, Beaurières, Beaumont, Charens, Fourcinet, Jonchères, Lesches, le Pilhon et les Prés)[13].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Luc-en-Diois était le chef-lieu du canton. À la suite du redécoupage des cantons du département, la commune fait désormais partie du canton du Diois[21].
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]En 2021 , la commune de Luc-en-Diois comptait 565 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]- École primaire / crêche
Santé
[modifier | modifier le code]- Maison de santé, pharmacie, osthéopathe
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête : troisième dimanche de juillet[15].
Loisirs
[modifier | modifier le code]- Pêche[15].Camping Piscine Tennis Jardin public Boulodrome
Sports
[modifier | modifier le code]- Luc-en-Diois est un des plus anciens sites d'envol pour le parapente. Le championnat de France 1991 se déroula sur le site du Clamontard du 25 au [24].
- Une via ferrata : « le Claps »[25].
Médias
[modifier | modifier le code]- RDWA studio radio107.1FM/Espace de vie sociale
Cultes
[modifier | modifier le code]- Protestant
- Catholique
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : vignes (vins AOC Châtillon-en-Diois et Clairette de Die), pâturages, lavande, noix[15].
- Foire mensuelle sauf en juillet et août[15].
Hydroélectricité
[modifier | modifier le code]Une microcentrale hydroélectrique est implantée sur le cours de la Drôme au débouché du Claps. Elle est construite entre 1922 et 1924[26]. Sa production annuelle varie du simple au triple en fonction du débit de la rivière.
Année | Production (MW/h) |
---|---|
2014 | 2366 |
2015 | 1413,5 |
2016 | 1016 |
2017 | 1256 |
2018 | 3421 |
2019 | 1909 |
2020 | 1473 |
2021 | 1673,5 |
Artisanat d'art
[modifier | modifier le code]- Poterie[15].Artisan du vitrail / Galerie d art
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Station climatique d'été[15].
- Station verte[15].Musée de la bourrellerie. Collection de fossiles de l abbé Froment.
- Parcours photographique et historique du village
Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église catholique (néo-roman du XIXe siècle)[15], dédiée à la Sainte-Vierge.
- Chapelle protestante.
-
Église de la Sainte-Vierge.
-
Chapelle protestante.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Salle des fêtes des Voconces : salle polyvalente de 200 places
- Petit théâtre datant de 1927
- Bibliothèque municipale
- Atelier de bourrellerie
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Le Claps, éboulement de roches barrant la Drôme (site inscrit)[15].
- Le Saut de la Drôme : deux cascades[15].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Marcel Granet, sinologue, né le à Luc-en-Diois.
- Georges Saint-Bonnet, homme d’affaires, journaliste, écrivain et haut fonctionnaire puis guérisseur et maître spirituel, né en 1899 dans une famille protestante de la Drôme, mort en 1963 et enterré à Luc-en-Diois dans un cimetière familial à proximité du cimetière municipal.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Luc-en-Diois possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Luc-en-Diois sur le site de l'Institut géographique national (archive) / page archivée depuis 2011.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Luc-en-Diois et Bellegarde-en-Diois », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Die », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 199 (Luc-en-Diois).
- « Lucus - Dictionnaire Gaffiot français-latin - Page 925 », sur lexilogos.com (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Luc-en-Diois.
- J. Planchon, Y. Teyssonneyre, Deux exemples de fortifications romaines dans les Alpes occidentales, Dialogues d'Histoire Ancienne, no 37/1, 2011, p. 61-91.
- Terme occitan clap ou clapas, « bloc de rocher ». La même origine se retrouve dans le mot provençal « clapier » : amoncellement de débris rocheux au pied d'une paroi; éboulis, tas de pierres.
- Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64, mars 1985, p. 20.
- Parrainages d'Edouard Balladur - https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000370850&dateTexte=&categorieLien=id
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Classement du championnat 1991.
- Via ferrata « le Claps » - Récits de passionnés (Impressions, conseils, topo et photos).
- « Microcentrale du Claps », Le Lucois, bulletin municipal no 6, Hiver 2022, p. 4.