Aller au contenu

Musée des Beaux-Arts de Carcassonne

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Musée des Beaux-Arts de Carcassonne
Façade du musée des Beaux-Arts de Carcassonne.
Informations générales
Type
Ouverture
Visiteurs par an
22 653 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Collections
Collections
Localisation
Pays
France
Commune
Adresse
1, rue de Verdun
11000 Carcassonne
Coordonnées
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
La cour intérieure.

Le musée des Beaux-Arts de Carcassonne est un musée d'art situé dans la bastide Saint-Louis à Carcassonne (Aude), en France.

Installé dans l'ancien présidial de la ville, le musée des Beaux-Arts de Carcassonne a été créé en 1836 à l'initiative de personnes passionnées d'art, d'histoire et d'archéologie. En 1876, des travaux d'agrandissement furent entrepris sous la direction de l’architecte Charles Émile Saulnier (1828-1900). La façade actuelle achevée en 1900 a été entièrement restaurée en 2015.

La collection s'est constituée avec cent deux peintures offertes par la « Société des arts et sciences de Carcassonne » en 1845, des dépôts de l'État, de quelques donateurs généreux tels que Casimir Courtejaire (1876, 1880 et 1884) qui avait acquis une partie de la collection du cardinal Joseph Fesch, Alphonse Coste-Reboulh (1892), Chénier et Raynaud (1893), Delteil (1984), Albert Pla (1990) et Cahuzac (1995). Elle provient également de dons de « l'Association des amis de la ville et de la cité »[1] ainsi que de celle des « Amis du musée »[2] ou d'achats par la ville soutenus par le « Fonds régional d'acquisition des musées ». Le musée possède aussi une importante collection archéologique dont certaines pièces sont en dépôt au Musée lapidaire du château comtal géré par le Centre des monuments nationaux[3],[4],[5].

Le musée qui fut fermé de 1942 à 1948, a abrité de 1951 à 1961, une partie de la collection d'œuvres d'art surréalistes du poète Joë Bousquet, dans une salle dédiée à son nom.

Il accueille plusieurs expositions temporaires chaque année, souvent coproduites avec d'autres musées et participe à la Nuit des musées ainsi qu'aux Journées européennes du patrimoine. Il propose une dizaine de conférences annuellement sur l'histoire de l'art et organise des ateliers pédagogiques pour les élèves de la maternelle à l'université. Il figurait à la 77e place sur 334 dans le classement annuel de fréquentation des musées français en 2008 du Journal des Arts[6].

Depuis le , le musée de l'école de Carcassonne, situé dans la Cité médiévale est rattaché au musée des beaux-arts[7].

Les périodes de fermetures liées au confinement national de 2020 et 2021, ont permis la création d'un nouvel espace d'expositions temporaires intitulé « Le petit salon » et la rénovation des salles consacrées aux collections du XXe siècle et XXIe siècle[8],[9].

Collections de tableaux

[modifier | modifier le code]

Le musée est composé de onze salles regroupant les œuvres par période :

  • Salle 1 : XVIe au XVIIe siècle, les écoles française, italienne et espagnole ;
  • Salle 2 : XVIIIe siècle, les écoles française, italienne et autrichienne ;
  • Salle 3 : fin XVIIIe au début XIXe siècle, l'école française, avec notamment le fonds Gamelin et l'orfèvrerie ;
  • Salle 4 : André Chenier, Fabre d'Églantine, et le fonds napoléonien ;
  • Salle 5 : école française et anglaise du XIXe siècle ;
  • Salle 6 : école française du XIXe siècle et faïences françaises ;
  • Salle 7 : écoles hollandaise et flamande, faïences du XVIIIe siècle (Nevers, Marseille, Delph) ;
  • Salle 8 : néo-impressionnisme ;
  • Salle 9 : XXe siècle, l'entre-deux-guerres et l'école de Paris ;
  • Salle 10 : le XXe siècle après 1945 et le XXIe siècle;
  • Salle 11 (René Nelli) : expositions temporaires.

Les œuvres

[modifier | modifier le code]

Les collections du musée sont principalement constituées de peintures datant du XVIe au XXe siècle, notamment peintes par José de Ribera, Salvator Rosa, Mattia Preti, Jan Brueghel l'Ancien, Paulus Moreelse, Jan van Goyen, Cornelis Norbertus Gysbrechts, David Teniers le Jeune, Pierre Mignard, Sébastien Bourdon, Pierre Subleyras, Hyacinthe Rigaud, Jean Siméon Chardin, Hubert Robert, Jean-Auguste-Dominique Ingres, Jean-Baptiste Camille Corot, Gustave Courbet, Léon Germain Pelouse, Albert Marquet

L'extérieur du musée vue de l'angle du square Gambetta et de la rue de Verdun.

Le musée conserve une importante collection d'œuvres de Jacques Gamelin, natif de Carcassonne.

École française du XVIIe siècle
[modifier | modifier le code]
École française du XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]
  • Anonyme premier quart du XVIIIe siècle : Portrait de Guillaume III Castanier[12].
  • Anonyme fin du XVIIIe siècle : Portrait d'André Chénier[13].
  • Henry d'Arles (1734-1784), peintre français connu pour ses marines et des scènes mythologiques, élève de Jean-Joseph Kapeller et de Claude Joseph Vernet : Magasin de blé au bord du Tibre[14] ; Intérieur d'une grande cave[15].
  • Nicolas Bertin (1667-1736), élève de Jean-Baptiste Jouvenet et de Louis Boullogne. Nicolas Bertin reçut le prix de Rome en 1685. Cycle de peintures mythologiques : Acis et Galathée ; Jupiter et Danaë ; Jupiter et Léda ; Persée délivrant Andromède ; Psyché abandonnée par l'Amour.
  • Cazes fils : Portrait de Mme Louis Chénier, née Élisabeth[16] ; Portrait de Mme Louis Chénier en costume grec[17] ; Portrait de Louis-Sauveur Chénier[18] ; La Famille Chénier[19] ; Portrait d'André Chénier[20].
  • Jean Siméon Chardin (1699-1779), considéré comme l'un des plus grands peintres français et européens du XVIIIe siècle, élève de Pierre-Jacques Cazes, surtout reconnu pour ses natures mortes. La Table d'office ou les apprêts d'un déjeuner (1756), célèbre tableau du musée ; son pendant, La Table de cuisine, est conservé au musée des Beaux-Arts de Boston. Il provient de la collection du financier Ange Laurent Lalive de Jully (1725-1779).
  • Pierre-Antoine Demachy (1723-1807), peintre français élève de Giovanni Niccolo Servandoni, spécialiste des peintures de ruines, des décors architecturaux en trompe-l’œil et surtout des vues de Paris : Ruines d'église. Intérieur de l'église des Saints Innocents[21].
  • Jean-Germain Drouais (1763-1788) : Un Jeune guerrier accompagné de son père demande aux dieux le succès de ses armes[22].
  • Pierre Ernou (1665-1735), peintre angevin, surtout connu pour ces portraits : Portrait d'homme[23].
École française du XIXe siècle
[modifier | modifier le code]



École française du XXe siècle
[modifier | modifier le code]
École allemande
[modifier | modifier le code]
  • Otto Brandt (de) (1828-1892), peintre allemand. De 1850 à 1852, il travailla comme illustrateur à Berlin. De 1850 à 1856, il participa aux expositions de l'Académie de Berlin. Vers 1853, il se rendit à Paris où il étudia dans l'atelier de Léon Cogniet. Basé à Rome en 1854, Brandt travailla principalement en tant que peintre de paysages et de paysages : Paysanne avec enfant.
  • Christian Seybold (1695-1768), peintre baroque allemand, célèbre pour ses portraits : Autoportrait.
École italienne
[modifier | modifier le code]
École hollandaise
[modifier | modifier le code]
  • Quirijn van Brekelenkam (1622-1669) : L'Oraison.
  • Anthonie Jansz. van der Croos (1606-1662), peintre néerlandais du siècle d'or connu pour ses paysages de rivières, de forêts, avec en arrière-plan des villages, des châteaux, des palais ou des tours. Son œuvre est influencée par Jan van Goyen : Vue de la ville de Leyde.
  • Henry Ferguson (1665 - 1730) est un peintre du Siècle d'or néerlandais ; fils et élève de William Gouw Ferguson. Il est mort à Toulouse :Paysage avec bergère et troupeau dans des ruines antiques
  • Barend Graat (en), peintre néerlandais d'histoire et de retables, de paysages et de portraits à l'âge d'or. Il est également connu comme graveur et dessinateur : Portrait de famille dans un paysage.
  • Dirck Hals (1591-1656), peintre néerlandais des Provinces-unies du siècle d’or. Frère cadet de Frans Hals, il a surtout réalisé des scènes de genre : Scène galante.
  • Joris van der Haagen (1615-1679), peintre néerlandais du siècle d'or. Il est connu pour ses peintures de paysages : Environs d'Arnhem.
  • Abraham Hondius (1631-1691) : Chasse à l'ours.
  • Jan van Huijsum (1682-1749) peintre néerlandais réputé d’histoire, de portraits, de batailles, de marines ou de fleurs : Fleurs et fruits (dépôt du Musée des beaux-arts de Pau)
  • Jan Lagoor (en) (1620-1660), né à Gorinchem mais installé à Haarlem en 1645, où il est devenu membre de la guilde de Saint Luc de Haarlem. En 1649, il était membre de la guilde et, au cours des années 1645-1651, membre du Haarlem schutterij. En 1653, il s'installe à Amsterdam. Il est déclaré en faillite en 1659 et quitte la ville : Paysage boisé.
  • Nicolas Maes (1634-1693), peintre hollandais connu pour ses scènes de genre intimes et ses portraits, élève de Rembrandt: Enfant et triton. Œuvre récupérée à la fin de la seconde guerre mondiale, déposée par l'État 1954 ; en attente de sa restitution.
  • Paulus Moreelse (1571-1638) peintre et architecte néerlandais du siècle d'or ; élève du portraitiste de Delft Michiel Jansz. van Mierevelt: Madame Van Schurman[86].
  • Aernout van der Neer (1603-1677) : Village hollandais au bord d'un canal.
  • Jan van Goyen (1596-1656) Marchand d’art, peintre et dessinateur de paysages néerlandais du siècle d’or; Élève d’Esaias Van de Velde l'Ancien : Ferme au bord de la mer.
  • Martinus Schouman (en) (1770–1848), peintre du nord des Pays-Bas, élève et petit-neveu d'Aert Schouman, il est connu pour ses marines et ses paysages et a été membre de la Société royale des beaux-arts de Bruxelles : Marine.
  • Cornelis van Spaendonck (1756-1839), peintre néerlandais originaire de Tilbourg, élève de Guillaume-Jacques Herreyns. Il a dirigé un temps la manufacture de porcelaine de Sèvres. Il est surtout connu pour ses natures mortes de fleurs.
  • David Teniers l'Ancien (1582-1649), peintre flamand et marchand de tableaux. Il est le frère de Juliaen Teniers, père de David Teniers le Jeune et le grand-père de David Teniers III. Il doit sa renommée à ses représentations du terroir et des paysages anversois : Intérieur hollandais; Le Cabinet d'un alchimiste.
  • David Teniers le Jeune (1610-1690), peintre, graveur, dessinateur, miniaturiste et copiste flamand, particulièrement connu pour avoir développé le genre paysan et pour ses scènes de genre : Les Bûcherons.
  • Willem van de Velde le Jeune (1633-1707), peintre flamand de marines, il est le fils de Willem van de Velde l'Ancien, autre peintre de marines, et l'élève de Simon de Vlieger : Marine[87].
  • Nicolaas Verkolje (1673-1746), graveur en manière noire et peintre néerlandais : L'Amour endormi auprès de Vénus.
  • Jacob de Wet (1610-1672), peintre néerlandais du siècle d'or. Il est connu pour ses portraits de personnages bibliques et ses peintures de paysages : Nativité.
  • Domenicus van Wijnen (1661-1695), peintre de l'âge d'or néerlandais, élève de Willem Doudijns (en) à La Haye. Il a vécu à Rome de 1680 à 1690. Il était spécialisé dans les allégories historiques : Le Rajeunissement des nourrices de Bacchus.
École des Flandres
[modifier | modifier le code]
  • Nicasius Bernaerts (1620-1678), peintre flamand animalier et de nature morte. Élève de Frans Snyders, il fut le maître d'Alexandre-François Desportes : Gibier de plumes sur un rebord de pierre[88] ; Bataille de chiens et de chats.
  • Jan Brueghel l'Ancien (1568-1625), peintre baroque flamand. Maître de la Guilde des peintres de Saint-Luc à Anvers, il collabore à de nombreuses peintures avec Pierre-Paul Rubens : Paysage avec personnages[89].
  • Frans Francken II (1581-1642), peintre flamand des Pays-Bas. Connu essentiellement par ses tableaux de petites dimensions traitant souvent de sujets mythologiques, allégoriques et de scènes historiques et religieuses : Les 7 Œuvres de miséricorde[90].
  • Cornelis Norbertus Gysbrechts (vers 1630-après 1675), peintre flamand actif dans la deuxième moitié du XVIIe siècle et spécialisé dans les natures mortes et les trompe-l'œil : Nature morte, trompe-l'œil[91].
  • Philipp Ferdinand de Hamilton (1664-1750), peintre flamand actif à la cour de Vienne jusqu'à sa mort : Attributs de chasse[92].
  • Jacob Jordaens (1593-1678), peintre et graveur flamand : La Tentation de Madeleine[93].
  • Alexander Keirincx (1600-1652) : Le Repos des nymphes[94].
  • Jan Baptist Lambrechts (1680-1732), peintre flamand principalement connu pour ses scènes de genre de buveurs, de cuisiniers, de domestiques, de vendeurs de légumes et de paysans dansants : Scène dans un cabaret[95].
  • Michiel Jansz. van Mierevelt (1567-1641) peintre du siècle d'or hollandais, il acquit grand succès dans le genre des portraits environ 500 œuvres lui sont attribuées : Portrait d'homme ; Portrait de femme.
École espagnole
[modifier | modifier le code]
École anglaise
[modifier | modifier le code]

Archéologie

[modifier | modifier le code]
  • Dauphin en grès de Pezens provenant de l'ancienne fontaine monumentale construite en 1676 sur la place Carnot à Carcassonne[97].
  • Emblème de la ville basse de Carcassonne à l'effigie de l'agneau pascal en pierre calcaire du XIVe siècle[98].

Arts décoratifs

[modifier | modifier le code]

Le musée présente une collection d'objets comprenant des pendules à musique et surtout un ensemble de faïences de Moustiers, de Marseille et de Delft.

Orfèvrerie
[modifier | modifier le code]

Deux vitrines présentent une collection de pièces d'orfèvreries civiles du XVIIIe siècle, principalement locale (Toulouse, Limoux, Carcassonne…), dont certaines sont estampillées des maîtres-orfèvres : Louis Ier Samson (1692-1752), Jean-Louis Duran (1715-1785), Etienne Siffren-Marrel (XVIIIe siècle), Philippe Aribaud (1736-1788), François Raffin (1746-1798), Claire Bertrand (seconde moitié du XVIIIe siècle)[99] ou Jean-Pierre Aribaud I (1719-1761) et II (1758-1820)[100].

Fonds du Premier Empire

[modifier | modifier le code]

Le musée possède un fonds napoléonien légué en partie par la famille du baron Guillaume Peyrusse, trésorier de l'Empereur et par son frère André, secrétaire du général Kléber. Découverte dans ses réserves en 2011, il présente la longue-vue, dont se servit Napoléon Ier sur le brick l'Inconstant pendant son retour de l'Île d'Elbe pour s'assurer de la marche d'une partie de sa flottille dans la nuit du au , avant les Cent-Jours[101],[102],[103],[104]. Il expose également le poignard de Souleyman el-Halaby avec lequel le général Kléber fut assassiné en Égypte en 1800[105],[106].

Expositions temporaires

[modifier | modifier le code]

Le Petit Salon

[modifier | modifier le code]

Espace particulier intimiste, installé au cœur du musée pour explorer les œuvres issus des collections, et d'ailleurs, autour d'un artiste, accompagné d'une publication.

Conservateurs

[modifier | modifier le code]
  • Jacques-François Gamelin (1774-1871), conservateur de 1836 à 1862.
  • Jean Jalabert (1815-1900), conservateur de 1862 à 1888.
  • Émile Roumens (1825-1901), conservateur de 1894 à 1901.
  • René Nelli (1906-1982), conservateur de 1947 à 1964.
  • René Descadeillas (1909-1986), conservateur de 1964 à 1980.
  • Camille Viguier, conservateur de 1980 à 1987.
  • Jean-François Mozziconacci, conservateur de 1987 à 1992.
  • Marie-Noëlle Maynard, conservateur en chef de 1992 à 2017[119].
  • Emilie Frafil, assistante de conservation par intérim de 2017 à 2018.
  • Nadége Favergeon, attachée de conservation de 2018 à 2019[120].
  • Émilie Frafil, attachée de conservation, depuis le .

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Laurent Coste, « Carcassonne. Les Amis de la Ville et de la Cité ont acquis un tableau de Gamelin », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  2. N.D, « Carcassonne. Le Musée acquiert deux nouvelles œuvres », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  3. Sylvain Demarthe, « Un espace d’exposition figé : le cas du musée lapidaire de Carcassonne* », sur revue-exposition.com, (consulté le ).
  4. Collectif - de Bonnefoy, Congrès archéologique de France, visite du musée et de la bibliothèque de Carcassonne, Paris, Éditions Derache, , 409 p., p. 152 à 156
  5. Société française d'archéologie - Jules de Lahondès, Guide du congrès de Carcassonne - Le musée, Caen, Henri Delesques, , 156 p., p. 49 à 54
  6. Christian Aniort, « Carcassonne. La nuit des musées : près d'un millier de visiteurs attendus », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  7. Christian Aniort, « Carcassonne. Le «Musée de l'Ecole» municipalisé », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  8. Lionel Ormières, « Carcassonne : malgré la fermeture, ce n'est pas l'ennui au musée ! », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  9. Laurent Rouquette, « Carcassonne : deux ou trois excellentes raisons de revenir au Musée des Beaux-Arts », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  10. « Acis et Galathée », notice no 04400001284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  11. « Marais boisé », notice no 04400000555, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  12. « Guillaume III Castanier », notice no 04400001141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  13. « Portrait d'André Chénier », notice no 04400001220, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  14. « Magasin de blé au bord du Tibre », notice no 04400000527, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  15. « Intérieur d'une grande cave », notice no 04400000526, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  16. « Portrait de Mme Louis Chénier, née Élisabeth », notice no 04400000533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  17. « Portrait de Mme Louis Chénier en costume grec », notice no 04400000534, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  18. « Portrait de Louis-Sauveur Chénier », notice no 04400000538, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  19. « La Famille Chénier », notice no 04400000242, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  20. « Portrait d'André Chénier », notice no 04400000537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture;
  21. « Ruines d'église. Intérieur de l'église des Saints Innocents », notice no 04400001152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  22. « Un Jeune guerrier accompagné de son père demande aux dieux le succès de ses armes », notice no 04400001289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  23. « Portrait d'homme », notice no 04400001291, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  24. Une salle du musée porte son nom. Son buste par Alexandre Falguière est exposé dans le hall d'entrée de la rue de Verdun.
  25. « L'Évanouissement », notice no 000PE001230, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  26. « Abraham visité par trois anges », notice no 04400001308, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  27. « Bataille des roches rouges », notice no 04400004834, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  28. « Choc de cavalerie an VIII », notice no 04400001328, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  29. « Choc de cavalerie 1 », notice no 04400001337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  30. « Choc de cavalerie 2 », notice no 04400001336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  31. « Étude de tête de vieillard », notice no 04400000992, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  32. « L'Ensevelissement de saint Laurent », notice no 04400001320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  33. « La Mort de Socrate », notice no 04400001321, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  34. « Le Golgotha », notice no 04400001332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  35. « Le Mariage de Tobie et de Sara », notice no 04400001309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  36. « Scène de beuverie », notice no 04400001343, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  37. « Scène de corps de garde », notice no 04400000261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  38. « Scène d'intérieur », notice no 04400001307, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  39. « Les Vestales », notice no 04400000252, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  40. « Le Miracle de Bolsena », notice no 04400001325, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  41. « Alexandre et Diogène », notice no 04400000258, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  42. « Portrait de Mlle Julie de Puymaurin Marcassus », notice no 04400000232, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  43. « Portrait de femme », notice no 04400008012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  44. « Régulus sort de Rome pour se rendre à Carthage », notice no 04400000248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  45. « L'Enfant malade », notice no 04400001345, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  46. « Étude de tête d'homme », notice no 04400001294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  47. « Samson et Dalila », notice no 04400001301, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  48. « Paysage », notice no 04400000343, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  49. « Portrait de Mme Nicolas de Poulhariez », notice no 04400000376, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  50. « François Ier Castanier », notice no 04400000559, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  51. « Guillaume IV Castanier », notice no 04400000562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  52. « Paysage aux grands rochers », notice no 04400000563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  53. « Portrait de Madame Pierre II Poulhariez et de sa fille », notice no 04400000567, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  54. « Portrait de Philippe Fabre d'Églantine », notice no 04400000569, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  55. « La Pêche au flambeau », notice no 04400000584, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  56. « Paysage à la cascade », notice no 04400000570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  57. Maynard, p. 74.
  58. Jean-Roger Soubiran, Denise Jasmin, Jean-Jacques Gloton, Jacques Foucart, Jean-Claude Lesage et al. (préf. François Trucy et Pierre Perruchio), Le musée a cent ans, Musée de Toulon, , 450 p., 32 × 23,5 cm (ISBN 2-905076-29-1), p. 396.
  59. Maynard, p. 76.
  60. Maynard, p. 77.
  61. Maynard, p. 78.
  62. Maynard, p. 80.
  63. Maynard, p. 81.
  64. Maynard, p. 83.
  65. Maynard, p. 85.
  66. Maynard, p. 86.
  67. Tende étant alors encore en Italie.
  68. Maynard, p. 88.
  69. Maynard, p. 91.
  70. Maynard, p. 94.
  71. Maynard, p. 96.
  72. « Le Dernier des mérovingiens », notice no 04400000403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  73. Maynard, p. 98.
  74. Bruno Huet, « Albert Sarraut ne repose pas à Carcassonne mais à Bram », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  75. Maynard, p. 100.
  76. Maynard, p. 101.
  77. « 156 nouvelles œuvres pour les Beaux-Arts », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  78. « Repos de la Sainte Famille pendant la fuite en Égypte », notice no 04400000361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  79. « Cascade de Terni », notice no 04400000402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  80. « Voyageurs attaqués par des voleurs à l'entrée d'un bois », notice no 04400002879, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  81. « Paysage », notice no 04400002878, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  82. « Nature morte au tapis », notice no 04400000736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  83. « Le Reniement de saint Pierre », notice no 04400004284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  84. « Le Muletier », notice no 04400003077, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  85. « La Femme du muletier », notice no 04400003076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  86. « Madame van Schurman », notice no 04400000233, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  87. « Marine », notice no 04400000311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  88. « Gibier de plumes sur un rebord de pierre », notice no 04400000322, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  89. « Paysage avec des personnages », notice no 04400000349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  90. « Les 7 œuvres de miséricorde », notice no 04400000328, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  91. « Nature morte, trompe-l'œil », notice no 04400000243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  92. « Attributs de chasse », notice no 04400000372, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  93. « La Tentation de Madeleine », notice no 04400000378, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  94. « Le Repos des nymphes », notice no 04400000338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  95. « Scène dans un cabaret », notice no 04400000349, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  96. « Corbeille de fleurs », notice no 04400000393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
  97. Elisa Flory, « Ils sauvent un triton du XVIIe siècle », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  98. Françoise Sarret, « Carcassonne - Inventaire des collections médiévales du Musée des Beaux-Arts », sur persee.fr, (consulté le ).
  99. Claudia Dicristofalo, « Carcassonne. Deux pièces d’orfèvrerie et un Gamelin pour les Beaux-Arts », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  100. A.V., « Carcassonne. Un bougeoir à main sous vitrine », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  101. Aujourd'hui en France, .
  102. Sabrina Rezki, « Carcassonne. Il a retrouvé la longue-vue de Napoléon... oubliée dans le musée », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  103. Alain Pignon, « L'origine de la longue vue, visible au Musée des beaux-arts de Carcassonne, utilisée par l'Empereur Napoléon 1er en mars 1815 », Bulletin de la Société d'Études Scientifiques de l'Aude 2015, tome CXV.,‎ , p. 170-171
  104. Aurélien Marchand, « Carcassonne : retour sur l'incroyable découverte de la longue-vue de Napoléon », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  105. Roland Floutier, « Le poignard qui tua Klébert est visible au Musée », Midi Libre,‎
  106. « Carcassonne conserve le poignard de l'assassin de Kleber », sur midilibre.fr, (consulté le ).
  107. Hugo Petitjean, « Carcassonne. L’art de dresser la table au musée », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  108. Valentine Gaxieu, « Carcassonne. Une expo pour le 25e anniversaire des Amis du musée des Beaux-Arts », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  109. Lionel Ormières, « Carcassonne. Une exposition dévoile une facette méconnue du travail de Viollet-le-Duc », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  110. Simon Cherner, « À Carcassonne, l’art mobilier de Viollet-le-Duc célébré » Accès payant, sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  111. Driss Chaït, « Carcassonne - "Les Exceptionne'Elles" : des femmes, rien que des femmes, sur les murs des Beaux-Arts » Accès payant, sur lindependant.fr, (consulté le ).
  112. Nicolas Bossu, « Exposition : la tapisserie dans tous ses états au musée des beaux-arts de Carcassonne », sur midilibre.fr, (consulté le ).
  113. M.F, « Carcassonne. L’expo très engagée de Philippe Shangti », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  114. Pierre Meunier, « Carcassonne : contempler les lumières de la ville en déambulant au musée des Beaux-arts », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  115. Théo Ruiz, « Le collectionneur catalan Jacques Font accueilli les bras ouverts à Carcassonne pour une exposition exceptionnelle », sur midilibre.fr, (consulté le ).
  116. Laurent Coste, « Carcassonne : Samouraï, l'expo qui détonne au musée des beaux-arts », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  117. Gérard Xuriguera, Francis Parent et Michel Faucher, Les figurations des années soixante à nos joursn catalogue d'exposition, 1986 ; Francis Parent, Entendre l'écrit - Recueil de textes critiques, E. C. Éditions, Paris, 1999, pp. 160-163.
  118. U. Téchené, « Exposition: Chefs-d'oeuvre du musée des beaux-arts de Carcassonne au musée Ziem de Martigues », sur maritima.info, (consulté le ).
  119. Antoine Carrié, « Les Beaux-arts de Carcassonne attendent encore leur conservateur », sur lindependant.fr, (consulté le ).
  120. Laurent Coste, « Carcassonne : nouveau changement à la tête du musée des beaux-arts », sur lindependant.fr, (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Marie-Noëlle Maynard, Guide des collections du musée des Beaux-Arts de Carcassonne, , 119 p. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Regards sur Pierre Sulmon, catalogue de l'exposition, 97.p, 2024. Éditions In Extenso (ISBN 978-2-38524-027-1)
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, 25 ans d'amitié, une belle synergie, catalogue de l'exposition, 77.p, 2023. Éditions In Extenso (ISBN 978-2-38524-014-1)
  • Martin Bressani, Gaël Favier, Viollet-le Duc, trésors d'exception, catalogue de l'exposition, 109.p, 2023. Édition In Extenso (ISBN 978-2-38524-010-3)
  • Marie-Noëlle Maynard, Émilie Frafil, Zoé Beauval, « Hercule combattant l'hydre de Lerne » de Théodore Caruelle d'Aligny, Le petit salon, Invitation à la découverte, carnet n°3, Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2022 (ISBN 979-10-91148-93-1)
  • Anne-Marie Le Bon, Jean de La Fontaine, Le petit salon, Invitation à la découverte, carnet no 2, Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2021 (ISBN 979-10-91148-74-0).
  • Marie-Noëlle Maynard, Zoé Beauval, Danielle Constantin-Subra, Jacques Gamelin, Le petit salon, Invitation à la découverte, carnet no 1, Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2020 (ISBN 979-10-91148-67-2).
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Carcassonne, ville d'art et d'artistes, 2019, 58.p., Imprimerie Antoli, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Collections et curiosités, 2018, 55 p., Imprimerie Antoli, Carcassonne.
  • Claude Marquié, Carcassonne insolite et méconnue - Rencontres originales au musée des beaux-arts, 2017, p. 42 à 46, Editions Sutton.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Jacques Gamelin, le nouveau recueil d'ostéologie et de myologie, 2017, 95 p., Imprimerie Sepec, Peronnas.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Répertoire des peintures des 20e et 21e siècles, 2013, 75 p., Imprimerie Antoli, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Répertoire des estampes, 2012, 77 p., Imprimerie Laffont, Avignon.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Du portrait au 19ème siècle, 2009, 93 p., Imprimerie Antoli, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Par monts et par vaux, le paysage dans les collections du musée, 2007, 95 p., Imprimerie Laffont, Avignon.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Peintures des écoles étrangères, 2005, 95 p., Imprimerie Mavit Sival, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Répertoire de l'école française des 17e et 18e siècles, 2004, 87 p., Imprimerie Delta Color, Nîmes.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Fleurs et botanique dans les collections du musée et de la bibliothèque municipale, 2003, 111 p., Imprimerie Mavit Sival, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Catalogue des dessins, gouaches, pastels et aquarelles, 2002, 117 p., Imprimerie Sival, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Archives départementales de l'Aude, Armand Barbès et la Révolution de 1848, 1998, 79.p, Imprimerie Sival, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Archives départementales de l'Aude, Bibliothèque municipale de Carcassonne, Poètes audois dans la tourmente, 1994, 97.p, Imprimerie Sival, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Faïences françaises dans les collections du musée, 1991, 150 p., Imprimerie Bonnafous et fils, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Répertoire des peintures du XIXe siècle, 1990, 137 p., Imprimerie D3, Rouffiac d'Aude.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Jacques Gamelin, 1990, 134 p., Imprimerie MV Graphic, Carcassonne.
  • Musée des beaux-arts de Carcassonne, Préhistoire, La Crouzade, collection Théodore Rousseau, 1982, 78 p., Imprimerie Sival, Carcassonne.
  • Simone Mouton, Jacques Gamelin 1738-1803, catalogue de l'exposition au musée municipal, 1938, 271 p., Imprimerie Gabelle, Carcassonne.
  • Association des Amis de la Ville et de la Cité, catalogue de l'exposition d'art religieux du XIe au XVIe siècle au musée municipal, 1935, Imprimerie Gabelle, Carcassonne.
  • Musée de Carcassonne, Catalogue des tableaux et dessins exposés dans les galeries, 1894, 95 p., Imprimerie Pierre Polère, Carcassonne
  • Société des Arts et Sciences de Carcassonne, Catalogue de l'exposition artistique, archéologique et d'art rétrospectif, 1884, 96 p., Imprimerie François Pomiès, Carcassonne.
  • Musée de Carcassonne, Catalogue des tableaux et dessins exposés dans les galeries, 1878, 81 p., Imprimerie Pierre Polère, Carcassonne.
  • Musée de Carcassonne, Notice des tableaux et dessins exposés, 1864, 69 p., Imprimerie François Pomiès, Carcassonne.
  • Musée de Carcassonne, Notice des tableaux et dessins exposés dans les salles provisoires du Musée de Carcassonne, 1847, 56 p., Imprimerie Pierre Polère, Carcassonne.
  • Magazine, Le petit journal du Musée des beaux-arts de Carcassonne, 7 n° de 2011 à 2017.
  • Bulletins de l'Association des Amis du Musée des beaux-arts de Carcassonne (60 n°).

Sociétés savantes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy