Olympiakós (football)
Nom complet | Olympiakós Sýndesmos Filáthlon Pireós |
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Surnoms |
Thrýlos (Légende)[1] Erythrólefkoi (Rougeblanc) γαύρος (Les anchois)[2] |
Fondation | |
Couleurs | rouge et blanc |
Stade |
Stade Karaïskakis (32 115 places) |
Siège |
Place Alexandra 18534 Le Pirée |
Championnat actuel | Super League 1 |
Président | Evángelos Marinákis |
Entraîneur | José Luis Mendilibar |
Joueur le plus capé | Predrag Đorđević (442) |
Meilleur buteur | Yórgos Sidéris (239) |
Site web | www.olympiakos.gr |
National[3] |
Championnat de Grèce (47) Coupe de Grèce (28) Supercoupe de Grèce (4) |
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International[3] | Ligue Europa Conférence (1) |
Actualités
L’Olympiakós FC Le Pirée (en grec : Ολυμπιακός Σύνδεσμος Φιλάθλων Πειραιώς - Olympiakós Sýndesmos Filáthlon Pireós) est un club grec omnisports basé au Pirée et comprenant une section football de premier plan. Cet article concerne cette section football ; voir Olympiakós (basket-ball) pour la section basket-ball, Olympiakos (volley-ball) pour la section volley-ball et Olympiakós (water-polo) pour la section water-polo.
L'équipe de football est souvent appelée familièrement Thrylos (« Légende » en grec).
Ses supporters se recrutent traditionnellement dans la classe ouvrière, au Pirée et dans les îles (d'où sa rivalité classique avec le Panathinaïkós, considéré comme le club des classes aisées d'Athènes).
L'Olympiakos est considéré comme le plus grand club de football en Grèce et est l'un des 3 clubs grecs à n'être jamais descendu à l'échelon inférieur.
C'est aussi le club de football grec le plus titré avec 47 titres de champion de Grèce, 28 Coupes de Grèce et 4 Supercoupes de Grèce ; c'est actuellement la seule équipe grecque à avoir gagné un trophée européen avec une victoire en Ligue Europa Conférence[4].
En 1981, 21 de ses fans sont morts écrasés dans le stade à la suite d'un mouvement de foule dans l'escalier de la Porte 7 (Gate 7, θύρα 7) restée fermée par erreur. Cette tragédie est commémorée chaque année et les supporters y font très souvent allusion.
Histoire
[modifier | modifier le code]Premières années
[modifier | modifier le code]L'Olympiakos est fondé le lors d'une assemblée historique au port du Pirée durant laquelle les membres du "Piraikos Podosfairokos Omilos FC" (Club de sport et de football du Pirée) et le "Piraeus Fans Cub FC" décident de dissoudre les deux clubs de la ville afin de créer une équipe unifiée[5].
Les frères Andrianopoulos, membres d'une famille prospère, font ensuite connaitre le nom de l'Olympiakos dans toute la Grèce. Yiannis, Dinos, Giorgos et Vassilis sont les premiers joueurs de l'équipe[5].
En 1926, la Fédération Hellénique de Football est créée et organise le championnat panhellénique durant la saison 1927-1928. C'est le premier championnat national de football réunissant les équipes régionales de la ligue EPSA (Athènes), EPSP (Le Pirée) et EPSM (Thessaloniki).
En 1940, l'Olympiakos a déjà gagné six championnats en onze saisons. Vingt ans plus tard, ils en sont à quinze titres sur 23 exercices. De 1954 à 1959, le club remporte la Coupe de Grèce six fois consécutives[6].
Nikos Goulandris (1972-1975)
[modifier | modifier le code]Un nouveau chapitre s'ouvre pour l'Olympiakos en 1972, quand Nikos Goulandris devient président du club. Il choisit Lakis Petropoulos comme entraîneur et signe avec des joueurs tels que Giorgos Delikaris, Yves Triantafyllos, Julio Losada, Milton Viera, Michalis Kritikopoulos, Romain Argyroudis, Maik Galakos, Lakis Glekos, Kostas Davourlis, Giannis Kyrastas et Dimitris Persidis.
Sous la présidence de Goulandris, l'Olympiakos remporte trois fois la ligue grecque de 1973 à 1975 et deux fois la Coupe nationale en 1973 et 1975. Durant la saison 1973-1974, le club gagne le championnat avec un nombre record de points (59) et de buts marqués (102)[5].
Stávros Daifas (1979-1986 et 1992-1994)
[modifier | modifier le code]Jusqu'au début des années 1980, après la résiliation de Nikos Goulandris, à qui succédera Kostas Thanopoulos (1975-1978), Periklis Lanaras (1975) et Iraklis Tsitsalis (1978-1979), le club de football traverse une période durant laquelle les succès se font plus rares. Il faut attendre 1980 et l'arrivée à la présidence du club de Stavros Daifas pour voir le club reprendre des couleurs. Le championnat grec est alors devenu professionnel et l'Olympiakos remporte quatre titres consécutifs, de 1980 à 1983. Les joueurs clés de cette période sont Níkos Anastópoulos, Tasos Mitropoulos et le gardien de but Nikos Sarganis. Alketas Panagoulias, qui a également été sélectionneur des équipes nationales grecque et américaine, entraîne alors l'équipe de 1981 à 1983 puis de 1986 à 1987.
Sokrátis Kókkalis (1993-2010)
[modifier | modifier le code]De 1987 au milieu des années 1990, l'Olympiakos connaît sa plus mauvaise période en termes de résultats. La saison 1987-1988 sera même la pire que le club ait jouée depuis sa création, terminant 8e du classement. Le club est alors dirigé par George Koskotas, un homme d'affaires grec qui sera accusé de détournement de fonds et condamné, laissant l'Olympiakos profondément endetté[7]. Se succéderont ensuite à la présidence Argiris Saliarelis et Giorgos Banasakis qui ne parviendront pas à redresser la barre.
En 1993, Sokratis Kokkalis prend les rênes et recrute plusieurs joueurs de renommée internationale : Zlatko Zahovic, Giovanni ou encore Christian Karembeu. Le club remporte le championnat sept fois de suite, battant ainsi son propre record de six titres consécutifs. La meilleure saison est celle de 1998-1999 : emmené par Dusan Bajevic, il célèbre un doublé et se qualifie pour les quarts de finale de la Ligue des champions.
De 1999 à 2004, huit entraîneurs se succèdent sur le banc de l'Olympiakos, les plus connus étant Ioannis Matzourakis, Takis Lemonis, Trond Sollied, Oleg Protasov et Sinisa Gogic[8].
En 2007, l'Olympiakos casse sa tirelire pour engager notamment Darko Kovačević et Luciano Galletti. Le club réalise alors le transfert le plus lucratif de l'histoire du football grec en vendant le milieu de terrain Nery Castillo à un club ukrainien pour la somme record de vingt millions d'euros (soit 27,5 millions de dollars)[9]. Grâce à une clause de son contrat, le joueur empochera cinq millions de cette somme tandis que l'Olympiakos touchera les quinze autres[10].
Le club recrute l'ancienne légende de football brésilienne Zico en tant qu'entraîneur durant l'été 2009 et entame bien la saison qui suit. Malgré les blessures de plusieurs cadres, l'Olympiakos se qualifie pour les 16e de finale de la Ligue des champions, finissant deuxième de son groupe, seulement trois points derrière Arsenal[11].
Evángelos Marinákis
[modifier | modifier le code]En 2010, Evangelos Marinakis, un célèbre magnat de la marine marchande, rachète l'équipe à Sokratis Kokkalis. Au cours de la première année de sa présidence, Marinakis nomme le favori des fans, Ernesto Valverde, comme entraîneur (il s'agit de son deuxième mandat dans le club) et recrute des joueurs de renommée internationale tels qu'Albert Riera, Ariel Ibagaza, Kevin Mirallas, Marko Pantelić et François Modesto. En conséquence, l’Olympiakos a remporté le titre grec pour la 38e fois de son histoire, treize points devant le Panathinaïkós, deuxième du classement.
Au cours de la saison 2011-12, la formation de l'équipe a été renforcée par des joueurs tels que Jean Makoun, Pablo Orbaiz, Iván Marcano, Rafik Djebbour et Djamel Abdoun, avec Ernesto Valverde comme entraîneur pour la deuxième saison consécutive. En Grèce, ils réalisent le 15e doublé championnat / coupe de l'histoire du club. Sur la scène européenne, l’Olympiakos connaît une solide campagne en Ligue des champions, dans le groupe F les opposant à Arsenal, au Borussia Dortmund et à Marseille. Malgré un beau bilan de neuf points, avec deux victoires décisives contre Arsenal et Dortmund à domicile (deux fois sur un score de 3-1) et un succès à l'extérieur contre Marseille (0-1), ils échouent à la troisième place à la suite de la défaite controversée de Dortmund contre l'O.M. (2–3) lors du sixième match, où les Phocéens inscrivent deux buts dans les cinq dernières minutes. L’Olympiakos est repêché en Ligue Europa où il est amené à jouer contre le Rubin Kazan. Les champions de Grèce éliminent l'équipe russe (deux victoires 1 à 0 à Kazan et au Pirée) puis affrontent le Metalist Kharkiv en huitième de finale. Ils remportent la première manche en Ukraine, David Fuster inscrivant le but victorieux (0–1), mais lors du retour, malgré une avance précoce et en raison d'une pléthore d’occasions manquées (ils ont touché le cadre deux fois), ils concèdent deux buts dans les neuf dernières minutes, laissant filer la qualification pour les quarts de finale.
À la fin de la saison, Ernesto Valverde annonce sa décision de retourner en Espagne, mettant ainsi fin à son deuxième passage réussi au Pirée. Le Portugais Leonardo Jardim sera le nouvel entraîneur. L’équipe tourne très bien en championnat et connaît une bonne campagne en Ligue des champions, avec à nouveau neuf points dans le groupe B, après des victoires contre Arsenal (2-1 à domicile) et Montpellier (1 à 2 à Montpellier, 3-1 au Pirée). Malgré des résultats relativement bons, Leonardo Jardim est remplacé par l'entraîneur espagnol et légende du Real Madrid, Míchel. L’équipe fête son 16e doublé domestique en remportant son 40e championnat de Grèce, 15 points devant le deuxième (le PAOK) et sa 26e Coupe de Grèce après une victoire 3-1 contre Asteras Tripolis en finale. Ce 40e titre offre à l'Olympiakos la quatrième étoile au sommet de l'emblème du club, ce qui était un objectif majeur pour le club et en particulier pour les supporters.
Au cours de la saison 2014-2015, l'Olympiakos entre dans la phase de groupes de la Ligue des champions avec l'espoir de répéter la performance de l'année précédente. Le tirage au sort lui réserve l'Atlético Madrid, la Juventus et Malmö FF. Il réalise une solide performance dans le groupe, réussissant à battre l’Atlético 3–2 et les futurs finalistes de la Juventus 1–0 au Karaiskakis Stadium. L’Olympiakos défait Malmö 4–2 à la maison mais en même temps, la Juve obtient le match nul contre l’Atlético en Italie, décrochant le point crucial dont elle avait besoin pour se qualifier. Si l'Olympiakos et les Bianconeri avaient terminé avec le même nombre de points, l'Olympiakos se serait qualifié en raison du meilleur score global (buts à l'extérieur) de leurs deux matches (1–0 Olympiakos au Pirée, 3–2 Juventus à Turin). La troisième place du groupe donne à Olympiakos le billet pour le prochain tour de la Ligue Europa, où ils sont éliminés par le Dnipro Dnipropetrovsk, également futur finaliste. Sur le plan intérieur, l’équipe a connu une saison très réussie, remportant son 17e doublé (en championnat, douze points d'avance sur le deuxième, le Panathinaïkós, et en Coupe, victoire 3-1 contre Skoda Xanthi lors de l'apothéose).
La saison 2016–17 s'avère plutôt tumultueuse pour le club, malgré la signature de joueurs clés tels que Oscar Cardozo, Tarik Elyounoussi, Alaixys Romao, Aly Cissokho et Marko Marin. Les principaux problèmes qui se posent sont l'élimination choc face à l'équipe israélienne Hapoel Be'er-Sheva, après une défaite 1-0, lors du troisième tour de qualification de la Ligue des champions et le changement très fréquent des dirigeants du club. Cinq personnes vont se relayer sur le banc au cours de la même saison : Marco Silva, Victor Sánchez (responsable de l’élimination de Hapoel), Paulo Bento, Vasilis Vouzas et Takis Lemonis. Le parcours de l'équipe en Ligue Europa n'a pas été aussi réussi que d'autres campagnes européennes, à commencer par une difficile victoire 3-1 (1-1 avant la prolongation) contre Arouca en séries éliminatoires, poursuivant avec la qualification de l'équipe de la phase de groupes. Deuxième derrière l'APOEL Nicosie (dans un groupe incluant également Young Boys Berne et Astana), et se terminant par une lourde défaite de 5–2 contre le Beşiktaş JK au cours des seizièmes de finale de la phase à élimination directe (le gardien Nicola Leali étant responsable de 4 des 5 buts encaissés), malgré une qualification parmi les 32 meilleures équipes grâce à une victoire de 3-0 contre Osmanlispor. Le changement fréquent de manager a également affecté la stabilité et le rythme de l'équipe lors des compétitions nationales. Premièrement, l’Olympiakos n’a pas réussi à se qualifier pour la finale de la Coupe de Grèce après avoir été évincé par l’AEK, qui a progressé sur la règle des buts à l’extérieur après un match nul 2–2. Deuxièmement, malgré le fait que les Reds ont décroché leur 44e Championnat de Grèce et leur septième consécutif pour la deuxième fois dans l’histoire du football grec, ils n’ont réussi qu’à obtenir un écart de six points (67 à 61) sur le PAOK.
Après une longue période de délibération et de recherche du manager qui serait à la tête du club au début de la saison 2017-2018, le conseil d'administration a finalement décidé de faire venir Besnik Hasi, ancien manager d'Anderlecht et du Legia Varsovie. En tant que président, Evangelos Marinakis était favorable à quelqu'un qui avait l'expérience et les compétences nécessaires pour guider l'Olympiakos à la phase de groupes de la Ligue des champions après une absence d'un an. À son arrivée, Hasi a renforcé l'équipe avec des joueurs tels que Vadis Odjidja-Ofoe, Guillaume Gillet, Mehdi Carcela, Jagoš Vuković, Björn Engels, Uroš đurđević, Emmanuel Emenike et l'international grec Panagiotis Tachtsidis. Les victoires globales sur Partizan (5–3) et Rijeka (3–1) lors des deux derniers tours qualificatifs ont assuré la présence des Reds dans le groupe D de la compétition, considérée peut-être comme la plus difficile dans l'histoire de la compétition européenne de l'Olympiakos grâce aux champions de Barcelone 2017 Juventus et Sporting CP, deux autres finalistes de la ligue, sont les adversaires. Une défaite 2–3 décourageante, avec les trois buts encaissés en première période, entre les mains du Sporting lors du premier match de la saison européenne de Thrylos , combiné à des résultats défavorables en championnat qui ont mené à une défaite de 3-2 contre l’AEK malgré 0– 2 Hasi a été renvoyé du club et remplacé par Takis Lemonis. Ce dernier a décidé de se concentrer sur le retour de l'équipe dans les compétitions nationales, à un moment où l'Olympiakos a finalement été éliminé de l'Europe avant les vacances de Noël pour la première fois en 12 ans. Après un match nul et vierge à domicile contre Barcelone et cinq défaites, les Reds n’ont réussi à acquérir qu’un seul point durant toute la phase de groupes de la Ligue des champions, ce qui est considéré comme un record national négatif pour les clubs grecs. Le record européen par une équipe grecque dans les compétitions européennes était la campagne de zéro (0) points de l'AEK dans le groupe H de la campagne 2004-2005 et du Panathinaïkós dans le groupe G de la Ligue Europa 2016-17. Même s'il était en tête de la Super League à mi-saison, Lemonis a été limogé pour cause d'instabilité des vestiaires et Óscar García a par la suite été nommé avec pour objectif d'accroître l'efficacité et la discipline dans l'attaque.
Le club remporte son 46e titre lors de la 29e journée du Championnat de Grèce de football 2020-2021[12].
Rivalités
[modifier | modifier le code]Panathinaïkós
[modifier | modifier le code]Le principal rival de l'Olympiakos est traditionnellement le club du Panathinaïkós. Les deux équipes sont celles qui enchaînent le plus de succès parmi les clubs de football grecs et leur rivalité est également symptomatique de différences sociales et culturelles entre les deux régions.
L'Olympiakos est traditionnellement considéré comme un club représentatif de la classe ouvrière de la ville portuaire du Pirée, tandis que le Panathinaïkós est considéré comme le club de la classe supérieure de la société d'Athènes. De nos jours, ces différenciations sont nettement moins marquées et les supporters des deux clubs proviennent de milieux similaires[13],[14].
Les rivalités sont si marquées que de nombreux incidents violents ont eu lieu dans la région d'Athènes avant ou après les derbies des deux équipes.
Le , lors d'un affrontement organisé par différents supporters, un supporter de 22 ans du Panathinaïkós est poignardé à mort à Paiania, une ville proche d'Athènes alors qu'un match de volleyball féminin opposant les équipes de l'Olympiakos et du Panathinaïkós devait avoir lieu ce jour-là. L'incident provoque un bouleversement majeur en Grèce et déclenche une enquête de police. Les évènements sportifs en Grèce sont suspendus pendant deux semaines.
Un derby entre les deux équipes est annulé[15] en 2012 alors que des bombes à essence, des fusées et des missiles sont jetés sur les supporters et la police au Stade Olympique, qui prendra ensuite feu. En , une rencontre entre les deux équipes est le théâtre d'incendies allumés par des supporters des deux camps[16]. L'entraîneur du Panathinaïkós est laissé sur un banc de touche après avoir été frappé par un objet depuis les tribunes. La même année, après un match lors duquel l'Olympiakos l'emporte face au Panathinaïkós 1-0, le propriétaire du Panathinaïkós, Yiannis Alafouzos, fait des commentaires controversés déclarants que les arbitres ont favorisé l'Olympiakos, "incapable de gagner sans nounou"[17].
PAOK Salonique
[modifier | modifier le code]Un autre concurrent majeur de l'Olympiakos est le PAOK Salonique. La rivalité entre les deux clubs remonte aux années 1960, lorsque l'Olympiakos négocie l'achat du joueur vedette du PAOK, Giorgos Koudas. Leur concurrence vient également de la rivalité entre Athènes et Thessalonique, les deux grandes villes du pays[18].
Palmarès
[modifier | modifier le code]Compétitions nationales | Compétitions internationales |
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Personnalités du club
[modifier | modifier le code]Effectif professionnel actuel
[modifier | modifier le code]Le premier tableau liste l'effectif professionnel de l'Olympiakós Le Pirée pour la saison 2023-2024. Le second recense les prêts effectués par le club lors de cette même saison.
Joueurs | Encadrement technique | ||
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En grisé, les sélections de joueurs internationaux chez les jeunes mais n'ayant jamais été appelés aux échelons supérieurs une fois l'âge-limite dépassé ou les joueurs ayant pris leur retraite internationale.
Joueurs prêtés | |||||||
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N° | P. | Nat. | Nom | Date de naissance | Sélection | Club en prêt | |
22 | D | Ramon | 13/03/2001 (23 ans) | – | RCD Espanyol | ||
24 | D | Ousseynou Ba | 11/11/1995 (28 ans) | Sénégal | Istanbul Başakşehir | ||
26 | M | Pêpê | 20/04/1997 (27 ans) | Portugal espoirs | Paphos FC | ||
— | M | Pierre Kunde | 26/07/1995 (29 ans) | Cameroun | Atromitos Athènes | ||
— | M | Aguibou Camara | 20/05/2001 (23 ans) | Guinée | Atromitos Athènes | ||
— | M | Mamadou Kané | 22/01/1997 (27 ans) | Guinée | Paphos FC | ||
— | M | Jordan Holsgrove | 10/09/1999 (25 ans) | Écosse espoirs | GD Estoril-Praia | ||
— | A | Maximiliano Lovera | 09/03/1999 (25 ans) | Argentine -20 ans | Rosario Central |
Joueurs emblématiques
[modifier | modifier le code]- Alexandros Alexandris
- Níkos Anastópoulos
- Paraskevás Ántzas
- Níkos Dabízas
- Georgios Delikaris
- Dimítrios Eleftherópoulos
- Konstantinos Fortounis
- Máik Galákos
- Minas Hantzidis
- José Holebas
- Pantelís Kafés
- Kyriákos Karataïdis
- Savvas Kofidis
- Takis Lemonis
- Kostas Manolas
- Kóstas Mítroglou
- Tásos Mitrópoulos
- Antónios Nikopolídis
- Tásos Pántos
- Avraám Papadópoulos
- Sokratis Papastathopoulos
- Chrístos Patsatzóglou
- Nikos Sarganis
- George Sideris
- Ieroklís Stoltídis
- Vasílis Torosídis
- Panagiotis Tsalouchidis
- Níkos Tsiantákis
- Kóstas Tsimíkas
- Stélios Venetídis
- Stélios Yannakópoulos
- Djamel Abdoun
- Rafik Djebbour
- Marko Marin
- Fernando Belluschi
- Esteban Cambiasso
- Luciano Galletti
- Ariel Ibagaza
- Javier Saviola
- Gabriel Schürrer
- Chris Kalantzis
- Guillaume Gillet
- Kevin Mirallas
- Dudu Cearense
- Edu Dracena
- Felipe Santana
- Giovanni
- Júlio César
- Rafinha
- Rivaldo
- Tiquinho Soares
- Zé Elias
- Jean II Makoun
- Fabián Estay
- Jorge Bermúdez
- Delvin Ndinga
- Joel Campbell
- Yaya Touré
- Siniša Gogić
- Michális Konstantínou
- Ioánnis Okkás
- Tomáš Vaclík
- Matt Derbyshire
- Ahmed Hassan
- Éric Abidal
- Romain Arghirudis
- Christian Karembeu
- François Modesto
- Yann M'Vila
- Yves Triantafilos
- Mathieu Valbuena
- Mohamed Mady Camara
- Lajos Détári
- Enzo Maresca
- Youssef El-Arabi
- Ayoub El Kaabi
- Jaouad Zaïri
- Nery Castillo
- Stevan Jovetić
- Ibrahim Afellay
- Nelson Haedo Valdez
- Andrzej Juskowiak
- Michał Żewłakow
- Daniel Podence
- Gelson Martins
- José Sá
- Rúben Semedo
- Cédric Bakambu
- Yuri Savichev
- Predrag Đorđević
- Ljubomir Fejsa
- Darko Kovačević
- Marko Pantelić
- Ilija Ivić
- Vladimír Weiss
- Zlatko Zahovič
- Vicente Iborra
- Iván Marcano
- Albert Riera
- Thomas Ahlström
- Jimmy Durmaz
- Olof Mellberg
- Pär Zetterberg
- Mathieu Dossevi
- Hennadyy Litovchenko
- Oleh Protasov
- Julio Losanta
- Milton Viera
- Yassine Meriah
Entraîneurs
[modifier | modifier le code]Les entraîneurs de l'Olympiakos depuis sa fondation jusqu'à aujourd'hui [22],[23],[24]
Présidents
[modifier | modifier le code]Président | Période |
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Michalis Manouskos | 1925-1928, 1937-1939, 1945-1950 |
Thanassis Mermingas | 1929-1931, 1953-1954 |
Takis Zakkas | 1931, 1936 |
Giannis Andrianopoulos | 1932, 1933-1935 |
Giannis Barbaressos | 1946- |
Giorgos Andrianopoulos | 1954-1967 |
Kostas Bousakis | 1967-1969 |
Tassos Ikonomou | 1969-1970 |
Eftichios Goumas | 1970-1971 |
Aristidis Skilitsis | 1971 |
Dimitris Vardanis | 1971-1972 |
Nikolaos Goulandris | 1972-1975 |
Kostas Thanopoulos | 1975, 1976-1978 |
Periklis Lanaras | 1975 |
Iraklis Tsitsalis | 1978-1979 |
Stavros Daifas | 1979-1985, 1986, 1992-1994 |
Nikos Efthimiou | 1986 |
Giorgos Koskotas | 1987-1988 |
Argiris Saliarelis | 1988-1992 |
Giorgos Banasakis | 1992 |
Sokratis Kokkalis | 1993-2010 |
Evángelos Marinákis | 2011- |
Identité visuelle
[modifier | modifier le code]Historique du logo
[modifier | modifier le code]-
Ancien logo -
Ancien logo -
Ancien logo -
Ancien logo -
Logo actuel -
Logo actuel
(100 ans)
Maillots historiques
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- « #48 – Olympiakos Le Pirée : Θρύλος », sur footnickname.wordpress.com (consulté le )
- « #452 – Olympiakos Le Pirée : γαύρος », sur footnickname.wordpress.com (consulté le )
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- https://www.gavros.gr/article/athlhtikh-diaplokh/380629-mono-o-olympiakos-espase-thn-kyriarxia-twn-eyrw-megathhriwn-ston-basilia-twn-spor
- « Olympiakos FC : Histoire », sur olympiakos.org
- (en) « Olympiakos (Greece) », sur Soccer-athems.com
- (en) « End of an era as Kokkalis retires », sur Athensnews.gr,
- (en) « Olympiakos name Sollied as coach », sur BBC,
- (en) « Soccer-Big spending Shakhtar eager to make splash in Europe », sur Reuters,
- (en) « El mexicano Nery Castillo, del Olympiakos, al Shakhtar Donetsk », sur Soccerway,
- (en) « Olympiakos 1 - 0 Arsenal », sur BBC,
- « L'Olympiakos champion de Grèce après sa victoire face au Panathinaïkos », sur lequipe.fr, (consulté le )
- (en) « Football First 11 : Do or die derbies », sur CNN,
- (en) « Olympiakos Piraeus vs. Panathinaikos », sur Football Derbies
- (en) « Flares are thrown like confetti, explosions make you jump out of your seat... As Panathinaikos meet Olimpiacos in Europe's fiercest derby on El Clasico weekend, expect a battle of epic proportions », sur Dailymail,
- (en) « Olympiakos-Panathinaikos: Europe's maddest derby? », sur BBC,
- (en) « Video highlights: Olympiacos – Panathinaikos 1-0 », sur The Times of Change,
- (en) « PAOK Saloniki vs. Olympiakos Piraeus », sur Football Derbies
- (en) « Supercup - Champions », sur worldfootball.net (consulté le ).
- Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
- Seule la sélection la plus importante est indiquée.
- (el) « Οι 84 προπονητές του Ολυμπιακού, όλη η λίστα από το 1925-2008 », sur red-dna.com, (consulté le )
- (el) « Οι προπονητές του Θρύλου 1925-2010 », sur panoramix7.wordpress.com (consulté le )
- (el) « Οι 15 αλλαγές προπονητών του Βαγγέλη Μαρινάκη! (2010-2018) », sur gazzetta.gr, (consulté le )
- « Diego Martinez nommé nouvel entraîneur de l'Olympiakos », sur lequipe.fr, (consulté le ).
Liens externes
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- (mul) Site officiel
- Ressources relatives au sport :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :