Aller au contenu

Solre-le-Château

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Solre-le-Château
Solre-le-Château
Vue d'ensemble.
Blason de Solre-le-Château
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Patrick Dehen
2020-2026
Code postal 59740
Code commune 59572
Démographie
Gentilé Solréziens
Population
municipale
1 776 hab. (2021 en évolution de −3,11 % par rapport à 2015)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 31″ nord, 4° 05′ 33″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 236 m
Superficie 13,76 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Solre-le-Château
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Solre-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Solre-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Solre-le-Château
Liens
Site web www.solrelechateau.fr

Solre-le-Château (prononcé : [sɔʁ.lə.ʃa.to] Écouter) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Solre-le-Château se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

En fait, Solre-le-Château fait partie administrativement de l'Avesnois, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

Solre-le-Château se trouve à :

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Plaque de cocher

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Solre, le ruisseau de la Belleuse, le ruisseau de la Patûre aux Boeufs, le Malakoff[1], le ruisseau de l'écrevisse[2], le ruisseau de Solre-le-château[3], le ruisseau des Nielles[4], le ruisseau le riamé[5], l'Écrevisse[6] et un autre petit cours d'eau[7],[Carte 1].

La Solre, d'une longueur de 22 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Sambre canalisée à Rousies, après avoir traversé dix communes[8].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Solre-le-Château.

Quatre plans d'eau complètent le réseau hydrographique : l'étang de Borzie, d'une superficie totale de 1,9 ha (0,7 ha sur la commune), l'étang de Groez (2,3 ha), l'étang de Growez, d'une superficie totale de 0,1 ha (0,1 ha sur la commune) et l'étang Waroquier (0,7 ha)[Carte 1],[9].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sambre ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 253 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Sambre. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis modifié le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Parc naturel régional de l'Avesnois[10].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 914 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 14 km à vol d'oiseau[13], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Au , Solre-le-Château est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[18]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,6 %), forêts (25,5 %), terres arables (7,1 %), zones urbanisées (6,8 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie - étymologie

[modifier | modifier le code]
  • Noms anciens : 1186 : Sorre-le-Chastel, 1219 : Sorre, 1251 : Sorre-le-Castiel, 1349 : Sorra-Catelli, 1440 :Solre- le-Castiel, 1463 : Solre-le-Castiaul, 1482 : Solre-le-Castiau, 1525 : Solre-le-Casteau, 1552 : Solre-le-Chasteau, 1613 : Sor-le-Chasteau. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Solre-Libre[22].
  • Etymologie : Solre-le-Château doit son nom d'une part au ruisseau de la Solre qui le traverse, et d'autre part au château fort qui était bâti à l'emplacement actuel de la place.

Ses habitants sont appelés les Solréziens[23].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Antoine George, brasseur[26].

Maire en 1806-1807 : Hazard[27],[28].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
maire en 1847 ? M. Delebecke   Notaire
Conseiller d'arrondissement
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 Philippe Lety[29] PS Ingénieur
Conseiller général de Solre-le-Château (2004 → 2015)
mai 2020 En cours
(au 23 mai 2020)
Patrick Dehen    

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 776 habitants[Note 2], en évolution de −3,11 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6121 5252 0112 1202 4772 5592 6452 7012 758
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7773 0013 0062 8212 7502 6692 6592 6732 767
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5842 5922 4862 1432 1372 0761 9621 8432 038
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 0952 0502 1422 1531 9511 8611 8281 8341 793
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8171 7801 776------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 854 hommes pour 943 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,7 
8,0 
75-89 ans
10,9 
19,6 
60-74 ans
18,8 
18,3 
45-59 ans
19,2 
18,2 
30-44 ans
15,8 
16,9 
15-29 ans
16,2 
18,7 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre

[modifier | modifier le code]

L'église de Solre-le-Château est une construction en pierre bleue du XVIe siècle, facilement repérable à son clocher penché. Le , un incendie consuma l'ancienne flèche et une partie de l'église. Dans la remise en état de l'édifice, on substitua alors à l'ancien clocher (sans doute gothique) la belle flèche bulbiforme qui penche aujourd'hui la tête vers la place. Loin d'être un élément purement décoratif, le bulbe fut avant tout conçu comme un poste de guet à 360° qui permettait de surveiller plus particulièrement la route de Sars-Poteries, voie ordinaire des invasions françaises...

le clocher penché
Le clocher penché de l'église de Solre-le-Château

Le penchant de la flèche peut s'expliquer doublement ; d'une part, par les fortes intempéries qui ont pourri le bois et déstabilisé la charpente ; d'autre part, par un défaut de fabrication au niveau du report des pièces de bois sur les murs périphériques et sur les corbeaux ancrés dans la maçonnerie à un niveau beaucoup plus bas… L'inclinaison du clocher ne remet cependant pas en cause son équilibre.

Toutefois, M. Charles Beaumont, membre de la Société archéologique et historique de l'arrondissement d'Avesnes, pense que le clocher de Solre-le-Château penche vers le sud-ouest par la volonté de son constructeur, Jehan Lecoustre, maître-charpentier de Beaumont (Belgique). Cette inclinaison aurait pour but de donner au clocher une position de défense contre les tempêtes qui viennent presque toujours du sud-ouest, pratiquement jamais du nord et encore moins de l'est. D'autres clochers de la région présentent le même « penchant », mais il est particulièrement net à Solre-le-Château du fait d'une part, des proportions flèche/tour, d'autre part, de la présence de quatre clochetons contigus parfaitement verticaux. Jehan Lecoustre reproduisit la même charpente, quelques années plus tard, pour l'église Saint-Materne de Walcourt (Belgique).

Le clocher possède aussi une légende fort malicieuse… Jadis, les filles de Solre étaient très dévergondées ; souvent, quand il leur arrivait de se marier, des marmots les attendaient à la porte en appelant leur mère. Or, un jour, une vraie pucelle se présenta à l'église pour convoler en justes noces. On affirme que le clocher en fut si surpris qu'il se pencha en avant pour mieux voir la mariée qui passait sous le porche, en robe légitimement blanche. En châtiment de sa curiosité, le Ciel lui aurait infligé un torticolis à perpétuité !

L'église de Solre-le-Château comporte en outre des raretés architecturales telles qu'un porche ouvert sur trois côtés et un double transept qui élargit les bras de la croix et donne de la profondeur à l'édifice.

L'hôtel de ville

[modifier | modifier le code]
Église et hôtel de ville de Solre-le-Château

Il a été construit en 1574 et ne comportait, à l'origine, qu'un seul étage. Il possédait aussi un escalier extérieur et un gracieux beffroi en saillie, à six pans. En 1865, l'édifice fut profondément remanié, gagnant un second étage, mais perdant son escalier extérieur et son beffroi, qui lui donnaient un caractère Renaissance. Les portes sont en plein cintre, de même que les fenêtres. Ce type d'architecture est très rare dans l'art régional qui utilise le plus souvent la baie carrée à meneau cruciforme, l'arc en anse de panier ou l'arc en segments. Le bâtiment comportait au rez-de-chaussée un marché couvert, maintenant occupé par les bureaux de la mairie. On peut encore distinguer sur les clefs de voûte des anciennes portes, des inscriptions en lettres gothiques recommandant la probité aux marchands de la halle, dont voici la transcription littérale (hors abréviations) :

Côté église (baie vitrée)

Vous qui venes marchander en ce lieu,
Gardes-vous bien, pour plus ample proufit,
Par tromperie, offenser le bon Dieu
Duquel la grâce, à tout bon cœur suffit.

Côté Grand-place (passage)
1574
Quiconcque vient icÿ pour marchander
Ne veuille point, pour le plus de gaignage,
Par fraude ou vol son âme hasarder,
Car perdre l'âme es(t souver)ain dommage.

Côté place Verte (passage)

Soÿes léaulx. Uses de conscience.
Gens qui traictes icÿ la marchandise,
Ne gaignes riens avec divine offense,
Car mauldicte est richesse mal acquise.

Où est le château ?

[modifier | modifier le code]

Historiquement situé sur l'actuelle Grand-Place, il ne subsiste aucune trace visible du château de Solre-le-Château. La forteresse fut prise et brûlée une première fois en 1473 par le comte de Saint-Pol (Louis de Luxembourg), au service du roi de France, Louis XI. En 1560, elle retrouve toute sa splendeur et passe aux mains d'une des familles les plus illustres de Solre, les Croÿ. Le château est pris d'assaut par Turenne en 1637 et, en 1651, il est pillé par les troupes du général Rose, un aventurier au service de la France. En 1656, Turenne s'en empare de nouveau, avant d'aller assiéger Valenciennes. Les Croÿ demeurent seigneurs, puis deviennent princes de Solre après que leur seigneurie fut érigée en principauté par Charles II, roi d'Espagne, en 1677… Mais la ville est rattachée à la France par le traité de Nimègue, en 1678. En 1793, au plus fort de la Révolution, le château tombe sous la pioche des démolisseurs.

La chapelle Saint-Roch

[modifier | modifier le code]

Situé entre les numéros 12 et 14 de la rue de Liessies, cet édifice est en cours de restauration. Il s'agit de la chapelle d'un hôpital fondé en 1514 par Philippe de Lannoy, seigneur de Solre, pour accueillir les pèlerins.

La chapelle Notre-Dame-de-Walcourt

[modifier | modifier le code]

Cet élégant oratoire daté de 1732, bâti en briques et pierres bleues, est situé en face du numéro 14 de la rue de Trélon, non loin du croisement avec l'avenue du Général de Gaulle.

Les pierres Martine

[modifier | modifier le code]
Les pierres Martines.

Situées à environ un kilomètre au sud de la ville, c'est un groupe de deux menhirs. Elles étaient trois à l'origine, mais l'une d'elles a été brisée au XIXe siècle pour empierrer la route ! On conte que saint Martin, alors qu'il était soldat des légions romaines de l'empereur Constance II, se reposa sur l'une de ces pierres, y laissant l'empreinte de son dos. Véritable artisan de l'apostolat rural en Gaule septentrionale, au IVe siècle, saint Martin fut en effet un grand destructeur de temples païens et convertit nombre de monuments druidiques en autels du christianisme. La foi populaire suivit son enseignement et fit comme lui, même dans les endroits où il n'était pas passé. C'est ainsi que la légende de saint Martin reste attachée, en France, à un grand nombre de fontaines ou mégalithes. Les pierres Martines forment un alignement parfait avec la pierre de Dessus-Bise de Sars-Poteries et la Pierre-Qui-Tourne de Sivry (Belgique)[35].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
jardinière municipale

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armes de Solre-le-Château se blasonnent ainsi :

D'argent à un annelet de sable accompagné de trois lionceaux de gueules.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Solre-le-Château » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Sandre, « le Malakoff »
  2. Sandre, « le ruisseau de l'écrevisse »
  3. Sandre, « le ruisseau de Solre-le-château »
  4. Sandre, « le ruisseau des Nielles »
  5. Sandre, « le ruisseau le riamé »
  6. Sandre, « l'Écrevisse »
  7. « Fiche communale de Solre-le-Château », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  8. Sandre, « la Solre »
  9. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  10. « SAGE Sambre », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Solre-le-Château et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Solre-le-Château ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
  24. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  25. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 345, lire en ligne.
  26. a et b Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 69, lire en ligne.
  27. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
  28. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  29. « Résultats Solre-le-Château - Primaire de la gauche 2017 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Solre-le-Château (59572) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  35. M. Desailly, « Le Menhir de Solre-le-Château (Nord) », Bulletin de la Société préhistorique française, no 5,‎ , p. 139–146 (DOI 10.3406/bspf.1924.7300, lire en ligne).
pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy