Varennes-sur-Seine
Varennes-sur-Seine | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Montereau | ||||
Maire Mandat |
José Ruiz 2020-2026 |
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Code postal | 77130 | ||||
Code commune | 77482 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Varennois | ||||
Population municipale |
3 688 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 335 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 22′ 30″ nord, 2° 55′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 83 m |
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Superficie | 11,01 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Montereau-Fault-Yonne (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | varennes-sur-seine.fr | ||||
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Varennes-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Varennes-sur-Seine est à 3 km au sud-ouest de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].
L'altitude varie de 47 mètres à 83 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 49 mètres d'altitude (mairie) [2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :
- la Seine, fleuve long de 774,76 km[3] en limite nord-ouest de la commune, ainsi que :
La commune est aussi baignée de quelques plans d’eau, lacs et étangs.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 8,31 km[12].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Brosse-Montceaux à 8 km à vol d'oiseau[15], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,9 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[20],[Carte 2] :
- la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[21],[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Varennes-sur-Seine comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[23],[Carte 3], l'« Étang du Grand Marais au Petit Fossard » (66,11 ha)[24]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[23], la « vallée de la Seine entre Vernou et Montereau » (1 626,19 ha), couvrant 8 communes du département[25].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Varennes-sur-Seine est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montereau-Fault-Yonne[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[27],[28]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[28]. Cette aire regroupe 1 929 communes[29],[30].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 61 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[31] dont Maison Rouge, le Petit Fossard (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,6% ), zones urbanisées (19,1% ), eaux continentales[Note 7] (15,6% ), zones agricoles hétérogènes (11,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8% ), prairies (6,2% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7% ), mines, décharges et chantiers (2,5 %)[32].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[33],[34],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
[modifier | modifier le code]La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[35].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[36].
Logement
[modifier | modifier le code]En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 549 dont 70,3 % de maisons et 28,5 % d'appartements[Note 8].
Parmi ces logements, 91,1 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 61,4 % contre 36,7 % de locataires[37] dont, 24,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 1,9 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les lignes suivantes :
- Ligne 18A du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours ;
- Lignes Ea et Eb du réseau de bus Pays de Montereau ;
- Lignes 3250 et 3261 du réseau de bus Provinois - Brie et Seine.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Warannes vers 1172[38] ; Decima de Varennis en 1173[39] ; Vaurannes en 1243[40] ; Varannae en 1255[41] ; Varannes en 1265[42] ; Varanes en 1276[43] ; Varainnes en 1289[44] ; Varesnes vers 1332[45] ; Warennes lez Mousterel en 1354[46] ; Les granches et les marais de Varannes en 1463[47] ; Varennes sur Seyne en 1505[48] ; Varene les Montereau fault Yonne en 1564[49].
Pluriel de l'oïl varenne « terrain où il est défendu de chasser ou de pêcher sans la permission du seigneur »[50].
Le nom de Varennes-sur-Seine a été substitué à celui de Varennes par décret du .
La Seine est un fleuve français qui coule dans le Bassin parisien.
Histoire
[modifier | modifier le code]Des fouilles archéologiques ont mis au jour, sur le lieu-dit du « grand marais », une fosse à céréales, contenant les squelettes de six femmes inhumées durant le IVe siècle av. J.-C.
Le , le roi Louis XI confirma les privilèges de la ville octroyés par Charles VI auparavant, par ses lettres patentes, lors de son séjour à Provins[51].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Équipements et services
[modifier | modifier le code]Eau et assainissement
[modifier | modifier le code]L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [56],[57].
Assainissement des eaux usées
[modifier | modifier le code]En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Varennes-sur-Seine est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [58],[59],[60].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[58],[62].
Eau potable
[modifier | modifier le code]En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [58],[63].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[64].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[66].
En 2021, la commune comptait 3 688 habitants[Note 10], en évolution de +7,55 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]- Écoles maternelle et primaire, collège et lycée.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Le Varennes info, instauré par José Ruiz, recense toutes les activités, actions et nouvelles de la commune.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 434, représentant 3 560 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 140 euros[69].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 833, occupant 1 291 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 61,1 % contre un taux de chômage de 12,4 %.
Les 26,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 8,6 % pour les autres inactifs[70].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 160 dont 3 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 4 dans l’industrie, 10 dans la construction, 128 dans le commerce-transports-services divers et 15 étaient relatifs au secteur administratif[71].
Ces établissements ont pourvu 1 666 postes salariés.
En 2019, 30 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 23 individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[72].
Agriculture
[modifier | modifier le code]Varennes-sur-Seine est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[73].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[74]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 86 ha en 1988 à 152 ha en 2010[73]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Varennes-sur-Seine, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[73],[Note 12] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 9 | 7 | 4 |
Travail (UTA) | 21 | 14 | 9 |
Surface agricole utilisée (ha) | 773 | 1 061 | 607 |
Cultures[75] | |||
Terres labourables (ha) | 763 | 1 055 | 596 |
Céréales (ha) | 470 | 690 | 367 |
dont blé tendre (ha) | 293 | 465 | 239 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 111 | 90 | s |
Tournesol (ha) | 59 | s | |
Colza et navette (ha) | s | s | 63 |
Élevage[73] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 13]) | 595 | 19 | 34 |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Lambert construite entre les XIIIe et XVe siècles. Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1946[76],[77].
- Le parc de la Sauvagerie aménagé par Édouard André pour le parfumeur Eugène Rimmel (ancienne orangerie, pavillons exotiques anglo-chinois, roseraie).
- L'espace naturel du Grand Marais, propriété de Pro Natura Ile-de-France, conservatoire régional d'espaces naturels d'Ile-de-France, et géré par l'Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau[78].
- Le site archéologique du « Marais du Colombier », Groupe de Villeneuve-Saint-Germain, Néolithique ancien[79].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Eugène Rimmel (1821-1887), parfumeur et homme d'affaires français, est inhumé dans un caveau de l'ancien cimetière communal.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Varennes-sur-Seine », p. 985–987
- Séverine Huard, La ferme du Colombier à Varennes-sur-Seine, XVIe – XVIIIe siècles, CNRS, , 225 p.
- Jean-Marc Séguier, « Varennes-sur-Seine (Seine-et-Marne), la Justice : l’ensemble funéraire aristocratique de La Tène finale et les aménagements gallo-romains », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 63, (ISSN 0220-6617, lire en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Les 21 communes de l'intercommunalité sur le site de la CC Pays de Montereau
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montereau-Fault-Yonne comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Varennes-sur-Seine, » sur Géoportail (consulté le 9 juin 2020)..
- « Sites Natura2000 de Varennes-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Zones ZNIEFF de Varennes-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Varennes-sur-Seine - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Plan séisme consulté le 9 juin 2020 ».
- « Varennes-sur-Seine » sur Géoportail. Carte IGN classique.
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- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F4006301) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F4006281) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4002000) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau d'Air (F4002500) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4002400) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vidange de la Seine (F4005000) » (consulté le ), qui se jette dans La Seine
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Dérivation de Varennes (F4005102) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yonne (F3--0200) » (consulté le ).
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 juillet 2019
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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