Allonnes (Maine-et-Loire)
Allonnes | |||||
Château du Bellay | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Jérôme Harrault 2020-2026 |
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Code postal | 49650 | ||||
Code commune | 49002 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allonnais | ||||
Population municipale |
2 933 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 484 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 17′ 38″ nord, 0° 01′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 110 m |
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Superficie | 36,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Allonnes (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Saumur (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Longué-Jumelles | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | allonnes-49.fr | ||||
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Allonnes est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
La commune actuelle date de 1842, de la fusion des anciennes limites d'Allonnes et de l'ancienne commune voisine de Russé.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine du val d'Authion, Allonnes se situe au nord de Saumur et au sud-ouest de Brain-sur-Allonnes, sur les routes D 10, Neuillé / Saint-Nicolas-de-Bourgueil, et D 129, Blou[1].
Son territoire se trouve sur les unités paysagères du Val d'Anjou et du plateau du Baugeois[2].
La commune est traversée par l'Authion[1], et se situe dans le parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine[3].
Elle est traversée par le méridien de Greenwich.
Aux alentours
[modifier | modifier le code]Allonnes est situé à 10 km de Saumur, à 15 km de Bourgueil et à 57 km d'Angers.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Allonnes est caractérisé par deux parties. Le haut et le bas d'Allonnes. En bas, au sud, il s'agit de la vallée de la Loire. En haut, au nord, il s'agit de massifs forestiers et de buttes. Il y a donc deux terroirs bien distincts l'un de l'autre.
L'altitude varie de 23 à 110 mètres et sa superficie est de 36,33 km2, soit 3 633 hectares.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Allonnes se situe au nord de la Loire. La partie sud de la commune se situe dans la vallée de la Loire. Elle est traversée par la Boire des Roux et l'Authion d'est en ouest. L'Automne, qui prend sa source à la Breille-les-Pins, traverse Allonnes du nord au sud pour se déverser dans l'Authion.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Allonnes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allonnes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,6 %), terres arables (19,7 %), forêts (18,2 %), prairies (16,4 %), zones urbanisées (4,2 %), cultures permanentes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Allonnes, formes anciennes : Allonam au Xe siècle, Allona en 973, Alumna au XIe siècle[16], Allompne au XVe siècle, Allones en 1793 et 1801, Allonnes-sous-Montsoreau au XVIIIe siècle, puis Allonnes[17]. De la racine gauloise -onna « source, rivière, eau qui coule », également présente dans le nom du ruisseau de l'Automne qui passe à Allonnes[16], ou du gaulois Alauna, qui signifie « nourricière », formé par le verbe ala- « nourrir » et le suffixe d'agent -mn- ; ce mot désignait des rivières et des localités[18] Alauna a pu être employé comme nom de divinité d'une source[19].
Russé, formes anciennes : Toponyme mentionné en 1180[20], et sous la forme de Russé en 1793 et 1801. La commune est réunie à Allonnes en 1842[21].
Nom des habitants : les Allonnais[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]La contrée d'Allonnes est habitée dès le Néolithique, comme en témoigne notamment la découverte d'une hache en pierre[22].
Aux époques gauloise — du IIe au Ier siècle avant notre ère — puis gallo-romaine[23], les lieux sont réinvestis. Les vestiges indiquent une vaste agglomération artisanale et commerciale, dont la superficie générale est comprise entre 10 et 20 ha. Située dans la partie orientale du territoire des Andécaves (peuple gaulois occupant globalement l'Anjou), aux confins des territoires voisins turons (région de Touraine) et picton (Vienne)[24]. Allonnes est localisée au carrefour de deux itinéraires importants est-ouest et nord-sud. Le site comprend un sanctuaire et un complexe cultuel importants, attenants à l’agglomération. Les fouilles montrent que les pratiques votives au sein du temple se sont poursuivies jusqu’au IVe siècle, « période de destruction du monument coïncidant au développement du christianisme en Gaule »[24].
La voie romaine de Tours à Angers passait près de la pierre Saint-Doucelin et traversait le site de l'actuel bourg[25],[23].
Des fouilles archéologiques sont réalisées au nord du bourg, au lieu-dit le Tertre à la fin des années 2010. Les archéologues découvrent d'importants vestiges datant de l'époque gauloise tels que des pièces de monnaie, des épées et des morceaux de poteries. Des fondations d'une ancienne bourgade (place de marché, pierres, etc.) et une source sont également retrouvées[26],[27].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au Moyen Âge, il existe une vaste forêt au nord d'Allonnes, la forêt Saint-Jean.
Une motte féodale paraît avoir existé au lieu-dit les Châteliers[23].
On suppose que le pays est évangélisé par saint Doucelin, disciple de saint Martin de Tours, vers le Ve siècle[25], laissant l'église Saint-Jean-des-Bois (aujourd'hui détruite) près de l'actuel cimetière. L'époque carolingienne a laissé de nombreux tombeaux de pierre situés près du cimetière actuel et autour de l'église.
Les moines de l'abbaye Saint-Florent fondent un prieuré vers le Xe siècle. La plus grande partie du bourg se trouve dans le fief[28].
Au cours des temps féodaux, la seigneurie relève en général des sires de Montsoreau : elle n'est en commun avec le fief du Bellay qu'au XVIIIe siècle, sous Louis Ier et Louis II du Bouchet de Sourches de Montsoreau, puis sous le dernier marquis du Bellay (mais étant alors détachée de Montsoreau), Clément-Alexandre de Brie-Serrant[29].
Ancien régime
[modifier | modifier le code]La campagne allonnaise est parsemée de châteaux depuis le XVIe siècle.
Entre 100 et 120 ménages vivent dans les fermes de Russé au XVIIe siècle[30]. Ses habitants construisent une chapelle entre 1642 et 1643[31] à cause des crues de l'Authion, en hiver, qui les séparent de la population. Elle devient un centre de pèlerinage dédié à Notre-Dame de Guérison[32].
Au XVIIIe siècle, la paroisse est du diocèse d'Angers, Grand archidiaconé d'Angers, archiprêtré de Bourgueil, et dépend de l'élection, du grenier à sel et du district de Saumur[28].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1790, Allonnes et Russé sont érigées en communes. Allonnes fait partie du canton de Villebernier en 1790, puis de celui de Brain en l'An III. En 1800, Allonnes devient chef-lieu de canton et en 1804 fait partie du canton de Saumur-Nord-Est[28].
En 1842, les deux communes sont réunies en une seule[17],[16].
Jusqu'à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, Allonnes est une commune viticole. Son vignoble est décimé par le phylloxera et l'activité agricole se tourne alors vers la culture maraîchère[32]. Le vignoble allonnais (Neuillé, Allonnes et Brain) est alors placé sur la même ligne que les vins de Bordeaux de second cru[33].
Pendant la Première Guerre mondiale, 74 habitants perdent la vie, et lors de la Seconde Guerre mondiale, 8 habitants sont tués[25].
En 1968, Allonnes devient chef-lieu de canton, le canton d'Allonnes[34].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire, après avoir été avant 2017 membre de la communauté d'agglomération de Saumur Loire Développement[41], elle-même membre du syndicat mixte Pays Saumurois.
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2014, Allonnes est chef-lieu du canton d'Allonnes, et fait partie de l'arrondissement de Saumur[42]. Ce canton compte alors sept communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune d'Allonnes est alors rattachée au canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[43].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2021, la commune comptait 2 933 habitants[Note 4], en évolution de −3,42 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le tableau et le graphique ci-après présentent la population de la seule commune d'Allonnes de 1793 à 1841, puis de la nouvelle commune d'Allonnes.
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 416 hommes pour 1 587 femmes, soit un taux de 52,85 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Sur 234 établissements présents sur la commune à fin 2010, 32 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 38 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[50]. En 2013, sur 235 établissements, 20 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[51].
Dans les années 1960, il existait 210 exploitations de culture de primeurs, ainsi que des expéditeurs et grossistes, plusieurs coopératives et des champignonnières[25].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château du Bellay, du XIXe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1995[52].
- Digue dite la Grande Levée d'Anjou, du XIIe et XXe siècles[53].
- Église dite chapelle Notre-Dame-de-Guérison (XVIIe et XIXe siècles), lieu de pèlerinage à Russé, initialement construite du au [31].
- Église Saint-Doucelin (XVIIIe siècle)[25], prieuré de Bénédictins Saint-Doucelin des XVIe, XIXe et XXe siècles[54].
- Maison de maître de Beauséjour, des XVIIe et XIXe siècles[55].
- Maison de maître de la Bourdaudière, des XVIIe et XXe siècles[56].
- Maison de maître de la Hamarderie, des XVIIe et XXe siècles[57].
- Maison de maître, château des Rigaudières, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[58].
- Manoir de la Barbillonière, des XVIe et XVIIIe siècles[59].
- Manoir de la Cour du Bois, des XVe et XVIe siècles[60].
- Manoir Saint-Louis, château de la Godinière, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, à l'emplacement d'un manoir primitif mentionné au XVe[61].
- Manoir, château de la Martinière, des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles[62].
- Manoir Saint-Jean-Baptiste, château et maison de maître du Pré, du XIXe siècle[63].
- Parc Maupassant de Bois-Savary (XXIe siècle).
- Pierre Saint-Doucelin, monument mégalithique qui semble avoir été une pierre limite[25].
- Presbytère du XIXe siècle[64].
- Site archéologique gaulois et gallo-romain du Tertre (époque gallo-romaine)[65].
-
Hôtel de ville d'Allonnes
-
L'église Saint-Doucelin
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- La famille du Bellay est origenaire du château du même nom situé à la sortie d'Allonnes (XIIe siècle)[66].
- Louis de Funès venait régulièrement à Allonnes (XXe siècle), dont la famille de sa femme était origenaire[67].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 14-16 (Allonnes).
- Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 543-544 (Russé).
- Laurent Boutreux et Bertrand Ménard, Allonnes : Souvenirs de 1900 à 1939, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (ISBN 2-909757-39-0, BNF 37065724).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Allonnes comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- IGN et BRGM, Géoportail Allonnes (49), consulté le 14 août 2012.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 72 et 58.
- Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine, Le territoire, consulté le 27 mai 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Allonnes et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Allonnes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saumur », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Editions Cheminements, , 398 p. (ISBN 978-2-84478-338-7, lire en ligne), p. 15.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Allonnes, consultée le 27 mai 2013 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Paris, Errance, , p. 37.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- « Village (Russe) », notice no IA00114043, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, Inventaire général du patrimoine culturel - Inventaire topographique, fiche du 18 avril 1997.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Russé », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Port 1965, p. 14, selon l'Inventaire du néolithique de Desmazières.
- « Village (Allonnes) », notice no IA00114236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, Inventaire général du patrimoine culturel - Inventaire topographique, fiche du 18 avril 1997.
- Découverte d'une agglomération et d'un important sanctuaire gaulois dans le Maine-et-Loire, inrap.fr, 13 janvier 2020.
- Port 1965, p. 14.
- « Le passé gaulois d'Allonnes ressurgit », sur courrierdelouest.fr, Le Courrier de l'Ouest (journal), .
- Jean Delavaud, « Une cité gauloise « exceptionnelle » dans le sous-sol entre Angers et Saumur », sur Ouest-France, .
- Port 1965, p. 15.
- « Allonnes, p. 14-16, notamment p. 15 en haut de la colonne de gauche », sur Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. Ier, par Célestin Port, à Angers, 1876 ; mis en ligne par les Archives départementales de Maine-et-Loire.
- Port 1989, p. 543.
- « Chapelle Notre-Dame-de-Guérison », notice no IA00114044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Mairie d'Allonnes, Historique, consulté le 3 février 2016.
- O. Leclerc-Thouin, L'agriculture de l'Ouest de la France, étudiée plus spécialement dans le département de Maine-et-Loire, Librairie Bouchard-Huzard (Paris), 1843, p. 469.
- « Présentation de la commune d'Allonnes », notice no IA00114040, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, Inventaire général du patrimoine culturel - Inventaire topographique, fiche du 2 avril 2007.
- Célestin Port 1965, p. 15-16, maires de 1803 à 1953.
- Patrick Garnero (dir.), Annuaire des maires de Maine et Loire, Cannes, EIP Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581499, lire en ligne), p. 17.
- Résultats officiels des élections municipales de mars 2008 à Allonnes sur le site officiel du ministère de l'intérieur.
- Mairie d'Allonnes, Compte rendu de réunion du conseil municipal, du 28 mars 2014.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 23 avril 2014.
- « Allonnes. Jérôme Harrault entame un second mandat », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Saumur Loire Développement (244900361), consulté le 7 novembre 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Allonnes (49), consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allonnes (49002) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales 2010 du territoire d'Allonnes (49002), consultées le 25 novembre 2012.
- Insee, Statistiques locales 2012 du territoire d'Allonnes (49002), consultées le 3 février 2016.
- « Domaine du Bellay », notice no PA00135542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Digue dite la Grande Levée d'Anjou », notice no IA00114039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de Bénédictins Saint-Doucelin », notice no IA00114045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de maître », notice no IA00114073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de maître », notice no IA00114072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de maître », notice no IA00114070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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- « Manoir, Château », notice no IA00114056, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir Saint-Jean-Baptiste, Château, Maison de maître », notice no IA00114069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison, destinations successives presbytère », notice no IA00114067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Actualité | Découverte d'une agglomération et d'un important sanctuaire gaulois à Allonnes (Maine-et-Loire) », sur Inrap, (consulté le ).
- Célestin Port 1965, p. 329.
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