Vernoil-le-Fourrier
Vernoil-le-Fourrier | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Beillard 2020-2026 |
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Code postal | 49390 | ||||
Code commune | 49369 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vernoilais | ||||
Population municipale |
1 330 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
3 336 hab. (2022) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 18″ nord, 0° 04′ 48″ est | ||||
Altitude | 64 m Min. 45 m Max. 120 m |
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Superficie | 33,1 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Vernantes (banlieue) |
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Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Longué-Jumelles | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Vernoil-le-Fourrier (Vernoil jusqu'en juillet 2006) est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune angevine du Baugeois, Vernoil-le-Fourrier se situe à l'est de Vernantes, sur les routes D 58, Vernantes, D 207, Linières-Bouton, et D 85, La Breille-les-Pins[1].
Vernoil-le-Fourrier se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vernoil-le-Fourrier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vernantes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (27,7 %), terres arables (20,2 %), prairies (10,9 %), zones urbanisées (3,6 %), cultures permanentes (1,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Ecclesia de Verneilo en 1073-1103, Vernoil-le-Fourrier le [15]. Du mot gaulois verno (aulne) + ialo (clairière, lieu défriché)[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]À l'époque gallo-romaine, le territoire est traversé par de grandes voies. Le bourg est un centre important dès avant le XIe siècle[17].
De cette première période gallo-romaine, il ne reste que des vestiges enfouis, mais le Moyen Âge et la Renaissance ont laissé des édifices :
- l'église et le prieuré du XIe et XVe siècles ;
- le château de la ville au Fourrier construit en 1265 par le chevalier Geoffroy le Fourrier, qui ajouta son nom à la commune ;
- le château de la Roche du XVe siècle ;
- le logis de Poligny ;
- la maison seigneuriale avec une chapelle du XVe siècle.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire. La commune était précédemment membre de la communauté de communes Loire Longué[21], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.
Autres circonscriptions
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du canton de Longué-Jumelles et de l'arrondissement de Saumur[22].
Jusqu'en mars 2015, le canton de Longué-Jumelles compte huit communes, dont Vernoil-le-Fourrier. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune reste rattachée à ce même canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[23].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2022, la commune comptait 1 330 habitants[Note 3], en évolution de +4,81 % par rapport à 2016 (Maine-et-Loire : +2,12 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 625 hommes pour 639 femmes, soit un taux de 50,55 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]La commune de Vernoil comporte plusieurs équipements, dont la salle des fêtes Jules-Ferry.
On y pratique la boule de fort :
- Jules Ferry boule de fort, amicale laïque créée en 1929 ;
- Cercle saint-Vincent, créé en 1920.
Économie
[modifier | modifier le code]Sur 121 établissements présents sur la commune à fin 2010, 29 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[30]. Fin 2015, sur les 157 établissements actifs, 7 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 26 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 37 % de celui du commerce et des services et 21 % du secteur de l'administration et de la santé[31].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château de la Ville-au-Fourrier, édifice du XVe au XIXe siècle, partiellement inscrit aux Monuments historiques[32],[33].
- L'église Saint-Vincent[32] existe déjà vers l'an 1000[17] sous Robert le Pieux et Foulques Nerra. Elle a conservé son style roman dans la partie plus ancienne et porte des traces de peintures murales du XIIIe siècle, le transept et les voutes sont du XVe siècle, remaniés au XVIIe et XIXe siècles. Les fonts baptismaux remontent au XVe siècle et le bénitier au XIIe siècle. Présence d'une chapelle sépulcrale dans la crypte de l'église primitive. Édifice inscrit aux Monuments historiques[34].
- L'ancien prieuré[17], près de l'église. Une porte sculptée permet l'entrée de la tourelle. Son toit d'ardoises, les fenêtres à meneaux du corps de bâtiment, tout en tuffeau, forment un ensemble agréable. Bâtiment partiellement inscrit aux Monuments historiques[35].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René Christian-Frogé, poète et écrivain né en 1880 à Vernoil-le-Fourrier.
- Lucien Paye (né à Vernoil, le , mort le à Paris), ambassadeur et homme politique français.
- Famille Moscovici :
- Ephraïm Moscovici médecin à Vernoil-le-Fourrier. D’origene roumaine, Ephraïm était arrivé en France avec ses parents et ses deux frères, Léon et Lazar.
- Jean-Claude Moscovici né en 1936, fils du précédent, médecin, auteur du livre Voyage à Pitchipoï[36].
- Dans la nuit du 15 au , Ephraïm, Léon et Lazar sont arrêtés par des gendarmes allemands et français, et déportés vers Auschwitz par le convoi no 8 parti d'Angers le . Le , alors que les autorités allemandes viennent arrêter Louise Moscovici, mère de Jean-Claude, celle-ci parvient à s'enfuir grâce à l’aide de sa voisine et amie Odette Blanchet. Ses deux enfants, Jean-Claude (six ans) et Liliane (deux ans), sont confiés à des voisins jusqu'à ce que le maire du village fasse appliquer, le , la décision du capitaine SS, Commandeur de la région et responsable des mesures de répression antisémite : « L'accueil d'enfants juifs dans des familles françaises est indésirable et ne sera autorisé en aucun cas. » . On retrouvera les péripéties complète de cette histoire sur le site du Comité français pour Yad Vashem[37]. Liliane Moscovici est morte le [38],[39].
- Odette Blanchet : Engagée à 17 ans comme agent de liaison du réseau Confrérie Notre-Dame de Castille. Après la guerre, elle épouse Léo Bergoffen, le , juif angevin né en Allemagne, survivant d'Auschwitz. Elle a reçu la médaille des Justes le : « Et si c'était à refaire, je repartirais sans la moindre hésitation ! » , témoigne-t-elle[40].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 726-729.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Vernantes comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- IGN et BRGM, Géoportail Vernoil-le-Fourrier (49), consulté le 25 novembre 2012
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vernoil-le-Fourrier et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vernantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Vernoil-le-Fourrier ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Insee, Code Officiel Géographique, Modifications des communes de Maine-et-Loire, consulté le 25 juin 2012.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 208.
- Célestin Port 1996, p. 728.
- Célestin Port 1996, p. 727, liste des maires jusqu'en 1995.
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
- « Vernoil-le-Fourrier. Sylvie Beillard réélue maire à l'unanimité », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Loire-Longué (244900791), consulté le 15 août 2013.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Vernoil-le-Fourrier, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vernoil-le-Fourrier (49369) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Vernoil-le-Fourrier (49), consultées le 16 juin 2013.
- « Dossier complet - Commune de Vernoil-le-Fourrier (49369) », sur Insee, (consulté le ).
- Célestin Port 1996, p. 726.
- « Château de la Ville-au-Fourrier », notice no PA49000032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Vincent », notice no PA00109401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieure-cure (ancien) », notice no PA00109402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Voyage à Pitchipoï, Éd. L'École des Loisirs, coll. « Medium », Paris, 1995, 132 p. (ISBN 2-211-03596-5 et 978-2211035965) [présentation en ligne]. Autobiographie d'un enfant interné au camp de Drancy, pendant l'Occupation (il n'avait que six ans en 1942).
- Odette Bergoffen-dossier6091 sur le site du Comité français pour Yad Vashem.
- Décès de Liliane Moscovici: A deux ans, internée à Drancy puis sauvée, Ouest-France, 30 avril 2014.
- Liliane Moscovici. Avis de décès, Ouest-France, 26 avril 2014. Orthophoniste,elle est décédée à l'âge de 73 ans à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière à Paris. Elle est inhumée le mercredi 30 avril 2014 au cimetière de Vernoil-le-Fourrier. Elle était mariée à Daniel Coulon. Son fils est Adrien Moscovici.
- « Collégiens et lycéens honorent la Résistance », sur Ouest-France, .