Le 21 décembre marque la première Journée mondiale de la méditation, une manifestation des Nations Unies célébrant le pouvoir de la méditation pour le bien-être physique et mental. Enracinée dans les traditions anciennes et reconnue dans le monde entier pour réduire le stress et améliorer la concentration, la méditation est un outil d'auto-prise en charge mis en avant par l'Organisation mondiale de la Santé pour la gestion de l'anxiété. L'adoption de cette pratique par des personnes de toutes cultures et de tous âges inspire une prise de conscience collective et un engagement en faveur de la santé et de l'harmonie. Rejoignez le mouvement mondial et explorez les bienfaits du calme pour un avenir plus radieux et plus durable.
Objectif 3. Santé et bien-être
Le rapport de prospective mondiale sur la santé planétaire et le bien-être humain", produit par le PNUE, appelle le monde à prendre en compte et à répondre à une série de défis émergents qui pourraient perturber la santé et le bien-être de la planète.
Offre des soins gratuits aux survivantes mineures enceintes à l'hôpital de Panzi
L'UNFPA a appuyé la fondation PANZI pour la mise en œuvre du projet Modèle holistique de prise en charge des survivantes mineures enceintes.
Au Mali, les Centres de Développement de la Petite Enfance promeuvent une bonne nutrition dès le plus jeune âge.
Projet d’amélioration de la santé et du bien-être des adolescentes et femmes du sud du Sénégal
Le projet a marqué d'important progrès dans l'amélioration des conditions de vie des femmes dans des secteurs tels que la santé, de la famille, de la jeunesse, de la formation professionnelle, de la justice et de la sécurité.
L’UNFPA dirige des services d’intervention contre la violence basée sur le genre au Yémen, en permettant aux survivantes d’avoir accès à des services de protection et de soutien, à une assistance médicale, à une aide juridique et à des soins psychosociaux communautaires lorsque c’est possible.
L’OIM et son partenaire d’exécution au Pakistan, Blue Veins, œuvrent en vue de préserver la dignité des femmes et des filles, dont les vulnérabilités sont aggravées par le fait qu’elles soient déplacées, et de réduire les risque
À l'occasion de la COP28, l’Organisation mondiale de la Santé s’associe à la communauté sanitaire mondiale pour veiller à ce que les répercussions du changement climatique sur la santé soient au cœur des négociations. Il est impératif d’élargir l’attention portée à la santé humaine dans les discussions mondiales en ne laissant aucune place aux excuses et en obligeant les négociateurs à admettre qu’ils portent la responsabilité du bien-être de ce qui nous est le plus précieux : la santé des populations du monde entier. « Donner la priorité à la santé n’est pas seulement un choix, c’est le socle sur lequel repose des sociétés résilientes », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
Etzaida Rios travaille en tant qu'agente communautaire de l'OIM dans un centre d'accueil temporaire pour migrants à San Vicente, l'un des premiers points d'arrivée pour les migrants émergeant de la jungle du Darien, qui s'étend
Les détenus de la maison centrale de Ngaragba bénéficient des soins de santé gratuits
Le Ministère de la justice et le Ministère de la santé de la République centrafricaine, avec le soutien financier de la Section des Affaires judiciaires et pénitentiaires de la
VIH/sida : Connaître son statut sérologique sauve la vie
Au Congo, seules 25 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique. Diverses approches sont utilisées pour amener la population, surtout les jeunes, à se faire dépister. Au même moment, le traitement antirétroviral est disponible pour les personnes vivant avec le VIH.
Des données de l’OMS montrent que plus de la moitié de la population des petits États insulaires en développement décède prématurément en raison d’une maladie non transmissible.
De bonnes raisons de sourire
La joie de ces enfants à travers le monde est contagieuse !
Les vaccins constituent l'une des avancées les plus importantes en matière de santé et de développement au niveau mondial.
On estime que 12 milliards de journées de travail sont perdues chaque année pour cause de dépression ou d’anxiété, ce qui coûte près de mille milliards de dollars à l'économie mondiale. Deux nouvelles publications visant à traiter cette question sont publiées aujourd'hui - les directives de l'OMS sur la santé mentale au travail et une note d'information dérivée de l'OMS et de l'OIT.