María Flores-Fernández
Doctora en Literatura Francesa por la Universidad de Granada y profesora de Lengua y Literatura francesas en esta universidad. Ha ejercido su labor investigadora en las universidades de Grenoble Alpes (máster en socio-antropología), Lyon, Franche-Comté y Tübingen. Sus publicaciones versan sobre teoría literaria, ecocrítica, mitocrítica y teorías de género aplicadas a la narrativa del paisaje desde el siglo XIX a la postmodernidad. Actualmente su campo de estudio se amplía a las representaciones del paisaje cultural de la sal desde una perspectiva de género (“Paisaje y mujeres de sal”, 2023). Es autora de varios estudios especializados en humanidades ambientales, entre ellos “Approche géocritique du paysage salé dans la littérature diomienne” (2023) y “Perspectives écopoétiques chez Charles Joisten : du conte fantastique au jardin urbain” (2024). Sus capítulos de libro más recientes han aparecido en editoriales como Peter Lang, Presses Universitaires de Valenciennes, Classiques Garnier, y en revistas como Çédille, Thélème y CompLit. Journal of European Literature, Arts and Society. Es secretaria de la asociación MITEMA (Mitos, Imaginarios, Temáticas Pluridisciplinares), miembro de Asteria (Association Internationale de Mythocritique) y de la ESCL (European Society of Comparative Literature).
Address: Facultad de Filosofía y Letras
Departamento de Filología Francesa
Campus Universitario de Cartuja
18071 Granada
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Papers by María Flores-Fernández
proposes an interdisciplinary analysis of four contemporary literary gardens, located in Grenoble (France), inspired, according to the results obtained, by the collections Êtres fantastiques des Alpes (2005) and
Contes populaires du Dauphiné (1971). These gardens have been conceived according to local environmental conditions, allowing nature and culture to intermingle in the urban space. By exploring the interfaces between folklore and fantasy, myth and ecology, this study questions the traditional role of the fairy and the wyvern.
Represented in the hydraulic, vegetal and stone elements of urban gardens, these creatures provide an innovative means of exploring the representation of nature through fantasy. The ecopoetic textual analysis of these adaptations sheds light on the author’s narrative dynamics and ecological thinking.
Cet espace favorisant la culture et la valeur de l’esprit est compris ici, comme un jardin de savoirs où chacun, tout en s’abandonnant à son aspect le moins matériel, trouve l’opportunité de s’épanouir sous forme de réseau de connaissance. Tout au long de cette réflexion, nous suivrons la pensée et l’œuvre de philosophes qui se sont réfugiés dans leur jardin intérieur en tant qu’oasis de la pensée ou qui l’ont extériorisé sous forme de discipline. Contrairement à cette pensée, nous aborderons également, la notion d’«indiscipline», dans le sens où le jardin est vécu comme un lieu indocile et sauvage, insoumis aux règles.
proposes an interdisciplinary analysis of four contemporary literary gardens, located in Grenoble (France), inspired, according to the results obtained, by the collections Êtres fantastiques des Alpes (2005) and
Contes populaires du Dauphiné (1971). These gardens have been conceived according to local environmental conditions, allowing nature and culture to intermingle in the urban space. By exploring the interfaces between folklore and fantasy, myth and ecology, this study questions the traditional role of the fairy and the wyvern.
Represented in the hydraulic, vegetal and stone elements of urban gardens, these creatures provide an innovative means of exploring the representation of nature through fantasy. The ecopoetic textual analysis of these adaptations sheds light on the author’s narrative dynamics and ecological thinking.
Cet espace favorisant la culture et la valeur de l’esprit est compris ici, comme un jardin de savoirs où chacun, tout en s’abandonnant à son aspect le moins matériel, trouve l’opportunité de s’épanouir sous forme de réseau de connaissance. Tout au long de cette réflexion, nous suivrons la pensée et l’œuvre de philosophes qui se sont réfugiés dans leur jardin intérieur en tant qu’oasis de la pensée ou qui l’ont extériorisé sous forme de discipline. Contrairement à cette pensée, nous aborderons également, la notion d’«indiscipline», dans le sens où le jardin est vécu comme un lieu indocile et sauvage, insoumis aux règles.