Martin Pâquet
Œuvrant en anthropologie historique, Martin Pâquet s'intéresse aux multiples expressions des cultures politiques au Québec, au Canada et dans les francophonies nord-américaines depuis les Révolutions de la fin du 18e et du début du 19e siècle jusqu’à nos jours. Ses intérêts s’étendent aussi aux études migratoires dans une perspective transnationale.
D’abord, ses travaux sur l'immigration, les politiques étatiques et les processus décisionnels des responsables politiques l'ont amené à étudier l’histoire de la pensée d’État sur la longue durée. Publiée aux éditions du Boréal en 2005, son étude Tracer les marges de la Cité. Étranger, Immigrant et État au Québec, 1627-1981 a été ainsi finaliste pour le Prix Jean-Charles-Falardeau de la Fédération canadienne des sciences humaines en 2006.
De pair avec Marcel Martel (du Département d’histoire de York University, Toronto), il s’est penché également sur les enjeux linguistiques canadiens et québécois de 1539 à nos jours, dans un livre paru en 2010 aux éditions du Boréal (Langue et politique au Canada et au Québec. Une synthèse historique) et dans un recueil publié en 2008 aux Presses de l’Université Laval, Légiférer en matière linguistique. Langue et politique au Canada et au Québec a reçu le Prix de la Présidence de l’Assemblée nationale du Québec en 2011 pour le meilleur ouvrage portant sur la politique au Québec. L’ouvrage est aussi finaliste du Prix Donald-Smiley 2011 de l’Association canadienne de science politique.
En plus de ces deux chantiers de recherche, il œuvre sur trois autres terrains d’enquête relatifs à l’histoire des cultures politiques et des usages publics du passé dans un contexte contemporain. Il s’intéresse à l’histoire de la pensée scientifique au cours des derniers siècles, dont plus précisément aux politiques d'hygiène mentale prônées en matière de santé publique au Québec de 1918 à 1945. Il étudie aussi les différents rituels, manifestations et cérémonials relatifs à l’expression du politique dans l’espace public en Amérique du Nord. Enfin, ses travaux sur les usages publics du passé explorent les arcanes de l'épistémologie et de la méthodologie historiques, de l’historiographie canadienne et québécoise, ainsi que de la sociohistoire des communications.
Phone: 418 656-2131, poste 8285
Address: Pavillon Charles-De Koninck, bureau 6213.
1030, avenue des Sciences-Humaines
Université Laval
Québec (Québec)
G1V 0A6
D’abord, ses travaux sur l'immigration, les politiques étatiques et les processus décisionnels des responsables politiques l'ont amené à étudier l’histoire de la pensée d’État sur la longue durée. Publiée aux éditions du Boréal en 2005, son étude Tracer les marges de la Cité. Étranger, Immigrant et État au Québec, 1627-1981 a été ainsi finaliste pour le Prix Jean-Charles-Falardeau de la Fédération canadienne des sciences humaines en 2006.
De pair avec Marcel Martel (du Département d’histoire de York University, Toronto), il s’est penché également sur les enjeux linguistiques canadiens et québécois de 1539 à nos jours, dans un livre paru en 2010 aux éditions du Boréal (Langue et politique au Canada et au Québec. Une synthèse historique) et dans un recueil publié en 2008 aux Presses de l’Université Laval, Légiférer en matière linguistique. Langue et politique au Canada et au Québec a reçu le Prix de la Présidence de l’Assemblée nationale du Québec en 2011 pour le meilleur ouvrage portant sur la politique au Québec. L’ouvrage est aussi finaliste du Prix Donald-Smiley 2011 de l’Association canadienne de science politique.
En plus de ces deux chantiers de recherche, il œuvre sur trois autres terrains d’enquête relatifs à l’histoire des cultures politiques et des usages publics du passé dans un contexte contemporain. Il s’intéresse à l’histoire de la pensée scientifique au cours des derniers siècles, dont plus précisément aux politiques d'hygiène mentale prônées en matière de santé publique au Québec de 1918 à 1945. Il étudie aussi les différents rituels, manifestations et cérémonials relatifs à l’expression du politique dans l’espace public en Amérique du Nord. Enfin, ses travaux sur les usages publics du passé explorent les arcanes de l'épistémologie et de la méthodologie historiques, de l’historiographie canadienne et québécoise, ainsi que de la sociohistoire des communications.
Phone: 418 656-2131, poste 8285
Address: Pavillon Charles-De Koninck, bureau 6213.
1030, avenue des Sciences-Humaines
Université Laval
Québec (Québec)
G1V 0A6
less
Related Authors
Muqtedar Khan
University of Delaware
Elisa Brilli
University of Toronto
Josiah Heyman
University of Texas at El Paso (UTEP)
Adam Gaudry
University of Alberta
Alejandra B Osorio
Wellesley College
Marc Champagne
Kwantlen Polytechnic University
Armando Marques-Guedes
UNL - New University of Lisbon
Giulia Sissa
Ucla
Florin Curta
University of Florida
Inanna Hamati-Ataya
University of Groningen
InterestsView All (22)
Uploads
Books by Martin Pâquet
The main goal of this edition of Globe is to promote further research on energy seen as a source of conflicts and representations. This subject is explored from the perspective of various disciplines: history, sociology, regional development and economics. Thus, the importance of energy issues in Quebec during the 20th century and at the beginning of the 21st is the overall theme of this edition, while interdisciplinary dialogue highlights the political and social aspects of this question.
The five scholarly articles presented deal with the macro and micro levels of Quebec citizens’ empowerment, with the mechanisms for the study and management of energy issues, with electricity rates and profits and, finally, with the relationship between the self and significant others.
Contributors: Marie-José Fortin, Sophie Le Floch, Alexandre Lévesque, Martin Pâquet, Pierre-Olivier Pineau, Stéphane Savard, Jean-Philippe Warren.
Balises et références. Puisant aux cas de l’Acadie et des autres francophonies, ce recueil parcourt l’aire des balises territoriales et le cadre des références identitaires. Trois trajectoires s’offrent alors au regard du promeneur : celle de l’enracinement dans l’espace et la mémoire ; celle de la frontière dans l’histoire et dans le temps présent ; celle de la diaspora dans le discours, le récit et la mouvance. Trois trajectoires qui permettent de saisir les relations complexes entre le Soi et l’Autre, entre l’Ici et l’Ailleurs, entre les balises du territoire et les références de l’identité.
Le présent recueil analyse comment la mémoire et les mobilisations sont étroitement liées dans la mise en forme des francophonies canadiennes. Par quels moyens fait-on usage du passé afin de promouvoir les appartenances communautaires ? Quelle mémoire est proposée ? Quels éléments du passé sont oubliés ? Comment justifie-t-on de nouveaux projets de société ? Quelles interprétations fait-on ensuite de ces changements ? Quel regard les acteurs de ces mobilisations portent-ils sur la mémoire promue ? Quels sont les lieux où se déploie cette interaction entre mémoire et mobilisation ? Voilà les questionnements que ce recueil interdisciplinaire pose en trois temps relatifs à la mémoire : ceux de la médiation, de ses rapports avec l’utopie au cours des périodes de changement et de ses lieux.
Ce recueil collectif réunit des chercheurs de plusieurs disciplines (histoire, archivistique, théologie, littérature, sociologie) afin non seulement de souligner le potentiel des archives elles-mêmes et des ressources qui sont désormais disponibles aux chercheurs, mais aussi d’offrir quelques coups de sonde qui permettent de mieux saisir l’inscription du Québec dans une trame qui a eu, pendant longtemps, la Ville Sainte pour un de ses centres. Il vise à contribuer à l’édification d’une " histoire connectée ", laquelle enseigne que les sociétés occidentales n’ont souvent pas attendu le mot pour participer à la mondialisation culturelle et intellectuelle.
Avec des contributions de Michel Bock (Université d'Ottawa), Luca Codignola (CNR, Rome), Dominique Deslandres (Université de Montréal), Gérard Fabre (CNRS, Paris), Yves Frenette (Université d'Ottawa), Fernand Harvey (INRS, Québec), Ollivier Hubert (Université de Montréal), Pierre Hurtubise (Université Saint-Paul), Simon Jolivet (Université d'Ottawa), Phyllis E. LeBlanc (Université de Moncton), Martin Pâquet (Université Laval), Roberto Perin (Université York), Laura Pettinaroli (Institut catholique de Paris), Giovanni Pizzorusso (Université Gabriele D’Annunzio), Jules Racine (Université Laval), Amalia Renosto (Délégation du Québec à Rome), Gilles Routhier (Université Laval), Matteo Sanfilippo (Université ), Jean-Philippe Warren (Université Concordia).
Speaking Up captures the complex and fascinating history of the relationship between language and politics in Canada and Quebec from 1539 to the present. Nuanced and unbiased yet empathetic, the book reveals that the language issue has been at the heart of this country's political life for centuries.
Translated from the multiple-award-winning Langue et politique au Canada et au Québec (Boréal, 2010).
The main goal of this edition of Globe is to promote further research on energy seen as a source of conflicts and representations. This subject is explored from the perspective of various disciplines: history, sociology, regional development and economics. Thus, the importance of energy issues in Quebec during the 20th century and at the beginning of the 21st is the overall theme of this edition, while interdisciplinary dialogue highlights the political and social aspects of this question.
The five scholarly articles presented deal with the macro and micro levels of Quebec citizens’ empowerment, with the mechanisms for the study and management of energy issues, with electricity rates and profits and, finally, with the relationship between the self and significant others.
Contributors: Marie-José Fortin, Sophie Le Floch, Alexandre Lévesque, Martin Pâquet, Pierre-Olivier Pineau, Stéphane Savard, Jean-Philippe Warren."
C’est à une fascinante histoire de bruit et de fureur, de débats et de combats, de tensions mais aussi d’apaisements que convie Langue et politique au Canada et au Québec. Cernant l’enjeu linguistique dans la longue durée, cet ouvrage montre avec nuance, sans parti-pris mais avec empathie, à quel point la langue se situe depuis plusieurs siècles au cœur de la vie politique du pays. Plus qu’un livre d’histoire, il offre un regard nouveau sur l’un des grands enjeux de notre époque.
Pour qui légifère-t-on en matière linguistique ? Comment légifère-t-on ? Pourquoi ? Au nom de quels principes ? Ces questions sont au cœur du présent ouvrage. Dans une perspective interdisciplinaire, les contributions de ce recueil lèvent le voile sur divers facteurs qui ont transformé la langue en un problème politique requérant l’intervention de l’État au Canada, au Québec et dans les autres provinces canadiennes.
Balises et références. Puisant aux cas de l’Acadie et des autres francophonies, ce recueil parcourt l’aire des balises territoriales et le cadre des références identitaires. Trois trajectoires s’offrent alors au regard du promeneur : celle de l’enracinement dans l’espace et la mémoire ; celle de la frontière dans l’histoire et dans le temps présent ; celle de la diaspora dans le discours, le récit et la mouvance. Trois trajectoires qui permettent de saisir les relations complexes entre le Soi et l’Autre, entre l’Ici et l’Ailleurs, entre les balises du territoire et les références de l’identité.
Les textes qui composent cet ouvrage visent tous, dans des perspectives multiples et variées, à rendre compte de ce phénomène interculturel, principalement au Québec et en Acadie, mais aussi dans l'Ouest canadien et en Louisiane. En prenant à contre-pied certaines idées reçues sur la prétendue fermeture des petites collectivités qui tissent la toile de la francophonie nord-américaine, nos collaborateurs ont tenté de saisir comment ces mêmes collectivités ont de tout temps composé - et continuent de le faire - avec des formes variées d'altérité culturelle.
Recueillant des études issues de la plume de collègues et d'anciens étudiants, le présent ouvrage se veut un tribut d'honneur et un gage de reconnaissance amicale offerts à Yves Roby. À partir de pistes déblayées par l'historien au cours de sa carrière, ce recueil emprunte les parcours de l'histoire, en explorant la perspective duale de l'espace et du temps. Les études réunies ici cheminent sur certains sentiers parcourus par ce professeur de Laval : la pratique de l'histoire, l'espace québécois, l'espace franco-américain et les acteurs historiques dont l'imaginaire s'ouvre à la manière d'une interface entre ces deux aires.
Papers by Martin Pâquet
The main goal of this edition of Globe is to promote further research on energy seen as a source of conflicts and representations. This subject is explored from the perspective of various disciplines: history, sociology, regional development and economics. Thus, the importance of energy issues in Quebec during the 20th century and at the beginning of the 21st is the overall theme of this edition, while interdisciplinary dialogue highlights the political and social aspects of this question.
The five scholarly articles presented deal with the macro and micro levels of Quebec citizens’ empowerment, with the mechanisms for the study and management of energy issues, with electricity rates and profits and, finally, with the relationship between the self and significant others.
Contributors: Marie-José Fortin, Sophie Le Floch, Alexandre Lévesque, Martin Pâquet, Pierre-Olivier Pineau, Stéphane Savard, Jean-Philippe Warren.
Balises et références. Puisant aux cas de l’Acadie et des autres francophonies, ce recueil parcourt l’aire des balises territoriales et le cadre des références identitaires. Trois trajectoires s’offrent alors au regard du promeneur : celle de l’enracinement dans l’espace et la mémoire ; celle de la frontière dans l’histoire et dans le temps présent ; celle de la diaspora dans le discours, le récit et la mouvance. Trois trajectoires qui permettent de saisir les relations complexes entre le Soi et l’Autre, entre l’Ici et l’Ailleurs, entre les balises du territoire et les références de l’identité.
Le présent recueil analyse comment la mémoire et les mobilisations sont étroitement liées dans la mise en forme des francophonies canadiennes. Par quels moyens fait-on usage du passé afin de promouvoir les appartenances communautaires ? Quelle mémoire est proposée ? Quels éléments du passé sont oubliés ? Comment justifie-t-on de nouveaux projets de société ? Quelles interprétations fait-on ensuite de ces changements ? Quel regard les acteurs de ces mobilisations portent-ils sur la mémoire promue ? Quels sont les lieux où se déploie cette interaction entre mémoire et mobilisation ? Voilà les questionnements que ce recueil interdisciplinaire pose en trois temps relatifs à la mémoire : ceux de la médiation, de ses rapports avec l’utopie au cours des périodes de changement et de ses lieux.
Ce recueil collectif réunit des chercheurs de plusieurs disciplines (histoire, archivistique, théologie, littérature, sociologie) afin non seulement de souligner le potentiel des archives elles-mêmes et des ressources qui sont désormais disponibles aux chercheurs, mais aussi d’offrir quelques coups de sonde qui permettent de mieux saisir l’inscription du Québec dans une trame qui a eu, pendant longtemps, la Ville Sainte pour un de ses centres. Il vise à contribuer à l’édification d’une " histoire connectée ", laquelle enseigne que les sociétés occidentales n’ont souvent pas attendu le mot pour participer à la mondialisation culturelle et intellectuelle.
Avec des contributions de Michel Bock (Université d'Ottawa), Luca Codignola (CNR, Rome), Dominique Deslandres (Université de Montréal), Gérard Fabre (CNRS, Paris), Yves Frenette (Université d'Ottawa), Fernand Harvey (INRS, Québec), Ollivier Hubert (Université de Montréal), Pierre Hurtubise (Université Saint-Paul), Simon Jolivet (Université d'Ottawa), Phyllis E. LeBlanc (Université de Moncton), Martin Pâquet (Université Laval), Roberto Perin (Université York), Laura Pettinaroli (Institut catholique de Paris), Giovanni Pizzorusso (Université Gabriele D’Annunzio), Jules Racine (Université Laval), Amalia Renosto (Délégation du Québec à Rome), Gilles Routhier (Université Laval), Matteo Sanfilippo (Université ), Jean-Philippe Warren (Université Concordia).
Speaking Up captures the complex and fascinating history of the relationship between language and politics in Canada and Quebec from 1539 to the present. Nuanced and unbiased yet empathetic, the book reveals that the language issue has been at the heart of this country's political life for centuries.
Translated from the multiple-award-winning Langue et politique au Canada et au Québec (Boréal, 2010).
The main goal of this edition of Globe is to promote further research on energy seen as a source of conflicts and representations. This subject is explored from the perspective of various disciplines: history, sociology, regional development and economics. Thus, the importance of energy issues in Quebec during the 20th century and at the beginning of the 21st is the overall theme of this edition, while interdisciplinary dialogue highlights the political and social aspects of this question.
The five scholarly articles presented deal with the macro and micro levels of Quebec citizens’ empowerment, with the mechanisms for the study and management of energy issues, with electricity rates and profits and, finally, with the relationship between the self and significant others.
Contributors: Marie-José Fortin, Sophie Le Floch, Alexandre Lévesque, Martin Pâquet, Pierre-Olivier Pineau, Stéphane Savard, Jean-Philippe Warren."
C’est à une fascinante histoire de bruit et de fureur, de débats et de combats, de tensions mais aussi d’apaisements que convie Langue et politique au Canada et au Québec. Cernant l’enjeu linguistique dans la longue durée, cet ouvrage montre avec nuance, sans parti-pris mais avec empathie, à quel point la langue se situe depuis plusieurs siècles au cœur de la vie politique du pays. Plus qu’un livre d’histoire, il offre un regard nouveau sur l’un des grands enjeux de notre époque.
Pour qui légifère-t-on en matière linguistique ? Comment légifère-t-on ? Pourquoi ? Au nom de quels principes ? Ces questions sont au cœur du présent ouvrage. Dans une perspective interdisciplinaire, les contributions de ce recueil lèvent le voile sur divers facteurs qui ont transformé la langue en un problème politique requérant l’intervention de l’État au Canada, au Québec et dans les autres provinces canadiennes.
Balises et références. Puisant aux cas de l’Acadie et des autres francophonies, ce recueil parcourt l’aire des balises territoriales et le cadre des références identitaires. Trois trajectoires s’offrent alors au regard du promeneur : celle de l’enracinement dans l’espace et la mémoire ; celle de la frontière dans l’histoire et dans le temps présent ; celle de la diaspora dans le discours, le récit et la mouvance. Trois trajectoires qui permettent de saisir les relations complexes entre le Soi et l’Autre, entre l’Ici et l’Ailleurs, entre les balises du territoire et les références de l’identité.
Les textes qui composent cet ouvrage visent tous, dans des perspectives multiples et variées, à rendre compte de ce phénomène interculturel, principalement au Québec et en Acadie, mais aussi dans l'Ouest canadien et en Louisiane. En prenant à contre-pied certaines idées reçues sur la prétendue fermeture des petites collectivités qui tissent la toile de la francophonie nord-américaine, nos collaborateurs ont tenté de saisir comment ces mêmes collectivités ont de tout temps composé - et continuent de le faire - avec des formes variées d'altérité culturelle.
Recueillant des études issues de la plume de collègues et d'anciens étudiants, le présent ouvrage se veut un tribut d'honneur et un gage de reconnaissance amicale offerts à Yves Roby. À partir de pistes déblayées par l'historien au cours de sa carrière, ce recueil emprunte les parcours de l'histoire, en explorant la perspective duale de l'espace et du temps. Les études réunies ici cheminent sur certains sentiers parcourus par ce professeur de Laval : la pratique de l'histoire, l'espace québécois, l'espace franco-américain et les acteurs historiques dont l'imaginaire s'ouvre à la manière d'une interface entre ces deux aires.