Partage Des Connaissances

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Partage des connaissances


Le partage des connaissances est une des dimensions de la gestion des connaissances au sein
d'une organisation. La mise en œuvre de l'accès aux connaissances dans une organisation est un
facteur clef permettant aux individus de se les approprier afin de les mettre au service de
l'organisation.

Par exemple, la mise en place d’un référentiel des connaissances au sein de l'intranet permet la
formation des nouveaux arrivants dans une organisation. De même pour les acteurs en place, la
mise en commun de cours de formation en ligne par l’intermédiaire d’un référentiel des
connaissances, et la possibilité d’y accéder à tout un moment, est un facteur de sécurisation tant à
court terme (capacité à intégrer tout nouveau concept) qu'à plus long terme (capacité à évoluer par
auto-formation).

Sommaire
Dimensions
Transfert de connaissances
Recherche
Exploration
Sécurité & protection
Acteurs concernés
Moyens de protection de la connaissance
Outils
Au sein d'une organisation
L’historique formatif ou learning history
À l'échelle mondiale
Wikipédia
MOOC
Exemple de logiciels
Alfresco
WebShare
OpenGoo
Epiware
Evernote
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
Références
Dimensions
L'exploitation des connaissances passe par cinq opérations  : identification, création, stockage,
partage et utilisation.

Le partage des connaissances se concentre sur les outils de partage et d'utilisation des
connaissances mises à disposition dans une organisation ou à l’extérieur de celle-ci.

Transfert de connaissances

Le transfert de connaissances dans les domaines du développement organisationnel et de


l’apprentissage organisationnel est le problème pratique de la transmission de données d’une
partie de l’organisation à une autre (ou aux autres) partie(s).

éventuellement à mettre en forme et échanger ce savoir par le biais du système de la


1
Communauté de pratique
à diffuser ce savoir au sein de l'organisation, notamment (mais pas seulement) par des
2
moyens informatiques .

Recherche

Exploration

Sécurité & protection


3
La confidentialité est un volet essentiel de la protection des connaissances  :

C’est le seul moyen de protection des savoir-faire et inventions non brevetables.


La rupture de confidentialité d’une invention avant le dépôt d’une demande de brevet détruit
la nouveauté de cette invention, et empêche toute protection par le brevet.

La problématique du respect de la confidentialité doit donc se trouver au cœur de toutes les


décisions et mesures prises par chaque entreprise pour assurer la protection de ses innovations et
connaissances. Ainsi, dès le moment où on utilise un système de gestion de connaissances, toute
entité ayant vocation à y participer doit s’interroger sur la gestion de la confidentialité de ses
informations stratégiques.

Acteurs concernés

Salariés, stagiaires, intérimaires, personnel détaché

Les salariés de l’entreprise ayant accès aux informations stratégiques et/ou aux innovations
doivent être tenus d’une obligation de confidentialité renforcée. C’est aussi recommandé pour les
stagiaires, intérimaires, mais aussi pour les membres du personnel détachés d’une autre entreprise
ou organisation ayant accès aux informations confidentielles. L’obligation de confidentialité doit
s’imposer aux salariés tant durant leur contrat de travail, qu’après la fin de celui-ci.
Or, les
règlements intérieurs ne s’appliquent pas à ce personnel externe, qui devra donc signer des
accords spécifiques de confidentialité.

Prestataires, sous-traitants et autres personnes externes à l’entreprise


À chaque fois qu’il existe un risque qu’un sous-traitant puisse accéder, de par les missions qui lui
sont confiées, à certaines informations confidentielles, il convient de lui imposer une obligation de
confidentialité, tant pour la durée du contrat de prestations ou de sous-traitance qu’après la fin de
celui-ci.

Moyens de protection de la connaissance

Engagements contractuels de confidentialité

Le moyen le plus efficace d’imposer une obligation de confidentialité est de faire souscrire un
engagement contractuel de confidentialité. Il peut s’agir de clauses de confidentialité intégrées
dans des accords plus larges, tels que contrats de travail ou contrats de sous-traitance, ou bien
d’engagements spécifiques.

Système de sécurité

Le respect de la confidentialité de ses informations et innovations passe également par la mise en


place d’un système de sécurité d’entreprise efficace, c’est-à-dire dans la mise en place de mesures
physiques de sécurité, destinées à limiter et/ou contrôler l’accès aux informations confidentielles.
Par exemple, avec accès restreint aux archives ou mesures de sécurité électroniques.

Charte de confidentialité dans l’entreprise

Outre les obligations de confidentialité, généralement prévues dans les contrats de travail, une
charte de confidentialité peut être utilement mise en place au sein des entreprises.
Elle décrit les
règles que les salariés doivent respecter dans le traitement des informations sous toutes leurs
formes (documents papier, documents électroniques, informations orales).

Traçabilité de l’information confidentielle

La traçabilité de l’information confidentielle renforce le contrôle par marquage (suivi des accès et
modifications) avec une liste de toutes les informations confidentielles affectées, la forme de la
communication, le destinataire, et l’usage éventuellement autorisé de l’information par ce dernier.

Outils
Différents outils, souvent simples, certains gratuits, fournissent des méthodologies de gestion des
connaissances. C'est le cas des outils de syndication et des agrégateurs de flux RSS, des
technologies Push/Pull ou encore des outils de social bookmarking.

Au sein d'une organisation

Une grande diversité de familles d'outils se réclament de la gestion des connaissances. Il est
intéressant d'apprécier leurs aptitudes respectives par rapport à des aspects liés au contenu
manipulé unitairement (par exemple document, fiche, rubrique typée, etc.), à la modélisation
autorisée (rubricage, ontologies, workflow, etc.), à l'interopérabilité (ouverture avec d'autres
applications, web services), aux méta-données accessibles et gérables, à la dimension
collaborative, la prise en compte de la sécurité (droits, espaces de travail, communautés, forums,
etc.), aux protocoles de gestion (configuration, confidentialité, composition, etc.). D'autres
4
fonctionnalités de connaissances métrie liées au management des connaissances sont
nécessaires pour, par exemple, apprécier la nature de la base de connaissances via diverses
cartographies, les indicateurs de qualité, de fonctionnement et de pilotage.
Il existe de nombreux logiciels permettant de rassembler et ainsi d’échanger des connaissances
entre différents utilisateurs. S'ils ont un intérêt commun, ils peuvent collaborer au sein des
communautés de pratique. Ils présentent la capacité de créer différentes classes de connaissances,
5
de relier les informations entre elles et de les retranscrire sur des cartes  :

plateformes collaboratives - par exemple Knowledge Plaza ;


gestion des structures complexes de connaissances (terminologies, taxonomies, ontologies)
- par exemple Mondeca ;
gestion mixte des structures complexes de connaissances (rubriques, fiches, modèle,
classifications, droits, versions, configurations, interopérabilités, pondérations, etc.) - par
exemple Ardans ;
weblogs (ou blogs informationnels) ;
wikis conçus par excellence pour créer et partager de la connaissance ;
banques de connaissances, bases de connaissances ;
plateformes de formation en ligne (e-learning) ;
logiciels de gestion de la relation client pour la gestion du portefeuille client ;
de éditeurs de moteurs de recherche voire de logiciels de traduction se reconnaissent aussi
dans cette discipline...
foires du savoir

Il existe de nombreux outils de gestion des connaissances tels que les wiki, blogs et autres
plateformes collaboratives cité au-dessus avec chacune leurs avantages et leurs inconvénients.

L’historique formatif ou learning history

L'historique formatif est un document qui récite les événements cruciaux qui ont marqué le passé
récent de l’entreprise. Il a pour objectif de favoriser une réflexion collective sur l'expérience passée
d'une entreprise afin d'engendrer chez les salariés un dynamisme dans leurs actions et idées. Il
s’inspire du « récit collectif » où les tribus primitives se rassemblaient pour relater des événements
importants puis l’historien de l’apprentissage commentait le récit pour en retirer les leçons.

Origine

La méthodologie de l'historique formatif ou learning history a été créée en 1994 au MIT's Center
for Organizational Learning. Elle est explicitée dans l'article L'expérience comme guide de
l'entreprise, écrit par Art Kleiner et George Roth. Art Kleiner est enseignant dans le programme
des télécommunications interactives de l'Université de New-York. Il participe à la conception et au
développement des historiques formatifs depuis leur création. George Roth est, quant à lui,
chercher et maître de conférences à la Sloan School of Management du MIT et directeur général de
la Ford/MIT Collaboration. Son thème d'étude actuel est les différents moyens d'apprentissage
dans les entreprises.

Contenu

L’historique formatif est disposé en deux colonnes :

La partie droite contient les épisodes importants qui sont relatés par les acteurs qui y ont participé,
subi les conséquences et les ont observés de près, qu’ils soient à l’intérieur de l’entreprise c.à.d. des
cadres, ouvriers, secrétaires… ou des acteurs externes (clients, fournisseurs, rédacteurs
publicitaires…). Chaque acteur doit être cité et identifié seulement par sa fonction (l’anonymat).

La partie gauche contient les analyses et les commentaires des historiens de


l é d h é d é l
l’apprentissage.L’équipe des historiens est constituée d’intervenants extérieurs (consultants,
universitaires spécialisés dans l’apprentissage collectif) et de collaborateurs internes (direction des
ressources humaines, service des méthodes d’organisation). Ce travail consiste à analyser le récit
de la partie droite pour signaler les thèmes récurrents, poser les questions, et soulever les
problèmes implicites.

Après la rédaction de l’historique, il sert de base aux discussions de groupe menées par des
collaborateurs susceptibles d’en profiter. L’historique formatif est tout autant un processus qu’un
produit.

Effets positifs

L’outil a plusieurs effets positifs sur l’organisation :

Cet outil permet d’instaurer un climat de confiance, plus la confiance se développe, plus elle
crée un environnement propice à l’apprentissage surtout collectif, car celui-ci dépend de la
mise en commun des idées.
Les historiques formatifs présentent les avantages de poser des questions dont les gens
aimeraient discuter mais qu’ils n’ont pas eu le courage d’aborder ouvertement (l’anonymat
facilite la liberté d’expression).
Les historiques ont fait leurs preuves comme moyen de transférer des connaissances d’une
partie de l’entreprise à l’autre.
Les historiques d’apprentissage aident à constituer un ensemble généralisable de
connaissances sur l’art de diriger, sur les méthodes fructueuses et les méthodes stériles.Ils
pourraient un jour figurer dans bon nombre de traités et de livres de cours utilisés dans les
écoles et même être une source d’inspiration pour les chercheurs.

Cet outil est en train de dépasser le stade expérimental, mais comme il est relativement récent, il
faut encore attendre quelques années et revisiter les entreprises ayant l’utilisé pour évaluer son
efficacité.

Construction

Pour la construction d’un historique formatif, les étapes nécessaires sont :

chaque historique commence par un titre stimulant qui donne au lecteur un rôle
intellectuellement actif;
chaque tableau commence par un prologue;
dans la colonne droite, le participant raconte sa version de l’histoire. Les citations choisies
sont celles qui donnent une impulsion dramatique au récit et qui portent un regard utile sur
l’épisode;
la colonne gauche fournit les commentaires, les questions et les interprétations des histoires;
il faut interroger tous les acteurs qui ont un effet sur l’épisode;
rendre explicites les divergences implicites et les transformer en points de départ de
discussions fructueuses;
permettre au lecteur d’accéder à une vue d’ensemble, d’entrevoir la possibilité d’en tirer des
leçons de portée générale. 

À l'échelle mondiale

Au-delà des outils de gestion des connaissances utilisés à l'échelle d'une organisation, ou d'une
communauté, on a récemment vu naître des outils de gestion des connaissances à l'échelle
di l C i t t l' tili ti d l l i d é i t l q
mondiale. Ceci notamment avec l'utilisation de plus en plus massive des réseaux sociaux tels que
Twitter, ou autres. C'est de la gestion des connaissances sociale et à très grande échelle. Il s'agit là
d'une nouvelle manière d'accéder et de diffuser des flots d'information. Dans la mesure où ces flots
d'information peuvent être filtrés, classés et ordonnés par les utilisateurs, on peut parler de
Twitter comme d'un outil de gestion des connaissances. La bonne gestion des données et
informations véhiculées au travers de cette plateforme qu'est Twitter, demande, de la part de
l'utilisateur, une connaissance des différentes fonctionnalités et subtilités de Twitter. On peut
facilement accéder à la connaissance de ces spécificités, d'autant plus qu'il existe un nombre assez
important de tutoriels, au sein même de Twitter, formant à la bonne gestion des informations de la
twittosphère. Enfin, comme tout bon outil de KM, Twitter permet aussi de stocker des
informations.

Twitter est maintenant perçu par beaucoup comme un outil de knowledge management social
dans la mesure où il est fait pour et par des individus de tous horizons, un peu sur le même
principe que Wikipédia.

Le début des années 2010 a vu l'émergence d'une nouvelle forme de stockage des données avec le
cloud computing. Ces nouveaux outils permettent de faire tomber de nombreuses barrières
techniques en proposant des outils clés en main. De plus l'outil de gestion des connaissances choisi
est désormais accessible depuis n'importe quel lieu et plateforme informatique reliée à internet.

Des outils comme Google Documents, SkyDrive, Dropbox ou Alfresco online permettent ainsi le
partage de fichiers et/ou la modification en commun de ces fichiers. Les plus complets d'entre eux
permettent même de garder en mémoire les différentes versions d'un même document de façon a
conserver une traçabilité des modifications.

Wikipédia

L'appréhension des outils de gestion de connaissances passe par la compréhension du


fonctionnement de ces outils. Wikipédia, en tant que plateforme regroupant les contributions de
tout utilisateur, est un parangon de la problématique de centralisation des connaissances.

MOOC

Un MOOC (Massive Open Online Course) est un cours en ligne visant la participation interactive à
grande échelle et le libre accès via le web. Les MOOC ont pris ces trois dernières années un essor
fulgurant. Basés sur le partage des cours en ligne, les MOOC ont dépassé énormément les chiffres
des universités en ciblant plusieurs catégories d’apprenants, les participants aux cours,
enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement
par Internet.

En assurant une facilité d’accès et en éliminant les contraintes de temps, les MOOC sont
aujourd’hui parmi les outils les plus révolutionnaires en termes de partage de connaissances, le
succès de ces derniers a changé la façon d’aborder l’apprentissage, les académiciens ont
aujourd’hui de nouvelles idées concernant les modes d’apprentissage et les motivations des
étudiants.

Les chiffres récoltés sur les plateformes de MOOC montrent clairement la dimension massive de
ces formations, par exemple  : la plateforme Coursera a dépassé 6 millions inscrits en début de
6
janvier 2014 , Le plus grand MOOC à ce jour a regroupé 300 000 inscrits à son démarrage.

En France, le MOOC ABC Gestion de projet de l’école Centrale de Lille, a dépassé pour sa
deuxième session de 16 septembre 2013 les 10 000 inscriptions, une troisième session est ouverte
7
au recrutement le 10 mars 2014 . 
Exemple de logiciels

Alfresco

Alfresco est une plateforme de collaboration et de gestion des contenus critiques de l'entreprise.
Elle facilite la gestion des processus à gros volumes de documents et permet de collaborer en toute
sécurité. Les entreprises peuvent ainsi répondre parfaitement aux besoins de leurs clients et
s’adapter rapidement aux évolutions du marché. Chaque jour, près de 7 millions de professionnels
dans plus de 180 pays utilisent Alfresco pour gérer 4 milliards de documents, fichiers et processus,
8
derrière le pare-feu, dans le cloud ou encore sur leurs appareils mobiles .

WebShare

WebShare est un projet open source écrit en  Ajax/PHP conçu pour gérer et administrer des
fichiers hébergés sur un ou plusieurs serveurs FTP depuis un simple navigateur web. Se présentant
comme un explorateur classique, et ne nécessitant pas de configuration complexe, Webshare se
met à la portée de tous les utilisateurs qui pourront retrouver tous les éléments auxquels ils sont
habitués  : les documents sous forme d’icônes, l’arborescence et le menu contextuel permettant
d’effectuer les actions courantes, ce, en toute convivialité dans une interface skinnable et
multilingue. De son côté, l’administrateur pourra définir précisément les droits et les accès aux
partages pour chaque compte utilisateur.

OpenGoo

OpenGoo est une suite bureautique en ligne. L’application peut être téléchargée et installée sur son
propre serveur (support tout type AMP). Les caractéristiques principales incluent entre autres la
gestion documentaire, la bureautique (traitement de texte, tableur (en projet), présentation), les
contacts, les e-mail, la gestion de projet, la gestion des taches, un calendrier partageable, etc.
OpenGoo peut aussi être vue comme une suite collaborative et comme un gestionnaire
d’informations personnelles. Ce logiciel supporte plusieurs langues dont le français.

Epiware

Epiware est un portail collaboratif qui permet à plusieurs utilisateurs de partager des documents,
mais aussi de gérer des projets en ligne en distribuant des droits à chacun d'entre eux. En haut de
l'échelle, le module " Root manager " est chargé de l'administration du portail : il crée les différents
projets et associe un administrateur pour chacun d'entre eux.

Evernote

Evernote  est un  logiciel  qui permet de capturer des informations, sous forme de notes, images,
vidéos, ou pages web. Il est utilisable dans plusieurs environnements, avec de nombreux appareils
et/ou plateformes différentes. Une « note » peut être un texte mis en forme, une page web (entière
ou un extrait), une photo, un mémo vocal ou une note manuscrite et peut également inclure des
pièces jointes. Les notes peuvent être triées dans des carnets de notes, être taguées, annotées,
éditées, commentées et retrouvées via un module de recherche. Il est publié par l'entreprise
éponyme1. Le logiciel propose le même genre de fonctionnalités que son concurrent OneNote qui
est l'un des logiciels de la suite Office.

Voir aussi
Voir aussi
Articles connexes
Gestion des connaissances

Liens externes
(fr)

Bibliographie

Références
1. Concernant les communautés de pratique et les dynamiques du savoir, voir Dynamique du
savoir, communautés de pratique : nouvelles perspectives pour la formation (http://www.cedefo
p.europa.eu/etv/Upload/Information_resources/Bookshop/120/19_fr_tomassini.pdf) par M.
Tomassini
2. Sur cet aspect, voir le 2e principe (http://www.itmweb.com/essay538.htm#hybrid) de la gestion
des connaissances (KM) défini par Thomas H. Davenport dans Some Principles of Knowledge
Management (http://www.itmweb.com/essay538.htm), 1995
3. Guide de la Propriété Intellectuelle (http://www.industrie.gouv.fr/guidepropintel/fiches_pratique
s/la_confidentialite.htm)
4. F.Vexler, in Le-Mis, Paris 11 Oct. 2011
5. Appréhender le Knowledge Management (http://www.journaldunet.com/solutions/dossiers/prati
que/knowledge_management.shtml) sur LeJournalduNet
6. (en) « Coursera / Build Skills with Online Courses from Top Institutions » (https://www.coursera.
org/), sur Coursera (consulté le 14 août 2020).
7. http://gestiondeprojet.pm/ (http://gestiondeprojet.pm/)<o:p></o:p>
8. http://www.alfresco.com/fr (http://www.alfresco.com/fr)

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