142-Texte de L'article-328-1-10-20220407
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Résumé
La thématique menée dans le cadre de ce travail porte sur l’évaluation du niveau d’application
des normes d’une maternité de base dans la Zone de Santé de KARISIMBI. La collecte des
données s’est faite à l’aide des méthodes descriptive, statistique, comparative et analytique.
L’objectif visé est d’évaluer le niveau d’application des normes d’une maternité de base. Pour
tenter de répondre à la question de recherche, 4 hypothèses ont été émises : le niveau
d’application des normes d’une maternité de base en rapport avec les ressources humaines
n’est pas satisfaisant. Il en est de même en rapport avec les infrastructures et les ressources
matérielles ainsi qu’avec le choix de la prise en charge médicamenteuse. Après nos recherches,
nous avons atteint les résultats suivants : 42,2% de structure n’ont recruté aucune sage-femme
dans le service de la maternité ; malgré un pourcentage élevé soit 94,7% des institutions
sanitaires avec bâtiment construit en matériaux durable ; ce n’est que 5,3% des structures où la
maternité obéit aux normes d’espace. (22m2 de surface) ; aucune structure ne possède pas la
totalité des matériels nécessaires pour le service de la maternité ; 95% des structures enquêtées
retiennent des parturientes de plus de 12 heures sans tenir compte des risques pouvant survenir.
Mais aussi 17,5% des structures sanitaires enquêtées ont confirmé qu’elles administrent de
l’ocytocine devant un utérus quatre fois cicatriciel.
Abstract
The theme carried out within the framework of this work concerns the assessment of the level of
application of the standards of a basic maternity unit in the KARISIMBI Health Zone. Data
collection was done using descriptive, statistical, comparative and analytical methods. The
objective is to assess the level of application of the standards of a basic maternity hospital. In
attempting to answer the research question, four hypotheses were put forward: the level of
application of the standards of a basic maternity unit related to human resources is not
satisfactory; the level of application of basic maternity standards in relation to facilities is not
satisfactory; the level of application of the standards of a basic maternity unit in relation to
material resources is not satisfactory; ; the level of application of the standards of a basic
maternity unit in relation to the choice of drug management is not satisfactory. After our
research, we have achieved the following results: 42.2% of the health structures did not recruit
any midwife in the maternity ward; despite a high percentage, i.e.94.7% of health institutions
with buildings constructed from sustainable materials; it is only 5.3% of the structures where
the maternity unit obeys the space standards. (22m2 of surface); no structure has all the
required equipment for the maternity service; 95% of our respondents retain parturients for
more than 12 hours without taking into account the risks that may arise. But also 17.5% of our
respondents confirmed that they administer oxytocin in front of a four-fold scarred uterus.
1. INTRODUCTION
D
ans le monde, la mortalité maternelle constitue un problème majeur de santé
publique. La plupart de pays se sont inscrits dans la dynamique de recherche
des réponses adéquates à ces problèmes. Selon l’Organisation Mondiale de la
Santé, à chaque minute qui passe dans le monde entier, une femme meurt pour cause de
procréation. (OMS 2019).
Les femmes sont maltraitées, dans de nombreux pays lorsqu’elles accouchent dans les
établissements de santé. En outre, le personnel de santé ne bénéficie pas de conseils ou
de supervisions facilitantes pour dispenser des soins de maternité respectueux. C’est
ainsi qu’au cours des dernières décennies, les efforts ont été déployés dans le monde
pour souligner l’importance de l’éthique professionnelle subjacente et des aspects
psycho sociaux et culturels de la prestation des soins de santé comme éléments
essentiels. (JH piège, 2016).
Ainsi, pour mettre l’accent sur les soins respectueux et compétents au service de la
maternité, les recherches effectuées au centre hospitalier du Cateau-Cambrésis à la
maternité Francis Hottier ont prouvé que pour une maternité où les femmes peuvent
bénéficier des soins de qualité doit avoir une équipe constituée de personnel qui suit : un
Chef de service, coordonnateur, gynécologue-obstétricien, un pédiatre, un réanimateur,
une gage-femme, un infirmier, un auxiliaire de puériculture, un aide-soignant, un
secrétaire médical et un agent de service hospitalier qualifié.
En effet, malgré le progrès accompli au niveau mondial, dans le but d’améliorer la santé
maternelle, les systèmes de santé sont sous équipés et les agents de santé sont accablés
en raison du salaire inadéquat, d’un manque d’infrastructure, d’un manque de personnel
qualifié et de fournitures (Francis, 2015). La mortalité maternelle est l’indicateur de
santé qui relève la plus grande inégalité entre les pays développés et ceux en
développement respectivement 7 et 18 fois de plus. (Anonyme, 2006).
internationale sur cette question. On se demande ce qui est à la base de cette mortalité
maternelle.
En Afrique, on compte 250 000 décès maternels (enfants ayant moins de six ans) par an,
ce qui fait d’elle la première cause de décès chez les femmes en âge de procréation. A
l’Ouest du même contient, c’est une femme sur sept qui risque de mourir chaque année
de suite de la grossesse ou de l’accouchement (Boubacar Mortalité infantile : 2008).
A noter qu’à Goma au Nord-Kivu, les multiples causes liées à la mortalité infantile sont
enregistrées notamment, la pneumonie, la diarrhée, la naissance prématurée, l’infection
néonatale, le manque d’oxygène à la naissance, la négligence du contrôle prénatale de
certaines femmes ainsi que l’imprudence des sages-femmes selon le rapport sur la
mortalité infantile dans la ville de Goma effectué par l’Hôpital Charité Maternelle en
mars 2019.
148 (2020) An. Unigom, X, 1
Il est difficile de confirmer que les femmes bénéficient des soins compétents et
respectueux pendant l’accouchement (JH PIEGO, 2016). Les soins respectueux et
compétents au service de la maternité, des soins de qualité doivent avoir une équipe
constituée de personnel qui suit : un Chef de service, un coordonnateur, gynécologue-
obstétricien, un pédiatre, un réanimateur, une sage-femme, un infirmier, un auxiliaire de
puériculture, un aide-soignant, un secrétaire médical, un agent de service hospitalier
qualifié (FRANCIS, 2015). En effet, imposée à une sage-femme de rester dans un service
à une faible activité ne nécessite pas sa présence et peut s’avérer pénalisant pour les
services qui eux auraient besoin de plus de personnel.
Par exemple : Médicaments pour les soins du nouveau-né, les ARV, les
anticonvulsivants, les antihypertenseurs, les utéro toniques, les anesthésiques, les
solutés, les anti – paludéens, les antipyrétiques et autres médicaments (féfol,).
3. APPROCHE METHODOLOGIQUE
centres de santé porteurs de nom des aires de santé, nous préférons enquêter un nombre
réduit qui correspond à un échantillon représentatif avec les caractéristiques sociales.
- Critères d’inclusion
Pour répondre à notre questionnaire d’enquête et nous fournir des informations que
nous cherchons dans la commune de Karisimbi, quelques critères sont fixés : Être un
personnel soignant surtout de la maternité affectée au sein des centres de santé de
recherche et accepter de répondre à notre questionnaire.
- Critères d’exclusion
Seront exclus de cette étude : Toute personne néophyte dans les services des maternités
et absente lors de nos enquêtes. Bref, celui qui n’a pas la capacité de répondre à nos
questions.
n= la taille de l’échantillon ; c’est-à-dire le nombre total des tous les soignants qui vont
répondre aux questionnaires d’enquêtes.
Q= inverse de la prévalence (1- P) c’est-à-dire l’ensemble des tous les personnels qui ne
seront pas concernés par le problème d’étude.
N.𝑍 2 .𝑃𝑄
D’où nous avons la formule suivante : 𝑛 = N.𝑑2 +𝑍2 .𝑃𝑄 OU 𝑛=
N 𝑍 2 +𝑃(1−𝑝)
N 𝑑2 + 𝑍 2 .𝑃(1−𝑃)
153,664𝑥0,5
𝑛=
0,1 + 1,9208
76,832
𝑛=
2,0208
𝑛 = 38
Il est remarquable qu’à part les C.S de référence qui affectent plus de deux personnes
soignant à la maternité, nous avons eu des surplus pour d’autres institutions comme le
C.S Majengo. C’est pourquoi nous avons retenu un échantillon de quarante lors de la
descente sur terrain.
Juste au début de nos enquêtes, les infirmiers titulaires des dix-neuf centres de santés
nous présentaient les différents services et principalement le service de maternité avec le
personnel qui y est affecté.
- Méthodes : Dans cette étude, nous allons procéder par la considération des données
numériques ainsi que l’assemblage des données non chiffrées.
La technique dont nous avions fait recours est celle d’interview face à face. Avec la
vérification des dossiers administratifs du personnel affecté au service de la maternité.
L'observation libre nous a permis d’avoir une idée concernant l’application des normes
d’une maternité de base.
Dans le cas de notre recherche, cette technique va nous permettre d’accéder à certaines
informations par les enquêtés qui sont les personnels soignants et surtout ceux affectés à
la maternité, grâce à la communication verbale afin de recueillir les informations
objectives.
- Questionnaire d’enquête
Elle consiste en une élaboration d’un questionnaire sur des bases variables dépendante
et leurs indicateurs liés aux hypothèses et aux objectifs de notre étude.
Elle comprend des questions ouvertes et fermées, directe qui permettent de recueillir
des informations susceptibles de vérifier les hypothèses formulées
152 (2020) An. Unigom, X, 1
- Technique documentaire
Elle nous a permis d’exploiter les documents, ouvrages, archives tant officiels que
privés, publiés en vue de comprendre aisément le bien-fondé des données fournies.
Après avoir fait la descente sur terrain, voici les résultats obtenus :
Commentaire : Ce tableau montre que la majorité de personnel soignant soit 85% ont
déjà attendu parlé des normes d’une maternité contre 15% représentant les agents
n’ayant jamais attendu parlé des normes.
Tableau n° 2 : option que doit avoir suivi le corps soignant affecté à la maternité
Option suivie Fréquence Pourcentage
Hospitalière 3 7,5
Hospitalière ou Sage-Femme / Accoucheuse 7 17,5
Sage - femme / Accoucheuse 30 75,0
Total 40 100,0
Commentaire : Ce tableau nous montre que 75% de nos répondants savent que la
personne affectée au service de la maternité doit avoir suivi l’option sage-
femme/Accoucheuse.
Commentaire : Le tableau ci-dessus nous montre que 87,5% de répondants savent que
les infirmiers recyclés remplissent la condition pour être affecté à la maternité et 12,5%
l’infirment.
S. Bwira Muhombo et al., Evaluation du niveau d’application des normes ... 153
Commentaire : Le tableau n°4 montre qu’il existe encore des structures qui n’ont
aucune sage-femme ; soit 42% des structures ne répondant pas aux normes par rapport
au personnel soignant. Soit 8 parmi les 19 structures qui n’ont aucune sage –femme.
Commentaire : Le tableau n°5 montre qu’il existe encore des services de maternité
construit en planche soit 5,3%.
Commentaire : Le tableau n°6 montre que 73,7% de Centre de santé ont des bâtiments
de maternité mesurant 10 à 15 m² ; 21% des bâtiments mesurant 16 à 21 m² ; 5,3% des
bâtiments mesurant 22m² et plus. Cela montre que seulement 5,3% soit un seul centre
de santé respecte la dimension que doit avoir le bâtiment du service de la maternité.
Commentaire : le tableau n°8 montre que 94,7% des centres de santé ont les
incinérateurs non sécurisés et que seulement 5,3% soit une seule institution a
l’incinérateur sécurisé.
Commentaire : Le tableau n°9 montre que 52,2% optent pour la totalité des matériels
énumérés pour la constitution d’une boite d’accouchement ; 20% de personnel soignant
ne tient pas compte de la pince porte-tempo parmi les constituants d’une boite
d’accouchement ; 12,5% a omis la pince anatomique sans dent et la pince porte-tempo ;
10% ont omis la pince anatomique sans dent ; 2,5% n’ont pas tenu compte des pinces
anatomiques sans dent ni des pinces anatomiques avec dent et non plus de porte-
tempo ; 2,5% ont omis les 2 paires de ciseau.
S. Bwira Muhombo et al., Evaluation du niveau d’application des normes ... 155
Tableau n°13 : Choix de la prise en charge d'une parturiente avec un utérus à haut
risque.
Commentaire : Le tableau n°13 montre qu’en cas de l’utérus à haut risque, les agents
prennent des mesures suivantes : 75% réfèrent vers la structure SOC (Hôpital) ; 17,5%
des personnes interrogées stimulent le travail par l’administration de l’ocytocine en
perfusion ; et s’il y a eu échec, 5% utilisent le misoprostol ¼ de comprimés en intra
cervical et 2,5% stimulent le travail avec la sonde de Folley.
Sous ce point, nous confrontons les résultats des enquêtes aux études antérieures et
théoriques existantes en vue de voir ce qui correspond et ce qui contredit les autres
études auxquelles la recherche a fait allusion surtout cadrant avec notre thématique.
Selon le tableau n°1, la majorité des personnels soignant connaissent les normes contre
une minorité n’ayant pas une connaissance sur les normes d’une maternité. Ainsi, nous
constatons que les critères de la mise en accent sur les soins respectueux et compétents
au service de la maternité ne sont pas respectés au sein de nos institutions de base par le
fait que nous n’avons pas de gynécologues-obstétriciens ni d’auxiliaires de puériculture
et ni de réanimateurs.
Mais aussi, des mêmes études faites par Monsieur FRANCI en 2015 portant sur les
soins respectueux et compétents au service de la maternité mettent l’accent sur la
présence d’une sage-femme ou d’un infirmier recyclé en service dont fait l’objet de
notre étude. Ainsi nous avons obtenu que 42,2% des institutions sanitaires n’ont pas
recruté des sages-femmes au sein de leurs services de la maternité.
Après les enquêtes menées au Niger en octobre 2006, portant sur les normes sanitaires,
le ministre de solidarité et de la santé a démontré que 87% de femmes ayant accouché
par voie basse ont précisé qu’une sage-femme avait réalisé leur accouchement
(MINISANTE 2006). Chose contraire par rapport aux résultats de nos enquêtes où l’on
est loin de la moitié.
Bedouma Alain en 2004 avait déterminé les salles constituant le service de la maternité
au niveau de centre de santé. Il énumère :
En comparant ces normes par rapport aux résultats obtenus, nous constatons que les
maternités du niveau de base n’ont ni la salle d’attente, ni la salle de consultation avec
paillasse ; la majorité des institutions enquêtées n’ont qu’une salle de travail confondue
158 (2020) An. Unigom, X, 1
à la salle de post partum immédiat et tardif, ainsi que la salle d’accouchement. Or il est
connu qu’avant un mois les décès sont principalement dus à des causes liées à la
grossesse, l’accouchement ou à des anomalies liées à la naissance. (Duboz Pierre,
1984)
Opertha (2012) dans le livre de soins obstétricaux essentiels propose que dans toutes les
maternités de base soit 100% de maternités, ont les équipements ci – après : la table ou
lit d’examen, la table d’accouchement avec étriers, une source de lumière (lampe
d’examen gynécologique), le thermomètre mural, l’horloge mural, les coins chauffants
ou table avec source de chaleur, le pose – bébé, l’aspirateur et le stérilisateur.
Mais à partir du résultat du tableau N°10, nous avons constaté que 100% de maternités
ne possèdent ni le thermomètre mural, ni horloge mural, ni coins chauffants, ni lampe
d’examen gynécologique. Ce n’est qu’une seule institution qui possède la lampe
d’examen gynécologique mais ne fonctionnant pas faute du courant électrique.
Les normes portant sur les médicaments nécessaires du service de la maternité sont les
suivantes :
En effet, par observation libre, nous avons constaté que les centres de la zone de santé
de Karisimbi ne réalisent pas 100% des médicaments nécessaires du service de la
maternité.
S. Bwira Muhombo et al., Evaluation du niveau d’application des normes ... 159
Ainsi, nous avons également constaté que seule l’ocytocine est le produit retrouvé au
sein de toutes les institutions. Malgré leur état de conservation (boite insothermique
avec le concentrateur du froid remplacé tardivement.
Dans un des journaux gynécologiques paru en 2012, d’ELSEVIE, l’on suggère le non
déclenchement du travail d’accouchement moyennant l’ocytocine devant un utérus
cicatriciel. Chose contraire au résultat obtenu selon le tableau N°13 qui montre que 25%
n’ont pas un bon choix dans la prise en charge de l’accouchement, de la grossesse à haut
risque ; un faible pourcentage opte pour l’administration du misoprostol en intra-
cervical, soit l’administration de l’ocytocine, conduite à éviter en obstétrique. Cela
justifiera que le personnel soignant affecté au service de la maternité a des difficultés
dans la prise en charge de l’accouchement.
4. CONCLUSION
Face aux multiples défis des normes d’une maternité de base en RD Congo, le contrôle
est souvent relégué au second plan. Dans ce travail, les auteurs présentent les résultats
obtenus après avoir fait des recherches sur la thématique intitulée « Evaluation du
niveau d’application des normes d’une maternité de base dans la zone de santé de
Karisimbi, ‘’cas des maternités agréées’’ du 1er Janvier au 30 Juin 2019 ».
Afin d’atteindre nos objectifs et vérifier nos hypothèses, nous avons fait recours aux
méthodes ainsi qu’aux techniques de collecte des données suivantes :
- l’enquête par observation directe,
- l’interview dirigée ;
- l’analyse documentaire qui s’est matérialisé par une bibliographie.
En effet, un questionnaire (de type fermé et ouvert) nous a facilité la collecte des
données numériques auprès de 40 agents affectés au service de la maternité de différents
centres de santé de la zone ; spécifiquement par les centres de santé représentatifs des
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aires de santé de la zone de Karisimbi. Ce qui donne les résultats suivants pour vérifier
la 1ère, 2ème, 3ème et 4ème hypothèses, nous avons :
- constaté que les infirmiers non recyclés représentent 70% et les personnels
affectés au service de la maternité et la sage – femme ne représentent que 10%.
C’est pourquoi la première hypothèse est confirmée parce qu’il y a des structures
ne disposant pas de sages-femmes.
- obtenu encore des services de maternité construits en planche et mesurant 10 à
15m² soit respectivement 5,3% et 73,7%. D’où la rétention de la 2ème hypothèse.
- l’application des normes d’une maternité de base en rapport avec les
matériels.52,2% n’en possèdent pas. Ainsi notre 3ème hypothèse est confirmée.
- Pour vérifier notre 4ème hypothèse traitant de l’application des normes d’une
maternité de base en rapport avec le choix de la prise en charge
médicamenteuse, nous avons constaté que 25% de personnes affectées à la
maternité ne sont pas en mesure de prendre une décision adéquate devant une
parturiente avec utérus 4 fois cicatriciel, 5% utilise la Vit K3, et 2,5% ont opté
pour la référence. Ainsi donc, l’on peut confirmer notre dernière hypothèse.
5. BIBLIOGRAPHIE