методика всі лекції
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Atelier 1
Література
1. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
2. Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови //
Іноземні мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
3. Ніколаєва С.Ю., Петращук О.П., Бражник Н.О. Ступенева система
освіти в Україні та система навчання іноземних мов. – К.: Ленвіт, 1996.
4. Плахотник В.М. Навчання іноземних мов у середній школі: концепція
та її реалізація // Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.9-12.
Atelier 2
Système de l’enseignement d’une langue étrangère
accès direct. Les activités langagières de médiation, (re)traitant un texte déjà là,
tiennent une place considérable dans le fonctionnement langagier ordinaire de
nos sociétés.
Domaines
Tout acte de parole s'inscrit dans le contexte d'une situation donnée, dans
le cadre de l'un des domaines (sphères d'activité ou centres d'intérêt) de la vie
sociale. Le choix des domaines pour lesquels on rend l'apprenant opérationnel a
des conséquences qui vont loin dans la sélection des situations, des buts, des
tâches, des thèmes et des textes autant pour l'enseignement que pour le matériel
d'évaluation et les activités. Il est bon que les utilisateurs gardent présente à
l'esprit la motivation que crée le choix de domaines immédiatement pertinents
relativement à leur utilité future.
Par exemple, on peut motiver des enfants en se concentrant sur leurs
centres d'intérêt présents mais ils risquent de se trouverr mal préparés plus tard
à communiquer dans un environnement adulte.
Le nombre des domaines possibles est indéterminé ; en effet, n'importe
quel centre d'intérêt ou sphère d'activité peut constituer le domaine d'un usager
donné ou un programme de cours. Toutefois, en ce qui concerne l'enseignement
et l'apprentissage des langues en général, on peut utilement distinguer au moins
les domaines suivants :
le domaine personnel, qui est celui de la vie privée du sujet, centrée
sur le foyer, la famille et les amis et dans lequel il s'engage également dans des
activités proprement individuelles telles que lire pour le plaisir, tenir un journal,
pratiquer un passe-temps ou se consacrer à un intérêt particulier, etc. ;
le domaine public, qui est celui où le sujet est engagé, comme tout
citoyen, ou comme membre d'un organisme, dans des transactions diverses pour
des buts différents ; sous domaine public, on situe tout ce qui relève des
échanges sociaux ordinaires (relations commerçantes et civiles ; services
publics, activités culturelles, de loisir dans des lieux publics, relations aux
médias, etc.) ;
le domaine professionnel recouvre tout ce qui concerne les
interventions et relations des acteurs dans l'exercice de leur activité
professionnelle ;
le domaine éducationnel dans lequel le sujet est impliqué dans un
système éducatif, notamment (mais pas obligatoirement) dans une institution
d'enseignement.
20
- principe de stabilité ;
- principe de compréhension consciente ;
- principe scientifique ;
- principe d’étude active ;
- principe d’enseignement éducatif ;
- principe d’approche individuelle, d’individualisation ;
- principe d’accessibilité ;
- principe de continuité et systématisation.
Principe d’étude par démonstration/d’utilisation de matériel audio/visuel.
La question de l’emploi des moyens de démonstration a été délibérée depuis
longtemps. Les moyens de audio/visuels montrent un ou plusieurs côtés de la
réalité. Ils aident à former les images que l’activité mentale transforme en
notions. On réalise ce principe à l’aide des moyens linguistiques (contexte,
définition, synonymes) et extra-linguistiques (gestes, mimique, mouvements,
objets et moyens audio-visuels: cartes, photos, BD, films, tableaux.
Le principe d’enseignement proportionné aux forces prévoit la
sélection appliquée du matériel à apprendre et des exercices avec ce matériel en
prenant en considération le niveau de formation des élèves. Les devoirs doivent
être compréhensibles aux élèves.
La proportion aux forces des devoirs dépend de la quantité du materiél à
apprendre, du rythme d’exécution des exercices, du niveau des savoir-faire réels
des élèves. Si le niveau de complication des devoirs posés correspond au niveau
des savoir-faire des élèves l’apprentissage est à mesure de leurs forces.
Le principe de stabilité est basé sur les règles didactiques suivantes:
1) en abordant les nouveaux sujets répéter ce qui a été étudié;
2) ne pas passer au nouveau matériel sans être sûr que les élèves ont
assimilé le précédent;
3) exiger que les élèves ne fassent rien pis qu’auparavant;
4) faire systématiquement mémoriser le matériel et développer les
automatismes et les savoir-faire.
Les conditions obligatoires de la stabilité sont:
o la parole claire et distinct du professeur;
o chez les élèves le fonctionnement de tous les organes de
sensibilité au moment de la perception;
o la répétition incessante de tout ce qui a été appris.
La stabilité d’assimilation du matériel linguistique et langagiere peut être
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de la langue.
Le principe d’enseignement éducatif prévoit la possibilité d’élève de se
présenter comme personnalité, de se développer harmonieusement, de
perfectionner ses capacités, de former ses motifs cognifs comme dominés, de
réaliser son activité individuelle. L’élève devient le sujet égal dans
l’aprentissage avec le professeur en prenant une part active à l’organisation du
processus pédagogique. Une telle organisation de l’enseingement aide à former
des traits positifs du caractere de l’élève.
Le principe d’individualisation consiste en ce qu’il faut prendre en
considération les particularités individuelles et psychologiques de l’élève pour
que les études aient de bons résultats.
Le principe de continuité et systématisation. Chaque science a sa
logique. Il faudrait exposer le matériel suivant le système de la science (article –
nom – adjectif – verbe). Chaque thème doit être divisé en questions. Chaque
question découle de la précédente et contribue à son élargissement et son
approfondissement.
Les principes méthodologiques:
principe communicatif/de communicabilité;
principe d’enseignement basé sur les exercices;
principe integral;
principe de langue maternelle prise en considération.
Le principe communicatif est essentiel parmi les principes
méthodologiques car il assure à réaliser le but principal de l’enseignement
d’une langue étrangère l’école : apprendre aux élèves à faire la communication
de langue étrangère. Ce principe prévoit la construction du processus
d’apprentissage comme modèle du processus réel de communication qui est
motivé et se passe dans les situations réelles de la vie, dans des domaines
concrets.
Le principe d’enseignement basé sur les exercices se réalise dans le
processus d’entraînement en utilisant des exercices de type différents au cours
duquel se forment et se développent les savoir-faire langagiers.
Le principe integral permet de réaliser l’apprentissage de
communication de langue étrangère de manière la plus efficace. La
communication se passe dans les espèces langagiers diverses : audition,
expression orale, lecture, écriture.
Le principe de langue maternelle prise en considération donne la
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Література
1. Методика викладання іноземних мов у середніх навчальних закладах.
Підручник // Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.:
Ленвіт, 2002.
2. Практикум з методики викладання французької мови у середніх
навчальних закладах (модульний курс): Посібник // Кол. авторів під
керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2006.
3. Фіщук В.В., Матвіїшин В.Г., Гандзюк С.П. Веди урок іноземною
мовою: Книжка для вчителя. – К., 2012.
4. Методика навчання іноземних мов у загальноосвітніх навчальних
закладах: Підручник / Кол. авторів Л.С.Панова, І.Ф.Андрійко,
С.В.Тезикова та ін. – К.: Вид. центр «Академія», 2010.
5. Ніколаєва С.Ю. Основи сучасної методики викладання іноземних мов. –
К.: Ленвіт, 2008.
6. Загальноєвропейські Рекомендації з мовної освіти: вивчення,
викладання, оцінювання / Наук. ред. укр. видання С.Ю. Ніколаєва.
Переклад з англ. – К.: Ленвіт, 2003. – 273 с.
7. Квасова О. Г. Основи тестування іншомовних навичок і вмінь / О. Г.
Квасова.К.: Ленвіт, 2009. – 119 с.
8. Callamand M. Méthodologie de l'enseignement de la prononciation.
Organisation de la matière phonique du français et correction phonétique, CLE
international, didactique des langues étrangères, Paris, 1981.
9. Le Français dans le Monde. Revue.
10. Monnerie A. Méthode de français langue étrangère. – Paris: Librairie
Larousse, 1987.
11. Білас А.А. Методика викладання французької мови: матеріали до
хрестоматії з дисципліни. - Івано-Франківськ : НБ ПНУ, 2018.
Інформаційні ресурси
1. http://phonetique.free.fr/
2. http://membres.multimania.fr/milenchip/phonetic.htm
3. http://www.linguistes.com/phonetique/phon.html
4. http://francaisenligne.free.fr/ecouter/phonetique.php
5. http://www.cle-inter.com/echo/
6. http://www.editionsdidier.com/discipline/fle/
27
7. http://www.club-forum.com/
8. www.francaisauthentique.com/
9. http://www.ciep.fr/en/tcf/
10. http://www.francaisfacile.com/
11. http://www.lepointdufle.net/
12. http://jean-nicolaslefle.viabloga.com/
13. http://www.lefrancaispourtous.com/
14. http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/enseigner-apprendre-francais/
15. http://www.bonjourdefrance.com/
5.
Atelier 3
Méthodes de l’enseignement des langues étrangères
Література
6. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
7. Гапонова С.В. Сучасні методи викладання іноземних мов за
рубежем // Іноземні мови. – 1998. – №1. – С.24-31.
8. Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської
мови // Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press,
1998.
9. Методика интенсивного обучения иностранным языкам / Под.
ред. В.А. Бухбиндера и Г.А. Китайгородской. – К.: Вища школа, 1988.
10. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних
закладах // Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.:
Ленвіт, 2001.
11. Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної
мови // Іноземні мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
12. Скляренко Н.К. Як навчати сьогодні іноземних мов (концепція)
// Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.5-9.
13. In-Service Curriculum and Development Course for English
Language Teachers. – К.: Ленвіт, 2002.
14. Le Français dans le Monde. Revue.
15. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
16. Monnerie A. Méthode de français langue étrangère. – Paris:
Librairie Larousse, 1987.
en les faisant intérioriser. Ainsi, l’approche actionnelle est conçue en tant qu’un
collaborateur ajustant l’approche communicative. Les textes privilégiant les actes de
parole communicatifs oraux et écrits ainsi que les exercices contextuels reliés forment
notamment le matériau pédagogique de l’approche communicative. La plupart du
temps, ces instruments sont utilisés en salle de classe et/ ou en milieux de simulation.
Ils se situent dans les manuels et entraînent les apprenants aux niveaux écrit et oral.
En revanche, l’approche actionnelle adopte une technique qui oriente l’apprenant à
être plutôt acteur social : l’apprenant est encouragé à utiliser la langue
d’apprentissage dans la société même, afin de réaliser une action, résoudre une
situation problématique ou favoriser un fait. Le fait que l’apprenant agisse
corporellement, physiquement et utilise la langue pour atteindre un objectif le rend
plus apte à retenir le langage. A ce propos, Delrue (2012 :15) révèle que les
apprenants mémorisent mieux s’ils sont capables d’associer une action à un mot. La
même logique entraîne Puren (2009: 123) à qualifier l’approche actionnelle comme
une perspective de l’agir social et à expliquer que dans l’approche actionnelle pour la
première fois, les 14 L’ approche actionnelle et ses particularités en comparaison
avec l’approche communicative apprenants sont considérés dans leurs activités
d’apprenants dans l’espace et le temps même de leur apprentissage, comme des
acteurs sociaux à part entière tandis que les approches traditionnelles et l’approche
communicative veulent que les apprenants soient capables de réaliser eux-mêmes en
société à la fin de leur apprentissage (…). Définitions Lancée dans les années 70 par
les didacticiens des langues étrangères, l’approche communicative se veut une
approche pédagogique qui continue son expansion dans le monde en conservant sa
popularité jusqu’au début des années 2000. Il est vrai que sa naissance provient d’une
sorte de réaction envers le caractère immobile, mécanique et artificiel des méthodes
soit audiovisuelles soit audio-orales. En outre, ce système d’enseignement demeure
comme une approche au lieu d’une méthode étant donné que les résultats obtenus ne
sont pas consolidés et bien que sa validité ait été approuvée par de nombreuses
recherches scientifiques soulignant ses aspects indéniables en faveur de
l’apprentissage. Comme l’expriment bien Baily et Cohen (2009), l’approche
communicative correspond à une vision d’apprentissage basée sur le sens et le
contexte de l’énoncé dans une situation de communication. Cette approche s’oppose
aux visions précédentes s’attardant davantage sur la forme et la structure des langues
que sur le contexte. Elle entreprend donc la langue dans son contexte au lieu de la
concevoir structuralement. A cet égard, l’esprit innovateur de l’approche
communicative réside dans trois dimensions : (1) les textes et exercices en contexte
utilisés comme outils d’apprentissage en salle de classe, (2) la focalisation sur
l’apprenant et (3) la perspective retenue pour la notion d’erreur. L’approche
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communicative ne réserve pas de place aux textes hors contexte, aux exercices hors
contexte et surtout structuraux ancrés pourtant dans les livres de méthodes
d’auparavant. Par contre, elle privilégie les activités et textes encadrés par un
contexte donné, reflétant la vie quotidienne et possédant une cohérence sémantique.
Ces documents assortissent des textes actuels sélectionnés par les auteurs des
manuels tout comme des documents authentiques quotidiens proposés par
l’enseignant ou l’apprenant. Dans ce type de matériel didactique, sont présents des
dialogues et échanges de la vie réelle, le langage des médias, le registre familier, les
éléments prosodiques qui ornent et complètent la signification des énoncés. Par cet
aspect, l’approche communicative prend en compte l’intonation et le rythme puisque
ceux-ci enseignent plutôt la compétence orale et favorisent l’acquisition du parler.
Donc, l’approche communicative part du fait que l’acquisition d’une langue étrangère
est une activité essentiellement perceptive, et sa structuration perceptive obéit à des
contraintes physiologiques, rythmiques, syntaxiques, sémantiques et individuelles du
locuteur (Herry-Bénit, 2010 : 63). 15 Synergies Turquie n° 8 - 2015 p. 13-28
L’apprenant traditionnel ne bougeait pas trop ; était passif ; ne faisait qu’écouter, que
recevoir, qu’essayer de comprendre et de répéter. L’apprenant de l’approche
communicative est mis au centre de son apprentissage ; on s’occupe de lui plus qu’on
veille à la langue ; on s’occupe des processus cognitifs par lesquels et grâce auxquels
il apprend la langue. Désormais, l’apprenant agit par des jeux de rôle, devient acteur
de son apprentissage sur une scène formative; il apprend la langue en essayant de la
vivre et trouve l’occasion de communiquer de façon plus active dans cette langue.
Quant à la notion d’erreur, dans sa conception traditionnelle, elle présentait un tabou
et était source de punitions. En revanche, dans la perception de l’approche
communicative, l’erreur présente une dimension naturelle dans le processus
d’apprentissage d’une langue étrangère ; elle est maîtrisable, normale, acceptable
comme sortie passagère de l’apprentissage et parfois même solide si elle n’est pas
bien rectifiée. Au XXIe siècle, l’enseignement-apprentissage accepte l’erreur
langagière commise par l’apprenant ou l’utilisateur de langue étrangère comme une
opportunité conduisant à la remédiation. Ainsi, les lacunes de l’apprentissage
apparaissent pour être complétées. Donc, une fois remarquées et corrigées, les erreurs
jouent un rôle constructif dans l’apprentissage des langues. D’après Giordan, Favre et
Tarpinian (2013 : 4), les erreurs offrent à l’apprenant un milieu d’apprentissage plus
sécurisé, stimulant et dynamisant : l’erreur prend toute sa place dans la dynamique de
la pensée (…). Elle devient constitutive quand on a appris à la repérer et à la rectifier.
Il s’agit donc d’une pédagogie stimulante et sécurisante. Cet angle de vue
révolutionnaire dans l’enseignement-apprentissage des langues étrangères a pu
développer les compétences communicatives des apprenants mais il a été insuffisant
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Atelier 4
Enseignement de la phonétique
Objectifs:
a) pratiques: formation des aptitudes d’audition, d’articulation, de rythme
et d’intonation;
b) instructifs: comparaison des systèmes phonétiques et de
l’enseignement de la LE et de la langue maternelle;
c) éducatif: formation d’une articulation correcte.
Contenu:
1) certaines connaissances des systèmes phonètiques;
2) certaines connaissances sur la prononciation des sons français;
3) formation de l’articulation et de la prononciation des sons (voyelles,
consonnes) et leur perception;
4) formation des savoir-faire de syllabisation, d’accentuation,
d’intonation correcte, des liaisons et de l’enchaînement.
Approches:
1) articulatoire (analytique);
2) acoustique;
3) différentielle.
L’approche articulatoire (І.Грузинська, К.Колосов, О.Норк,
А.Рапанович):
1) La formation des aptitudes de prononciation qui précède la
prononciation elle-même;
2) Les connaissances de toutes les particularités de travail de l’appareil
phonatoire;
3) La formation des aptitudes de prononciation de chaque son à part;
4) L’entraînement scrupuleux de chaque son.
La base pratique.
1. La prononciation travaille sans audition.
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isolé sont faciles à corriger. La plus grande difficulté pour le professeur est la
chaîne parlée.
Література
1. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
2. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
3. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт,
2001.
4. In-Service Curriculum and Development Course for English Language
Teachers. – К.: Ленвіт, 2002
5. Le Français dans le Monde. Revue.
6. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
Atelier 5
Enseignement du lexique
1. L’importance du compétence lexicale. Le but de l’enseignement du lexique.
2. La sélection et l’organisation du lexique.
3. Le vocabulaire actif, passif et potentiel.
4. La présentation du lexique.
5. L’assimilation du lexique.
Le vocabulaire est une partie intégrante de la langue. C’est un ensemble de
mots formant système. Dans une langue le mot ne reste pas isolé, il est toujours lié
aux autres mots. Les mots sont groupés dans les phrases exprimant la pensée de celui
qui parle. C’est ainsi que la langue devient un moyen de communication. Le grand
rôle que le vocabulaire joue pour une langue implique l’importance de l’acquisition
du vocabulaire.
Le vocabulaire doit être étudié dans son ensemble avec les autres composantes
de la langue (la phonétique, la grammaire et l’orthographe). L’étude du vocabulaire a
évidemment une grande importance, ce qui sera prouvé par les exemples ci-dessous,
car l’acquisition du lexique contribue à l’assimilation d’autres connaissances du
domaine de la langue.
L’étude du vocabulaire est liée à la phonétique (été – était; la signification de
ces mots dépend de la différence des sons [e] et [ε]. Il y a aussi un lien entre le
vocabulaire et la grammaire, surtout la syntaxe (les mots forment les phrases). Mais
chaque mot a une structure lexico-grammaticale (raсine, affixes) et appartient à une
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L’unité d’enseignement du lexique est une unité lexicale (UL) qui peut être non
seulement un mot mais aussi une expression de mots et même une phrase soi-disant
«figé» qui ne change pas dans l’activité verbale.
Le vocabulaire minimum actif et le vocabulaire minimum passif forment le
vocabulaire réelle qui sert à la formation du vocabulaire potentiel. Le vocabulaire
réelle inclut les unités lexicales assimilées à l’aide desquelles les élèves expriment
leurs pensées ou reçoivent et comprennent les autres hommes. En même temps le
vocabulaire potentiel se compose des unités inconnues dont le sens on peut deviner
au cours de l’audition ou de la lecture. Le vocabulaire potentiel contient
1) les internationalismes ;
2) les dérivés des mots composés qui comprend les parties connues pour les
élèves ;
3) de nouveaux sens des mots polysémiques connus ;
4) les mots dont le sens peut être deviner d’après le contexte.
Principes de l’enseignement du lexique :
1. Chaque mot doit être entendu, prononcé, vu (lu), écrit ;
2. Le mot doit être étudié dans le contexte ;
3. Les mots doivent être :
a) prononcés par le professeur dans le contexte ;
b) prononcés par le professeur isolément ;
c) répétés par les élèves en choeur ;
d) répétés par les élèves individuellement ;
e) différenciés dans le contexte ;
f) employés de façon reproductif ;
g) employés de façon productif ;
h) employés dans l’interaction.
Organisation du processus de l’enseignement :
1. Etape de présentation.
2. Etape d’assimilation :
a) au niveau du mot, de l’expression, de la phrase ;
b) au niveau du dialogue, au du monologue.
3. Etape d’emploi situationnel en forme parlée et écrite.
A l’étape d’assimilation on forme les automatismes lexicaux.
A l’étape d’emploi on forme des savoir-faire.
La présentation du lexique comprend les éléments:
1) la sémantisation ou la révélation du sens;
2) l’analyse de la structure lexico-grammaticale du mot, de ses particularités
phonétiques et aurthographiques (révélation de la forme);
3) les explications sur l’emploi du mot dans le discours.
Procédés de sémantisation de nouvelles unitées lexicales on peut diviser en deux
groupes: de traduction et sans traduction.
Les procédés de traduction sont : traduction par un mot (monoverbale) (fleur –
квітка); 2) traduction polyverbale ou par certains mots (manquer – пропустити,
зробити помилку, припустити погрішність; aller – йти, їхати); 3) traduction au
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Les premiers sont : 1) répétition des mots, des expressions et des MAC après le
professeur ou speaker ; 2) groupement de mots en ordre alphabétique ; 3) groupement
de mots selon l’indice formelle (affixes, parties du discours) ; 4) nommer les mots de
l’espèce donné (meuble-chaise, table...) ; 5) trouver le mot « intrus » dans le rang
thématique de mots ; 6) completer les phrases par des mots donnés ; 7) exercice à
lacunes ; 8) associer le mot à sa définition ou l’image ; 9) associer le mot à son
synonyme ( antonyme, équivalement de la langue maternelle.
Les deuxièmes sont: 1) composer les expressions des mots donnés ; 2) exercice
«boule de neige» (attribut+nom, verbe+complement); 3) lier les noms avec les verbes
donnés ; 4) exclure le mot qui ne se lie pas avec le mot-clé; 5) trouver des équivalents
de la langue maternelle des expressions de mots figés de la LE ( Ніколаєва).
1) Repondez à mes questions. Donnez une reponse courte:
M: Comment s’appelle la capitale de la France?
E: Paris.
M: Sur quel fleuve est situé Paris?
E: Sur la Seine.
2) Corrigez-moi si ce n’est pas vrai.
M: Entre les deux rives de la Seine se trouve l’île de France.
E: Non, entre les deux rives de la Seine se trouve l’île de la Cité.
3) Complétez les phrases.
M: Autrefois Paris s’appelait ...
E: Autrefois Paris s’appelait Lutecia.
M: Les Parisii ont donné à l’île de la Cité le nom de ...
E: Les Parisii ont donné à l’île de la Cité le nom de Paris.
4) Demande à ton voisin quelle est sa curiosite préférée à Paris.
5) Raconte à tes camarades l’histoire de l’île de la Cité.
On utilise aussi les exercices d’imitation, de substitution, de transformation, de
creation.
Atelier 6
L’enseignement de la grammaire
59
3. laisser de l’emploi.
4. l’emploi de la phrase.
La methode mixte –
-dépendamment du matériel
-dépendamment de l’âge
-dépendamment des connaissances
-dépendamment des besoins des apprenants.
Principes de presentation
1. la présentation du matériel doit être fait en langue étrangère ou
maternelle.
2. les règles doivent être courtes, claires.
3. les exemples (en lexique connu).
4. la présentation est suivie du schéma, de la structure, des tableaux.
On utilise certains procédés de présentation du matériel grammatical; 1) à
l’aide des règles verbales (déscriptives, règles-instruction) ; des schémas ; et 3)
des modèles de langage ; 4) du contexte.
Les règles déscriptives ont un caractère de constatation (pour former..., on
emploie...). Les emplois-instructions sont dynamiques et elles sont les conseils à
faire qch.
Les schémas : Quand pars-tu ?
3М рівня словосполучення:
Qu’est-ce qu’il y a sur la table? 1) Une nappe blanche.
2) Un vase vert.
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3М рівня фрази:
Qu’est-ce qu’il y a sur la table? 1) C’est une règle.
2) C’est la règle de Marie.
La présentation d’une nouvelle structure le maître doit commencer par
attirer l’attention à la fonction de cette structure, et la forme doit être assimiler
parallèlement avec la fonction.
Exemple. Сьогодні ми з вами навчимося говорити про належність
речей не одній людині, а багатьом, наприклад, учням, дітям і т.п. Ви вже
знаєте, як сказати, що ця лінійка належить Олі: Cette règle est à Olga.
Так? А тепер зверніть увагу на малюнок на дошці та уважно слухайте
мою розповідь.
Regardez cette image. C’est un vestiaire de notre salle sportive. Victor est
de service. Il y a des objets sur un banc. Ils ne sont pas à leurs places. Le
professeur entre et demande: «Victor, à qui sont ces objets?» Victor répond:
«Ces blousons sont aux filles de notre classe Nina et Lucie. Ces vestons sont
aux garcons de notre classe Nicolas et André. «Oh, tout est clair, – dit le
professeur, - ces élèves sont en retard pour la leçon».
Maintenant écoutez et répétez après moi:
A qui sont ces blousons?
Ces blousons sont aux filles de notre classe.
A qui sont ces vestons?
Ces vestons sont aux garcons de notre classe.
Зверніть увагу на те, що форма «sont aux» однакова як для
чоловічого, так і для жіночого родів.
Maitre (M): Victor, à qui sont ces chapeaux?
Elève (E): Ces chapeaux sont aux garcons de notre classe.
Assimilation se fait à l’aide des exercices reproductifs et productifs. Les
premiers: différentiation, substitution, transformation, continuité du ML,
réponses aux questions (structuraux). Les deuxièmes : emploi déterminé,
dialogues, monologue, conversation, jeux.
La formation des aptitudes grammaticales a trois étapes : 1) présentation ;
2) entraînement et 3) emploi.
Les étapes logiques de l’activité du professeur :
1. L’analyse du phénomène grammatical (forme compliquée, sens et
fonctions).
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2) Dites que ces choses appartiennent non à une fille ou un garçon, mais
aux filles ou aux garçons de ta classe:
M: Ce blouson est à Nina.
E: Ces blousons sont aux filles de notre classe.
M: Ce chapeau est à Oleg.
E: Ces chapeaux sont aux garcons de notre classe. Etc.
3) Dites quelles de ces choses appartiennent aux filles et quelles aux
garçons de ta classe. Je commence la phrase et finissez.
M: Ces chemises...
E: Ces chemises sont aux garcons de notre classe.
M: Ces blousons...
E: Ces blousons sont aux filles de notre classe. Etc.
4) Dites à qui appartiennent ces choses:
Ces balles sont aux Madame Bernard
Ces jouets sportifs de notre classe.
Ce bébé enfants de Madame Bernard.
Ces blousons est à Nina
Ce ruban filles de notre classe.
5) Jeu «Trouve le maître».
У чийсь портфель кілька учнів кладуть по одному або по кілька
предметів, що їм належать. Інший учень повинен сказати, кому
належать ці предмети.
Наприклад:
Cette gomme est à Nina. Ces cahiers sont à Victor.
Ces crayons sont aux filles Olga et Nadine.
Cette règle à Michel. Etc.
6) Observez l »image. C’est votre cour. Midi. Tous se sont cachés de la
chaleur. Mais qqn a laissé ses affaires. Trouvez-vous leurs
propriétaires ?
Automatisation des actions des élèves avec les structures du matériel
grammatical passif :
Література
66
Atelier № 7
Oral Ecrit
Constatation de la
présence
la comparaison d’un élément
linguistique
d’un élément connu ou inconnu, sa
linguistique avec le fixation dans la
mémoire,
modèle. (consciente ou
inconsciente)
la formation du
modèle.
Les difficultés de l’audition dépendent 1) de celui qui écoute et de ses
traits psychiques et individuels; 2) des particularités linguales du texte et sa
conformité à l’expérience langagière et aux connaissances de l’élève ; 3) des
conditions d’écoute.
Les dificultés dependent de celui qui ecoute : a) l’ingéniosité ou la promptitude;
b) le mauvais fonctionnement des mécanismes d’audition; c) savoir écouter; d)
la réactivité (réagir vite aux signaux de communication: pauses, accent
rytmique, questions rétoriques; e) savoir passer à une autre opération
intellectuelle; f) le niveau de la mémoire d’écoute; d) les possibilités
d’anticipation; g) le niveau de concentration de l’attention; i) la motivation, la
stimulation de l’activité congnitive; j) l’expérience et les formes
d’interprètation.
Les difficultés linguales dépendent du texte et du but communicatif
d’audition. Les difficultés linguales d’audition sont causées par le but
communicatif de l’activité qui se caracterise par: a) le niveau de compréhension
de l’information inclue dans le texte (compréhension générale ou globale),
compréhension détaillée); b) le type du texte (exposé, annonce, discours,
monologue, dialogue); c) le thème ; d) le volume d’audiotexte (quantité de mots
ou de phrases); e) le type de contrôle d’évaluation (LE/LM, réponses aux
questions, testes, resumés, exposé etc.
Donc, on distinque des difficultés 1) grammaticales, 2) lexicales, 3)
phonetiques.
Les difficultés grammaticales: a) la phrase simple composée; b) les
épithètes, les attributs; c) la présence des formes analytiques, absentes dans la
langue maternelle.
Les difficultés lexicales: a) la quantité de mots; b) l’emploi des mots en
sens figuré; c) la présence des unités phraséologiques; d) la polysemie, la
paronymie (les mots se diffèrent par un son), l’antonymie et la synonymie.
69
ou 1) avant l’écoute ;
2) pendant l’écoute ;
3) après l’écoute.
L’instruction contient les objectifs: a) intéresser; b) mobiliser les
connaissances et l’expérience; c) fournir le matériel linguistique.
Pendant l’écoute: objects: la compréhension (1, 2 écoutes) : global,
exrimage, détaillée, actualisation.
L’apres-écoute: objects: contrôler la compréheusion; développer les
savoir-faire langagiers.
On réalise le contrôle à l’aide des moyens non verbals (actions, cartes,
schémas, images, gestes) et des moyens verbals (entretient, exposé, reponses,
traduction, composition du plan, testes)
L’audiotexte est la base d’audition. Il a sa composition, sa structure, son
organisation significative. On distinque des textes déscriptifs et des textes
informatifs comportant le sujet et des textes abstraits.
Les espèces des textes: statique (déscription), dynamique (avec le sujet) et
abstrait (réflexion). Les textes doivent être authentiques, accessibles selon le
contenu et le matériel lingual, courts, monothématique.
Les types des textes :
a) la parole d’interlocuteur das les situations de la vie quotidienne;
b) l’annonce des programmes, la météo ou le bulletin météorologique à la
télé, à la radio;
c) des textes à sujet, déscription, exposés, information, réflexions,
narration, commentaires, explication, instruction.
Exemple 1. (малюнки)
1. Les feuilles tombent.
2. Il neige.
3. Le soleil brille.
4. Il faut du vent.
5. Les fleurs poussent.
6. Les abeilles volent.
7. En été je nage.
8. En hiver on fait un bonhomme de neige.
9. En automne les feuilles sont rouges et jaunes.
10. Tout est blant.
Картка 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
учня: D
Засіб контролю: Заповнення учнями таблиці.
Exemple 2. (малюнки)
72
Ecouter le météo et placez les symboles convenables sur les régions citées
dans le bulletin météo.
Météo
Mercredi, le temps assez ensoleillé persistera du pourtour méditerranéen
au sud des Alpes et à la Corse (1, 2, 3).
Ailleurs, les nuages seront nombreux et des pluies se produiront sur l’est
(4) ainsi que, en soirée, de la Bretagne à la Normandie (5, 6). Les vents de sud-
ouest se renforceront près des côtes de la Manche (7).
Засіб контролю: Нанесення учнем позначень на карту (Наприклад: 1-
А).
Література
1. L’expression orale ou parlée est une activité productive orale qui est
basée sur l’audition. Autrement dit dans les activités de la production orale
l’utilisateur de la langue produit un texte oral qui est reçu par un ou plusieurs
73
auditeurs. L’expression orale n’est pas une sonorisation des textes écrits. L’acte
de production orale possède les objectifs concrets, le motif à la base duquel sont
les besoins, l’objet (pensées de celui qui parle), le produit (l’expression en
forme de dialogue ou monologue), le résultat qui peut être exprimé en forme de
réaction verbale ou non verbale.
Le but de l’E de l’expression orale est de former la compétence
communicative, c’est-à-dire, savoir parler en LE, savoir s’exprimer.
Pour parler, l’apprenant doit être capable de:
a) prévoir et organiser un message (aptitudes cognitives);
b) formuler un énoncé (aptitudes linguistiques);
c) prononcer cet énoncé (aptitudes phonetiques).
Parmi les activités langagières communicatives on différencie:
a) production orale (annonce, instruction, exposé, commentaire, discours
public, monologue);
b) interaction orale (échanges courants, conversation courante,
discussions formelles (informelles), débats, interview, négociation, dialogue).
Dans les activités interactives l’utilisation de la langue joue
alternativement le rôle du locuteur et de l’auditeur ou destinataire avec un ou
plusieurs interlocuteurs afin de construire conjointement une conversation.
La situation est un fragment de la réalité qui existe objectivement dont la
composante est l’acte verbale.
La situation communicative est la situation concrète de communication
où il y a des partenaires et qui les encourage à l’interaction interpersonnelle.
La situation est définie par:
1) les circonstances de communication
2) les rôles sociaux des communicants
3) les sujets des communications
4) les intentions : – demande de renseignements
- précision
- persuasion
- exposer de l’opinion
- salutations
- remerciement
1. un père.
J’ai un mère.
une grand -mère. aîné, -e.
un grand -père. cadet, -te.
un frère
une soeur
père de haute taille.
2. Mon mère de petite taille.
Ma est sympatique.
frère fort.
soeur beau (belle).
rond.
3. Son est large.
visage ovale.
droit.
4. Son est long.
nez retroussé.
bruns.
bleus.
5. gris.
Ses yeux sont noirs.
grands.
beaux.
noirs.
blancs.
6. Ses cheveux sont bruns.
longs.
courts.
beaux.
Ses joues sont rouges.
7. roses.
Son front est large.
8. étroit.
81
Література
1. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
2. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
3. Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської мови //
Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press, 1998.
4. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
5. Le Français dans le Monde. Revue.
6. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
Atelier 9
Enseignement de la compréhension des écrits
1. Lecture comme activité réceptive du comportement verbale.
2. Сaractère des textes. Les difficultés de la lecture.
3. Espèces de la lecture et les méthodes de l’enseignement de la lecture.
La lecture est une activité réceptive écrite du comportement verbale. La
lecture est une source d’information.
L’objectif essentiel de la lecture – la comprehension, l’analyse de
l’information dont nous avons besoin pour la communication. Le but essentiel
– apprendre à lire et à comprendre un texte écrit.
Les tâches :
1. former l’aptitude de lier les images visuelles graphiques au traces
auditives et au sensations maîtrises (apprendre à saisir la corrélation entre les
lettres et les sons)
2. apprendre à lier les images visuelles des mots au sens de l’énoncé
3. apprendre à distinguer les liens entre les mots dans les propositions.
La langue écrite est caractérisée par :
1. l’expansion
2. la successivité
3. la logique
4. la normativité
5. la revocabilité.
82
Література
1. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989. – 223 с.
2. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт (усі
номери).
3. Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської мови //
Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press, 1998.
4. – С.20-22.
5. Методика викладання іноземних мов у середніх навчальних закладах.
Підручник // Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.:
Ленвіт, 2002. – 328 с.
6. Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови //
Іноземні мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
7. Плахотник В.М. Навчання іноземних мов у середній школі: концепція
та її реалізація // Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.9-12.
8. Скляренко Н.К. Як навчати сьогодні іноземних мов (концепція) //
Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.5-9.
9. Le Français dans le Monde. Revue.
10. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
11. Monnerie A. Méthode de français langue étrangère. – Paris: Librairie
Larousse, 1987.
Atelier 10
Zz Vv
19 10 12 1
26 22
19 22 5 16 21 13
24 7 14 20 9 11
– jeu/compétition
– lier les mots que s’écrivent différemment mais leur prononciation est
la même : mer-maire-mère
– groupez les mots selon la lettre...
– remplir les lacunes : p...re.
– mots-croisés
– champs de miracles
– casse-tête: Atrec (carte)
– mot caché (клітинки з буквами).
II. Les dictées : visuelles (les mots difficiles sont soulignés) ; auditives ;
autodictées, préventives, de contrôle.
2 Etape : possession des aptitudes orthographiques ensemble avec
l’assimilation de l’écriture correcte lexico-grammaticale.
- Exercises de substitution
- Exercises de transformation
- Exercises d’élargissement et de réduction
- Dictées
3 etape : l’expression écrite
Au niveau débutant :
- réponses aux questions d’après le texte
- composer les phrases
- composer les questions.
Au niveau intermédiaire :
- réponses aux questions et composer les questions au texte
- composer le plan du texte lu
- composer un dialogue d’après le modèle
- narration du texte étudié d’après le plan
- composer une lettre selon le modèle
- resumé du texte
- narration avec la fin inventéе
- composer le plan détaillé pour l’expression orale
- composez des thèses
Au niveau avancé :
- présenter un texte sous forme de dialogue
- écrire une lettre d’après la situation donnée
- composer une annotation
93
L’évaluation:
1. la compréhension
2. le niveau linguistique; la grammaire, la composition des phrases
3. la présentation (structure) – construction des textes (Au début, alors,
donc, après), la logique de la présentation, le division en paragraphes.
Le résumé – avancé (10-11 cl.) de l’école spéciale : reproduction des
idées du texte écrit de façon abrégée (25% + moins 10% des mots du texte
initiale).
L’objectif: contrôle de la compréhension, l’expression (la logique);
Les tâches:
1. comprendre le type du texte, son objectif et les moyens de l’atteindre
2. reproduire l’ordre des idées du texte initial (on ne peut pas changer la
structure)
3. reformuler les idées du texte en gardant le registe choisi par l’auteur
L’évaluation:
1. la compréhension (le contrôle) – le type
2. la fidélité au texte initial
3. la reformulation (si l’élève peut dire la même chose mais en autre
tenue, en gardant seulement les mots-clés
4. la structure (doit savoir dans les texte des mots logiquement, les
paragraphes, le contrôle)
5. la langue (l’orthographe, la grammaire)
La rédaction (твір) – intermédiaire, avancé – la production dans certain
type de texte normalement déscriptif ou naratif.
L’objectif : contrôler les capacités de rédiger un texte du type défini.
Contrôler l’expression (la logique, la successivité, la richesse) – contrôler la
langue (l’orthographe, la grammaire).
Les tâches:
1. produire en texte naratif ou déscriptif
2. pour le texte naratif présenter la suite des événements dans leur
développement. Pour le texte déscriptif présenter l’aspect général et les détails
de l’objet (personne, paysage, endroit) décrit et ses détails avec leurs
caractéristiques de dimension, de couleur, de distance, de leur localisation en
espace.
L’évaluation :
1. contrôler la typologie du texte
95
2. la structure
3. la langue (lexique, grammaire).
La composition (твір-роздум) – 7-8 cl. – la production du texte exposant
les réflexions sous la forme libre.
Annotation:
- présenter le nom et le prénom de l’auteur
- écrire le titre de l’article
- présenter le lieu de la publication, l’éditeur, l’an de l’édition, le
numéro de la revue, du journal
- définir et écrire à quelle sphère des connaissances appartient
l’article ; quelle est son thème essentiel
- tirer au clair l’idée principale de chaque alinéa
- grouper les alinéas en conformité de l’idée principale du texte
- formuler l’idée maîtresse du texte
Leçon comme unité de l’enseignement
L’analyse générale :
I. Orientation
1. Fixer le thème
2. Etablir les objectifs de la leçon.
3. Constater la corrélation des buts au type de la leçon.
II. Structure et contenu de leçon :
1. Fixer les étapes et leur successivité.
2. Régler la correspondance des procédés de l’enseignement aux buts de
la leçon.
99
Література
1. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989..
2. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
3. Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської мови //
Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press, 1998.
4. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
5. Плахотник В.М. Навчання іноземних мов у середній школі: концепція
та її реалізація // Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.9-12.
6. In-Service Curriculum and Development Course for English Language
Teachers. – К.: Ленвіт, 2002.
7. Le Français dans le Monde. Revue.
8. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
Une des voies les plus sûres qui mènent les eleves à l’assimilation des
connaissances est un travail regulier, conforme à un plan établi d’avance. Ce
point a une très grande importance, car seul un travail d’après un plan bien
médité permet au professeur d’organiser ses leçons et de réaliser les buts
assignée par le programme.
Dans l’enseignement des langues vivantes, d’ailleurs comme dans
l’enseignement des autres disciplines, on dresse les plans suivants:
1) plan de six mois, ce qu’on appelle un plan-calendrier
2) plan d’une série de leçons (plan «thématique»)
3) plan de chaque leçon de cette série.
En fixant ces plans on prendra en considération ce qui suit:
a) le programme en vigueur
b) le manuel et le matériel didactique pour cette année
c) le niveau des connaissances des élèves
d) les perspectives de travail à la leçon suivante, au cours de la semaine,
du mois, de l’annee suivante
e) les particularités de l’age des élèves.
En outre il faut prendre en considération les exigences pour la fin des
études dans la classe indiquée.
Plan thématique
Thème :
Sous-thème:
Les types des leçons qui forment une série peuvent être différents. Au
degré élémentaire ce sont des leçons mixtes : pratique orale, lecture, écriture.
Aux degrés moyen et supérieur on distingue les leçons où la pratique orale sera
le mode de travail dominant ; on pourra porter l'accent tantôt sur la forme
dialoguée, tantôt sur l'audition ou le discours monologué ou bien on peut faire
une leçon de lecture. Il est possible de donner une leçon combinée, grammaire
et pratique orale, lecture ou pratique orale et présentation de mots nouveaux ;
pratique orale et écrite, etc. Il y a encore des leçons de contrôle et de
systématisation du matériel étudié au cours d'un mois, d'un trimestre, de toute
l'année d'étude.
Le but d'une leçon isolée est déterminé par les savoir-faire et les
automatismes qui seront développés au cours de cette leçon sur la base du
matériel linguistique : grammaire, vocabulaire, orthographe, phonétique.
L’analyse d’une série de leçon donne la possibilité de créer le plan de
chaque leçon de cette série.
104
Література
1. .
2. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
Le contrôle l’enseignement d’une langue étrangère
Le feed-back à la direction des élèves leur rend l’information sur les résultats
scolaires. Cette information permet de faire l’auto-évaluation des succès dans
l’assimilation d’une langue étrangère et de planifier son activité qui suit.
La fonction d’évaluation se réalise au cours de l’évaluation des résultats de
l’accomplissement des devoirs par les élèves. La note marque le niveau de possession
de la langue. Elle est répère dans le processus de l’apprentissage. La note est l’indice
essentiel des résultats scolaires dans les documents officiels de l’instruction.
La fonction enseignante se réalise à la base de la synthèse des aptitudes et des
savoir-faire à faire opérer le matériel lingual et langagier pendant l’accomplissement
des devoirs de contrôle. Le devoir de contrôle est un exercice qui exige d’accomplir
certaines actions langagières pour obtenir le but du devoir. Comme résultat continue
l’assimilation et le perfectionnement des aptitudes et des savoir-faire. Donc le
processus de l’apprentissage continue.
La fonction de développement prévoit le développement des particularités
psychologiques individuelles des élèves au cours d’exécution des devoirs de
contrôle : la mémoire opérationnelle, la flexibilité de la pensée, l’ouїe phonématique,
la plasticité de l’appareil phonatoire/articulatoire etc. Au cours du contrôle on
développe les savoir-faire spéciaux qui permettent aux élèves de mieux faire le devoir
de contrôle en choisissant des stratégies optimales de son exécution.
Cette fonction se réalise dans le développement de l’intérêt et des motifs de
l’élève à l’apprentissage de la langue étrangère. La perspective d’obtenir de hauts
résultats stimule l’élève à perfectionner sa possession de la langue étrangère.
Exigences à l’organisation du contrôle:
1) Contrôle doit contribuer au développement des aptitudes et des
automatismes;
2) Contrôle doit contribuer à l’assimilation des connaissances;
3) Contrôle doit être logique (le plan);
4) Contrôle doit être lié à la correction des fautes;
5) il faut varier les procédés et les méthodes de l’interrogation;
6) son objectivité;
7) Contrôle systématique;
8) motivation et pas punition.
2. Outre sa fonction de diagnostic, le contrôle accomplit encore une fonction
enseignante. C'est pourquoi il peut avoir lieu au cours de la leçon (contrôle courant)
ou bien à la fin du semestre (contrôle final) ou de l'enseignement scolaire. On peut
aussi considérer comme contrôle final l'interrogation après l'étude d'un thème ou d'un
chapitre.
Espèces de contrôle:
a) courant;
b) thématique;
c) semestriel, annuel;
d) de fin de cycle, d’études
Le contrôle courant
106
Література
1. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.: Радянська
школа, 1989.
2. Вишневський О.І. Довідник вчителя іноземної мови. – К.: Радян. школа,
1982.
3. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
4. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
5. Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови // Іноземні
мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
6. Фіщук В.В., Матвіїшин В.Г., Гандзюк С.П. Веди урок іноземною мовою:
Книжка для вчителя. – К.: Рад. шк., 1990.
7. In-Service Curriculum and Development Course for English Language Teachers.
– К.: Ленвіт, 2002.
8. Le Français dans le Monde. Revue.
9. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
EVALUATION
Les échelles de descripteurs constituent une grille conceptuelle que l’on
peut utiliser pour
a. mettre en relation les cadres de référence nationaux et institutionnels
au moyen du сadre européen commun de référence
b. établir les grandes lignes des objectifs d’examens et de modules
d’enseignement particuliers en utilisant les categories et les niveaux des
échelles.
TYPES D’EVALUATION
On peut faire un certain nombre de distinctions importantes en ce qui
concerne l’évaluation. Le tableau «Liste des paramètres» qui suit n’est
nullement exhaustive. Il n’y a pas de jugement de valeur à faire apparaitre un
paramètre dans la colonne de droite ou dans celle de gauche.
Liste des paramètres
1. Evaluation du savoir Evaluation de la capacité
2. Evaluation normative Evaluation critériée
3. Maîtrise Continuum ou suivi
4. Evaluation continue Evaluation ponctuelle
5. Evaluation formative Evaluation sommative
6. Evaluation directe Evaluation indirecte
7. Evaluation de la performance Evaluation des connaissances
8. Evaluation subjective Evaluation objective
9. Evaluation sur une échelle Evaluation sur une liste de
contrôle
10. Jugement fondé sur l’impression Jugement guidé
113
garantie que les résultats du test ont un sens. La référence à ce critère extérieur
peut se faire en utilisant une analyse échelonnée (par exemple, le modèle de
Rasch) pour mettre en relation les uns avec les autres, les résultats de tous les
tests et à les reporter directement sur une échelle commune.
On peut exploiter le Cadre de référence selon ces deux approches :
L'échelle des niveaux utilisée pour le continuum peut s'aligner sur
les Niveaux communs de référence.
L'objectif à maîtriser dans l'approche «maîtrise» retrouve les
grandes lignes de la grille conceptuelle des catégories et niveaux
proposée par le Cadre de référence.
4. Evaluation continue/Evaluation ponctuelle
L'évaluation continue est l’évaluation par l'enseignant et,
éventuellement, par l'apprenant de performances, de travaux et de projets
réalisés pendant le cours. La note finale reflète ainsi l'ensemble du cours, de
l’annéе ou du semestre.
L'evaluation ponctuelle se fait par l’attribution de notes ou la prise de
décisions effectuées à la suite d'un examen ou d'une autre procédure
d’évaluation qui a lieu à une date donnée, gendralement à la fin du cours ou au
début du cours suivant. On ne se préoccupe pas de ce qui s'est passé auparavant;
seul compte ce que l'apprenant est capable de faire ici et maintenant.
5. Evaluation formative/Evaluation sommarive
L'évaluation formative est un processus continu qui permet de recueillir
des informations sur les points forts et les points faibles. L'enseignant peut alors
les utiliser pour l’organisation de son cours et les renvoyer aussi aux apprenants.
On utilise souvent l’évaluation formative au sens large afin d'y inclure
l’information non quantifiable foumie par des interrogations et des entretiens.
L'évaluation sommative contrôle les acquis à la fin du cours et leur
attribue une note ou un rang. П ne s'agit pas forcement d'une évaluation de la
compétence. En fait, l’évaluation sommative est souvent normative, ponctuelle
et teste le savoir.
6. Evaluation directe/Evaluation indirecte
L'évaluation directe évalue ce que le candidat est en train de faire. Par
exemple, lors d'un travail en sous-groupe qui consiste en une discussion, le
professeur observe, confronte aux critères d'une grille et donne son évaluation.
L'evaluation indirecte, en revanche, utilise un test, généralement écrit,
qui évalue souvent les potentialités.
L'évaluation directe se limite, en fait, à la production orale et écrite et à
la compréhension de l'oral en interaction puisqu'il est impossible d'observer
directement les activités de réception mais seulement leurs effets. La lecture,
par exemple, ne peut être évaluée qu'indirectement en demandant aux
116
objectifs»; cela signifie généralement que ces tests s'accompagnent d'une grille
de correction ou d'un barème que le correcteur consulte pour se prononcer sur
l'acceptabilité des réponses et dénombre ensuite les réponses justes pour donner
le résultat. Certains types de tests vont un peu plus loin en ne permettant qu'une
seule réponse par question (par exemple les QCM et les tests lacunaires bases
sur les tests de closure); on adopte alors souvent une correction automatique
afin d'éliminer toute erreur. En fait, l'objectivité des tests décrits comme
«objectifs» est un tant soit peu surfaite puisque quelqu'un a décidé de limiter
l’évaluation aux techniques qui assurent le plus de contrôle sur le test (décision
subjective avec laquelle tous ne sont pas nécessairement d'accord), puis
quelqu'un d'autre a défini les spécifications du test, un rédacteur a rédigé l'item
qui vise à opérationnaliser tel point de la spécification et quelqu'un enfin l’а
sélectionné parmi tous les autres items possibles pour ce test. Puisque toutes ces
décisions impliquent un élément de subjectivité, il est sans doute préférable de
dire que ces tests font l'objet d'une correction objectivée.
L'évaluation de la performance directe se fait généralement selon une
méthode d'évaluation subjective. Cela signifie que la décision sur la qualité de
la performance de l’apprenant se prend subjectivement en tenant compte de
facteurs pertinents et en s'appuyant sur des instructions ou des critères et sur
l’expérience. L'avantage d'une approche subjective repose sur le fait que la
langue et la communication sont extrêmement complexes, se prêtent mal à
l'atomisation et sont toujours plus que la simple somme de leurs constituants. II
est très souvent difficile de dire ce qu'un item teste et, en conséquence, le cibler
sur un aspect particulier de la compétence ou de la performance est infiniment
moins simple qu'il n'y paraît.
Pourtant, en toute impartialité, il faut dire que toute évaluation devrait être
aussi objective que possible. Les effets des jugements de valeur personnels qui
interviennent dans les décisions subjectives sur la sélection du contenu et la
qualité de la performance devraient être reduits au maximum, particulièrement
lorsqu'il s'agit d'évaluation sommative parce que les résultats des tests sont
souvent utilisés par une tierce personne pour prendre des décisions qui engagent
l'avenir des candidates évalués.
Vers la reduction de la subjectivité
Le poids de la subjectivité sur l’évaluation peut être diminué et, en
conséquence, la validité et la fiabilité augmentées, en appliquant la démarche
suivante :
- développer une spécification du contenu de l’évaluation fondée, par
exemple, sur un cadre de référence commun au contexte en question
- utiliser la négotiation ou les jugements collectifs pour sélectionner le
contenu et/ou noter les performances
- adopter des procédures normalisées relatives à la passation des tests
118
- fournir des grilles de correction précises pour les tests indirects et baser
l’évaluation des tests directs sur des critères de correction clairement définis
- exiger des jugements multiples et/ou l’analyse de différents facteurs
- mettre en place une double correction ou une correction automatique
lorsque c'est possible
- assurer une formation relative aux barèmes de correction
- vérifier la qualité de l’évaluation (validité, fiabilité) par l’analyse des
résultats.
9. Evaluation sur une echelle/Evaluation sur une liste de contrôle
L’évaluation sur une echelle consiste à placer quelqu'un à un niveau
donné sur une échelle constituée de plusieurs niveaux.
L'évaluation sur une liste de contrôle consiste à juger quelqu'un selon
une liste de points censés être pertinents pour un niveau ou un module donnés.
Dans le «classement sur une échelle», on met l’accent sur la place du
sujet évalué sur une série de degrés ou échelons – c'est-à-dire, sur la position
sur une ligne verticale; à quel niveau de l’échelle est-on arrivé? L'échelle des
descripteurs peut se présenter sous forme de questionnaire. Elle peut aussi avoir
la forme d'un «camembert» ou tout autre forme. Les réponses peuvent être
Oui/Non mais représentées par des parties ombrées afin de dessiner un schéma
plutôt que d'entourer ou de cocher un chiffre (0/1) ou un mot (Oui/Non) ou une
case. On peut affiner la réponse sur une échelle (par exemple de 0 a 4), de
préférence en donnant un intitulé à chaque degré et, de préférence aussi, avec
des définitions qui précisent l’interprétation que l’on doit donner aux intitulés.
10. Jugement fonde sur I'impression/Jugement guide
Jugement fondé sur l'impression: jugement entièrement subjectif fondé
sur l'observation de la performance de l'apprenant en classe, sans aucune
référence à des critères particuliers relatifs à une évaluation spécifique.
Jugement guidé: jugement dans lequel on reduit la subjectivité propre à
l'examinateur en ajoutant à la simple impression une évaluation consciente en
relation à des critères spécifiques.
«Impression» se réfère ici à ce qui se passe lorsqu'un enseignant ou un
apprenant attribuent des notes uniquement sur la base de leur observation de la
performance en classe, au moment des devoirs, etc. Plusieurs formes
d’évaluation subjective, notamment celles que l’on utilise en contrôle continu,
sont constituées par une notation basée sur la réflexion ou la mémoire,
vraisemblablement obtenue par l'observation consciente de la personne en
question pendant un certain temps. De nombreux systèmes scolaires
fonctionnent ainsi.
L'expression «jugement guidé» décrit ici la situation dans laquelle on
met en oeuvre une approche de l’évaluation qui transforme l'impression en
jugement raisonné. Une approche de ce type suppose
119
– la tendance langagière,
– la complexité,
– la motivation de l’activité des élèves,
– l’appui sur la langue maternelle.
Le contenu de la leçon contient le matériel à apprendre et les actions à
résoudre des objectifs possés.
La structure compositionnelle de la leçon comprend sa structure interieure et
extérieure.
La structure extérieure se compose du commencement de la leçon, de ses
parties principale et finale.
La structure intérieure est causée par les objectifs pratiques et leur
corrélation.
Le commencement de la leçon contient le moment d’organisation, la
gymnastique langagière ou phonétique et l’annonce des devoirs de la leçon.
Les résultats de la leçon sont causés par le caractère de la structure intérieure
de la leçon. Ici il faut se guider par les règles en loi psychologiques et didactiques,
linguo- méthodiques de l’apprentissage à l’école primaire.
Les recherches témoignent que la lecture et l’écriture exigent à utiliser des
efforts considérables car l’analisateur visuel n’est pas encore formé.
L’attention active des enfants de 7 à 10 ans dure pendant 15-20 minutes, en 2-e
classe – 10-15 minutes.
La durée des exercices écrits sans pause pour les élèves de 7 ans est de 2
minutes 40 secondes au commencement de la lecon et 1 minute 45 secondes à la fin
de la leçon.
La lecture permanente des élèves de 7-8 ans ne doit pas dépasser 10 minutes, à
9 ans – 15 minutes.
L’enseignant doit prévenir l’abaissement de l’intérêt et de l’aptitude au travail,
ainsi que baisser le chargement statistique en planifiant une leçon. Cela devient
possible à condition qu’on organise telles activités des élèves qui prévoient la
vivacité (рухливість) suffisante des élèves. Parmi ces activités on peut citer des
poésies et des chansons en mouvement, des jeux en mouvement, des pauses
dynamiques ou sportives etc.
Les pauses dynamiques doivent être organisées deux fois par leçon.
Il faut intégrer l’activité langagière (langue étrangère) aux autres activités
propres aux petits (mouvement, jeu, dessin, musique). Cela aide à relaxer les enflants
en apprennant une langue étrangère sans y être obligé.
L’efficacité de la leçon dépend de la corrélation des phases de l’activité de
l’élève avec le degré de complexité du matériel.
Il y a cinq phases de l’activité ou de fatique des élèves:
1) le commencement de l’activité;
2) l’activité normale ;
3) le renforcement de l’activité ;
4) la diminution de l’activité ;
5) l’abaissement de l’activité différent
123
Les devoirs peuvent être au différent degré de complexité : très haut, haut, pas
haut, moyen.
La leçon commence par le moment d’organisation qui doit durer 2 minutes.
L’instituteur doit s’approcher de chacun, le calmer, s’il le faut, encourager l’autre,
établir le contact. Le ton majeur aide à enlever la tension émotionnelle (p. ex : on
entre dans la classe en écoutant une chanson). Les salutations passent à la
gymnastique langagière (comment ça va ? etc).
La gymnastique phonétique est obligatoire.
La partie essentielle.
La fin de la leçon (ton majeur). L’exemple d’une leçon.
4. Le jeu est l’élément intégrante de la leçon à l’école primaire. Les petits
changent leur activité essentielle de la vie, le jeu, par l’activité apprenante.
L’approche moderne est de traiter le jeu comme forme d’organisation de la vie
de l’enfant et non pas comme son activité libre. Cela cause le changement du rôle de
l’enseignant dans l’organisation de l’activité de jeu de l’enfant. Cela oblige le
pédagogue à s’éloigner de la position d’attente et à passer au guidage des jeux (de la
création des conditions pour le jeu et de l’assurance de son déroulement par le
matériel à l’organisation de l’activité de jeu de l’enfant.
Sans savoir des lois intérieurs du jeu le pédagogue peut ruiner ce jeu. Il faut
réserver la liberté et l’aisance de l’enfant.
L’action la plus productive est quand l’instituteur accompli un des rôles dans le
jeu.
I. Les jeux avec les règles (contenu, règle, tache) :
- en mouvement, dynamiques
- didactiques
Les jeux didactiques (selon N.K. Skliarenko)
Critère 1 : le but – la formation des aptitudes linguales (lexicales,
grammaticales, phonétiques, orthographe) ; le développement des savoir-faire
langagières (audition, expression orale, lecture, écriture).
Critère 2 :
a) sans l’élément de compétition : avec le déguisement (jeu de rôle ou sans ;
b) avec élément de compétition ;
II. Les jeux de rôle (selon G. Oliynik)
Critere 1 : Le but apprenant est l’assimilation
a) des espèces essentiels des unités dialogiques ;
b) des microdialogues ;
c) des types fonctionnels essentiels des dialogues.
Critere 2 : selon la quantité des participants : paire et en groupe
Critere 3 : selon le niveau de l’indépendance des participants les jeux sont
a) guidés ;
b) dirigés ;
c) libres
III. Les jeux avec les objets
Les jeux imprimés
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3. Travail individuel
Enseigner à écrire une composition-description. Trois espèces des
descriptions : objectifs, subjectif, objectif et subjectif. La description subjective
prévoit beaucoup de l’interaction de l’auteur et du lecteur.
Selon l’objet de description on divise les compositions en
- description des événements
- description des hommes
- description des endroits
- description des objets
Trois étapes de l’enseignement:
1. réceptive
2. réceptive et productive
3. productive
L’étape réceptive prévoit 1) la présentation des composantes essentielles
de la structure de la description (introduction, partie essentielle et finale) ; 2) la
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ЗМІСТ ПРОЕКТУ
Підготовчий етап
Крок 1. Стимуляція інтересу учнів шляхом опитування: яким би хотіли
бачити учні ідеальне суспільство.
127
Travail extrascolaire
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Література
12.Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт (усі
номери).
13.Методика викладання іноземних мов у середніх навчальних закладах.
Підручник // Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт,
2002. – 328 с.
14.Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови // Іноземні
мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
15.Le Français dans le Monde. Revue.
16.Le Français. Газета для викладачів французької мови.
17.Monnerie A. Méthode de français langue étrangère. – Paris: Librairie Larousse,
1987.