Audit - QCM
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Pour chacune des questions suivantes, une seule réponse est possible. Justifiez
votre choix.
1. Parmi les opérations suivantes, quelle est celle que l’auditeur doit effectuer lors de
la procédure d’acceptation de la mission ?
a. L’établissement du seuil de signification. ∙
b. L’identification des politiques de contrôle interne et des procédures appliquées. ∙
c. Une discussion des points importants avec le comité d’audit du client. ∙
3. Quelles sont les opérations qui sont généralement effectuées dans le cadre d’un
examen limité ?
a. Une confirmation directe des comptes clients et fournisseurs. ∙
b. Une appréciation du contrôle interne. ∙
c. Des procédures analytiques et l’obtention par les dirigeants ou par toute
personne compétente des informations jugées nécessaires. ∙
8. Le commissaire aux comptes doit prendre les événements survenus entre la date de
clôture de l’exercice et la date de l’assemblée générale et qui ont, ou peuvent, avoir
un effet significatif sur les comptes, la situation financière de l’entité ou sur son
activité. Quelle est la procédure qui ne permet pas au CAC de vérifier l’exhaustivité
de ces événements ?
a. Consulter l’annexe des comptes annuels pour examiner les événements posté-
rieurs que l’entité a pris en compte. ∙
b. Interroger les avocats de l’entité concernant les litiges, contentieux et procès. ∙
c. Interroger la direction sur le point de savoir si des événements postérieurs
susceptibles d’avoir une incidence sur les comptes se sont produits. ∙
Question 1
Réponse c. Lorsque l’entité dispose d’un comité d’audit, il est souhaitable que
l’auditeur consulte ce comité avant d’accepter la mission. L’établissement du seuil
de signification, l’identification des politiques de contrôle interne et des procédures
appliquées sont des opérations qui doivent être effectuées au cours de l’audit.
Question 2
Réponse c. Le montant qui peut affecter la perception par l’utilisateur d’une
information comprise dans les états financiers s’appelle le seuil de signification. De
ce seuil de signification va découler le risque d’audit, lui-même lié au risque
inhérent, au risque lié au contrôle et au risque de non-détection.
Question 3
Réponse c. Un examen limité ne comprend pas tous les contrôles propres à un audit
mais se limite généralement à mettre en oeuvre des procédures analytiques et à
obtenir des dirigeants ou de toute personne compétente des informations estimées
nécessaires par l’auditeur. La confirmation directe des comptes clients et
fournisseurs, l’appréciation du système de contrôle interne sont des contrôles
propres à un audit.
Question 4
Réponse a. La lettre de mission doit notamment comprendre « la nature et
l’étendue des interventions qu’il entend mener conformément aux normes
d’exercice professionnel ». La norme n’évoque pas les délais d’émission des
rapports ni la durée de la mission qui sont formulées par la loi ou la réglementation.
Question 5
Réponse a. En effet la norme ISA 315 précise que « Le commissaire aux comptes
acquiert une connaissance suffisante de l’entité, notamment de son contrôle
interne, afin d’identifier et d’évaluer le risque d’anomalies significatives dans les
comptes et afin de concevoir et de mettre en oeuvre des procédures d’audit
permettant de fonder son opinion sur les comptes ».
Question 6
Réponse c. La Norme ISA 300 consacrée à la planification de l’audit distingue la
planification, le plan de mission et le programme de travail.
La planification est engagée :
après la mise en oeuvre des vérifications liées à l’acceptation et au maintien
de la mission, en particulier de celles liées aux règles déontologiques ;
après prise de contact avec le commissaire aux comptes prédécesseur dans
le respect des règles de déontologie et de secret professionnel, en cas de
changement de commissaire aux comptes ;
avant la mise en oeuvre des procédures d’audit.