TFC BDD
TFC BDD
TFC BDD
INTRODUCTION GENERALE
De style universel, l’informatique permet d’exécuter des diverses tâches liées à la récolte, la
saisie, au portage, au calque, au trie de données et autres… c’est grâce à celui-ci que le monde
actuel a pris une longueur d’avance dans son apport des solutions aux problèmes ayant trait à
la gestion au sein des organisations.
Le service de l’état civil de la commune de Ndjili, se veut ainsi ne pas rester en arrière de
tout ceci. Voilà pourquoi il serait plus que temps qu’elle intègre l’automatisation dans sa
gestion d’état civile. Ce qui constitue la base même de notre sujet d’étude, qui s’intitule
«conception et réalisation d’une base des données pour la gestion des états civils : Cas de la
commune de ndjili ».
P age |2
1. EXPOSE DU PROBLEME
L’automatisation des informations est devenue à nos jours très important dans tous les
domaines d’activité a causé des différentes avances qu’elle offre aux entreprises privées,
publique ou de l’état.
La majeure difficulté est basée sur le volume important des informations à traiter qui
exige une conservation efficiente en vus de facilité les traitements, maintenir intact les états de
civils des agents et de la population de commune de ndjili.
Ayant observé toutes les difficultés recensé dans la commune de ndjili, nous avons
décidé de mettre en place une base de données capable de géré les états civile afin de
permettre l’efficacité, la performance, la fiabilité au traitement des données.
2. PROBLEMATIQUE
La problématique est l’ensemble de lacune que connait une entreprise pour gérer une
activité quelconque1 .
Par rapport à toutes les difficultés et désordre cités ci-haut, nos questions sont celles de
savoir :
Tels sont les questions que nous allons développer tout au cours de la rédaction de travail.
3. HYPOTHESE
Nous pensons qu’une maison communale, qui est une représentation de l’autorité de
l’état dans une division territoriale ne doit pas présenter autant des difficultés comme
constatées, d’où une gestion automatisée des dossiers est nécessaire, avec des logiciels
propres à chacun de ses services, en place un système d’information informatisé pour pallier à
ces difficultés et aussi la conception d’une base de données qui répondrait à tous les
préoccupation des requérant en cas de besoins en un temps record.
a. Choix du sujet
b. Intérêt du sujet
Pour la maison communale de Ndjili : ils vont migrer du système manuel vers
un système informatique pour rendre la gestion meilleure, l’acquisition d’un
logiciel compatible permettant la bonne gestion mariages civils.
Pour le chercheur : bénéficier d’un outil qui leur facilitera la tâche dans leur
recherche dans le même domaine ;
Pour nous : obtenir notre premier titre de graduat et concilier toutes les théories
acquises à la vie professionnelle.
c. Délimitation du sujet
Etant donné que tout travail scientifique se limité dans le temps pour la
pertinence de l’analyse, le nôtre est restreint au sein de la maison communale de Ndjili
au sein du service de l’état civile plus précisément de l’année 2019 jusqu’à nos jours.
5. METHODES ET TECHNIQUES
a. Méthodes
Une méthode est une marche rationnelle de l’esprit pour arriver à la connaissance ou à la
démonstration d’une vérité. Ensemble ordonné de manière logique de décidé, de règle, d’étape,
qui constitue un moyen pour parvenir à un résultat.
D’où on peut souligner qu’il existe plusieurs dont parmi elle nous avons MERISE,
UML, RAD etc. pour notre sujet sous étude nous avons fait appel à la méthode MERISE 2 .
b. Techniques
Les techniques sont des procédés opératoires, vigoureux, bien définis susceptibles
d’être appliquées à nouveau dans les mêmes conditions adaptées au genre des problèmes ou
des phénomènes en cause 3 .
En ce qui concerne le présent travail, nous avons utilisées les techniques pour la
récolte des données sont les suivantes :
6. DIFFICULTÉS RENCONTRÉES
7. CANEVAS DU TRAVAIL
Définition
Un système est un ensemble d’élément en interaction dynamique permanent organisé
en fonction d’un but à atteindre4
Nous avant :
b) système d’information
5
Alphonse M VIBUDULU KALUYIT, note de cours de conception système d’information, L1 infos, ISC/KIN, 2009-2010,
Page11. Edition Kinshasa
5
Idem
P age |8
c) système opérant
Système/entreprise
Système Organisationnel
Système de pilotage
Système d’information
Un ensemble de données numériques qui possède une structure ; c'est à dire dont
l'organisation répond à une logique systématique. On parlera de modèle logique de données
pour décrire cette structure.
(par exemple, en langage C) pour récupérer directement chaque valeur de champ dans une
variable.
Mais dans une base de données, on recherche les données par leur contenu. Pour
retrouver l’une d’entre elles, il faut donc parcourir tous les enregistrements un à un (recherche
séquentielle), et en examiner le contenu.
les données sont séparées (chaque entité est représentée par une table indépendante
des autres données) et donc réutilisables;
Les données sont spécifiées : les « attributs » d’une entité sont connus et contraints;
Les données sont s´sécurisées : les transactions concurrentes sur les données sont
éfficacement gérées;
Les mécanismes d’importation/exportation des données existent et permettent
d’alimenter éfficacement les tables;
les m´mécanismes génériques d’interrogation des données sont déjà d´enveloppés, le
temps de développement d’une application est par conséquent réduit;
possibilités d’interfaçage www...
2.5.1. Définition
permet à l’homme d’utiliser les différentes fonctionnalités d’une base de données (création,
mise à jour, stockage, consultation, recherche,….)6 .
2.5.2. Fonction d’un SGBD
La création d’une base de données recèle un but précis : elle doit permettre de
retrouver de l’information par son contenu en se fondant sur des critères de recherche. On
désire, par exemple, retrouver toutes les recettes qui nécessitent des œufs ou tous les CD qui
contiennent un morceau donné.
Ce que l’on recherche en utilisant une base de données est d’assurer l’indépendance
entre le traitement et les données. C’est pourquoi, il est nécessaire que l’application obtienne
des informations sur la structure des données (nom, type, taille, etc.) 7 .
Pour ce faire, on associe à la base de données une description que l’on appelle «
métadonnée » ou « catalogue ». Cette dernière décrit la structure interne de la base de
données qui est spécifique au SGBD employé. En plus de la structure et du type des données,
on stocke également à cet endroit les informations concernant les règles de cohérence des
données abordées à la section suivante.
7 Jacques Alphonse M VIBUDULU KALUYIT Louis – Denis KONKFIE IPEPE, Technique des bases de données, Étude des
cas, 2éme Edition, corrigée et révisée GRIGED, Décembre 2012 Page 21
7 Idem
P a g e | 11
L’idée générale est que l’utilisateur ou l’application utilisatrice des données ne doit
pas être dépendante de leur représentation interne, ce qui constitue une abstraction des
données. C’est la raison pour laquelle on utilise une description des données sous la forme
d’un modèle pour permettre la restitution la plus efficace possible de l’information.
Nous avons :
a. SGBD Hiérarchique ;
b. SGBD Relationnel ;
c. SGBD Réseau ;
d. SGBD Déductive ;
e. SGBD Objet.
A. SGBD Hiérarchique
Ce SGBD, présente les données sous forme arborescente, c'est-à-dire une structure
ayant un seul accès.
B. SGBD Relationnel
Celui-ci met l’accent sur la notion de relation ou tableau, c'est-à-dire la description des
données est faite sous forme d’un tableau.
C. SGBD Réseau
D. SGBD Déductive
D. SGBD Objet
a) Définition
Gérer une entreprise, c’est développer et mettre en place les outils qui permettent le
partage d’information, la discussion des stratégies et la prise de décision en toute
transparence.
Il existe plusieurs types de gestion, mais ici nous allons citez quelques-unes dont :
La gestion de stock : c’est un ensemble des produits finis et des produits en cours
de production possédés par entreprise à une date précise.
La gestion d’un centre informatique (GCI) : celle-ci ne traite que l’aspect sécurité
concernant la réalisation et l’installation d’un nouveau centre informatique en
vue d’une meilleure gestion.
a. Définition
C’est un service public spécial assuré par des fonctionnaires appelés « officiers
de l’état civil » chargé de l’enregistrement des faits ou des évènements survenant au
cours de la vie de l’homme depuis la naissance jusqu’au décès en passant par le
mariage et éventuellement le divorce.
Considéré sous son aspect organique, l’état civil a pour objectif de fixé la
condition des personnes dans la famille et dans la société en assurant de manière
certaine, la constatation et la publicité des principaux événement de la vie civil.
b. Etat civil d’une personne
C’est l’ensemble des qualités juridiques que cette personne acquiert dans le
cadre du droit privé ou plus exactement, sur les droits personnels. Mais, ils n’en sont
pas les seuls.
En effet, le divorce, l’adoption, la reconnaissance de l’enfant né hors mariage
etc., constituent les autres évènements qui ont une incidence sur l’état civil d’une
personne.
P a g e | 15
I.2. Historique
La commune Urbino-semi rurale de N’DJILI qui couvre une superficie de
11,400km2 est l’une des entités Administratives Décentralisées les plus peuples de la capitale.
Superficie : 11.400km2
Nom : BIYE
Post nom : KIKUAMA
Prénom : Senghor
Reference et date de l’acte de sa désignation : ordonnance présidentielle No 08 /2008
du 24/09/2008
I.3. Objectifs
La commune de Ndjili, a comme d’autre commune de la ville de Kinshasa est
une entité Administrative décentralisée qui poursuit les objectifs suivants en tant institution
publique :
L’autorité municipale ;
Les branches spécialisées ;
Les services administratifs ou techniques
A. L’autorité Municipale
- Le chef de bureau : il vient juste après le bourgmestre titulaire et son adjoint, c’est-à-
dire le chef direct de l’administration municipale
- Le secrétaire : c’est un service moteur de l’administration municipale. Il sert de
liaison entre la commune et les instances supérieures ou les particuliers. Le secrétariat
s’occupe de :
La réception des courriers (correspondances)
L’expédition interne et externe des courriers
La rédaction des lettres
La dactylographie de toutes les lettres
Le classement des lettres
Le transport des lettres
La transmission interne et externe des lettres.
- L’A.N.R : c’est l’agence nationale de renseignement qui a pour rôle de veiller sur la
sécurité dans la commune, de la récolte des renseignements se rapportant à la sureté
nationale.
- La DGM : c’est la direction générale de migration dont le rôle est de veiller sur le
mouvement migratoire de la population, de contrôler la population étrangère de la
commune.
- La POLICE : c’est la police nationale congolaise représentée par le commissariat de
Ndjili. Elle dépend du ministère de l’intérieur et a pour mission de la sécurisation des
populations et de leurs biens, la sauvegarder de l’autorité de l’Etat à la base.
N.B : ces services spécialisés sont mises à la disposition de l’autorité municipale. L’A.N.R
dépend de la présidence de la République tandis que la Direction Générale de Migration ainsi
que la police dépendent toutes les deux du ministère de l’intérieur et sécurité.
Le service de finance : ce service regroupe en son sein deux services qui sont :
Le service de la comptabilité ;
Le service de l’ordonnancement.
Le service de la comptabilité : ce service s’occupe de la comptabilité
communale. Il est tenu de respecter :
La phase de paiement des dépenses dument engagées et approuvées
par les autorités compétentes de la commune ;
De conserver toutes les entrées financières de la commune ;
La tenue journalièrement des journaux de caisse auxiliaires dans
lesquels le comptable subordonné à l’obligation d’enregistrer toutes
les recettes et les dépenses effectuées ;
La coordination de toutes les opérations de perception ;
La perception journalière des frais
Le service de l’ordonnancement : ce service fait aussi partie des finances
de la commune qui est tenue de faire respecter les 4 phases de réalisations
de des recettes à savoir :
L’engagement ;
La constatation ;
L’ordonnancement ;
Recouvrement.
P a g e | 22
Autorisation d’installation.
Le service de sport et loisirs : ce service est supervisé par un chef de service, c’est un
service dépendant du ministère de sport et loisirs et ses agents sont affectés à la
commune. Ses attributions sont les suivantes :
Promouvoir et organiser des activités sportives, récréatives et loisirs sains ;
Organiser et contrôler les établissements de formations et encadrement des
jeunes talents sportifs ;
Formation des cadres techniques et sportifs ;
Délivrer les autorisations de manifestation sportives et de loisirs.
P a g e | 26
I.6. organigramme
Bourgmestre
Bourgmestre adjoint
Chef du bureau
Secrétariat
Elle a pour but de recueillir les données nécessaires qui au cours du processus vont
servir à l’élaboration du diagnostic en vue de la recherche des solutions.
Préposé d’état
Secrétariat
Réception Perceptrice
Figure 2
Source : Secrétariat de la commune de Ndjili
9 www.wikipedia.net à 11h23’
10
Dictionnaire Le Grand Robert.
P a g e | 28
L’agent se présente à la réception avec les états civils qui sont vérifié et ensuite
envoyé au secrétariat pour être enregistre dans le CE, en suite ils sont envoyé au Préposé
d’état pour signature après ils sont renvoyé au service de secrétariat pour classement.
L’étude de poste de travail et une étape qui permet d’analyser et de décrire tous les
postes de travail intervenant dans un service donné.
Sécréteur ;
Préposé d’état ;
Réception ;
Acte de mariage
Acte de Dèce
Acte de naissance
P a g e | 29
A. Acte de mariage
Modèle :
B. Acte de Dèce
Rôle : Un l’état civil rédigé par le médecin attestant le Dèce d’un agent.
Modèle :
C. Acte de naissance
Modèle :
Province PRV AN 15
a. Moyens humains
FICHE D’ANALYSE DE MOYENS HUMAINS
Tableau N o 2
b. Matériel utilises
Imprimante Classeurs Des pinces
Chaises Tensiomètre
C’est une étape où nous étudions la manière dont les informations circulent au sein
d’un service.
P a g e | 33
Arrivée de l’agent
avec les l’état civil 101 201 301
à la réception.
401
401
302
ETAT
Tableau no 3
P a g e | 34
a) Légende :
: Adresse de destinateur
: Adresse de provenance
: Classement
b) Abréviations :
ETAT : L’état civil
CE : Cahier d’enregistrement
400 401 Vérification des ETAT, Signe et les renvoie au secrétariat pour
classement.
P a g e | 35
La critique de l’existant, consiste à dégager les points forts d’une part et les points
faibles du système en vigueur d’autre part, en suite proposer des solutions parmi les quelles,
on choisira la meilleure pour une bonne marche.
Elle doit être bien mené, car c’est grâce à elle qu’on arrivera à implanter un autre
système plus performant et d’une fiabilité élevée. 11
Il est question dans ce point de porter un jugement objectif sur les différents
aspects du système existant. A cet effet, l’analyste dégage les points forts et faibles du
système en vigueur12 .
III.2. Critique d’ordre général
En générale la commune de Ndjili est bien structurée et organise dans son ensemble
malgré qu’une grande partie des personnels ne soit vraiment qualifié dans leurs tâches
quotidiennes.
La gestion des états civil et autre travail se fait manuellement et une grande partie du
personnel n’ont pas la connaissance de l’outil informatique qui est maintenant indispensable
dans tous les domaines de gestion.
Les documents son bien conçus dans le font et la forme selon les normes de l’état
congolais mais mal conserve par le service. Cela est à la base de la perte des certains l’état
civil s.
11
JOUSSENAIRE, B, Informatique, Dunod, Paris, 2002, P : 16
12
NVIBUDULU, J et KONKFIE, L, Recueil d’exercice, de M éthode d’Analyse InformatiqueI, 2014, P 16,
P a g e | 36
La réorganiser du système existant est une solution manuelle qui consiste à présente des
solutions qui vont permettre au service à atteindre ses objectifs toute améliorant le système
manuel existant. Pour ce faire, nous proposons les solutions ci-après :
Motiver les personnels pour qu’ils travaillent plus dans leurs consciences et qu’ils
donnent le meilleur d’eux-mêmes (en dehors du prime d’encouragement) ;
Procéder par une bonne répartition des tâches entre les différents services ;
Organisé des formations sur la gestion des services question de s’assure que chacun
connaît bien ses attributions ;
Acheter des étagères et des nouveaux outils pour la conservation des états civils ;
1. Avantages de la solution
2. Inconvénients de la solution
1. Avantages de la solution
2. Inconvénients de la solution
Introduction
Introduction
- Modèle conceptuel ;
- Modèle organisationnel.
A. Définition et but
Le plus invariant, le niveau conceptuel, définit les fonctions réalisées dans l'organisme. Il
répond à la question QUE FAIT L'ORGANISME ? Il est déterminé par son activité.
L'étape précédente, l'interrogation du pourquoi de l'activité, cette remise en question de
l'entreprise, n'est pas abordée par Merise.
P a g e | 39
Le but de ce chapitre est d'expliquer comment décrire l'entreprise concernée en respectant les
normes de chaque modèle.
Le modèle de traitement formalise, comme son nom l'indique, les traitements effectués
par un système fonctionnel, comment l'entreprise réagit à une réception d'informations, ou
quand, spontanément, elle décide d'émettre des informations.
L'entreprise est considérée comme un système. L'extérieur, avec qui l'entreprise effectue ses
échanges est aussi perçu comme un ensemble de systèmes. L'entreprise est découpée en
Un domaine peut se décomposer en sous domaines. Les domaines (ou sous domaines) sont
identifiés soit : Comme les fonctions de base répondant à la question pourquoi ?
Une fois les intervenants (ou domaines) définis (en accord avec les utilisateurs), il faut
déterminer les échanges entre ceux-ci et plus particulièrement les Messages.
Un flux :
Les flux des données : c’est la présentation des échanges d’informations du système
d’information entre le système d’information et le monde extérieur.+
Acteur : C’est une personne Physique ou Virtual qui a un rôle précis à jouer dans le
système. Il existe deux sortes d’acteurs qui sont :
Flux 1
Flux 2
Réception
Stagiaire Secrétariat
Flux 4
Flux 3
Chef Service
Commentaires :
Les flux des données : c’est la présentation des échanges d’informations du système
d’information entre le système d’information et le monde extérieur.
Acteur : C’est une personne Physique ou Virtual qui a un rôle précis à jouer dans le
système. Il existe deux sortes d’acteurs qui sont :
Nom de Nom de
l’événement résultat
Figure No 5
P a g e | 45
Agent
Réception
ET
Vérification du Doc.
OK KO
Secrétariat
ET
Nom;
Date de réception ;
Service ou département concerné ;
KO KO
Préposé d’Etat
ET
Nom;
Date de réception
Toujours
ET
Nom;
Date de réception ;
Toujours
Mise en stage
Figure No4
P a g e | 46
Le modèle conceptuel de données (MCD) a pour but de décrire de façon formelle les
données qui seront utilisées par le nouveau système d’information.
Un objet est représenté par un rectangle reprenant le nom de l’objet et toutes ses
propriétés parmi lesquels on trouve l’identifiant qui n’est autre qu’une propriété clé de l’objet
qui doit être souligné ou précédé du symbole # ou du préfix id.
Entité : Une entité est la représentation d’un Object matériel ou immatériel ayant rôle
dans le système que l’on décrire ;
Propriété : Une propriété est un donnée élémentaire conforme aux choix de gestion
de l’entreprise, les propriétés sont utilisées pour décrire les objets et les relations 16 ;
Identifiant : L’identifiant d’un objet est là où les propriétés permettant de déterminer
de façon unique chacune des occurrences de l’objet. La valeur de l’identifiant doit être
différentes pour chaque occurrence de l’objet17 ;
Occurrence : L’occurrence d’une propriété est l’une des valeurs que peut prendre
cette propriété. L’occurrence d’un objet est l’un des ensembles d’occurrence de ses
propriétés. L’occurrence d’une association est l’une des liaisons entre occurrences
objets participant à l’association 18 ;
Association : (relation) Une association est un lien sémantique entre plusieurs objets
dépourvue d’existence propre et conforme aux choix de gestion de l’entreprise ;
Les règles de gestions sont des contraintes administratives de gestion dont le but est d’assure
la sécurité dans une entreprise et dans un domaine précis.
Règle 1 :
La réception peut recevoir un ou plusieurs états civils ;
Un état civil est reçu par une et un seul service de réception.
Règle 2 :
Le secrétariat peut classer un ou plusieurs états civils ;
L’état civil est classé par un et un seul service de secrétariat.
Règles 3 :
Un agent peut déposer un ou plusieurs états civils ;
Un état civil est déposé par un et un seul agent ;
Règle 4 :
Un agent travail dans un et un seul service :
Un service travail avec un et ou plusieurs agents ;
Règle 5 :
Un dossier peut contenir un ou plusieurs états civils ;
Un état civil est contenu dans un et un seul dossier.
Tableau No 6
1.4.2.3. Recensement et description des données
Nous avons recensé les objets ci-après :
Réception ;
EtatCivil;
Service ;
Agent ;
Service ;
Dossiers.
P a g e | 49
Id_Etat Varchar 5 #
Libelle_Etat Text 25
EtatCivil
Date_recep Date 10
Id_sec Varchar 5 #
Secrétariat Libelle_sec Text 25
Id_doss Varchar 5 #
Dossiers Text 25
Libel_doss
Date_Creat Date 10
Id_ag Varchar 5 #
Nom_ag Text 25
Postnom_ag Text 25
Agent Grade Text 20
Fonction Text 20
Sexe_ag Text 2
Adresse_ag Varchar 25
Tel_ag numerique 13
Id_Serv Varchar 5 #
Service Libel_Serv Text 25
Tableau No 7
P a g e | 50
Recevoir ;
Classer ;
Déposer ;
Travailler ;
Contenir.
C’est l’ensemble des règles spécifiant les valeurs permises pour certaines données,
éventuellement en fonction des autres données permettant d’assurer une cohérence de la base
des données.
Les différentes contraintes manipulées par le SGDB-R sont les suivantes :
1,1 1, n
0,1 1, n
P a g e | 51
1,1 0, n
0,1 0, n
La contrainte d’intégrité multiple est utilisée dans le cas où la relation est du type
père – père c’est – à – dire partout où il y a les couples :
1, n 1, n
0, n 1, n
0, n 0, n
Tableau de contraintes
Tableau No 9
P a g e | 52
1, n Dossiers
Contenir # Id_Doss
Agent 1, 1
Libel_Dos
# Id_ag 1, n Date_Creat
Nom_ag Déposer
Postnom_ag
Grade
Fonction
Sexe_ag 1, n Service
1, 1
Adresse_ag Travaille # Id_Serv
Tel_ag r Libel_Serv
P a g e | 53
La définition des outils de gestion informatiques viendra à l'étape suivante, au niveau logique.
Les fonctions de l'entreprise sont "projetées" sur les postes de travail. Toute opération
conceptuelle devra être exécutée de manière organisée par un poste de travail.
Une même personne peut avoir plusieurs casquettes. Tout dépend de ses capacités et de sa
charge de travail. Certaines personnes auront toujours la même casquette : Andy Capp, le
héros de bande dessinée, par exemple. D'autre part, plusieurs personnes peuvent porter la
même "casquette" comme une caissière dans un supermarché. A l'étape suivante, il sera
nécessaire d'affecter des personnes à chaque poste. Les écrans informatiques seront validés
par les personnes affectées à un poste, les utilisateurs finals.
Tout en suivant les normes de la méthode MERISE pour le passage de MCT au MOT,
nous avons vu que le modèle organisationnel des traitements bien qu’il soit nécessaire dans un
système d’information, il ne nécessite pas de formalisme spécifique ; le MOT reprend très
largement les concepts du MCT, parfois réadaptés et enrichis, auxquels sont ajoutés de
nouveau concepts dont celui de poste de travail.
20 Michel DIVINE, Parlez-vous Merise ? , Les Éditions du phénomène 2010, page 99,100.
P a g e | 55
A ce modèle, nous allons répondre aux questions énumérées ci-dessous : Qui ? Quand ?
Où ?
Ce sont ces trois questions qui vont nous aider à réaliser notre modèle organisationnel de
traitement.
Pour cette raison, nous distinguons cinq possibilités pour effectuer le traitement :
Le MOT reprend très largement les concepts du MCT, parfois réadaptés et enrichis,
auxquels sont ajoutés de nouveaux concepts dont celui de poste de travail.
Le poste de travail type, ou poste type, constitue l’une des principales dimensions du modèle
organisationnel des traitements. Un poste type est un centre d’activité élémentaire du domaine
comprenant tout ce qui est nécessaire à l’exécution des traitements. Pour pouvoir le spécifier,
on décrit :
- Les compétences et aptitude requises par les personnes intervenant dans ce poste type ;
Les caractéristiques techniques des matériels associés à ce poste. Bien qu’aucune restriction
n’existe, le matériel informatique retiendra d’avantage le concepteur ; etc.
P a g e | 57
Agent
Réception
ET
Secrétariat
ET
Chef service
ET
Toujours
ET
Figure No 6
P a g e | 58
Il s’agit à ce niveau de prendre en compte les données du modèle conceptuel de données qui
seront prise en charge sur des ressources informatique càd les données qui seront stockées
informatiquement.
L’étape organisationnelle a pour but d’intégrer dans l’analyse les critères liés à
l’organisation étudiée. Cette étape fera précisée les notions de temporalité, de chronologie des
opérations, d’unité de lieu, définira les postes de travail, l’accès aux bases de données…
Les différentes questions qui sont posées à l’étape organisationnelle, sont21 :
a. Qui ?
b. Où ?
c. Quand ?
La première question permet de déterminer la personne qui a droit de voir ou traiter
les informations ou données ;
La deuxième question aide à connaitre le lieu de traitement ou le poste de travail ;
La troisième question est utilisée pour déterminer le temps de déroulement.
Le modèle organisationnel des données permet de prendre en compte des éléments relevant de
l’utilisation des ressources de mémorisation :
Nous avons appris que le modèle organisationnel des données global est celui qui
provient fraichement du modèle conceptuel de données c'est-à-dire sans transiter par un autre
modèle.
Si le modèle conceptuel de données contient les objets qui sont tous informatisables,
alors ce modèle devient automatiquement le modèle organisationnel de données global.
Tel est le cas de notre analyse c'est-à-dire nous allons tout simplement reprendre le
modèle conceptuel de données dans la partie du modèle organisationnel de données global.
Une fois que les données sont informatisées, elles doivent être sécurisées contre :
Cette sécurité repose sur quatre paramètres qui donnent accès aux données.
♠ L = lecture ;
♠ C = création ;
♠ M = modification ;
♠ S = suppression.
A partir de cella nous pouvons dégager les paramètres de sécurité permettent de bien
sécuriser notre Modèle Organisationnelle de données
1, n Dossiers
Contenir # Id_Doss
Agent 1, 1 Libel_Dos
1, n Date_Creat
# Id_ag
Nom_ag Déposer
Postnom_ag
Grade
Fonction
Sexe_ag 1, n Service
1, 1
Adresse_ag Travaille
Tel_ag # Id_Serv
r Libel_Serv
Figure No 7
P a g e | 61
Il s’exprime par les actions élémentaires que peuvent effectuer sur ce sous-
ensemble de données les traitements réalisés dans le site organisationnel. Ces
différents types d’accès en lecture (L), en modification (M), en création (C) et en
suppression (S) sont précisés sur le MOD local généralement dans un tableau
récapitulant les restrictions de disponibilités, les partages et les actions autorisées.
Sécurité de données
La sécurité d’accès s’exprime, selon les cas, au niveau du MOD global ou des
MOD locaux, et passe par la définition de catégories ou profils d’utilisateurs. Pour
chaque profil, on précise les éventuelles restrictions d’accès envisagées. En pratique,
on présente ces restrictions sous la forme de tableau faisant référence aux schémas
MOD. La sécurité d’accès aux données peut s’exprimer par une restriction par rapport
à une autorisation générale, ou une autorisation par rapport à une restriction générale.
P a g e | 62
Réception L, C M, S
EtatCivil L, C M, S
Dossiers L, C M, S
Agent L C, M, S
Réception L, C, S, M
Secrétariat L, C, M S
EtatCivil L, C, M S
Dossiers L, C, M S
Agent L C, M, S
Introduction
La conception du S.I.I est une phase technique et produit essentiel des spécifications de la
conception qui apparait généralement associée à la réalisation.
Ainsi, elle permet de définir la prise en charge des moyens matériels, la modélisation logique
ainsi que la modélisation physique des données et des traitements.
L'objectif du niveau logique est la définition des moyens informatiques à disposition des
postes de travail (utilisateurs) afin d'effectuer les opérations organisées. Cette définition passe
par la description de :
Le niveau logique représente le dernier niveau validé par l'utilisateur final (sauf si
celui-ci réalise la programmation). Il comprend une vue d’utilisateur de l'informatique (vue
externe de l'informatique) et une vue plus spécifique (vue interne).
intellectuellement très satisfaisante, vers le modèle physique de données. Si celui-ci peut être
construit, le MLD peut être sauté.
C'est aussi, dans les deux cas, indiquer quelles sont les données ou informations lues et écrites
dans le modèle logique de données à chaque étape (spécification interne).
Pour chaque outil transactionnel un MLT sera construit et les informations de chaque étape
analysée.
1.1.Définition et but
C’est une partie où merise comme méthode retenus pour la modélisation à prévue la
validation de la base de données qui sera détaillée par deux modèle qui sont les suivant :
Celui-ci comprend les opérations effectuées par des postes de travail. A chaque opération
organisée sont associés un ou plusieurs outils informatiques. Le modèle logique de
traitement comprend la partie visible, la spécification externe des transactions
informatiques, le cheminement possible d'écran à écran après un menu principal et la
partie non visible, interne, lectures et actions d'écritures d'informations dans le modèle
logique de données23 .
Comment notre étude nous recourons à l’approche qui consiste à la décomposition des taches
du MOT en ULT
Le vocabulaire change :
23
Mi chel DIVINÉ, PARLEZ-VOUS MERISE, P 141
P a g e | 66
Aucune règle n’est prévue par la méthode merise pour passer du MOT au MLT, elle se
fait suivant l’ingéniosité du développeur de l’application selon sa maitrise et sa façon de
concevoir les interfaces graphiques
Boite de connexion ;
Mise à jour Dossiers ;
Mise à jour Etat civils ;
Mise à jour Agent ;
Boite de connexions
Nom utilisateur
Mot de Passe
Connexion Annuler
Logique de dialogue :
Enchainement :
ID
Nom Dossier
Date de création
Logique de dialogue :
Saisir l’Identifiant du dossier ;
Recherche automatique dans la base de données ;
Si l’identifiant existe déjà, Afficher les informations enregistrer dans la base de
données pour des mises à jour selon les droits d’accès de l’utilisateur ;
Si non, saisir tous les détails sur le dossier allant de l’Identifiant à l’adresse ;
Enregistrer les informations sur le dossier et passer au suivant.
Enchainement :
ID
Nom Etat
Date de réception
Logique de dialogue :
Saisir l’Identifiant de l’Etat civil ;
Recherche automatique dans la base de données ;
Si l’identifiant existe déjà, Afficher les informations enregistrer dans la base de
données pour des mises à jour selon les droits d’accès de l’utilisateur ;
Si non, saisir tous les détails sur l’état civil allant de l’Identifiant à la date de réception
;
Enregistrer les informations sur l’état civil et passer au suivant.
Enchainement :
ID
Nom
Post-Nom
Sexe
Adresse
Fonction
Logique de dialogue :
Saisir l’ID de l’agent ;
Recherche automatique dans la base de données ;
Si l’identifiant existe dans la base de données, afficher les informations sur l’agent :
ID, nom, Postnom, Fonction pour des mises à jour ;
Si non, saisir tous les détails sur l’agent de l’ID à la fonction ;
Enregistrer les informations sur l’agent et passer au suivant.
Enchainement :
CONDITION ACTION RESULTAT
Début
Nom utilisateur
Mot de Passe
Connexion Quitter
A
Nom
Fin
Si
B
Oui
ULT 7
ULT 5 ULT 6
ULT 4 Edition
Liste des Dossiers
Liste des états civils
Liste des agents
Quitter B
Figure No 8
P a g e | 71
L’étape logique de données a trait à la structure des données, le but de cette étape est
de proposer l’implantation des données sous un logiciel de gestionnaire de données souvent
appelé SGBD.
Elle est exprimée dans un formalisme général et compatible avec l’état de l’art technique.
24 MVIBUDULU KALUYIT et KITOKO MWANADIUNGA., Notes des MAI, G3 INFO ISC/KIN, 2017-2018
25 Idem.
26 MVIBUDULU KALUYIT, KONKFIE IPEPE, Op.Cit, P12
P a g e | 72
formalisme dit général “objet – relation” lequel subit de transformations en rapport avec les
règles de passage.
Les relations :
Elles disparaissent, Le père envoie sa clé au fils qui le pointe et celle-ci devient une clé
étrangère.
- 0,1 – 0,1 : faire le choix entre les deux objets pour désigner l’objet père et appliquer
la règle pour les relations du type « père – fils »
P a g e | 73
Pour des relations d’une dimension supérieure à deux, quelles que soient les cardinalités, elles
se transforment en tables dont la clé est une concaténation des clés appartenant à toutes les
tables participant à la relation. Si la relation porte une propriété, celle-ci devient un attribut.
P a g e | 74
T_Réception T_ EtatCivil
T_Secrétariat
s
# Id_Etat
#Id_rep
Libelle_Etat # Id_sec
Liblle_rep
Date_recep Libelle_sec
Id_rep#
Id_sec#
Id_Doss# T_Dossiers
Id_ag#
T_Agent # Id_Doss
Libel_Dos
# Id_ag Date_Creat
Nom_ag
Postnom_ag
Fonction
Sexe_ag
T_Service
Adresse_ag
Tel_ag # Id_Serv
Id_Serv# Libel_Serv
Figure No 9
P a g e | 75
T_Réception T_ EtatCivil
T_Secrétariat
s
#Id_rep # Id_Etat
Libelle_Etat # Id_sec
Liblle_rep
Date_recep Libelle_sec
Id_rep#
Id_sec#
Id_Doss# T_Dossiers
Id_ag#
T_Agent # Id_Doss
Libel_Dos
# Id_ag Date_Creat
Nom_ag
Postnom_ag
Fonction
Sexe_ag
Adresse_ag T_Service
Tel_ag # Id_Serv
Id_Serv# Libel_Serv
Figure No 10
P a g e | 77
Le schéma relationnel est appelé aussi schéma logique, elle décrit la structure des
tables selon le type de système de gestion de base de données (SGBD) choisit.
T_Agent :
#Id_ag : varchar (5) ;Nom_ag :text (25);Postnom_ag : text(25);Fonction : text
(25) ;Sexe_ag : text(2) ;Adresse_ag :text (25) ;Tel_ag : num (13) ;Id_Serv# :varchar(5).
T_Reception :
#Id_rep: varchar (5); Liblle_rep: text (25);
T_Secrétariat :
# Id_sec : varchar (5) ;Libelle_sec : text (25).
T_Dossiers :
# Id_Doss : varchar (5) ;Libel_Dos : text (25);Date_Creat: Date (10).
P a g e | 78
Le dernier niveau, le plus variable, est l'outil informatique lui-même, les fichiers,
les programmes. AVEC QUOI ? Ce niveau est appelé niveau physique.
C'est à cet instant que la méthode justifie son utilisation dans le cadre de développement
sur micro-ordinateurs. Le modèle conceptuel de données engendre le modèle physique de
données.
Il consiste en l'écriture du programme. Celui-ci peut être généré dans le cadre d'un
"Atelier de génie logiciel". La finalité de méthodes telles que MERISE est la production
de "code" automatique à partir de la conception.
La maquette est l'enchaînement des états sans réels calculs. Un prototype exécute
des calculs, met à jour des données et l'utilisateur final peut presque dire que la
programmation est terminée.
27
Michel DIVINÉ, PARLEZ-VOUS MERISE, Les Éditions du phénomène 2010, page 152.
P a g e | 79
Celui-ci est libre de découper ses programmes de manière à les réutiliser dans les
différents outils informatiques.
Etant donné que la méthode merise n’a pas prévu de modèle type à ce niveau, nous allons
seulement donner l’entrainement des unités logique des traitements sous une forme
arborescente.29
Chaque unité logique de traitement devient alors un programme qui va exploiter la base
de données ainsi créé.
Programme :
Le traitement informatique
Est le processus qui consiste à récupérer l’information dans son état natif
et de lui apporter la présentation attendue pour en obtenir un document lisible et
ergonomique afin de pouvoir le transmettre au format papier ou électronique, il
Début Procédure
Boite de connexion
Nom utilisateur
Mots de passe
Connexion Annuler
Menus Principal
Dossiers
Ajouter Liste des dossiers
Modifier
Supprimer Liste des états civils
EtatCivil
Rechercher
Liste des agents
Agents Quitter
BDD
Figure No 11
P a g e | 82
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Colonnes
Nom Type
Taille
Page d’accueil
Boite de connexion
Menu principal
Quitter
Figure No 12
P a g e | 86
Il a été conçu en 1963 par John George Kemeny et Thomas Eugene Kurtz au Dartmouth
Collège pour permettre aux étudiants qui ne travaillaient pas dans des filières
scientifiques d'utiliser les ordinateurs. En effet, à l'époque, l'utilisation des ordinateurs
nécessitait l'emploi d'un langage de programmation assembleur dédié, ce dont seuls les
spécialistes étaient capables.
Il faut savoir que le BASIC, ancêtre du Visual Basic, est un langage de haut niveau. En
programmation, les langages peuvent sen trier par niveau : plus le niveau du langage est
bas, plus celui-ci est proche du matériel informatique (le C est considéré comme un
langage de bas niveau). Un développeur utilisant un langage de bas niveau devra, entre
autres, gérer la mémoire qu'il utilise. Il peut même aller jusqu'à spécifier les registres
matériels dans lesquels écrire pour faire fonctionner son programme.
Un framework (dans notre cas, le framework .NET de Microsoft) est une sorte d'immense
bibliothèque informatique contenant des outils qui vont faciliter la vie du développeur. Le
framework .NET est compatible avec le Visual Basic et d'autres langages tels que le C#,
le F#, le J#, etc.
1. Page d’accueil
2. Boite de connexion
3. Menu Principal
P a g e | 89
4. Enregistrement Agent
Module Module1
Public Cs = New ADODB.Connection
Public rs = New ADODB.Recordset
Public sql As String
End Module
Private Sub Button1_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button1.Click
Call seconnecter()
rs = New ADODB.Recordset
sql = "SELECT * FROM T_Agent where Id_Ag= '" & Me.TextBox1.Text & "'"
rs.open(sql, Cs, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockBatchOptimistic)
If rs.EOF Then
rs.addnew()
rs.Fields("Id_Ag").value = Me.TextBox1.Text
rs.Fields("Nom_Ag").value = Me.TextBox2.Text
rs.fields("Postnom_Ag").value = Me.TextBox3.Text
rs.Fields("Fonction").value = Me. TextBox4.Text
rs.fields("Sexe_ag").value = Me.TextBox5.Text
rs.fields("Adresse_ag").value = Me.TextBox6.Text
rs.fields("Tel_ag value = Me.TextBox7.Text
rs.fields("Id_Serv ").value = Me.TextBox8.Text
rs.Updatebatch()
MsgBox("DONNEES ENREGISTREE AVEC SUCCES")
Call nettoyer()
End If
End Sub
Sub nettoyer()
TextBox1.Clear()
TextBox2.Clear()
TextBox3.Clear()
TextBox4.Clear()
TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
End Sub
Sub seconnecter()
Cs = New ADODB.Connection
Cs.open("PR")
End Sub
b) Button Modifier
Private Sub Button2_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button2.Click
Cs = New ADODB.Connection
P a g e | 91
rs = New ADODB.Recordset
Cs.Open("PR ")
sql = "SELECT * FROM T_Agent where Id_Ag = '" & Me.TextBox1.Text & "'"
rs.open(sql, Cs, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockBatchOptimistic)
If Not rs.EOF = True Then
MsgBox("voulez-voulez modifier?")
TextBox1.Text = rs! Id_ag
TextBox2.Text = rs! Nom_ag
TextBox3.Text = rs! Postnom_ag
TextBox4.Text = rs! Fonction
TextBox5.Text = rs! Sexe_ag
TextBox6.Text = rs! Adresse_ag
TextBox6.Text = rs! Tel_ag
TextBox6.Text = rs! Id_Serv
rs.Update()
MsgBox("modification effectué!")
TextBox1.Text = ""
TextBox2.Clear()
TextBox3.Clear()
TextBox4.Clear()
TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
Else
MsgBox("mal effectué svp!")
TextBox1.Text = ""
TextBox1.Focus()
End If
End Sub
c) Bouton Supprimer
TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
Else
MsgBox("le code n'existe pas svp!")
TextBox1.Text = ""
End If
End Sub
d) Bouton Quitter
CONCLUSION GENERALE
En effet, nous avons donc réalise notre programme en Veb.net étant le plus
adapte à notre application avec Access 2010 comme SGBD relationnel.
P a g e | 95
Bibliographie
A. Ouvrages
1. Domique Nancy, Bernard Espinasse, Base Merise, Ed. Groupe IFG, Paris
2009.
CONCLUSION GENERALE.............................................................................................. 94
Bibliographie ...................................................................................................................... 95