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INTRODUCTION GENERALE

De style universel, l’informatique permet d’exécuter des diverses tâches liées à la récolte, la
saisie, au portage, au calque, au trie de données et autres… c’est grâce à celui-ci que le monde
actuel a pris une longueur d’avance dans son apport des solutions aux problèmes ayant trait à
la gestion au sein des organisations.

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication nous


accompagnent partout et font partie de notre vie de chaque jour.

Bon nombre d’organisations ressentent le grand besoin d’intégrer l’informatisation


dans leur gestion puisqu’elles estiment qu’en passant par celle-ci ou la gestion informatisée de
leurs organisations serait un atout favorable qui aiderait l’homme à éviter les fautes qui
peuvent être commises par le manuel. Ainsi, l’informatisation devient un passage obligé de
toutes les organisations ou organismes. Mais organiser un système d’information au point de
le rendre partiellement ou totalement informatisé n’est pas une mince affaire et consiste pour
cela, une analyse ou étude préalable de la situation.

Le service de l’état civil de la commune de Ndjili, se veut ainsi ne pas rester en arrière de
tout ceci. Voilà pourquoi il serait plus que temps qu’elle intègre l’automatisation dans sa
gestion d’état civile. Ce qui constitue la base même de notre sujet d’étude, qui s’intitule
«conception et réalisation d’une base des données pour la gestion des états civils : Cas de la
commune de ndjili ».
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1. EXPOSE DU PROBLEME

L’automatisation des informations est devenue à nos jours très important dans tous les
domaines d’activité a causé des différentes avances qu’elle offre aux entreprises privées,
publique ou de l’état.

La majeure difficulté est basée sur le volume important des informations à traiter qui
exige une conservation efficiente en vus de facilité les traitements, maintenir intact les états de
civils des agents et de la population de commune de ndjili.

Ayant observé toutes les difficultés recensé dans la commune de ndjili, nous avons
décidé de mettre en place une base de données capable de géré les états civile afin de
permettre l’efficacité, la performance, la fiabilité au traitement des données.

2. PROBLEMATIQUE

La problématique est l’ensemble de lacune que connait une entreprise pour gérer une
activité quelconque1 .

Lors de notre investigation au sein de service de l’état-civil de la commune de Ndjili,


nous avons constaté les problèmes suivant liés à la gestion des mariages civils :

 Lenteur dans l’établissement des états civil s ;


 Difficulté de retrouver les états civils en cas de recherche entrainant, ainsi des
difficultés dans l’élaboration des rapports ;
 Manque d’une base des données pour garder les informations liées à la gestion des
celle-ci ;
 Le non sécurisation des données.

Par rapport à toutes les difficultés et désordre cités ci-haut, nos questions sont celles de
savoir :

 Comment peut-on optimiser ce système ?


 Est-il possible de mettre à la disposition des gestionnaires un outil de traitement
automatique des informations pour bien les aider à gérer les mariages civils ?

Tels sont les questions que nous allons développer tout au cours de la rédaction de travail.

1 Problématique : https://fr.wikipedia.org/wiki/problématique; consulté le 12/02/2020 à 15h20


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3. HYPOTHESE

L’hypothèse est une réponse présumée que le chercheur formule à sa question


spécifique suite aux problèmes évoqués dans la problématique.

Nous pensons qu’une maison communale, qui est une représentation de l’autorité de
l’état dans une division territoriale ne doit pas présenter autant des difficultés comme
constatées, d’où une gestion automatisée des dossiers est nécessaire, avec des logiciels
propres à chacun de ses services, en place un système d’information informatisé pour pallier à
ces difficultés et aussi la conception d’une base de données qui répondrait à tous les
préoccupation des requérant en cas de besoins en un temps record.

4. CHOIX, INTERET ET DELIMITATION DU SUJET

a. Choix du sujet

Notre motivation d’opter pour ce sujet, « conception et réalisation d’une base


des données pour la gestion des états civils » au sein de maison communale de
Ndjili, est justifiée par le fait que nous voulons bien ratifier la mission de notre chère
Institution en apportant des nouvelles technologies pour l’amélioration du système de
cette dernière.

b. Intérêt du sujet

Pour ce qui est de l’intérêt du travail nous disons ceci :

 Pour la maison communale de Ndjili : ils vont migrer du système manuel vers
un système informatique pour rendre la gestion meilleure, l’acquisition d’un
logiciel compatible permettant la bonne gestion mariages civils.
 Pour le chercheur : bénéficier d’un outil qui leur facilitera la tâche dans leur
recherche dans le même domaine ;
 Pour nous : obtenir notre premier titre de graduat et concilier toutes les théories
acquises à la vie professionnelle.

L’idée est de modifier le système d’information manuel existant sur l’enregistrement


des mariages civils pour un nouveau système informatique automatisé dans lequel le
traitement sera effectué par ordinateur.
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c. Délimitation du sujet

Etant donné que tout travail scientifique se limité dans le temps pour la
pertinence de l’analyse, le nôtre est restreint au sein de la maison communale de Ndjili
au sein du service de l’état civile plus précisément de l’année 2019 jusqu’à nos jours.

5. METHODES ET TECHNIQUES

a. Méthodes

Une méthode est une marche rationnelle de l’esprit pour arriver à la connaissance ou à la
démonstration d’une vérité. Ensemble ordonné de manière logique de décidé, de règle, d’étape,
qui constitue un moyen pour parvenir à un résultat.

D’où on peut souligner qu’il existe plusieurs dont parmi elle nous avons MERISE,
UML, RAD etc. pour notre sujet sous étude nous avons fait appel à la méthode MERISE 2 .

MERISE : est une méthode de conception, de développement et de réalisation de


projet informatique. Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système
d’information.
La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des traitements
à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques.

b. Techniques

Les techniques sont des procédés opératoires, vigoureux, bien définis susceptibles
d’être appliquées à nouveau dans les mêmes conditions adaptées au genre des problèmes ou
des phénomènes en cause 3 .

En ce qui concerne le présent travail, nous avons utilisées les techniques pour la
récolte des données sont les suivantes :

 La technique d’interview : consiste à récolter les informations au moyen des


questions orales ou par utilisation d’un questionnaire sur le point, nous avons
remis un exemplaire de questionnaire au responsable du service pour nous
répondre soit par l’oral soit par écrit, les réponses nous ont été fournies suivant
nos questions, qui parfois ont rencontré ses préoccupations.

2 MVIBUDULU KALUYIT ET KITOKO MWANA-DUINGA : Notes de Cours de Méthode d’Analyse


Informatique II ISC/Kinshasa 2014-2015
3 https:/wikipedia.org/wiki/technique ; Consulté le 05/01/2020 à 12h15
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 La technique de l’état civil aire : consiste à récolter les informations contenues


dans le l’état civil existant. Cette technique nous a permis de consulter et
analyser certains l’état civil s comme les syllabus, les notes des cours, les
ouvrages ainsi que les anciens travaux élaborés par nos anciens.
 La technique d’observation : qui consiste à observer avec curiosité et attention
sur l’organisation des activités du service au sein de l’entreprise, ceci nous a
permis de découvrir certaines informations qui demandent à être informatisées.

6. DIFFICULTÉS RENCONTRÉES

En ce qui concerne notre recherche, la récolte de données était difficile, à cause de


l’indisponibilité des responsables du service concerné qui devaient donner l’aval au secrétariat
afin de nous livrer les données nécessaires pour notre travail.

7. CANEVAS DU TRAVAIL

LA PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE


Chapitre I. Les concepts informatiques de base.
Chapitre II. Concepts relatifs à la conservation des états civils des agents décédés.
LA DEUXIEME PARTIE : ETUDE PREALABLE
Chapitre I. présentation de la commune de ndjili ;
Chapitre II. Analyse de l’existant ;
Chapitre III. Diagnostic de l’existant ;
Chapitre IV. Proposition des solutions ;
LA TROISIEME PARTIE : LA CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
D’INFORMATION ;
Chapitre I. Étape conceptuelle
Chapitre II. Étape organisationnelle
Chapitre III. Étape logique
Chapitre IV. Étape physique
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LA QUATRIEME PARTIE : REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME


Chapitre I. programmation
Chapitre II. Tests logiciels
Chapitre III. Implantation et exploitation
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PREMIÈRE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE


CHAPITRE I. CONCEPTS INFORMATIQUES DE BASE

I.1. Le Classification des systèmes d’entreprise

Définition
Un système est un ensemble d’élément en interaction dynamique permanent organisé
en fonction d’un but à atteindre4

Ainsi, l’entreprise en tant que système complexe est un ensemble


avec des sous-ensembles dont le but est commun afin d’atteindre des objectifs qu’elle s’est
assignés. Ces sous-ensembles constituent eux aussi des systèmes dans un système appelle
communément sous système.

Nous avant :

 système de pilotage (décisionnel)


 système d’information
 système opérant

a) système de pilotage (décisionnel)

Un système de pilotage a pour objectif d’arrêter des stratégies pour le bon


fonctionnement de l’entreprise. Il est appelé autrement système décisionnel, car il décide du
sort de l’entreprise à court, moyen et long terme.

b) système d’information

Un système d’information(SI) est l’ensemble de moyens techniques, humains et des


méthodes qui permettent le traitement des informations au sein d’une organisation. 5

Le système d’information est le véhicule de la communication dans l’organisation.


Sa structure est constituée de l’ensemble des ressources (les hommes, le matériel, logiciels)
organisées pour : collecter, stocker, traiter et communiquer les informations.

5
Alphonse M VIBUDULU KALUYIT, note de cours de conception système d’information, L1 infos, ISC/KIN, 2009-2010,
Page11. Edition Kinshasa
5
Idem
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c) système opérant

Le système opérant(SO) ou d’exécutions a pour objectif d’exécuter les ordres provenant du


système décisionnel via le système d’information et d’en faire un rapport après exécution.

1.2. Fonctionnement de système d’entreprise

Système/entreprise

Système Organisationnel

Système de pilotage

Système d’information

Flux entrant Flux sortant


Système Opérant

SECTION 2 : NOTION DE BASE DE DONNÉES


2.1. Définition

Un ensemble de données stocké numériquement et pouvant servir à un ou plusieurs


programme. De ce point de vue des fichiers sur un disque dur, un fichier de tableur, voire un
fichier de traitement de texte peuvent constituer des bases de données.

Un ensemble de données numériques qui possède une structure ; c'est à dire dont
l'organisation répond à une logique systématique. On parlera de modèle logique de données
pour décrire cette structure.

2.2. Différence entre une base de donnée et un fichier de donnée s

Un fichier peut être vu (historiquement) comme un morceau de bande magnétique. Les


mécanismes de gestion de fichiers des langages de programmation, comme le langage C,
fonctionnent encore avec cette métaphore. Lorsqu’on utilise un fichier pour stocker de
l’information, il est nécessaire de prévoir un découpage de celui-ci par enregistrements,
souvent de taille fixe. Les données sont stockées dans l’enregistrement par un découpage
interne suivant la taille de chaque donnée. On utilise généralement des structures de données
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(par exemple, en langage C) pour récupérer directement chaque valeur de champ dans une
variable.

Mais dans une base de données, on recherche les données par leur contenu. Pour
retrouver l’une d’entre elles, il faut donc parcourir tous les enregistrements un à un (recherche
séquentielle), et en examiner le contenu.

2.3. Avantage d’une base de données

Pourquoi utiliser une base de données?

Nous utilisons une Base de données :

 les données sont séparées (chaque entité est représentée par une table indépendante
des autres données) et donc réutilisables;
 Les données sont spécifiées : les « attributs » d’une entité sont connus et contraints;
 Les données sont s´sécurisées : les transactions concurrentes sur les données sont
éfficacement gérées;
 Les mécanismes d’importation/exportation des données existent et permettent
d’alimenter éfficacement les tables;
 les m´mécanismes génériques d’interrogation des données sont déjà d´enveloppés, le
temps de développement d’une application est par conséquent réduit;
 possibilités d’interfaçage www...

2.4. Caractéristiques des bases de données

 L’exhaustivité : implique la présence dans la base de données, de tous les


renseignements qui ont trait aux applications en question.
 La non-redondance : implique la présence d’un renseignement donné une et une
seule fois.
 la structuration : implique l’adaptation du mode de stockage des renseignements
aux traitements qui les exploiteront et les mettrons à jour.
2.5. SYSTÈME DE GESTION DES BASES DE DONNÉES

2.5.1. Définition

Un système de gestion des bases de données (SGBD) est un ensemble des


programmes jouant le rôle d’interface entre l’utilisateur et les bases données c’est-à dire il
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permet à l’homme d’utiliser les différentes fonctionnalités d’une base de données (création,
mise à jour, stockage, consultation, recherche,….)6 .
2.5.2. Fonction d’un SGBD

La création d’une base de données recèle un but précis : elle doit permettre de
retrouver de l’information par son contenu en se fondant sur des critères de recherche. On
désire, par exemple, retrouver toutes les recettes qui nécessitent des œufs ou tous les CD qui
contiennent un morceau donné.

La grande différence avec un programme écrit dans un langage de programmation est


qu’une base de données doit pouvoir répondre à des questions pour lesquelles elle n’a pas
forcément été prévue à la conception. Une autre différence est que les données sont
susceptibles d’être utilisées par des applications différentes. Dans un programme classique, la
structuration des données est décrite directement dans le code, ce qui rend leur utilisation
difficile par d’autres programmes, en particulier lorsque l’on modifie cette structure.

Ce que l’on recherche en utilisant une base de données est d’assurer l’indépendance
entre le traitement et les données. C’est pourquoi, il est nécessaire que l’application obtienne
des informations sur la structure des données (nom, type, taille, etc.) 7 .

Pour ce faire, on associe à la base de données une description que l’on appelle «
métadonnée » ou « catalogue ». Cette dernière décrit la structure interne de la base de
données qui est spécifique au SGBD employé. En plus de la structure et du type des données,
on stocke également à cet endroit les informations concernant les règles de cohérence des
données abordées à la section suivante.

7 Jacques Alphonse M VIBUDULU KALUYIT Louis – Denis KONKFIE IPEPE, Technique des bases de données, Étude des
cas, 2éme Edition, corrigée et révisée GRIGED, Décembre 2012 Page 21
7 Idem
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NumCD Titre Musicien Label Année

1 Streetwise Olivier temime Noctume 1978


2 Underground Thelonious Monk Columbia 2005
3 Two a day Chef Baker Dreyfus 1968

L’idée générale est que l’utilisateur ou l’application utilisatrice des données ne doit
pas être dépendante de leur représentation interne, ce qui constitue une abstraction des
données. C’est la raison pour laquelle on utilise une description des données sous la forme
d’un modèle pour permettre la restitution la plus efficace possible de l’information.

2.5.3. Typologie des SGBD

Les modèles de données correspondent à la manière de structurer l’information dans


une base de données. Ils reposent sur les principes et les théories issus du domaine de la
recherche en informatique et permettent de traduire la réalité de l’information vers une
représentation utilisable en informatique.

Nous avons :

a. SGBD Hiérarchique ;
b. SGBD Relationnel ;
c. SGBD Réseau ;
d. SGBD Déductive ;
e. SGBD Objet.

A. SGBD Hiérarchique

Ce SGBD, présente les données sous forme arborescente, c'est-à-dire une structure
ayant un seul accès.

B. SGBD Relationnel

Celui-ci met l’accent sur la notion de relation ou tableau, c'est-à-dire la description des
données est faite sous forme d’un tableau.

C. SGBD Réseau

Il fonctionne en réseau, les graphes représentatifs des données ne comporte pas de


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D. SGBD Déductive

Les données sont aussi représentées en tables (prédicats), le langage d’interrogation se


base sur le calcul des prédicats et la logique du premier ordre.

D. SGBD Objet

Les données sont représentées en tant qu’instances de classes hiérarchiques. Chaque


champ est un objet. De ce fait, chaque donnée est active et possède ses propres méthodes
d’interrogation et d’affectation. L’héritage est utilisé comme mécanisme de factorisation de la
connaissance.
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CHAPITRE II CONCEPTS RELATIFS RELATIF A LA GETION DES ETATS


CIVILS

1. NOTION SUR LA GESTION

a) Définition

La gestion est l’art de coordonner et de diriger les ressources humaines,


financières et matérielles pour atteindre des objectifs prédéterminés.

La gestion permet de fixer les priorités.

Gérer une entreprise, c’est développer et mettre en place les outils qui permettent le
partage d’information, la discussion des stratégies et la prise de décision en toute
transparence.

Le petit Larousse le définie comme étant une manière de gérer, d’administrer, de


diriger quelque chose ; période pendant laquelle quelqu’un gère une affaire.

b) Différents types de gestion

Il existe plusieurs types de gestion, mais ici nous allons citez quelques-unes dont :

 La gestion financière : c’est un ensemble des décisions à caractère financier qui


ont trait soit à la structure de l’entreprise, soit à son fonctionnement. 8

 La gestion de stock : c’est un ensemble des produits finis et des produits en cours
de production possédés par entreprise à une date précise.

 La gestion d’un centre informatique (GCI) : celle-ci ne traite que l’aspect sécurité
concernant la réalisation et l’installation d’un nouveau centre informatique en
vue d’une meilleure gestion.

2. NOTION SUR L’ETAT CIVIL

a. Définition
C’est un service public spécial assuré par des fonctionnaires appelés « officiers
de l’état civil » chargé de l’enregistrement des faits ou des évènements survenant au
cours de la vie de l’homme depuis la naissance jusqu’au décès en passant par le
mariage et éventuellement le divorce.

8 EMERY KANGONDE, cours de gestion financière, Ed 2012, page19


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Considéré sous son aspect organique, l’état civil a pour objectif de fixé la
condition des personnes dans la famille et dans la société en assurant de manière
certaine, la constatation et la publicité des principaux événement de la vie civil.
b. Etat civil d’une personne
C’est l’ensemble des qualités juridiques que cette personne acquiert dans le
cadre du droit privé ou plus exactement, sur les droits personnels. Mais, ils n’en sont
pas les seuls.
En effet, le divorce, l’adoption, la reconnaissance de l’enfant né hors mariage
etc., constituent les autres évènements qui ont une incidence sur l’état civil d’une
personne.
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DEUXIEME PARTIE : ETUDE PREALABLE

CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE NDJILI

I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE

La commune de N’djili est une commune de la ville province de Kinshasa. Elle


est entièrement située dans la partie orientale.

Elle est limitée :

 Au Nord : par le boulevard LUMUMBA qui la sépare de la commune de MASINA


 A l’Est : par la rivière Nsanga qui la sépare de la commune de KIMBANSEKE.
 Au sud : par l’avenue président MOBUTU et la trajectoire de la rue KUMBI jusqu’à la
rivière N’djili
 A l’ouest : par la rivière N’djili qui la sépare des commune de KISENSO et MATETE.

I.2. Historique
La commune Urbino-semi rurale de N’DJILI qui couvre une superficie de
11,400km2 est l’une des entités Administratives Décentralisées les plus peuples de la capitale.

Avent sa reconnaissance en zone en annexe, intervenue par décret royal du 26


mars 1957, elle dépendait du territoire de KASANGULU a sa création elle avait la capacité de
sept quartier par rapport à nos jour où elle en compte treize.

De ces premiers occupants, nous reconnaitrons la présence des HUMBU et


TEKE

Originaire du village KIMBANGU, actuellement PETRO-CONGO dont le


chef coutumier répondait au nom de NGANGWELE.

Les contraintes démographique de ville de Kinshasa, alors Léopoldville, ont


provoqué une expansion dans le cadre économique –industriel d’où le gouvernement telles
que : KASA-VUBU alors DENDELE, NGIRI-NGIRI et KALAMU dans le but de résoudre le
phénomène de surpeuplement des anciennes cités : BARUMBU, KINSHASA, KITAMBO,
LINGWALA (Saint-Jean).

L’accroissement démographique de la ville de Kinshasa devenue plus


spectaculaire, le problème de surpeuplement semblait être toujours sens solution bien que la
création des lotissements de nouvelles cité vit le jour.
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En responsable, le gouvernement d’avent indépendance Belge prit l’initiative


vers les années 52-53 de créer une autre cité indigène qui porte le nom de centre Extra
coutumier de N’djili , en sigle C.E.C nom hérite de la rivière de N’djili qui longe cette même
cité dont le plan initial d’aménagement avait prévu 6.000 parcelles . Toutefois, les privilégies
étaient les personnes ayant eu l’autorisation de résidence dans la ville et en plus, il fallait être
marié et père de plus ou moins trois enfants et d’une notoriété irréprochable. D’où est né le
nom « MBOKA YA BA TATA NA BANA » (cité de dortoir des pères de famille) qui a
entrainé l’exode des personnes venues des anciennes cités ou le problème des maisons
devenaient de plus en plus difficiles.

Superficie : 11.400km2

Cette commune fait partie d’un grand ensemble de la capitale appelé


« Kinshasa Est ». Ndjili, commune périphérique-Est de la capitale est située entre 4 0 c 15’ et
40 c 30’ latitude sud, 150 c 20’ et 150 c 30’ de longitude Est.

DE L’AUTORITE TERRITORIALE RESPONSABLE

 Nom : BIYE
 Post nom : KIKUAMA
 Prénom : Senghor
 Reference et date de l’acte de sa désignation : ordonnance présidentielle No 08 /2008
du 24/09/2008

DIFFERENTS AUTORITES TERRITORIALES QUI SE SONT SUCCEDEES


DEPUIS LA CREATION DE L’ENTITE ET INDIQUER LA PERIODE

1. Martin (Belge) :1953-56 Agent territoriale


2. Servaes(Belge) : 1956-58 Agent territoriale
3. KIESSE Boniface : 1956-59 fonctionnaire
4. MAYAMBA : 1959-60 Elue
5. LOKOLONGO : 1960 Elu
6. FALAY : 1960-67 : Elue
7. LUEMBA Georges : 1967 Elue
8. MALWA MAVITA : 1967
9. LOMAMA Pierre : 1967-68 Elue
10. MONDOMBELE Aluma : 1970-75
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11. KAZIAMA Kitangwa : 1976 Fonctionnaire


12. MANDA Monda Nsingi : 1976-77 cadres du MPR
13. BIKIRI Bijome : 1977 Fonctionnaire
14. LUEMBA Mwedi : 1977-82 Fonctionnaire
15. KIFWAKIOU Mudimbangu : 1982 Fonctionnaire
16. LUEMBA Mwedi Nzanza : 1982 Elue
17. TANKWEY Tambu Ngo : 1982-84 Elue
18. BATU binseika : 1984-88 Elue
19. DIALUNDUA : 1988 Fonctionnaire
20. MUKUME Kazadi : 1988-90 Fonctionnaire
21. MAVANGA Ngimbi : 1989-90 Elue
22. LUBUMA A’well Enfum : 1990-92 Elue
23. MAVANGA Ngimbi : 1992-93 Elue
24. MPILA Makela : 1993-94 du MPR
25. MAVANGA Ngimbi : 1993-94 Elue
26. LUBUMA A’well Enfum : 1994-96 Elue
27. MPAKA Dina : 1996-97 Elue
28. MAVANGA Ngimbi : 1997 Elue
29. NYONGONI Bruno Emile : 1997 Elue
30. Ferdinand MAKENGO Tulu : 2002-2005 nommé par décret
présidentiel.
31. BENDEBENDE Makamba clément : 2005-2008, nommé par décret
présidentiel
32. BIYA KIKUAMA Senghor : 2008 à ce jour, nommé par ordonnance
présidentiel

I.3. Objectifs
La commune de Ndjili, a comme d’autre commune de la ville de Kinshasa est
une entité Administrative décentralisée qui poursuit les objectifs suivants en tant institution
publique :

 Instaurer l’autorité de l’Etat à la base ;


 Assurer la sécurité des personnes de leurs biens ;
 Garantir la bonne marche des services de l’Etat ;
 Assurer le bien-être intégral de la population de sa juridiction.
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I.4. Statut juridiques


La commune de Ndjili comme d’autre commune de la ville de Kinshasa sont des entités
administratives décentralisées dotées d’une personnalité juridique, c’est-à-dire de l’autonomie
de gestion financière et ses propres organes, la commune de Ndjili est régie par le décret-loi
n°081 du 02 juillet 1953 portant organisation territoriale et administrative dans les articles 41,
57, 87, 106 et 197.

I.5. Organisation de l’entreprise


La commune de Ndjili et régie par l’ordonnance loi n°82-008 du 23 Février
1957 qui stipule à son article 2 alinéas 2 que les communes urbaines sont divisées en quartiers
qui sont en nombre 9 dépourvus des personnalités juridique et sont dirigés chacun par un chef
de quartier, second par un chef de quartier adjoint. Cette ordonnance a fait mieux que les lois
antérieurs : décret-loi du 12 octobre 1959, la loi n°77-028 du 19 octobre 1977, en ce qui
concerne la détermination des attributions des conseils communaux, avec plus de précisément
au lieu de se limiter à la formule classique : le conseil communal sur tout ce qui est d’intérêt
communal.

Pour le fonctionnement de la commune de Ndjili, nous avons la subdivision


administrative repartie en 3 groupes suivant :

 L’autorité municipale ;
 Les branches spécialisées ;
 Les services administratifs ou techniques

A. L’autorité Municipale

Au sommet, la commune de Ndjili est dirigée par le bourgmestre et le


bourgmestre adjoint qui sont les autorités politico-administratives car ils ont le mandat
politique. Ils peuvent être soit nommés par le président de la république comme c’est le cas
depuis 1997, soit être élus par la population habitant la commune comme c’était le cas
pendant la 2ème république et comme ce sera aussi pendant les prochaines républiques.

- Le bourgmestre : il est l’autorité n°1 d’une municipalité. C’est-à-dire de l’entité


politico-administrative
- Le bourgmestre adjoint : il est le second le bourgmestre titulaire et se charger de la
gestion des crédits, il est gestionnaire des crédits c’est-à-dire il s’occupe de finance de
la commune
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- Le chef de bureau : il vient juste après le bourgmestre titulaire et son adjoint, c’est-à-
dire le chef direct de l’administration municipale
- Le secrétaire : c’est un service moteur de l’administration municipale. Il sert de
liaison entre la commune et les instances supérieures ou les particuliers. Le secrétariat
s’occupe de :
 La réception des courriers (correspondances)
 L’expédition interne et externe des courriers
 La rédaction des lettres
 La dactylographie de toutes les lettres
 Le classement des lettres
 Le transport des lettres
 La transmission interne et externe des lettres.

B. Les services spécialisés (branches spécialisés)

Nous avons 4 chambres spécialisés à la commune qui sont :

- L’A.N.R : c’est l’agence nationale de renseignement qui a pour rôle de veiller sur la
sécurité dans la commune, de la récolte des renseignements se rapportant à la sureté
nationale.
- La DGM : c’est la direction générale de migration dont le rôle est de veiller sur le
mouvement migratoire de la population, de contrôler la population étrangère de la
commune.
- La POLICE : c’est la police nationale congolaise représentée par le commissariat de
Ndjili. Elle dépend du ministère de l’intérieur et a pour mission de la sécurisation des
populations et de leurs biens, la sauvegarder de l’autorité de l’Etat à la base.

N.B : ces services spécialisés sont mises à la disposition de l’autorité municipale. L’A.N.R
dépend de la présidence de la République tandis que la Direction Générale de Migration ainsi
que la police dépendent toutes les deux du ministère de l’intérieur et sécurité.

C. les services techniques

 Le service Antenne Fonction Publique/Actifs (A.F.P/Actif) : ce service est une


antenne de la fonction publique pour les actifs c’est-à-dire il dépend du ministère de
la fonction publique mais à la commune. Il est chargé de :
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Conseiller l’autorité municipale dans la gestion du personnel mis à leur


disposition ;
Collecter les données ayant trait au personnel de carrière de l’Etat ;
Suivre la paie des agents ;
Gérer tout le mouvement du personnel (recrutement, cotation, avancement en
grade, régime disciplinaire, ouverture d’action disciplinaire, congé annuel ou de
circonstance…)
 Le service d’antenne fonction publique pour les retraités et les rentiers (A.F.P/R.R) :
c’est le service d’antenne fonction publique pour les retraités et rentiers qui
dépendent aussi du ministère de la fonction publique. Il se charge de :
Conseiller l’autorité municipales dans la gestion de retraités et rentiers de la
commune ;
Collecter les données relatives aux retraités et rentiers à sa disposition ;
Suivre la paie de retraités et rentiers ;
Gérer tout le mouvement des agents mis à sa disposition
 Le service du personnel/Intérieur : ce service dépend du ministère de l’intérieur ; il
est le patronat de tous les services du ministère de l’intérieur, sécurité et
décentralisation et gère tous les agents de ce ministère qui sont affecté à la commune
 Le service de l’Etat Civil : ce service de l’Etat civil a pour but : de fixer les
conditions de personnes dans la famille et dans la société en assurant de manière
certaine la constations et la publicité des principaux événements de la vie civile. Le
service de l’Etat civil connait de la naissance, du décès et de l’Etat civil des
administrés de la commune c’est-à-dire la situation d’une personne dès sa naissance
jusqu’à sa mort. Les attributions de service de l’Etat civil sont :
 Contrôler le mouvement démographique de la population, de la naissance à la
mort (décès)
 Délivrer les actes de l’Etat civil (acte de naissance, de mariage, de divorce, de
veuvage, ainsi que les différents attestations…) ;
 Elaborer des statistiques périodiques (mensuelles, trimestrielle, semestrielle et
annuelle des mouvements démographiques).
 Le service de la population : ce service étant en contact direct avec la population de la
commune. Il s’occupe de :
 Coordonner le recensement de la population municipale ;
P a g e | 21

 Délivrer divers l’état civil s ou acte du service ;


 Détenir toutes les fiches parcellaire de la commune ;
 Contrôler les mouvements migratoire de la population (entrée et sortie) ;
 Etablir les statistiques de la population selon les différentes catégories…
 Le service contentieux : c’est un service qui dépend aussi du ministère de l’intérieur.
Il s’occupe de traitement de cas litigieux (conflits parcellaires, de succession et de
cession des biens matériels par exemple meubles et immeubles), des litiges de la
commune envers des tiers, des conflits coutumiers et des terres dans les communes
urbain rurale et les conflit non résolus par les services d’habitant ainsi que du
recouvrement des taxes municipales.

Donc, c’est u service juridico-politique qui traite d’abord les différents de la


commune avec les particuliers ou les organismes publics ou privés.

 Le service de finance : ce service regroupe en son sein deux services qui sont :
 Le service de la comptabilité ;
 Le service de l’ordonnancement.
Le service de la comptabilité : ce service s’occupe de la comptabilité
communale. Il est tenu de respecter :
 La phase de paiement des dépenses dument engagées et approuvées
par les autorités compétentes de la commune ;
 De conserver toutes les entrées financières de la commune ;
 La tenue journalièrement des journaux de caisse auxiliaires dans
lesquels le comptable subordonné à l’obligation d’enregistrer toutes
les recettes et les dépenses effectuées ;
 La coordination de toutes les opérations de perception ;
 La perception journalière des frais
Le service de l’ordonnancement : ce service fait aussi partie des finances
de la commune qui est tenue de faire respecter les 4 phases de réalisations
de des recettes à savoir :
 L’engagement ;
 La constatation ;
 L’ordonnancement ;
 Recouvrement.
P a g e | 22

Ce service est chargé d’établir journalièrement le plan de trésorerie à soumettre


à l’autorité municipale. Il doit connaitre la situation financière de la commune du jour au jour
sur base de bordereau de versement et des livres des dépenses comptables communal.

 Le service du budget : le service municipal du budget est un service qui s’occupe du


budget communal. Il est chargé de respecter les phases d’exécution des dépenses de
l’Etat à la commune qui sont :
 L’engagement ;
 La liquidation ;
 L’ordonnancement ;
 Le paiement ;
 Délivrer les l’état civil s relatifs au service tel que :
o P.V d’indigence ;
o P.V d’Etat d’indigence ;
o Recommandation ;
o Attestation d’orphelins…
 Le service d’Habitat : c’est un service qui dépend du ministère de l’urbanisme et
habitat affectés à la commune. Ce service est chargé de :
 De la gestion des conflits locatifs ;
 De la gestion du contrat de bail.
 Le service d’urbanisme : ce service dépend aussi du ministère de l’urbanisme et
habitat. Leurs agents sont affectés dans la commune. Les attributions de ce service
sont :
 Suivi du plan local, particulier et de lotissement ;
 Contrat de protection de site ;
 Examen au premier ressort des dossiers d’autorisation de bâtir ;
 Traiter des conflits des limites parcellaires.
 Le service de l’environnement : c’est un service technique qui prend du ministère de
l’environnement, conservation de la nature et tourisme dont les agents sont affectés à
la commune. Il s’occupe de :
 Surveillances de l’environnement par la cellule d’assainissement avec des
équipes suivante :
o Equipe chargé de curage : pour curer les caniveaux ;
P a g e | 23

o Equipe chargée de désherbage : pour combattre les insectes sensibles


à la santé.
o Equipe chargée de prospection parcellaire : connaitre les fréquences
des maladies épidémiques dans sa juridiction ;
o Contrôler les établissements ;
o Collecte de la conservation de nature ;
o Protection de nature ;
o Contrôler de désinsectisation, désinfection et dératisation intégrale des
établissements classés.
o Etc.
 Service de l’Economie : dépendant du ministère de l’économie nationale, ce service
est la police du commerce de la commune et est supervisé par un inspecteur chef de
service. Il a comme attribution :
 Répertorier toutes les activités à caractère commerciale ou économique ;
 Contrôler les affiches des prix au niveau des marchés, magasins, boutiques et
autres ;
 Contrôler les opérations économiques œuvrant à la commune
 Proposer les amandes transactionnelles a ceux qui n’ont pas de l’état civil s
commerciaux, c’est-à-dire qui ne sont pas en règle ;
 Contrôler et percevoir la taxe professionnelle ;
 Dépôt des avis de paiement ;
 Vérification de la transmission de structure de prix ;
 Recouvrement forcé allant jusqu’à la saisie des biens en cas de non-paiement
de la taxe professionnelle pour l’exercice en cours.
 Contrôler tous les l’état civil s donnant liés à l’exploitation tels que :
autorisation d’ouverture, permis d’exploitation, patente, structure de prix,
inscription complémentaire au NRC, registre de commerce, facture d’achat et
vente ainsi que l’autorisation d’ouverture de la santé pour les pharmacies.
 Le service des affaires sociales : ce service relève du ministère des affaires sociales,
actions humanitaire et solidarité nationale. Supervisé par un assistant social chef de
service. Les attributions de ce service sont :
 Promotion de la vie associative dans le domaine de l’action humanitaire ;
P a g e | 24

 Assistance aux personnes vulnérables (personnes de 3 ème âge, orphelins,


handicapés physiques ou mentales, mineurs déplacés de guerre…) ;
 Contrôler et suivi des activités des organismes ou partenaires et ONG chargé
des questions humanitaires.
 Le service de l’agriculture : ce service qui dépend du ministère de l’agriculture et ses
agents sont affectés dans des communes. Il comporte deux cellules qui sont :
 Vétérinaire ;
 Marché prix et crédit de campagne ;
 Pour la cellule de vétérinaire, elle s’occupe de : l’inspection vétérinaire de
denrées alimentaires ; recensements des animaux domestiques et les sites
maraichers ; effectuer des visites mensuelles aux dépôts de produit
vétérinaires.
 Pour la cellule marché prix et crédit campagne, elle s’occupe de : recensement
des opérateurs économique et perception de taxe des produits vivriers
provenant de l’intérieurs du pays.
 Le service de l’IPMEA : le service de l’industrie, petite et moyennes entreprise et
artisanat dépend du ministère de l’IPMEA et ses agents sont affectés à la commune.
Ses attributions sont :
 Répertorier et recenser toutes les activités liées aux petites et moyennes
entreprises et artisanat ;
 Délivrer les différents l’état civil s du service tels que : la fiche
d’identification, l’autorisation d’ouverture, le PV d’enquête, patente exercice
en cours.
 Le service de développement rural : c’est un service dont la tutelle est le ministère
d’agriculture et développement rural. Il est supervisé par un technicien, chef de
service et dispose en son sein d’une cellule de développement communautaire
(CADECO). Ce service traite de répertorier et recenser toutes les associations ou
organisations non gouvernementales de développement, les écoles conventionnées ou
non, les confessions religieuses et autres. Délivre les l’état civil s liés au service tels
que :
 PV de constat de lieu ;
 Fiche de recensement ;
 Fiche de responsable ;
P a g e | 25

 Autorisation d’installation.
 Le service de sport et loisirs : ce service est supervisé par un chef de service, c’est un
service dépendant du ministère de sport et loisirs et ses agents sont affectés à la
commune. Ses attributions sont les suivantes :
 Promouvoir et organiser des activités sportives, récréatives et loisirs sains ;
 Organiser et contrôler les établissements de formations et encadrement des
jeunes talents sportifs ;
 Formation des cadres techniques et sportifs ;
 Délivrer les autorisations de manifestation sportives et de loisirs.
P a g e | 26

I.6. organigramme

Bourgmestre

Bourgmestre adjoint

Chef du bureau

Secrétariat

Personnel et antenne Population Contentieux et Habitat Agriculture et Urbanisme Culture et Arts


Etat-civil vétérinaire
FRA juridique

Jeunesse Sport et loisir Finance Contentieux Affaire sociale Energie Contentieux


(ordonnancement Environnement
et juridique et juridique
et comptabilité)

Deco Tourisme Engin sans Habitat Agriculture et Contentieux et


Économie national moteur Etat-civil
vétérinaire juridique

Source : maison communale de Ndjili Figure 1


P a g e | 27

CHAPITRE II : ANALYSE DE L’EXISTANT


II.1. définition et but
L’analyse de l’existant est une phase d’analyse de critique qui vise à prendre
connaissance en détails sur le fonctionnement du système en place dans le but de répondre à
la question : « oui ou non doit-on informatiser ? ».9

Elle a pour but de recueillir les données nécessaires qui au cours du processus vont
servir à l’élaboration du diagnostic en vue de la recherche des solutions.

II.2. Description des activités du service concerné


Le service de l’état civile a pour rôle de rendre service à la population en :

 Organisant les cérémonies de mariage civil au sein de la commune ou à


l’extérieur de celle-ci ;
 Enregistre les différentes états civile de la population (mariage, décès, divorce,
naissance, etc.) ;
 Répondre de foi a des intérêts généraux, publics et particuliers.

II.2.2. Organigramme du service concerné


Organigramme est un Tableau schématique des divers services d'une administration,
d'une entreprise, et de leurs rapports mutuels. Représentation graphique des sous-ensembles
d'un système et des relations qui les lient entre eux10 .

Préposé d’état

Secrétariat

Réception Perceptrice

Figure 2
Source : Secrétariat de la commune de Ndjili

9 www.wikipedia.net à 11h23’
10
Dictionnaire Le Grand Robert.
P a g e | 28

II.3. Description de l’application

L’agent se présente à la réception avec les états civils qui sont vérifié et ensuite
envoyé au secrétariat pour être enregistre dans le CE, en suite ils sont envoyé au Préposé
d’état pour signature après ils sont renvoyé au service de secrétariat pour classement.

II.4. Etude de poste de travail

L’étude de poste de travail et une étape qui permet d’analyser et de décrire tous les
postes de travail intervenant dans un service donné.

II.4.1. Recensement des postes

Nous avons recensé les postes ci-après :

 Sécréteur ;
 Préposé d’état ;
 Réception ;

II.4.2. Fiche descriptive des postes de travail

Domaine : Médicale Analyste : PRINCESSE


Application : Gestion des états civils Date : le 28 /08/2020

Nom du Nom Travail effectue Effectif Moyen de


Post Mnémonique traitement

Sécréteurs SEC Il sert de liaison entre la commune et les 1 Manuelle


instances supérieures ou les particuliers.
Préposé PE Il est le chef du service d’état civil. Il 1 Manuelle
d’état coordonne toutes les activités du
service.
Réception RCP Reçois les courriers et les l’état civil s 1 Manuelle
entrant et sortant du service.
Perceptrice PR Elle reçoit l’argent des futures mariées 1
et établit le reçu.

II.5. Etude des états civils


Nous avons recensés les l’état civil s ci-après :

 Acte de mariage
 Acte de Dèce
 Acte de naissance
P a g e | 29

A. Acte de mariage

Rôle : Rédige à la connaissance de mariage civil.

Modèle :

Tableau descriptif du l’état civil

Rubrique Code rubrique Nature Taille


Nom Nm AN 25
Prénom Pr_nm AN 10
Nom Bourgmestre Nm_Bourg AN 25
Nom commune Nm_com AN 20
Village de la femme VLG A 20
Originaire OR AN 20
Pays PAYS AN 25
Date de naissance DT_Naiss AN 15
Adresse ADR AN 20
Territoire femme TR A 20
Province PRV AN 15
Nom du mère Nm_M AN 20
P a g e | 30

Nom du père Nm_P AN 25


Date Mariage DT_M AN 15

B. Acte de Dèce
Rôle : Un l’état civil rédigé par le médecin attestant le Dèce d’un agent.

Modèle :

Tableau descriptif du l’état civil


N° NOM RUBRIQUE CODE RUBRIQUE NATURE
1 Nom hôpital Nom Hop AN
2 Nom médecin Nom Med AN
3 Nom agent Nom Ag AN
4 Sexe agent Sexe Ag AN
5 Lieu de décès Lieu Dés AN
6 Date de décès Date Dés Date
7 Age agent Ag Ag AN
8 Date d’établissement Date établi Date
9 Numéro certificat Num Cert AN
P a g e | 31

C. Acte de naissance

Rôle : Atteste de la naissance de l’agent et donnant le lieu, la nationalité et la ville.

Modèle :

Description du l’état civil

Rubrique Code rubrique Nature Taille


Nom Nm AN 25
Prénom Pr_nm AN 10
Nom Bourgmestre Nm_Bourg AN 25
Nom commune Nm_com AN 20
Secteur SEC A 20
District DISTR A 20
Originaire OR AN 20
Pays PAYS AN 25
Date de naissance DT_Naiss AN 15
Adresse ADR AN 20
Territoire TR A 20
P a g e | 32

Province PRV AN 15

II.6. Etude des moyens de traitement des informations

a. Moyens humains
FICHE D’ANALYSE DE MOYENS HUMAINS

Domaine : Administratif Date : 25/08/2020

Projet : Gestion des états civils Analyste : PRINCESSE

N° POSTE DE QUALIFICATION ANCIENNETE


TRAVAIL
01 Préposé d’état Licencié 2 ans
02 Sécréteur Licencié 4 ans
03 Réceptionniste Gradue 5 ans
04 Perceptrice Gradué 4 ans

Tableau N o 2

b. Matériel utilises
 Imprimante  Classeurs  Des pinces

 Papier bristol  Mettre ruban  Agrafeuse

 Ordinateur  Stylos  Tables

 Chaises  Tensiomètre

II.7. Etude de traitement des informations

C’est une étape où nous étudions la manière dont les informations circulent au sein
d’un service.
P a g e | 33

II.7.1. Schéma de circulation d’information

Agent 100 Réception 200 Secrétariat 300 Préposé d’Etat 400

Arrivée de l’agent
avec les l’état civil 101 201 301
à la réception.

1O1 Réception Etat civil, Vérification Etat civil, Signe et les


vérification et transfert au renvoie au secrétariat pour
ETAT secrétariat. Reçois les Etat civil, la vérifie, classement.
enregistre dans le CE et envoi 401
201
au préposé d’état.
201 CF
301
ETAT
302
ETAT CE
301

401

401

Réception des DOC et


classement de l’état civil.

302

ETAT

Tableau no 3
P a g e | 34

a) Légende :

: Adresse de destinateur

: Adresse de provenance

: L’état civil en un seul exemplaire


CF

: Classement

b) Abréviations :
ETAT : L’état civil
CE : Cahier d’enregistrement

II.7.2. Description du schéma de circulation des informations

Poste Tache Commentaire

100 101 Arrivé de l’agent à la réception avec les ETAT.


200 201 Réception de l’agent avec ses l’état civil s, Vérifie et envoie au
secrétariat.
300 301 Réceptions du ETAT, vérifie, enregistre dans le CE et envoie au
Préposé d’état.
302 Réception des ETAT signé et les classes.

400 401 Vérification des ETAT, Signe et les renvoie au secrétariat pour
classement.
P a g e | 35

CHAPITRE III : CRITIQUE DE L’EXISTANT

III.1. Définition et but

La critique de l’existant, consiste à dégager les points forts d’une part et les points
faibles du système en vigueur d’autre part, en suite proposer des solutions parmi les quelles,
on choisira la meilleure pour une bonne marche.
Elle doit être bien mené, car c’est grâce à elle qu’on arrivera à implanter un autre
système plus performant et d’une fiabilité élevée. 11
Il est question dans ce point de porter un jugement objectif sur les différents
aspects du système existant. A cet effet, l’analyste dégage les points forts et faibles du
système en vigueur12 .
III.2. Critique d’ordre général

En générale la commune de Ndjili est bien structurée et organise dans son ensemble
malgré qu’une grande partie des personnels ne soit vraiment qualifié dans leurs tâches
quotidiennes.

La gestion des états civil et autre travail se fait manuellement et une grande partie du
personnel n’ont pas la connaissance de l’outil informatique qui est maintenant indispensable
dans tous les domaines de gestion.

III.3. Critique des documents s utilisés

Les documents son bien conçus dans le font et la forme selon les normes de l’état
congolais mais mal conserve par le service. Cela est à la base de la perte des certains l’état
civil s.

Il y a difficulté aussi de retrouvé certains l’état civil s à cause de la quantité importante


des documents numérise au sein du service.

III.3. Critique des moyens de traitement d’information

Le traitement manuel cause une lenteur dans le traitement des informations et la


gestion de tâches quotidiennes au sein du service.

11
JOUSSENAIRE, B, Informatique, Dunod, Paris, 2002, P : 16
12
NVIBUDULU, J et KONKFIE, L, Recueil d’exercice, de M éthode d’Analyse InformatiqueI, 2014, P 16,
P a g e | 36

CHAPITRE IV : PROPOSITION DES SOLUTIONS

IV.1. Définition et but

A ce niveau ou étape, nous proposons plusieurs solutions, pour résoudre les


différents(es) problèmes, défaillances détectés lors de l’analyse de l’existant. L’objectif de
cette solution sera le choix de l’avant-projet qui sera le cadre de la réalisation de la solution
définitive.

IV.2. Scenario de réorganisation du système

La réorganiser du système existant est une solution manuelle qui consiste à présente des
solutions qui vont permettre au service à atteindre ses objectifs toute améliorant le système
manuel existant. Pour ce faire, nous proposons les solutions ci-après :

 Motiver les personnels pour qu’ils travaillent plus dans leurs consciences et qu’ils
donnent le meilleur d’eux-mêmes (en dehors du prime d’encouragement) ;
 Procéder par une bonne répartition des tâches entre les différents services ;
 Organisé des formations sur la gestion des services question de s’assure que chacun
connaît bien ses attributions ;
 Acheter des étagères et des nouveaux outils pour la conservation des états civils ;

1. Avantages de la solution

 Couts moins élevés ;


 Moins de problèmes d’amortissement ;
 Mise en place beaucoup plus pratique et simples ;

2. Inconvénients de la solution

 Non conservation des informations sur support magnétique ;


 Le risque d’erreur dans le traitement de calcul ;
 Le non fiabilité des résultats.

IV.2. Solution informatique

Comme la commune de Ndjili et le service de l’état civile traite les informations


manuellement, nous proposent de mettre à leur disposition une base de données, un logiciel et
P a g e | 37

des matérielles informatiques performantes pour augmenter leur vitesse de traitement. La


conservation des informations se fera sur des disques magnétiques.

1. Avantages de la solution

 La fiabilité de résultat répondant aux objectifs définis


 La rapidité lors du traitement
 L’automatisation du système existant ;
 La bonne conservation de données ;
 La sécurité de données.

2. Inconvénients de la solution

 Le cout d’achat élevé des matériels et consommables informatique ;


 Le cout élevé de la maintenance ;
 Le cout élevé des frais des informaticiens chargés de réaliser ces travaux.
P a g e | 38

TROISIEME PARTIE : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D’INFORMATION

Introduction

La conception du système d’information (SI) est la première étape technique de


conception de système d’information sous merise. Elle consiste à préparer (concevoir)
d’une façon logique, la base de données à mettre en place en définissant les différents
objets (données) ainsi que leurs relations d’une part et traitements (opérations) à
effectuer d’autre part mais sans tenir compte de l’outil informatiq ue.

CHAPITRE I. CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION ORGANISE

Introduction

La conception du système d’information organisationnel a pour objectif de


concevoir d’une façon logique la base de données à mettre en place par la définition des
différents objets ainsi que leur relation d’une part et le traitement d’autre part à effectuer, mais
sans tenir compte de l’outil informatique

Ce chapitre présente le système d’information à travers deux modèles :

- Modèle conceptuel ;
- Modèle organisationnel.

Il faut distinguer la formalisation des données mémorisées dans la base d’information et


celle du traitement réalisé par le processeur d’information (aspect dynamique) car la
formalisation des données, au niveau conceptuel constitue le MCD du système d’information
et celle des traitements constitue le MCT.

SECTION 1 : ETAPE CONCEPTUELLE

A. Définition et but

Le plus invariant, le niveau conceptuel, définit les fonctions réalisées dans l'organisme. Il
répond à la question QUE FAIT L'ORGANISME ? Il est déterminé par son activité.
L'étape précédente, l'interrogation du pourquoi de l'activité, cette remise en question de
l'entreprise, n'est pas abordée par Merise.
P a g e | 39

L'objectif est de représenter l'activité de l'entreprise et de formaliser son "système


d'information" indépendamment de son organisation. Le compte rendu de cette étude est
matérialisé sous la forme de dessins normalisés, de modèles complétés par un dossier
explicatif.

Le but de ce chapitre est d'expliquer comment décrire l'entreprise concernée en respectant les
normes de chaque modèle.

Le modèle de communication formalise les échanges d'informations entre systèmes


fonctionnels et identifie les systèmes "à mémoire".

Le modèle de traitement formalise, comme son nom l'indique, les traitements effectués
par un système fonctionnel, comment l'entreprise réagit à une réception d'informations, ou
quand, spontanément, elle décide d'émettre des informations.

Le modèle de données est la référence de l'activité de l'entreprise, la manière dont elle


perçoit et mémorise son activité. Il formalise toutes les informations mémorisées.

Ces informations sont structurées, regroupées en ensembles appelés individus et en


ensembles appelés relations entre les individus13 .

1.2. Modélisation conceptuelle de communication

1.2.1. Définition et but

Le modèle conceptuel de communication représente les échanges de flux de produits,


d'énergie, de personne, de valeur ou d'information entre systèmes. Ces systèmes fonctionnels
appelés intervenants sont :

 Soit externes à l'entreprise (partenaires),


 Soit internes (domaine, sous-domaine).

L'entreprise est considérée comme un système. L'extérieur, avec qui l'entreprise effectue ses
échanges est aussi perçu comme un ensemble de systèmes. L'entreprise est découpée en

13 Analyse et conception des systèmes d’information, Jacques LONCHAMP 2013


P a g e | 40

systèmes fonctionnels ou conceptuels. Systèmes externes et internes sont appelés


intervenants14 .

Un partenaire est un intervenant extérieur à l'entreprise. Il peut être perçu de manière


fonctionnelle et décrit par un verbe : client (qui paye), fournisseur (Qui...), courtier (qui sert
d'intermédiaire), associé (qui partage les risques ou les profits) ou physique, société, Banque
Centrale du Congo, personne morale, personne physique, Etat. La perception fonctionnelle est
préférable à la perception physique : ne voit que le payeur dans le client, ce qui n'empêche pas
d'avoir tous les égards pour sa personne.

Un domaine peut se décomposer en sous domaines. Les domaines (ou sous domaines) sont
identifiés soit : Comme les fonctions de base répondant à la question pourquoi ?

Par énumération de toutes les fonctions connues et réunion de Brain storming


avec les groupes d'utilisateurs. La question posée aux participants étant toujours :
Pourquoi ?

Une fois les intervenants (ou domaines) définis (en accord avec les utilisateurs), il faut
déterminer les échanges entre ceux-ci et plus particulièrement les Messages.

Quelques formes utilisées :

 Soit externes à l'entreprise : ACTEUR EXTERNE

 Soit internes : ACTEUR INTERNE

 Un flux :

1.2.2. Construction du Modèle conceptuel de communication


1.2.2.1. Définition de quelques concepts du modèle conceptuel de communication

Le modèle conception de communication est une représentation schématique des échanges


du système avec les acteurs externes. Dans ce modèle nous avons utilisé des concepts
suivants :

14 PARLEZ-VOUS SAP ? Éditions du Phénomène 2008


P a g e | 41

 Domaine d’étude : c’est le domaine sur lequel porte l’analyse à réaliser.

 Les flux des données : c’est la présentation des échanges d’informations du système
d’information entre le système d’information et le monde extérieur.+

 Diagramme conceptuel de flux : Ce diagramme permet de séparer l’organisation en


une série d’acteurs.

 Acteur : C’est une personne Physique ou Virtual qui a un rôle précis à jouer dans le
système. Il existe deux sortes d’acteurs qui sont :

Acteur interne : c’est un acteur qui fait partir du système.

Acteur externe : Déclencheur du système celui qui démarre les processus

1.2.2.2. Présentation du Modèle conceptuel de communication (MCC)

Gestion des états civils

Flux 1
Flux 2
Réception
Stagiaire Secrétariat

Flux 4
Flux 3

Chef Service

Commentaires :

 Flux 1 : Réception Etat civil;


 Flux 2 : Vérification et enregistrement L’état civil ;
 Flux 3 : Signature L’état civil et renvoi au secrétariat ;
 Flux 4 : Classement de L’état civil ;
P a g e | 42

Le modèle conception de communication est une représentation schématique des


échanges du système avec les acteurs externes. Dans ce modèle nous avons utilisé des
concepts suivants :

 Domaine d’étude : c’est le domaine sur lequel porte l’analyse à réaliser.

 Les flux des données : c’est la présentation des échanges d’informations du système
d’information entre le système d’information et le monde extérieur.

 Diagramme conceptuel de flux : Ce diagramme permet de séparer l’organisation en


une série d’acteurs.

 Acteur : C’est une personne Physique ou Virtual qui a un rôle précis à jouer dans le
système. Il existe deux sortes d’acteurs qui sont :

Acteur interne : c’est un acteur qui fait partir du système.

Acteur externe : Déclencheur du système celui qui démarre les processus

1.3. Modélisation Conceptuel des Traitement

1.3.1. Définition et but

Un modèle conceptuel de traitement part du modèle conceptuel de


communication en examinant les opérations conceptuelles effectuées par domaine
dans le cas général et par sous-domaine dans le cas détaillé15 .

Le Modèle Conceptuel de Traitement reflète le QUOI de l'activité de l'entreprise et le


comment spécifique, les règles de gestion ou les choix de traitement. A ce niveau, la
stratégie de l'entreprise n'est pas abordée, mais la cohérence de l'ensemble, la réponse
aux différents cas de situation est étudiée en détail.

1.3.2. Construction du modelé conceptuel de traitement

1.3.2.1. Définition de quelques concepts du modelé conceptuel des traitements

A ce niveau, la modélisation conceptuelle des traitements utilise le formalisme « E-O-R »


c’est-à-dire Evénement, Opération et Résultat.

15 PARLEZ-VOUS SAP ? Éditions du Phénomène 2008


P a g e | 43

a) Evénement : c’est un ensemble d’action interruptible c’est-à-dire non soumis à


l’attente de nouvel événement.
b) Opération : est un ensemble d'action accomplis par le système d’information en
réaction à un événement ou à une conjoncture d’événement.
c) Résultat : est la réponse en termes d’information gérer par l’opération, il démontre la
fin des opérations.
d) Synchronisation : elle est une association de plusieurs événements capables de
déclencher une opération et indiquer les conditions dans lesquelles une opération est
déclenchée.
e) Règle d’émission : est une impression de vérification et l’accomplissement ou nom
de l’opération avant l’émission du résultat.

Ces concepts sont symbolisés comme suit :

Opération : Synchronisation : Opération : Résultat :

Nom de Nom de
l’événement résultat

1.3.2.2. Identification et description du processus

Evènement Opération Action Règle Résultat


d’émission
Arrive de l’agent avec Réception Vérification ETAT. OK L’état civil reçu
l’Etat. ETAT.
KO L’état civil refuse
Réception Etat par le Enregistrement Nom ; OK Doc enregistre
secrétariat Etat. Date de réception ;
Service ou KO Doc en attente
département
concerné ;
Réception Etat par le Signature Nom ; Toujours L’état civil signé
préposé d’état pour Date de réception ;
signature ;
P a g e | 44

Réception Etat par le Classement. Nom ; Toujours L’état civil classé


secrétariat pour Date de réception ;
classement. Service concerné ;

Figure No 5
P a g e | 45

1.3.2.3. Présentation du modèle conceptuel des traitements

Agent
Réception

ET

Réception Etat civil

Vérification du Doc.

OK KO

Doc reçu Doc refuse

Secrétariat

ET

Enregistrement Etat civil

Nom;
Date de réception ;
Service ou département concerné ;
KO KO

Etat enregistre Doc en attente

Préposé d’Etat
ET

Signature Etat civil

Nom;
Date de réception
Toujours

Doc Signé Secrétariat

ET

Classement L’état civil

Nom;
Date de réception ;
Toujours

Mise en stage

Figure No4
P a g e | 46

1.4. Modélisation Conceptuelle de Données

1.4.1. Définition et But

La modélisation conceptuelle de données est la représentation schématique d’un


phénomène perçu. On le définit comme image de la réalité s’appuyant sur l’ensemble des
données manipulé par l’organisation étudiée et sur les règles de gestion.

Le modèle conceptuel de données (MCD) a pour but de décrire de façon formelle les
données qui seront utilisées par le nouveau système d’information.

1.4.2. Construction du Modèle conceptuelle de Donnée

Un objet est représenté par un rectangle reprenant le nom de l’objet et toutes ses
propriétés parmi lesquels on trouve l’identifiant qui n’est autre qu’une propriété clé de l’objet
qui doit être souligné ou précédé du symbole # ou du préfix id.

Le formalisme utilisé pour décrire un MCD est « entité-association »

La représentation graphique utilisée pour visualiser les données est la suivante :

Entité : Une entité est la représentation d’un Object matériel ou immatériel ayant rôle
dans le système que l’on décrire ;
Propriété : Une propriété est un donnée élémentaire conforme aux choix de gestion
de l’entreprise, les propriétés sont utilisées pour décrire les objets et les relations 16 ;
Identifiant : L’identifiant d’un objet est là où les propriétés permettant de déterminer
de façon unique chacune des occurrences de l’objet. La valeur de l’identifiant doit être
différentes pour chaque occurrence de l’objet17 ;
Occurrence : L’occurrence d’une propriété est l’une des valeurs que peut prendre
cette propriété. L’occurrence d’un objet est l’un des ensembles d’occurrence de ses
propriétés. L’occurrence d’une association est l’une des liaisons entre occurrences
objets participant à l’association 18 ;

Association : (relation) Une association est un lien sémantique entre plusieurs objets
dépourvue d’existence propre et conforme aux choix de gestion de l’entreprise ;

16MVIBUDULU KALUYIT. Et KITOKO MWANA, Op-cit


17 Idem
18 Idem
P a g e | 47

 Contrainte de cardinalité : La cardinalité d’un objet dans une association désigne le


nombre minimum (0 ou 1) et le nombre maximum (1 ou n) de liens qui existent entre
une occurrence de l’objet et une occurrence de l’association19 ;

1.4.2.1. Règle de gestion

Les règles de gestions sont des contraintes administratives de gestion dont le but est d’assure
la sécurité dans une entreprise et dans un domaine précis.

Règle 1 :
 La réception peut recevoir un ou plusieurs états civils ;
 Un état civil est reçu par une et un seul service de réception.
Règle 2 :
 Le secrétariat peut classer un ou plusieurs états civils ;
 L’état civil est classé par un et un seul service de secrétariat.
Règles 3 :
 Un agent peut déposer un ou plusieurs états civils ;
 Un état civil est déposé par un et un seul agent ;
Règle 4 :
 Un agent travail dans un et un seul service :
 Un service travail avec un et ou plusieurs agents ;
Règle 5 :
 Un dossier peut contenir un ou plusieurs états civils ;
 Un état civil est contenu dans un et un seul dossier.

19 Jean Luc batiste, www.wikipedia.o rg/wiki/base de donnée, consulté, le 17 avril 2018


P a g e | 48

1.4.2.2. Dictionnaire des données

Rubrique Propriétés Nature Taille


Adresse agent Adresse_ag Varchar 25
Date de création Date_Creat Date 10
Date réception Date_recep Date 10
Fonction agent Fonction Text 20
Grade agent Grade Text 20
Id agent Id_ag Varchar 5
Id L’état civil Id_Etat Varchar 5
Id dossier Id_doss Varchar 5
Id secrétariat Id_sec Varchar 5
Id service Id_Serv Varchar 5
Ide réception Id_rep Varchar 5
Libelle état civil Libelle_Etat Text 25
Libelle dossier Libel_doss Text 25
Libelle réception Liblle_rep Text 25
Libelle secrétariat Libelle_sec Text 25
Libelle service Libel_Serv Text 20
Nom agent Nom_ag Text 25
Postnom agent Postnom_ag Text 25
Sexe agent Sexe_ag Text 2
Téléphone agent Tel_ag Numerique 13

Tableau No 6
1.4.2.3. Recensement et description des données
Nous avons recensé les objets ci-après :

 Réception ;
 EtatCivil;
 Service ;
 Agent ;
 Service ;
 Dossiers.
P a g e | 49

Tableau descriptif des objets

Nom de l’objet Propriété Nature Taille Identifiant


Id_rep Varchar 5 #
Réception Liblle_rep Text 25
Text 25
Responsible

Id_Etat Varchar 5 #
Libelle_Etat Text 25
EtatCivil
Date_recep Date 10

Id_sec Varchar 5 #
Secrétariat Libelle_sec Text 25

Id_doss Varchar 5 #
Dossiers Text 25
Libel_doss
Date_Creat Date 10

Id_ag Varchar 5 #
Nom_ag Text 25
Postnom_ag Text 25
Agent Grade Text 20
Fonction Text 20
Sexe_ag Text 2
Adresse_ag Varchar 25
Tel_ag numerique 13

Id_Serv Varchar 5 #
Service Libel_Serv Text 25

Tableau No 7
P a g e | 50

1.4.2.4. Recensement et description des relations

Nous avons recensé les relations suivantes :

 Recevoir ;
 Classer ;
 Déposer ;
 Travailler ;
 Contenir.

Description sémantique des relations

No Relation Code Propriétés Dimension Collection

1 Recevoir RC - 2 Réception- EtatCivil


2 Classer CL - 2 EtatCivil-Secrétariat

3 Déposer DP - 2 Agent- EtatCivil


4 Travailler TR - 2 Agent-Service
5 Contenir CT - 2 L’état civil -Dossiers
Tableau No 8

1.4.2.5. Définition des contraintes

La cardinalité est le nombre maximum et minimum qu’un objet participe à la relation.

C’est l’ensemble des règles spécifiant les valeurs permises pour certaines données,
éventuellement en fonction des autres données permettant d’assurer une cohérence de la base
des données.
Les différentes contraintes manipulées par le SGDB-R sont les suivantes :

Contrainte d’intégrité fonctionnelle (CIF)

La contrainte d’intégrité fonctionnelle est utilisée dans le cas où la relation est du


type père – fils c’est – à – dire partout où il y a les couples :


 1,1 1, n
 0,1 1, n
P a g e | 51

 1,1 0, n
 0,1 0, n

Contrainte d’intégrité Multiple (CIM)

La contrainte d’intégrité multiple est utilisée dans le cas où la relation est du type
père – père c’est – à – dire partout où il y a les couples :

 1, n 1, n
 0, n 1, n
 0, n 0, n

Tableau de contraintes

No Relation Cardinalité Contrainte

1 Recevoir Père-Fils CIF

2 Classer Père-Fils CIF

3 Déposer Père-Fils CIF

4 Travailler Père-Fils CIF

5 Contenir Père-fils CIF

Tableau No 9
P a g e | 52

4.2.6. Présentation du Modèle Conceptuel des Données

Réception EtatCivil Secrétariat


1, n 1, 1 1, 1 1, n
#Id_rep Recevoir # Id_Etat Classer
Liblle_rep # Id_sec
Libelle_Etat
Responsible Libelle_sec
Date_recep 1, 1

1, n Dossiers
Contenir # Id_Doss
Agent 1, 1
Libel_Dos
# Id_ag 1, n Date_Creat
Nom_ag Déposer
Postnom_ag
Grade
Fonction
Sexe_ag 1, n Service
1, 1
Adresse_ag Travaille # Id_Serv
Tel_ag r Libel_Serv
P a g e | 53

SECTION 2 : ETAPE ORGANISATIONNELLE

Après avoir défini les fonctions principales de l'entreprise et ses domaines


d'information, les concepts et la transformation des messages, le cadre de l'application est
stabilisé. Le propos de ce chapitre est la définition de l'organisation, des postes de travail, des
sites de traitement et de données.

La définition des outils de gestion informatiques viendra à l'étape suivante, au niveau logique.

Les modèles organisationnels de traitement (MOT) définissent ce que fait chaque


poste de travail, QUI FAIT QUOI ? Préalablement à ces modèles, l'organisation des postes de
travail, QUI, est définie.

Le passage des modèles conceptuels de traitement (opérations effectuées pardes


intervenants) aux modèles organisationnels de traitement (opérations effectuées par une
structure organisée) n'est pas automatique. La construction de la structure des postes de travail
apporte une dimension nouvelle qu'il faut assimiler.

Les fonctions de l'entreprise sont "projetées" sur les postes de travail. Toute opération
conceptuelle devra être exécutée de manière organisée par un poste de travail.

Les modèles organisationnels de données (MOD) ajoutent la géographie des aux


concepts. Chaque modèle organisationnel est un sous-ensemble du modèle conceptuel adapté
à un site de données. Le lien entre MCD et MOD est fort. Un MCD correspond à un domaine.
L'étude des MOD se conduit par domaine afin de faire ressortir les cohérences et les
consolidations entre site.

Les MOD s'enrichissent, par rapport au MCD, de nouveaux individus liés à


l'organisation tels que "autorisation", "l’état civil ", "historique".

Les modèles organisationnels de communication (MOC) représentent les


communications entre sites de traitement, attachés à un poste de travail, et un site de données.

L'ordre des trois modèles du niveau organisationnel (traitements, données et


communications) est différent de celui du niveau conceptuel.
P a g e | 54

Le découpage organisationnel de l'entreprise définit les postes de travail ou les unités


d'organisation. "QUI", poste de travail est défini avant de déterminer

"QUI FAIT QUOI ?"

Un poste de travail est une responsabilité au sein de l'entreprise : P. D. G., directeur


commercial, secrétaire... Il est aussi "casquette" : acheteur, vendeur...

Une même personne peut avoir plusieurs casquettes. Tout dépend de ses capacités et de sa
charge de travail. Certaines personnes auront toujours la même casquette : Andy Capp, le
héros de bande dessinée, par exemple. D'autre part, plusieurs personnes peuvent porter la
même "casquette" comme une caissière dans un supermarché. A l'étape suivante, il sera
nécessaire d'affecter des personnes à chaque poste. Les écrans informatiques seront validés
par les personnes affectées à un poste, les utilisateurs finals.

Une organisation est une adaptation des fonctions de l'entreprise à l'environnement en


les projetant sur les postes de travail. Un poste de travail est défini par les moyens mis à
disposition (personnes, ressources matérielles et logicielles) et le travail à effectuer (les
opérations organisées).

La définition des postes de travail reflète les intervenants définis au niveau


conceptuel20 .

2.1. Modélisation Organisationnelles des Traitement

Tout en suivant les normes de la méthode MERISE pour le passage de MCT au MOT,
nous avons vu que le modèle organisationnel des traitements bien qu’il soit nécessaire dans un
système d’information, il ne nécessite pas de formalisme spécifique ; le MOT reprend très
largement les concepts du MCT, parfois réadaptés et enrichis, auxquels sont ajoutés de
nouveau concepts dont celui de poste de travail.

2.1.1. Définition et but

Le modèle organisationnel de traitement nous a conduits à la description des activités


majeures d’un domaine d’étude, sans tenir compte des ressources nécessaires pour en assurer
le fonctionnement. La construction du MOT va consister à :

20 Michel DIVINE, Parlez-vous Merise ? , Les Éditions du phénomène 2010, page 99,100.
P a g e | 55

 Définir les différentes ressources à mettre en œuvre c'est-à-dire les moyens


techniques, les moyens humains ; le temps ainsi que les données ;
 Décomposer les opérations spécifiées au niveau conceptuel à des éléments plus fins
et homogènes, les taches ;
 Construire un enchainement des activités ;
 Organiser l’ensemble des ressources permettant d’assurer l’exécution des taches
envisagées.

A ce modèle, nous allons répondre aux questions énumérées ci-dessous : Qui ? Quand ?
Où ?

Ce sont ces trois questions qui vont nous aider à réaliser notre modèle organisationnel de
traitement.

 A la question « QUI ? », la réponse à celle-ci implique trois réponses à savoir : qui


effectue la tâche, si c’est l’homme la tâche est dite manuelle (TM) ; si c’est la
machine, la tâche est dite automatique (TA) et si l’homme et la machine, la tâche est
dite semi manuelle, semi –informatique ou tache réelle (TR) ;
 A la question « QUAND ? », sa réponse donne lieu à une colonne appelée
déroulement de la tache c'est-à-dire la périodicité, la fréquence de la tâche. La
réponse à cette question nous permet de connaitre le temps de déroulement pour
chacune de tache. Une tache peut être : Journalière ; Périodique ; Hebdomadaire ;
Mensuelle ; Annuelle.
 A la question « OU » donne lieu à une colonne appelée poste de travail. La colonne
poste de travail nous permet de définir l’endroit dans laquelle s’effectue la tâche.

2.1.2. Organisation à mettre en place

Pour chaque traitement, nous sommes dans l’obligation de préciser le poste de


travail associé à la nature de la tâche en termes de degré d’automatisation ainsi que la
répartition dans le temps en ajoutant le délai de réponse qui peut être soit immédiat (I),
soit en différé (D) et le mode de fonctionnement unitaire (U) ou par lot (L).

Pour cette raison, nous distinguons cinq possibilités pour effectuer le traitement :

 Tache manuelle effectuée entièrement par l’homme ;


P a g e | 56

 Tache informatique ou automatique : exécutée entièrement par la machine ;


 Tache réelle faite en partie par l’homme en l’autre parti par la machine ;
 Unitaire interactif permet la saisie en temps réel ;
 Unitaire différé permet la saisie en temps différé ou la saisie se fait après un
temps.

2.1.3. Passage du MCT au MOT

Le MOT reprend très largement les concepts du MCT, parfois réadaptés et enrichis,
auxquels sont ajoutés de nouveaux concepts dont celui de poste de travail.

Le poste de travail type, ou poste type, constitue l’une des principales dimensions du modèle
organisationnel des traitements. Un poste type est un centre d’activité élémentaire du domaine
comprenant tout ce qui est nécessaire à l’exécution des traitements. Pour pouvoir le spécifier,
on décrit :

- Les compétences et aptitude requises par les personnes intervenant dans ce poste type ;

Les caractéristiques techniques des matériels associés à ce poste. Bien qu’aucune restriction
n’existe, le matériel informatique retiendra d’avantage le concepteur ; etc.
P a g e | 57

2.1.4. Présentation du Modèle Organisationnelle de Traitement (MOT).

Déroulement Procédure fonctionnelle Nature Poste de travail

Agent
Réception

ET

07h30 à 16h du Réception L’état civil


lundi au
Vérification du Doc.
Samedi T-M Réception
OK KO

Doc reçu Doc refuse

Secrétariat

ET

Enregistrement état civil


Secrétariat
Nom ;
Date de réception ; T-A
07h30 à 16h du Service ou département concerné ;
lundi au samedi
KO KO

Doc enregistre Doc en attente

Chef service
ET

07h30 à 16h du Signature Etat civil


lundi au samedi
Nom ; T-M Préposé d’état
Date de réception

Toujours

Doc Signé Secrétariat

ET

07h30 à 16h du Classement L’état civil


lundi au samedi T-A Secrétariat
Nom Doc ;
Date de réception ;
Toujours

L’état civil classé

Figure No 6
P a g e | 58

2.2. Modélisation Organisationnelle des Données

Le modèle organisationnel de données se consacre à la structuration des informations


recensées au modèle conceptuel de données indépendamment des objectifs d’informatisation,
ou de toute contrainte matérielle.

Il s’agit à ce niveau de prendre en compte les données du modèle conceptuel de données qui
seront prise en charge sur des ressources informatique càd les données qui seront stockées
informatiquement.

Ainsi, le modèle organisationnel de données utilise le même formalisme que le modèle


conceptuel des données.

2.2.1. Définition et but

L’étape organisationnelle a pour but d’intégrer dans l’analyse les critères liés à
l’organisation étudiée. Cette étape fera précisée les notions de temporalité, de chronologie des
opérations, d’unité de lieu, définira les postes de travail, l’accès aux bases de données…
Les différentes questions qui sont posées à l’étape organisationnelle, sont21 :
a. Qui ?
b. Où ?
c. Quand ?
 La première question permet de déterminer la personne qui a droit de voir ou traiter
les informations ou données ;
 La deuxième question aide à connaitre le lieu de traitement ou le poste de travail ;
 La troisième question est utilisée pour déterminer le temps de déroulement.

Le modèle organisationnel des données permet de prendre en compte des éléments relevant de
l’utilisation des ressources de mémorisation :

 Le choix des informations à mémoriser informatiquement ;


 La quantification et la durée de vie des informations à mémoriser ;
 La répartition des données informatisées entre unités organisationnelles ;
 L’accès aux données informatisées pour chaque unité organisationnelle ;
 Définir le niveau de sécurité requis dans la base de données ;
 Définir les individus et les relations de type organisationnel.

21 Jean Luc Baptiste, op.cit., P10


P a g e | 59

2.2.2. Construction du modèle Organisationnel des Données

2.2.2.1. Définition des concepts de base du Modèle Organisationnelle de données

Nous avons appris que le modèle organisationnel des données global est celui qui
provient fraichement du modèle conceptuel de données c'est-à-dire sans transiter par un autre
modèle.
Si le modèle conceptuel de données contient les objets qui sont tous informatisables,
alors ce modèle devient automatiquement le modèle organisationnel de données global.
Tel est le cas de notre analyse c'est-à-dire nous allons tout simplement reprendre le
modèle conceptuel de données dans la partie du modèle organisationnel de données global.
Une fois que les données sont informatisées, elles doivent être sécurisées contre :

 Les destructions : en cas d’incident (panne de logiciel ou matériel) ;


 Les erreurs : (intégralité des données), il faut vérifier si les contrôles d’intégrité sont
respectés.

Cette sécurité repose sur quatre paramètres qui donnent accès aux données.

Ces paramètres sont tels que :

♠ L = lecture ;
♠ C = création ;
♠ M = modification ;
♠ S = suppression.
A partir de cella nous pouvons dégager les paramètres de sécurité permettent de bien
sécuriser notre Modèle Organisationnelle de données

2.2.2.1. Passage du MCD au MOD

L’étape organisationnelle de données (MOD) vient de l’étape conceptuelle de données


(MCD) ; le passage du MCD au MOD se fait en appliquant les règles ci-dessous :
Suppression de tous les objets et relations qui ne peuvent être mémorisé pour
l’informatisation tout en gardant la sémantique ;
Création des objets de référence pour tous les objets supprimés.
P a g e | 60

2.2.2.3 Présentation du MOD global

Réception EtatCivil Secrétariat


1, n 1, 1 1, 1 1, n
#Id_rep Recevoir # Id_Etat Classer
Liblle_rep # Id_sec
Libelle_Etat
Responsible Libelle_sec
Date_recep 1, 1

1, n Dossiers
Contenir # Id_Doss
Agent 1, 1 Libel_Dos
1, n Date_Creat
# Id_ag
Nom_ag Déposer
Postnom_ag
Grade
Fonction
Sexe_ag 1, n Service
1, 1
Adresse_ag Travaille
Tel_ag # Id_Serv
r Libel_Serv

Figure No 7
P a g e | 61

2.2.2.4. Accessibilité des données d’un MOD local

Dans ce point, nous allons plus marteler sur deux points :

L’accessibilité des données d’un MOD local :

Il s’exprime par les actions élémentaires que peuvent effectuer sur ce sous-
ensemble de données les traitements réalisés dans le site organisationnel. Ces
différents types d’accès en lecture (L), en modification (M), en création (C) et en
suppression (S) sont précisés sur le MOD local généralement dans un tableau
récapitulant les restrictions de disponibilités, les partages et les actions autorisées.

Sécurité de données

La sécurité des données définit des restrictions d’accès aux données


mémorisées pour certaines catégories d’utilisateurs. Ces restrictions peuvent concerner
un type d’action limité (L, M, C, S) soit aux entités, relations ou propriétés du MOD
global ou local, soit à une sous-population des occurrences d’entités ou des relations.

La sécurité d’accès aux données comprend la limitation d’actions à certaines


personnes ‘exemple : seul le responsable de la comptabilité peut modifier une écriture
comptable) et intègre aussi les aspects de confidentialité (exemple : accès à certaines
informations du dossier de personnes dites « sensibles »).

La sécurité d’accès s’exprime, selon les cas, au niveau du MOD global ou des
MOD locaux, et passe par la définition de catégories ou profils d’utilisateurs. Pour
chaque profil, on précise les éventuelles restrictions d’accès envisagées. En pratique,
on présente ces restrictions sous la forme de tableau faisant référence aux schémas
MOD. La sécurité d’accès aux données peut s’exprimer par une restriction par rapport
à une autorisation générale, ou une autorisation par rapport à une restriction générale.
P a g e | 62

2.2.2.5. Présentation de MOD locaux


Profil utilisateur : Réception

Entité Accès Restriction

Réception L, C M, S
EtatCivil L, C M, S
Dossiers L, C M, S
Agent L C, M, S

Profil utilisateur : Secrétariat


Entité Accès Restriction

Réception L, C, S, M
Secrétariat L, C, M S
EtatCivil L, C, M S
Dossiers L, C, M S
Agent L C, M, S

Profil utilisateur : Chef service

Entité Accès Restriction


Réception L, C, M S
Secrétariat L, C M, S -
EtatCivil L, C S, M
Dossiers L, C, M, S -
Agent L C, M, S
Service L C, M, S
P a g e | 63

CHAPITRE 2 : MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATION INFORMATISE


(S.I.I.)

Introduction

La Conception du Système d’Information Informatisé représente la contrepartie de la


spécialisation informatique nécessaire pour assurer la réalisation du futur système. 22

La conception du S.I.I est une phase technique et produit essentiel des spécifications de la
conception qui apparait généralement associée à la réalisation.

Ainsi, elle permet de définir la prise en charge des moyens matériels, la modélisation logique
ainsi que la modélisation physique des données et des traitements.

SECTION 1 : ETAPE LOGIQUE

Les fonctions et les concepts principaux sont définis (niveau conceptuel).

L'entreprise est organisée sous forme de postes de travail et de sites.

L'objectif du niveau logique est la définition des moyens informatiques à disposition des
postes de travail (utilisateurs) afin d'effectuer les opérations organisées. Cette définition passe
par la description de :

 L’aspect externe de ces moyens informatiques sous forme de masques d'écran et de


leur succession.
 Les actions de ces moyens informatiques sur la structure logique des données et,
pour cela,
 La structure logique des données (MLD) indépendamment de tout choix de
matériel ou de logiciel de développement informatique.

Le niveau logique représente le dernier niveau validé par l'utilisateur final (sauf si
celui-ci réalise la programmation). Il comprend une vue d’utilisateur de l'informatique (vue
externe de l'informatique) et une vue plus spécifique (vue interne).

Le modèle logique de données (MLD) décrit les structures de données


indépendamment de la gestion physique des bases de données. Il est une étape intermédiaire,

22 Domique Nancy, Bernard Espinasse, op.cit., P 122.


P a g e | 64

intellectuellement très satisfaisante, vers le modèle physique de données. Si celui-ci peut être
construit, le MLD peut être sauté.

Un premier MLD se déduit d'un MOD (Modèle Organisationnel de Données). Il est


ensuite optimisé ou modifié suivant le choix de l'utilisateur pour accélérer certains traitements
effectués par les outils informatiques.

Le modèle logique de traitement décrit les moyens informatiques, les outils de


consultation et d'écriture informatique. Un outil logiciel "utilisateur" permet soit la lecture,
soit l'écriture d'informations dans la mémoire (les enregistrements du modèle logique de
données) de l'ordinateur ou les deux (écriture et lecture). On distingue outil transactionnel ou
en traitement immédiat et outil de traitement différé :

 Dans le cas d'outils transactionnels, définir la liste des enchaînements "question


réponse", ce qui est affiché à l'écran et ce que l'utilisateur peut frapper au clavier
(Modèle logique de traitement).
 Dans le cas d'outil de traitement différé, déterminer les fonctions de tri, de calcul, de
recherche et leurs conditions d'enclenchement nécessaires au déroulement de l'outil.

C'est aussi, dans les deux cas, indiquer quelles sont les données ou informations lues et écrites
dans le modèle logique de données à chaque étape (spécification interne).

Exemple d'outil informatique transactionnel : outil d'interrogation des abonnés téléphoniques.


Cet outil est décrit par une succession d'étapes (le Modèle Logique de

Traitement). La première étape concerne la saisie du Nom, du prénom de l'abonné et la


deuxième affiche son numéro de téléphone, s'il existe.

Pour chaque outil transactionnel un MLT sera construit et les informations de chaque étape
analysée.

1.1.Définition et but

C’est une partie où merise comme méthode retenus pour la modélisation à prévue la
validation de la base de données qui sera détaillée par deux modèle qui sont les suivant :

 Modèle logique de traitement ;


 Modèle logique de données.
P a g e | 65

1.1.1. Modélisation Logique de traitement

Le modèle logique de traitement suit le modèle organisationnel de traitement.

Celui-ci comprend les opérations effectuées par des postes de travail. A chaque opération
organisée sont associés un ou plusieurs outils informatiques. Le modèle logique de
traitement comprend la partie visible, la spécification externe des transactions
informatiques, le cheminement possible d'écran à écran après un menu principal et la
partie non visible, interne, lectures et actions d'écritures d'informations dans le modèle
logique de données23 .

1.1.2. Construction du Modèle Logique de Traitement

1.1.2.1. Définition des concepts de Base du MLT

La conception du MLT exige l’utilisation des approches appropriées.

Comment notre étude nous recourons à l’approche qui consiste à la décomposition des taches
du MOT en ULT

Après cette décomposition les opérations suivantes seront effectuées notamment :

 L’enchainement de ces ULT sans y mettre éléments déclencheurs.


 La formation des procédures logiques à partir des ULT
 L’utilisation du formalisme de la procédure logique.

Le vocabulaire change :

 La procédure fonctionnelle devient procédure logique ;


 La tâche sera décomposée en unité logique de traitement (ULT)
 L’événement disparait parce que la machine n’atteint pas les événements, c’est plutôt
l’homme qui déclenche l’événement (clique) c'est-à-dire la signification est générale
par l’homme. Les événements seront remplacés par les boutons de commande.

23
Mi chel DIVINÉ, PARLEZ-VOUS MERISE, P 141
P a g e | 66

1.1.2.2. Passage du MOT au MLT

Aucune règle n’est prévue par la méthode merise pour passer du MOT au MLT, elle se
fait suivant l’ingéniosité du développeur de l’application selon sa maitrise et sa façon de
concevoir les interfaces graphiques

1. Décomposition des ULT

PROCEDURE LOGIQUE : Gestion des états civils.

 Boite de connexion ;
 Mise à jour Dossiers ;
 Mise à jour Etat civils ;
 Mise à jour Agent ;

2. Description Des Unités Logique De Traitement

- ULT 1 : Boite de connexion


Présentation Maquette Ecran :

Boite de connexions

Nom utilisateur
Mot de Passe
Connexion Annuler

Logique de dialogue :

 Saisie nom et mot de passe Utilisateur ;


 Si le nom et le mot de passe est correcte, Affiche le menu principal ;
 Sinon retour à la page de connexion.

Enchainement :

CONDITION ACTION ENCHAINEMENT


Connexion Clic sur bouton Affiche le menu principal si le nom de
l’utilisateur et le mot de passe est correct.
P a g e | 67

 ULT 5 : Mise à jour dossier


Présentation Maquette Ecran :

Mise à jour Dossiers

ID
Nom Dossier
Date de création

Ajouter Modifier Supprimer Quitter

Logique de dialogue :
 Saisir l’Identifiant du dossier ;
 Recherche automatique dans la base de données ;
 Si l’identifiant existe déjà, Afficher les informations enregistrer dans la base de
données pour des mises à jour selon les droits d’accès de l’utilisateur ;
 Si non, saisir tous les détails sur le dossier allant de l’Identifiant à l’adresse ;
 Enregistrer les informations sur le dossier et passer au suivant.
Enchainement :

CONDITION ACTION RESULTAT

Ajouter Clic sur le bouton Ecriture sur le disque


Modifier Clic sur le bouton Modifie les informations
dans la base des données
Supprimer Clic sur le bouton Supprime les informations
dans la base des données
Quitter Clic sur le bouton Fin de la procédure et retour
au menu principale
P a g e | 68

 ULT 6 : Mise à jour Etat civils


Présentation Maquette Ecran :

Mise à jour Etat civils

ID
Nom Etat
Date de réception

Ajouter Modifier Supprimer Quitter

Logique de dialogue :
 Saisir l’Identifiant de l’Etat civil ;
 Recherche automatique dans la base de données ;
 Si l’identifiant existe déjà, Afficher les informations enregistrer dans la base de
données pour des mises à jour selon les droits d’accès de l’utilisateur ;
 Si non, saisir tous les détails sur l’état civil allant de l’Identifiant à la date de réception
;
 Enregistrer les informations sur l’état civil et passer au suivant.
Enchainement :

CONDITION ACTION RESULTAT

Ajouter Clic sur le bouton Ecriture sur le disque


Modifier Clic sur le bouton Modifie les informations
dans la base des données
Supprimer Clic sur le bouton Supprime les informations
dans la base des données
Quitter Clic sur le bouton Fin de la procédure et retour
au menu principale
P a g e | 69

 ULT 7 : Mise à jour Agent


Présentation Maquette Ecran :

Mise à jour Agents

ID
Nom
Post-Nom
Sexe
Adresse
Fonction

Ajouter Modi fier Supprime Qui tter


r

Logique de dialogue :
 Saisir l’ID de l’agent ;
 Recherche automatique dans la base de données ;
 Si l’identifiant existe dans la base de données, afficher les informations sur l’agent :
ID, nom, Postnom, Fonction pour des mises à jour ;
 Si non, saisir tous les détails sur l’agent de l’ID à la fonction ;
 Enregistrer les informations sur l’agent et passer au suivant.
Enchainement :
CONDITION ACTION RESULTAT

Enregistrer Clic sur le bouton Ecriture sur le disque


Modifier Clic sur le bouton Modifie les informations
dans la base des données
Supprimer Clic sur le bouton Supprime les informations
dans la base des données
Quitter Clic sur le bouton Fin de la procédure et retour
au menu principal
P a g e | 70

1.1.2.3. Présentation du MLT

Début

ULT 1 Boite de connexions

Nom utilisateur
Mot de Passe

Connexion Quitter
A

Nom

Fin
Si
B
Oui

ULT 2 Menu Principale

Mise à jour Edition Déconnection A

ULT 3 Mise à jour

BDD Dossiers Etat civils Agents Quitter B

ULT 7
ULT 5 ULT 6

ULT 4 Edition
 Liste des Dossiers
 Liste des états civils
 Liste des agents

Quitter B

Figure No 8
P a g e | 71

1.2 Modélisation Logique de Données

2.1.1. Définition et But

L’étape logique de données a trait à la structure des données, le but de cette étape est
de proposer l’implantation des données sous un logiciel de gestionnaire de données souvent
appelé SGBD.

Le modèle logique de données est une représentation de données issues de la


modélisation de conception.

Elle est exprimée dans un formalisme général et compatible avec l’état de l’art technique.

Ce modèle a pour but la définition de l’organisation des données à partir du modèle


conceptuel compte tenu des traitements à appliquer d’accès nécessaire et les volumes occupés
par la base de données24 .

1.2.2. Construction du Modèle Logique de Données

1.2.2.1. Définition des concepts de base du MLD

 Table : est une structure fondamentale ou représentation de la donnée à


l’exploiter dans une base de données, classer en ligne et en colonne.
 Attribut : est une unité (source) élémentaire d’information d’une table.
 Clé primaire : est un attribut spécial qui permet d’identifier d’une manière
univoque chaque enregistrement de la table. 25
 Clé étrangère ; est un sous ensemble de colonne qui « constitue la clé primaire »
d’une autre table.26
 Schéma relationnel ;
 Schéma d’une base de données ;
 Intégrité référentielle.

A ce niveau de conception, la méthode Merise ne prévoit aucun formalisme


approprié pour la modélisation logique de données. Ainsi, le MLD est présenté dans un

24 MVIBUDULU KALUYIT et KITOKO MWANADIUNGA., Notes des MAI, G3 INFO ISC/KIN, 2017-2018
25 Idem.
26 MVIBUDULU KALUYIT, KONKFIE IPEPE, Op.Cit, P12
P a g e | 72

formalisme dit général “objet – relation” lequel subit de transformations en rapport avec les
règles de passage.

1.2.2.2. Passage du MOD au MLD

Le modèle logique des données est une transformation de MOD dans un


langage qui n’est compréhensible que par l’informaticien, il convient de signaler que le
modèle logique des données contient encore des éléments avec lesquelles, nous devons
appliquer un certain nombre de règles.

Les règles de passage du MOD au MLD brut sont les suivantes :

Pour les entités :

 Les entités ou objets deviennent des tables ;


 Les propriétés des entités deviennent des attributs ou champ ;
 Les identifiants deviennent des clés primaires pour tables.

Les relations :

 Les relations du type « père-fils » de cardinalité (0, n-0, 1) ou (1, n-1,1) :

Elles disparaissent, Le père envoie sa clé au fils qui le pointe et celle-ci devient une clé
étrangère.

 Les relations du type autre que « père-fils » :


Elles se transforment en tables dont la clé est une concaténation des clés des tables
participant à la relation. La table ainsi créée pointe les tables d’où elle tire ses clés ;
Si la relation portait des propriétés, celles-ci deviennent ses attributs.
 Cas particuliers :
- 0, 1 – 1, 1 et 1, 1 – 0, 1 : considérons l’objet ayant 0, 1 pour cardinalité comme objet
père et appliquons la règle pour les relations du type « père-fils » ;
- 0, 1 – 0, 1 : faire le choix entre les deux objets pour désigner l’objet père et
appliquer la règle pour les relations du type « père-fils » ;

- 0,1 – 0,1 : faire le choix entre les deux objets pour désigner l’objet père et appliquer
la règle pour les relations du type « père – fils »
P a g e | 73

Pour des relations d’une dimension supérieure à deux, quelles que soient les cardinalités, elles
se transforment en tables dont la clé est une concaténation des clés appartenant à toutes les
tables participant à la relation. Si la relation porte une propriété, celle-ci devient un attribut.
P a g e | 74

1.2.2.3. Présentation du Modèle Logique de Données Brut

T_Réception T_ EtatCivil
T_Secrétariat
s
# Id_Etat
#Id_rep
Libelle_Etat # Id_sec
Liblle_rep
Date_recep Libelle_sec
Id_rep#
Id_sec#
Id_Doss# T_Dossiers
Id_ag#
T_Agent # Id_Doss
Libel_Dos
# Id_ag Date_Creat
Nom_ag
Postnom_ag
Fonction
Sexe_ag
T_Service
Adresse_ag
Tel_ag # Id_Serv
Id_Serv# Libel_Serv

Figure No 9
P a g e | 75

1.2.2.4. Normalisation de la Base de Données

La normalisation est une opération intellectuelle permettant de supprimer les dernières


redondances et les valeurs nulles afin d’obtenir un modèle logique de données valide.
En pratique il existe cinq formes, mais on utilise souvent les trois premières formes
normales dont deux autres sont considérées comme des raffinements du modelé
relationnel face à des problèmes très particuliers.

1. Première forme normale (1FN) :


Une table est en première forme normale (1FN), si elle a une clé primaire et que
ses attributs non clés sont atomiques (élémentaires) c’est-à-dire non
décomposable.

2. Deuxième forme Normale (2FN) :


Une table est en deuxième forme normale (2FN), si elle est déjà en première
forme normale et que ses attributs non clés dépendent totalement de la clé
primaire. Cette 2FN s’appliquent aux tables à clé primaire composée.

3. Troisième forme normale (3FN)


Une table est en troisième forme normale (3FN), si elle est déjà en deuxième forme
normale et que ses attributs non clés ne dépendent pas transitivement de la clé
primaire. Garder dans la table initiale les attributs dépendant directement de la clé
primaire. Regrouper dans une autre table, les attributs dépendant transitivement de
la clé primaire.
P a g e | 76

1.2.2.5. Présentation du Modèle Logique de Données Valide (MLDV)

T_Réception T_ EtatCivil
T_Secrétariat
s
#Id_rep # Id_Etat
Libelle_Etat # Id_sec
Liblle_rep
Date_recep Libelle_sec
Id_rep#
Id_sec#
Id_Doss# T_Dossiers
Id_ag#
T_Agent # Id_Doss
Libel_Dos
# Id_ag Date_Creat
Nom_ag
Postnom_ag
Fonction
Sexe_ag
Adresse_ag T_Service
Tel_ag # Id_Serv
Id_Serv# Libel_Serv

Figure No 10
P a g e | 77

1.2.2.4. Présentation du Modèle Logique de données Relationnel

Le schéma relationnel est appelé aussi schéma logique, elle décrit la structure des
tables selon le type de système de gestion de base de données (SGBD) choisit.

T_EtatCivil : #Id_Etat : Varchar (5) ; Nom_Etat : Varchar (20) ; Dte_recept: Date ;


Id_Doss# : Varchar (5) ; Id_rep#: Varchar (5) ;Id_sec#: Varchar (5) ;Id_ag#: Varchar (5).

T_Grade : #Id_Grad : Varchar (5) ; Libelle_Grad : : Varchar (20) ; : Id_Ag# :


Varchar (5).

T_Service : #Id_Serv (5) ; libel_Serv : Varchar (20).

T_Agent :
#Id_ag : varchar (5) ;Nom_ag :text (25);Postnom_ag : text(25);Fonction : text
(25) ;Sexe_ag : text(2) ;Adresse_ag :text (25) ;Tel_ag : num (13) ;Id_Serv# :varchar(5).
T_Reception :
#Id_rep: varchar (5); Liblle_rep: text (25);

T_Secrétariat :
# Id_sec : varchar (5) ;Libelle_sec : text (25).

T_Dossiers :
# Id_Doss : varchar (5) ;Libel_Dos : text (25);Date_Creat: Date (10).
P a g e | 78

SECTION 2 : ETAPE PHYSIQUE

Le dernier niveau, le plus variable, est l'outil informatique lui-même, les fichiers,
les programmes. AVEC QUOI ? Ce niveau est appelé niveau physique.

Ce niveau dépend à 100% du système informatique retenu, du type de la base de données


et des outils de développement. MERISE est d'un secours précieux dans le cadre des
données. La structure "physique" informatique des données tend à être normalisée. Le
passage, à l'aide de règles, à ces représentations normalisées est facile.

C'est à cet instant que la méthode justifie son utilisation dans le cadre de développement
sur micro-ordinateurs. Le modèle conceptuel de données engendre le modèle physique de
données.

Le niveau physique, représente le résultat informatique. Il dépend des logiciels de


développement nécessaires à la programmation et à la manipulation des données. La
méthode laisse place aux normes du réel. En l'état de l'art, on arrive assez facilement à
déduire du MCD, MOD des structures de SGBD ou, à partir d'un dessin d'écran, des
programmes transactionnels.

Le modèle logique de données représente la future base de données, le contenant des


informations. Trois types de logiciel - de Système de Gestion de Base de Données
(SGBD) - permettant de créer, modifier ou consulter des informations existent
actuellement27 .

1.1.Modélisation Physique des traitements

Il consiste en l'écriture du programme. Celui-ci peut être généré dans le cadre d'un

"Atelier de génie logiciel". La finalité de méthodes telles que MERISE est la production
de "code" automatique à partir de la conception.

La maquette est l'enchaînement des états sans réels calculs. Un prototype exécute
des calculs, met à jour des données et l'utilisateur final peut presque dire que la
programmation est terminée.

L'outil informatique retenu par l'utilisateur va être réalisé par un programmeur.

27
Michel DIVINÉ, PARLEZ-VOUS MERISE, Les Éditions du phénomène 2010, page 152.
P a g e | 79

Celui-ci est libre de découper ses programmes de manière à les réutiliser dans les
différents outils informatiques.

Les programmes d'édition sont un exemple de programme spécial permettant de


créer tout état de sortie en fonction des informations de la base de données.

C'est le cas des progiciels sophistiqués28 .

1.1.1. Définition et but

Le modèle physique des traitements (MPT) et l’ensemble des programmes


informatisés du système d’information en d’autres mots, le MPT représente la solution
technique de construction du logiciel.

Etant donné que la méthode merise n’a pas prévu de modèle type à ce niveau, nous allons
seulement donner l’entrainement des unités logique des traitements sous une forme
arborescente.29

Chaque unité logique de traitement devient alors un programme qui va exploiter la base
de données ainsi créé.

1.1.2. Construction du Modèle Physique de Traitement

2.1.2.1. Définition des concepts de base du MPT

 Programme :

Est un ensemble d’opérations destinées à être exécutée par un ordinateur.

 Le traitement informatique

Est le processus qui consiste à récupérer l’information dans son état natif
et de lui apporter la présentation attendue pour en obtenir un document lisible et
ergonomique afin de pouvoir le transmettre au format papier ou électronique, il

28Idem, page 175.


29Prisca LUKAU, MANZA, TFC, mise en place d’un système d’information informatisé pour la gestion de
paiement de frais de motivation des agents , 2013-2014
P a g e | 80

s’agit d’un ensemble de paramétrage et de programmes informatique de gérer un


flux imprimable avec l’ensemble de codes de contrôles. 30

2.1.1.2. Passage du MLT au MPT

Le passage du modèle Logique de Traitement au modèle Physique de Traitement


est facilité par la procédure physique arborescente reprenant tous les traitements de la
procédure logique de l’étape logique de traitement.

30 MORVANS P. et ALL. Ordinateur et informatique en 15 leçons, Ed. Paris, 2001


P a g e | 81

2.2. Présentation du Modèle Physique de traitement (MPT)

Début Procédure

Boite de connexion

Nom utilisateur
Mots de passe

Connexion Annuler

Menus Principal

Choisir une option

Mise à jour Edition Déconnexion

Dossiers
Ajouter Liste des dossiers
Modifier
Supprimer Liste des états civils
EtatCivil
Rechercher
Liste des agents
Agents Quitter

BDD

Figure No 11
P a g e | 82

2.2.1. Modélisation Physique de Données

2.2.2. Définition et but

Le modèle physique de données est un modèle de la base de données.


L'implantation physique, la topographie des enregistrements informatiques ne sont pas
définies. Trois systèmes de gestion de base de données, les modèles hiérarchiques de
navigation et relationnels servent de modèles.

Le choix du type de SGBD effectué, deux questions se posent : comment


retrouver physiquement un chemin logique, par une information ou par un lien physique ?
Faut-il éclater ou regrouper certains enregistrements afin d'accélérer les traitements ?

2.2.3. Construction du Modèle Physique des Données

2..2.3.1. Passage du MLDR au MPD

Pour passer du MLD au MPD quelque vocabulaire change :

 La table devient un fichier ;


 La clé primaire devient la clé d’accès aux données ;
 Les attributs deviennent des champs des fichiers.

2.2.3.2. Définition des concepts de base du modèle Physique de données

 Fichier : est un ensemble des enregistrements de même structure se rapportent à


un groupe d’objet ou d’individus.
 Clé d’accès aux données : champ ou ensemble de champs dont les valeurs
identifient tous les enregistrements de la base de données.
 Champ : élément d’une table contenant des informations de même type
 Enregistrement : est l’ensemble d’enregistrements de valeur (données se
rapportant à une même entité).
P a g e | 83

2.2.3.3. Présentation du Modèle Physique de données


C:\Users\ LORD \Desktop \TFC\ GST _Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020
Table : T_Agent Page : 1

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_ag Entier long 5


Nom_ag Texte court 20
Postnom_ag Texte court 20
Fonction Texte court 25
Sexe_ag Texte court 2
Adresse_ag Texte court 25
T el_ag Texte court 13
Id_Serv Entier long 4

C:\Users\LORD\Desktop \TFC\ GST_Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table : T_EtatCivil Page : 2

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_Etat Entier long 5


Nom_Etat Texte court 20
Dte_recept Date et heure 8
Id_Doss Entier long 5
Id_rep Entier long 5
Id_ag Entier long 5
Id_sec Entier long 5

C:\Users\ LORD\Desktop \T FC\ GST _Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table : T_Dossiers Page: 3

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_Doss Entier long 5


Date_Creat Date et heure 10

C:\Users\ LORD \Desktop \TFC\ GST _Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table: T_Grade Page: 4

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_Grad Entier long 5


Libelle_Grad Texte court 20
Id_Ag Entier long 5
P a g e | 84

C:\Users\ LORD \Desktop \TFC\ GST _Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table : T_Re ception Page: 5

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_rep Entier long 5


Liblle_rep Texte court 25

C:\Users\LNA\Desktop \T FC\ GST_Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table : T_Se crétariat Page : 6

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_sec Entier long 5


Libelle_sec Texte court 25

C:\Users\ LORD \Desktop \TFC\ GST _Etat_Civil.accdb mercredi 30 septembre 2020


Table : T_Se rvice Page : 7

Colonnes
Nom Type
Taille

Id_Serv Entier long 4


libel_Serv Texte court 20
P a g e | 85

SECCTION 3 : DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D’INFORMATION


INFORMATISE

3.1. Définition et But

L’objectif poursuivi lors du développement d’un système d’information informatise


(S.I.I) est de concevons une application informatique, il permet d'acquérir une
compréhension approfondie des contraintes liées au langage de programmation et à
l'utilisation des composants notamment :

 L’implémentation de la base de données ;


 La création des interfaces ou unités logique de traitement ;
 L’écriture des codes ;
 Le test de l’application pour vérifier si elle répond vraiment aux attentes de
l’entreprise.

3.2. Présentation de la structure du logiciel

Page d’accueil

Boite de connexion

Menu principal

Quitter

MISE A JOUR EDITION

MAJ Dossiers Liste des Dossiers


MAJ Etats civils Liste des états civils
MAJ Agents Liste des Agents

Figure No 12
P a g e | 86

3.3. Choix et description de la plate-forme de développement

Présentation du Langage de programmation Visual Basic.Net

Il a été conçu en 1963 par John George Kemeny et Thomas Eugene Kurtz au Dartmouth
Collège pour permettre aux étudiants qui ne travaillaient pas dans des filières
scientifiques d'utiliser les ordinateurs. En effet, à l'époque, l'utilisation des ordinateurs
nécessitait l'emploi d'un langage de programmation assembleur dédié, ce dont seuls les
spécialistes étaient capables.

Les huit principes de conception du BASIC étaient :


Être facile d'utilisation pour les débutants (Beginner) ;
Être un langage généraliste (All-purpose) ;
Autoriser l'ajout de fonctionnalités pour les experts (tout en gardant le langage
simple pour les débutants) ;
Être interactif ;
Fournir des messages d'erreur clairs et conviviaux ;
Avoir un délai de réaction faible pour les petits programmes ;
Ne pas nécessiter la compréhension du matériel de l'ordinateur ;
Isoler l'utilisateur du système d'exploitation.

Le VB est directement dérivé du BASIC et permet le développement rapide


d'applications, la création d'interfaces utilisateur graphiques, l'accès aux bases de
données, ainsi que la création de contrôles ou 'objets ActiveX.

Il faut savoir que le BASIC, ancêtre du Visual Basic, est un langage de haut niveau. En
programmation, les langages peuvent sen trier par niveau : plus le niveau du langage est
bas, plus celui-ci est proche du matériel informatique (le C est considéré comme un
langage de bas niveau). Un développeur utilisant un langage de bas niveau devra, entre
autres, gérer la mémoire qu'il utilise. Il peut même aller jusqu'à spécifier les registres
matériels dans lesquels écrire pour faire fonctionner son programme.

Aujourd'hui, le VB a laissé place au VB .NET. Le suffixe .NET spécifie en fait qu'il


nécessite le framework .NET de Microsoft afin de pouvoir être exécuté.
P a g e | 87

Un framework (dans notre cas, le framework .NET de Microsoft) est une sorte d'immense
bibliothèque informatique contenant des outils qui vont faciliter la vie du développeur. Le
framework .NET est compatible avec le Visual Basic et d'autres langages tels que le C#,
le F#, le J#, etc.

Interface de travail VB.net


P a g e | 88

3.4. Création des interfaces

1. Page d’accueil

2. Boite de connexion

3. Menu Principal
P a g e | 89

4. Enregistrement Agent

5. Enregistrement Etat Civils


P a g e | 90

4.5. Ecriture des codes


a) Button Ajouter

Module Module1
Public Cs = New ADODB.Connection
Public rs = New ADODB.Recordset
Public sql As String

End Module
Private Sub Button1_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button1.Click
Call seconnecter()
rs = New ADODB.Recordset
sql = "SELECT * FROM T_Agent where Id_Ag= '" & Me.TextBox1.Text & "'"
rs.open(sql, Cs, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockBatchOptimistic)
If rs.EOF Then
rs.addnew()
rs.Fields("Id_Ag").value = Me.TextBox1.Text
rs.Fields("Nom_Ag").value = Me.TextBox2.Text
rs.fields("Postnom_Ag").value = Me.TextBox3.Text
rs.Fields("Fonction").value = Me. TextBox4.Text
rs.fields("Sexe_ag").value = Me.TextBox5.Text
rs.fields("Adresse_ag").value = Me.TextBox6.Text
rs.fields("Tel_ag value = Me.TextBox7.Text
rs.fields("Id_Serv ").value = Me.TextBox8.Text
rs.Updatebatch()
MsgBox("DONNEES ENREGISTREE AVEC SUCCES")
Call nettoyer()
End If
End Sub
Sub nettoyer()
TextBox1.Clear()
TextBox2.Clear()
TextBox3.Clear()
TextBox4.Clear()
TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
End Sub
Sub seconnecter()
Cs = New ADODB.Connection
Cs.open("PR")
End Sub
b) Button Modifier
Private Sub Button2_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button2.Click
Cs = New ADODB.Connection
P a g e | 91

rs = New ADODB.Recordset
Cs.Open("PR ")
sql = "SELECT * FROM T_Agent where Id_Ag = '" & Me.TextBox1.Text & "'"
rs.open(sql, Cs, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockBatchOptimistic)
If Not rs.EOF = True Then
MsgBox("voulez-voulez modifier?")
TextBox1.Text = rs! Id_ag
TextBox2.Text = rs! Nom_ag
TextBox3.Text = rs! Postnom_ag
TextBox4.Text = rs! Fonction
TextBox5.Text = rs! Sexe_ag
TextBox6.Text = rs! Adresse_ag
TextBox6.Text = rs! Tel_ag
TextBox6.Text = rs! Id_Serv
rs.Update()
MsgBox("modification effectué!")
TextBox1.Text = ""
TextBox2.Clear()
TextBox3.Clear()
TextBox4.Clear()
TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
Else
MsgBox("mal effectué svp!")
TextBox1.Text = ""
TextBox1.Focus()
End If
End Sub

c) Bouton Supprimer

Private Sub Button3_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button3.Click


Cs = New ADODB.Connection
rs = New ADODB.Recordset
Cs.Open("PR")
sql = "SELECT * FROM T_Agent where Id_Ag = '" & Me.TextBox1.Text & "'"
rs.open(sql, Cs, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockBatchOptimistic)
If Not rs.EOF = True Then
MsgBox("voulez-vous supprimer?")
rs.Delete()
MsgBox("suppression effectué!")
TextBox1.Text = ""
TextBox2.Clear()
TextBox3.Clear()
TextBox4.Clear()
P a g e | 92

TextBox5.Clear()
TextBox6.Clear()
TextBox7.Clear()
TextBox8.Clear()
TextBox1.Focus()
Else
MsgBox("le code n'existe pas svp!")
TextBox1.Text = ""
End If
End Sub

d) Bouton Quitter

Private Sub Button4_Click(sender As Object, e As EventArgs) Handles Button4.Click


Me.Hide()
Form3.Show()
End Sub
P a g e | 93

4.6. Etats de sortie

1. Liste des Etats civils

2. Liste des agents


P a g e | 94

CONCLUSION GENERALE

L’objectif poursuivi durant notre travail était la conception et réalisation


d’une base des données pour la gestion des documents gérés par le service de l’états
civils afin de permettre à la maison communale de ndjili de bien géré ses états civils.

La conception et la réalisation de ce système a était fait par la méthode


Merise, tout en respectant ses quatre étapes principales soit l’étape conceptuelle, l’étape
logique, l’étape organisationnel et l’étape physique. A part ses quatre points, notre travail
est subdivisé en deux grandes parties :
La première : L’étude Préalable, qui nous a permis d’étudie réellement les
faits et d’analyse les informations relatives aux au système avec beaucoup d’attentions
afin de proposer une solution informatique à long terme.

La deuxième : mise en place du nouveau système d’information, où elle a


été développée en détaille et en respectant toutes les phases et la méthodologie
d’implémentation de Merise.

Et pour ce qui est des autres chapitres notamment : conception du système


d’information organisé (S.I.O), la conception du système d’information informatisé
(S.I.I) et le développement de l’application, ils nous ont aidés a organisé le Système et à
le mettre en place.

En effet, nous avons donc réalise notre programme en Veb.net étant le plus
adapte à notre application avec Access 2010 comme SGBD relationnel.
P a g e | 95

Bibliographie
A. Ouvrages
1. Domique Nancy, Bernard Espinasse, Base Merise, Ed. Groupe IFG, Paris
2009.

2. Michel DIVINÉ, PARLEZ-VOUS MERISE, Les Éditions du phénomène,


Paris 2010.

3. Dictionnaire encyclopédique pour tous, petit Larousse, Illustré, Paris 1977

4. LEMOIGNE l. Comprendre la gestion des entreprises, 2ème Ed. Groupe


IFG, paris 1983.
5. MVIBUDULU K. & KONKFIE L., Technique des bases de données
Etude de cas, 2ème Edition corrigée et révisée, Ed. Criged, Kinshasa
2012.
6. ROSNAY de J., Merise guide pratique modélisation de données, Ed. Simi
, Paris 2003.
B. Notes de cours
1. MVIBUDULU K., KITOKO., Notes de cours de MAI II 2ème graduat,
ISC/Kinshasa, 2015-2016. 3. MVIBUDULU K. & KONKFIE I., Notes
de cours d’Algorithmique 1, 1ème graduat, Ed. Criged, ISC/Kinshasa
2016.
P a g e | 96

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE ...........................................................................................1


1. EXPOSE DU PROBLEME............................................................................................2
2. PROBLEMATIQUE .....................................................................................................2
3. HYPOTHESE................................................................................................................3
4. CHOIX, INTERET ET DELIMITATION DU SUJET ..................................................3
a. Choix du sujet ........................................................................................................3
b. Intérêt du sujet.......................................................................................................3
c. Délimitation du sujet ..............................................................................................4
5. METHODES ET TECHNIQUES ..................................................................................4
a. Méthodes................................................................................................................4
b. Techniques .............................................................................................................4
6. DIFFICULTÉS RENCONTRÉES.....................................................................................5
7. CANEVAS DU TRAVAIL ................................................................................................5
PREMIÈRE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE ............................................................7
CHAPITRE I. CONCEPTS INFORMATIQUES DE BASE .................................................7
I.1. Le Classification des systèmes d’entreprise .....................................................................7
a) système de pilotage (décisionnel) .......................................................................................7
b) système d’information......................................................................................................7
c) système opérant.................................................................................................................8
1.2. Fonctionnement de système d’entreprise .................................................................8
SECTION 2 : NOTION DE BASE DE DONNÉES...............................................................8
2.1. Définition ....................................................................................................................8
2.2. Différence entre une base de donnée et un fichier de données .....................................8
2.3. Avantage d’une base de données .................................................................................9
2.4. Caractéristiques des bases de données .........................................................................9
2.5. SYSTÈME DE GESTION DES BASES DE DONNÉES .................................................9
2.5.1. Définition .....................................................................................................................9
2.5.2. Fonction d’un SGBD................................................................................................. 10
2.5.3. Typologie des SGBD............................................................................................... 11
CHAPITRE II CONCEPTS RELATIFS RELATIF A LA GETION DES ETATS CIVILS 13
1. NOTION SUR LA GESTION .................................................................................. 13
2. NOTION SUR L’ETAT CIVIL................................................................................ 13
DEUXIEME PARTIE : ETUDE PREALABLE.................................................................. 15
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA COMMUNE DE NDJILI.................................. 15
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I.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE .............................................................................. 15


I.2. Historique .............................................................................................................. 15
I.3. Objectifs ................................................................................................................. 17
I.4. Statut juridiques .................................................................................................... 18
I.5. Organisation de l’entreprise .................................................................................. 18
I.6. organigramme......................................................................................................... 26
CHAPITRE II : ANALYSE DE L’EXISTANT ............................................................... 27
II.1. définition et but........................................................................................................ 27
II.2. Description des activités du service concerné ........................................................... 27
II.2.2. Organigramme du service concerné ...................................................................... 27
II.3. Description de l’application ..................................................................................... 28
II.4. Etude de poste de travail.......................................................................................... 28
II.4.1. Recensement des postes ..................................................................................... 28
II.4.2. Fiche descriptive des postes de travail ............................................................... 28
II.5. Etude des états civils ................................................................................................ 28
II.6. Etude des moyens de traitement des informations ................................................... 32
II.7. Etude de traitement des informations ...................................................................... 32
II.7.1. Schéma de circulation d’information ................................................................. 33
II.7.2. Description du schéma de circulation des informations ..................................... 34
CHAPITRE III : CRITIQUE DE L’EXISTANT ................................................................ 35
III.1. Définition et but...................................................................................................... 35
III.2. Critique d’ordre général ..................................................................................... 35
III.3. Critique des documents s utilisés......................................................................... 35
III.3. Critique des moyens de traitement d’information ............................................... 35
CHAPITRE IV : PROPOSITION DES SOLUTIONS ........................................................ 36
IV.1. Définition et but...................................................................................................... 36
IV.2. Scenario de réorganisation du système ................................................................... 36
IV.2. Solution informatique ............................................................................................. 36
2. Inconvénients de la solution ..................................................................................... 37
TROISIEME PARTIE : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D’INFORMATION 38
Introduction .................................................................................................................... 38
CHAPITRE I. CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION ORGANISE .............. 38
Introduction................................................................................................................. 38
SECTION 1 : ETAPE CONCEPTUELLE ...................................................................... 38
A. Définition et but ....................................................................................................... 38
1.2. Modélisation conceptuelle de communication ............................................................ 39
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1.2.1. Définition et but...................................................................................................... 39


1.2.2. Construction du Modèle conceptuel de communication ......................................... 40
1.2.2.1. Définition de quelques concepts du modèle conceptuel de communication .......... 40
1.2.2.2. Présentation du Modèle conceptuel de communication (MCC) ........................... 41
1.3. Modélisation Conceptuel des Traitement .................................................................. 42
1.3.1. Définition et but ..................................................................................................... 42
1.3.2. Construction du modelé conceptuel de traitement.................................................. 42
1.3.2.1. Définition de quelques concepts du modelé conceptuel des traitements ............... 42
1.3.2.3. Présentation du modèle conceptuel des traitements ............................................. 45
1.4. Modélisation Conceptuelle de Données ..................................................................... 46
1.4.1. Définition et But..................................................................................................... 46
1.4.2. Construction du Modèle conceptuelle de Donnée ................................................... 46
1.4.2.1. Règle de gestion................................................................................................... 47
1.4.2.2. Dictionnaire des données ..................................................................................... 48
1.4.2.3. Recensement et description des données .............................................................. 48
1.4.2.4. Recensement et description des relations ............................................................. 50
1.4.2.5. Définition des contraintes .................................................................................... 50
SECTION 2 : ETAPE ORGANISATIONNELLE............................................................... 53
2.1. Modélisation Organisationnelles des Traitement ...................................................... 54
2.1.1. Définition et but ..................................................................................................... 54
2.1.2. Organisation à mettre en place............................................................................... 55
2.1.3. Passage du MCT au MOT...................................................................................... 56
2.1.4. Présentation du Modèle Organisationnelle de Traitement (MOT).......................... 57
2.2. Modélisation Organisationnelle des Données ............................................................ 58
2.2.1. Définition et but ..................................................................................................... 58
2.2.2. Construction du modèle Organisationnel des Données ........................................... 59
2.2.2.1. Définition des concepts de base du Modèle Organisationnelle de données ........... 59
2.2.2.1. Passage du MCD au MOD................................................................................... 59
2.2.2.3 Présentation du MOD global ................................................................................ 60
2.2.2.4. Accessibilité des données d’un MOD local ........................................................... 61
2.2.2.5. Présentation de MOD locaux ............................................................................... 62
CHAPITRE 2 : MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATION INFORMATISE
(S.I.I.).................................................................................................................................. 63
Introduction .................................................................................................................... 63
SECTION 1 : ETAPE LOGIQUE....................................................................................... 63
1.1. Définition et but ................................................................................................... 64
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1.1.1. Modélisation Logique de traitement ................................................................. 65


1.1.2. Construction du Modèle Logique de Traitement............................................... 65
1.1.2.1. Définition des concepts de Base du MLT ............................................................. 65
1.1.2.2. Passage du MOT au MLT ................................................................................... 66
1. Décomposition des ULT ....................................................................................... 66
2. Description Des Unités Logique De Traitement .................................................... 66
1.1.2.3. Présentation du MLT .......................................................................................... 70
1.2 Modélisation Logique de Données.............................................................................. 71
2.1.1. Définition et But..................................................................................................... 71
1.2.2. Construction du Modèle Logique de Données ........................................................ 71
1.2.2.1. Définition des concepts de base du MLD ............................................................. 71
1.2.2.2. Passage du MOD au MLD ................................................................................... 72
1.2.2.3. Présentation du Modèle Logique de Données Brut........................................... 74
1.2.2.4. Normalisation de la Base de Données .................................................................. 75
1.2.2.5. Présentation du Modèle Logique de Données Valide (MLDV) ......................... 76
1.2.2.4. Présentation du Modèle Logique de données Relationnel .................................... 77
SECTION 2 : ETAPE PHYSIQUE ..................................................................................... 78
1.1. Modélisation Physique des traitements................................................................. 78
1.1.1. Définition et but................................................................................................ 79
1.1.2. Construction du Modèle Physique de Traitement ............................................. 79
2.1.2.1. Définition des concepts de base du MPT.............................................................. 79
2.1.1.2. Passage du MLT au MPT.................................................................................... 80
2.2. Présentation du Modèle Physique de traitement (MPT)............................................ 81
2.2.1. Modélisation Physique de Données......................................................................... 82
2.2.2. Définition et but ..................................................................................................... 82
2.2.3. Construction du Modèle Physique des Données ..................................................... 82
2..2.3.1. Passage du MLDR au MPD ................................................................................ 82
2.2.3.2. Définition des concepts de base du modèle Physique de données ......................... 82
2.2.3.3. Présentation du Modèle Physique de données...................................................... 83
SECCTION 3 : DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D’INFORMATION INFORMATISE
............................................................................................................................................ 85
3.1. Définition et But........................................................................................................ 85
3.2. Présentation de la structure du logiciel ..................................................................... 85
3.3. Choix et description de la plate -forme de développement ......................................... 86
3.4. Création des interfaces.............................................................................................. 88
4.6. Etats de sortie ........................................................................................................... 93
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CONCLUSION GENERALE.............................................................................................. 94
Bibliographie ...................................................................................................................... 95

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