Papers by Jean-Francois Gerkens
Il en va des réunions scientifiques comme des millésimes des vins : il y a des grandes et des pet... more Il en va des réunions scientifiques comme des millésimes des vins : il y a des grandes et des petites années. Il est des congrès qui sont évoqués plus souvent et avec plus d'émotion 1 que d'autres. A mon sens, la 58 ème session de la Société Fernand de Visscher émarge certainement au rang des très grandes années. Sur tous les plans-et particulièrement le plan scientifique-la qualité a été présente. Bien qu'organisé par Sara Corrêa Fattori, professeur de l'UNESP, c'est-à-dire l'Universidade Estadual Paulista « Julio de Mesquita Filho » située à Araraquara, les congressistes se sont retrouvés à Copacabana, près de la plage bien connue de Rio de Janeiro, le samedi 18 septembre. Le lendemain, ils furent invités à visiter cette ville, qui mérite assurément son surnom de « Cidade Maravilhosa ». C'est en particulier sur les sommets du Corcovado et du Pain de Sucre qu'ils purent en admirer l'incroyable beauté. Au matin du 20 septembre, il fallut s'arracher à ces endroits idylliques et se diriger vers le véritable lieu de travail : Angra dos
Être invité à écrire un article dans les écrits en l'honneur de Luigi Labruna, notre illustre col... more Être invité à écrire un article dans les écrits en l'honneur de Luigi Labruna, notre illustre collègue de Naples, est un grand honneur pour moi. Je désire lui rendre hommage en lui dédiant le texte-remanié-de la conférence que j'ai donnée à l'académie des sciences de Moscou, le 29 juin 2006, lors du congrès de droit romain de Moscou-Souzdal. Ce choix se justifie sans aucun doute par les liens évidents qu'il y a entre Naples et l'île de Ferdinandea.
Mesdames et Messieurs, Je voudrais avant tout remercier les organisateurs de cet événement pour l... more Mesdames et Messieurs, Je voudrais avant tout remercier les organisateurs de cet événement pour leur aimable invitation. Je suis touché de pouvoir participer à la commémoration de ce grand savant. La préparation de cette conférence m'a permis de m'intéresser de plus près à l'homme… Et comment le nier : l'approcher, c'est l'aimer ! Cinquante ans après sa mort, je dois avouer que j'ai été fasciné par sa personnalité. À la lecture du programme de ces deux journées, je dois confesser que le sujet de ma conférence est un petit peu moins centré sur la seule personne d'Henri Lévy-Bruhl et je vous prierai de bien vouloir être indulgent. Je vous dois à cet égard quelques mots d'explication. Lorsqu'Emmanuelle Chevreau m'a parlé du colloque Henri Lévy-Bruhl, j'ai immédiatement marqué mon intérêt pour le sujet. Je dois à la vérité que je connaissais le savant pour avoir lu certains de ses écrits, mais je ne connaissais pas beaucoup l'homme. En revanche, j'ai étudié de manière relativement approfondie la personnalité de Fernand De Visscher et le nom d'Henri Lévy-Bruhl y revenait régulièrement. En outre, la discussion avec Emmanuelle Chevreau a eu lieu quelque temps après le centenaire de la Société d'Histoire du Droit, organisé le 19 octobre 2013 et où j'ai eu l'occasion d'entendre la conférence d'Anne Lefebvre-Teillard, qui a suscité en moi l'intuition que les fréquents voyages professionnels de Fernand De Visscher à Paris pouvaient avoir un lien avec le grand savant que nous honorons ces jours-ci. Mais il me restait à faire les recherches documentaires pour confirmer cette intuition. Je dois le confesser d'emblée : si mes recherches n'ont pas été décevantes, elles ne m'ont pas non plus apporté tout ce que j'espérais ou attendais. Concrètement, j'ai consulté deux types de sources. D'une part, j'ai traqué les éléments biographiques permettant des rapprochements dans les ouvrages de mélanges et dans les comptes-rendus d'ouvrages ou de congrès. D'autre part, j'ai fait des recherches dans les archives de Fernand De Visscher. C'est de ce côté-là que j'espérais trouver plus d'archives. Comme vous le verrez, j'en ai trouvé malgré tout et somme toute, je les trouve très intéressantes, mais cela m'a appris également qu'en matière d'archives, il n'y a pas beaucoup de place pour les certitudes : il
... A Ukulzat, j'ai mis sur le trône (de Sarrupsi) son serviteur Takibsharri. 40. J'ai ... more ... A Ukulzat, j'ai mis sur le trône (de Sarrupsi) son serviteur Takibsharri. 40. J'ai continué à marcher contre le pays d'Abina. Mais je n'ai pas attaqué Kinza. Mais Shutatarra 41. et son fils Aitaggama, accompagnés de leurs chars, ont marché contre moi. Je les ai vaincus 42. ...
En tout premier lieu, il convient bien entendu de remercier très chaleureusement notre collègue e... more En tout premier lieu, il convient bien entendu de remercier très chaleureusement notre collègue et amie, le Professeur Emmanuelle Chevreau pour l’insigne honneur qu’elle m’a fait de m’inviter en compagnie de si illustres collègues, à prendre la parole dans le cadre de la présente séance inaugurale de la 70ème session internationale de la Société Fernand De Visscher pour l’Histoire des Droits de l’Antiquité. [La société étant d’origine belge, j’espère que vous me pardonnerez si je dis « septantième » plutôt que « soixante-dixième »]. Le sujet qu’elle a choisi comme thème central, le periculum, est un thème polymorphe, comme l’ont montré les deux conférenciers qui m’ont précédé. De mon côté, j’ai choisi de retenir un aspect plus traditionnel du risque : le periculum rei venditae. Les auteurs qui ont abordé ce problème du risque dans le contrat de vente sont particulièrement nombreux, tant le sujet a déchainé les passions depuis longtemps. Alors, au risque de vous décevoir, mon ambition n’est pas ici de vous révéler une théorie révolutionnaire qui expliquerait enfin l’origine de cette règle et son évolution à toutes les époques de la jurisprudence romaine. Mon propos, dans le cadre de l’inauguration de ce congrès sera plutôt de vous proposer un exposé introductif en trois parties :
monde contemporain est-de manière largement dominante-unmondedel'écrit.EnEuropeenparticulier,il e... more monde contemporain est-de manière largement dominante-unmondedel'écrit.EnEuropeenparticulier,il estloinletempsdelatraditionorale.Lecontratestdevenu synonyme de papier. L'accord de volonté ne semble plus pouvoir s'exprimer que par une signature manuscrite. Le papier joue donc aujourd'hui un rôle central, et il peut être particulièrementdramatiquedenepasavoirdepapier.C'est par rapport à cette situation, que je voudrais apporter différentséclairages,àcommencerparlefououlepoète. (1.Lepointdevuedupoète) Déjànosvillagess'éloignent Quelquesfantômesm'accompagnent Y'auradesdéserts,desmontagnes Atraverserjusqu'àl'Espagne Etaprès...Inch'allah Onademauvaiseschaussures L'argentcousudansnosdoublures Lespasseursdoiventnousattendre Lepeuqu'onailsvontleprendre Etaprès... Est-cequel'Europeestbiengardée? Jen'ensaisrien Est-cequelesdouanierssontarmés? Onverrabien Sionmedit,c'estchacunchezsoi Moijeveuxbien,saufquechezmoi Saufquechezmoiy'arien Pasdesalon,pasdecuisine Lesenfantsmâchentdesracines Toutjusteuncarrédepoussière Unmatelasjetéparterre Audessus...Inch'allah ConférenceCPASdeVerviers,le31novembre2009 Jean-FrançoisGerkens
... Internationale Fernand de Visscher pour ... du Tiers-Monde »), Shigeo Nishimura (Fukuoka ; « ... more ... Internationale Fernand de Visscher pour ... du Tiers-Monde »), Shigeo Nishimura (Fukuoka ; « Etiam maioribus dans D.2.53.3 (Diocl.), un autre chemin vers C.4.44.2 et la lésion énorme »), Laura Ostos Palacios (Madrid ; « Hofmann contre Bluhme »), Teresa Peralta Esmer (« Une ...
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