Livres, manuels et ouvrages collectifs by David Lefrançois
Éthier, M.-A. et Lefrançois, D. (dir.) (2019). Agentivité et citoyenneté dans l’enseignement de l’histoire : Un état de la recherche en didactique de l’histoire au Québec. M éditeur. , 2019
L’histoire comme discipline enseignée à l’école secondaire soulève de vives controverses dans dif... more L’histoire comme discipline enseignée à l’école secondaire soulève de vives controverses dans différents milieux. Quels contenus enseigner à l’école ? Quelles finalités et méthodes promouvoir ? Que valent les manuels d’histoire ? Qu’évaluent les examens du ministère en histoire ? Que pensent les enseignant·es d’histoire ? Comment former les citoyen·nes ? De quels outils d’enseignement se servir ?
Cet ouvrage contient les réponses de chercheur·euses en didactique sur ces diverses questions.
Leurs analyses portent sur ce que les enseignant·es pensent qu’il faut faire apprendre aux élèves, sur la manière dont iels se servent des manuels, des jeux vidéo ou d’autres moyens d’enseignement ainsi que sur le potentiel de ces moyens d’enseignement pour développer la « pensée historienne ». Il s’agit d’un concept lié à la démarche d’enquête de l’élève qui, avec de l’aide, travaille avec les sources du passé, en les contextualisant, en les comparant, en les interprétant pour résoudre des problèmes…
Les recherches de ce livre ont en commun de soutenir que l’histoire peut aider les citoyen·nes à se conscientiser et à s’émanciper, c’est-à-dire à faire collectivement et consciemment l’histoire, car elle peut apporter à chacun·e des outils de la pensée critique utiles pour se poser des questions sur la vie politique et sociale, y répondre soi-même et en débattre avec rigueur.
Ces recherches peuvent aussi offrir aux enseignant·es en exercice et en formation, ainsi qu’aux personnes s’intéressant à l’histoire et à son enseignement, des outils d’analyse critique des moyens et des méthodes visant à faire apprendre l’histoire aux élèves, à évaluer leurs savoirs scolaires et à en favoriser le transfert dans la vie de la cité.
Éthier, M.-A., Lefrançois, D. et Joly-Lavoie, A.* (2018). Mondes profanes. Enseignement, fiction et histoire. Presses de l’Université Laval., 2018
Les bandes dessinées, chansons, films, jeux vidéos, musées, reconstitutions, romans, séries télév... more Les bandes dessinées, chansons, films, jeux vidéos, musées, reconstitutions, romans, séries télévisées et voyages occupent de plus en plus de place dans la vie des élèves. Comment exploiter en classe ces biens, loisirs et services culturels d’histoire pour que les élèves posent de mieux en mieux certains actes mentaux que les historiennes et historiens doivent effectuer lorsqu’elles et ils adoptent leur pratique ? Pour répondre à cette question, les auteures et auteurs de cet ouvrage explorent les usages scolaires possibles et souhaitables des produits qui ne sont pas associés à l’histoire savante et sur l’exploitation didactique de ce que la Loi québécoise sur les biens culturels désigne comme « une œuvre d’art, un bien historique, un monument ou un site historique, […] une œuvre cinématographique, audiovisuelle, photographique, radiophonique ou télévisuelle ». Les auteures et auteurs s’intéressent à des œuvres qui ne sont pas créées pour l’école, mais qui peuvent néanmoins servir aux enseignantes et enseignants pour faire apprendre l’histoire aux élèves.
Éthier, M.-A., Lefrançois, D. et Audigier, F. (2018). Pensée critique, pensée historienne et enseignement de l’histoire et de la citoyenneté. De Boeck., 2018
Les pratiques critiques de la classe d'histoire peuvent-elles aider les élèves à devenir des cito... more Les pratiques critiques de la classe d'histoire peuvent-elles aider les élèves à devenir des citoyens conscients et critiques ? Qu'est-ce que la pensée critique en Histoire ? En quoi est-elle liée à l'esprit critique, à la méthode critique et à la lecture en histoire ? Comment s'apprend-elle ? Comment se manifeste-t-elle ? Permet-elle de mieux comprendre le monde et d'agir plus lucidement ? En quoi est-elle liée à l'école, à l'enseignement scolaire obligatoire de l'histoire et à l'éducation à la citoyenneté que cet enseignement de l'histoire prétendrait donner ? Les auteurs abordent cette question sous différents angles, y compris les usages populaires de l'histoire comme le cinéma et les jeux vidéos.
Éthier, M.-A., Boutonnet, V., Demers, S. et Lefrançois, D. (dir.). (2017). Quel sens pour l’histoire ? Analyse et critique du nouveau programme d’histoire du Québec et du Canada. M Éditeur., 2017
Revue des sciences de l’éducation de McGill/McGill Journal of Education, 50(2/3), 217-224, 2015
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y ... more Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Demers, S., Lefrançois, D. et Éthier, M.-A. (2015). Histoire et fondements de l’enseignement.: Multimondes., 2015
Éthier, M.-A., Lefrançois, D. et Demers, S. (2014). Faire aimer et apprendre l’histoire et la géographie au primaire et au secondaire. Multimondes., 2014
Cet ouvrage collectif cherche à répondre à de vastes et importantes questions de façon ni exclusi... more Cet ouvrage collectif cherche à répondre à de vastes et importantes questions de façon ni exclusivement théorique ni exclusivement pratique, mais empirique.
En voici quelques-unes:
Comment faire aimer et apprendre l'histoire et la géographie aux élèves du primaire et du secondaire?
Comment faire de ces disciplines des matières à penser, à se questionner?
À quels savoirs devons-nous tenter de faire accéder ces élèves et dans quels buts?
Comment leur enseigner à chercher, établir et utiliser – ou réfuter – des preuves historiques ou géographiques pour formuler ou évaluer des arguments politiques et en débattre avec discipline, honnêteté, rigueur et tolérance?
Devons-nous (et comment pouvons-nous) les engager dans les débats historiques, sociaux, philosophiques et politiques fondamentaux?
Comment valoriser le dépassement de soi et la solidarité sans tomber dans le conformisme et la rectitude?
Comment concevoir et piloter des tâches en histoire ou en géographie adaptées aux effectifs hétérogènes et diversifiés des écoles québécoises?
Comment créer, évaluer, perfectionner et partager des outils pour amener les élèves à acquérir des compétences favorisant leur participation avertie, libre et réfléchie à la vie sociopolitique?
Cet ouvrage prend le taureau par les cornes et examine ces nombreuses questions en creusant à la fois les aspects théoriques et pratiques. De plus, après avoir exposé le contenu et l'esprit des programmes en sciences sociales au primaire et au secondaire passés et actuels, ainsi que les savoirs de références appropriés, il fait le point sur ce que la recherche dit à propos de l'enseignement de diverses méthodes disciplinaires en histoire et en géographie, puis, il présente des récits de pratiques d'enseignement qui tiennent compte de ces méthodes.
Éthier, M.-A. et Lefrançois, D. (2012). Didactique de l’univers social au primaire. Contenus disciplinaires et suggestions d’activités pour les 2e et 3e cycles. ERPI., 2012
Depuis les débuts de la réforme au primaire, toute l'attention a porté principalement sur l'appro... more Depuis les débuts de la réforme au primaire, toute l'attention a porté principalement sur l'approche pédagogique, mais peu sur les contenus disciplinaires. Cet ouvrage vient combler cette lacune. Ainsi, tant pour les étudiants en formation des maîtres que pour les enseignants qui oeuvrent quotidiennement dans leur classe, cet ouvrage offre, de manière simple et vivante, les contenus disciplinaires pour chacune des réalités sociales au programme de formation et propose des activités nouvelles et intéressantes qui sont directement liées à ces contenus.
Éthier, M.-A., Lefrançois, D. et Cardin, J.-F. (2011). Enseigner et apprendre l’histoire : manuels, enseignants et élèves. Presses de l’Université Laval., 2011
Contributions à des ouvrages collectifs (COC) by David Lefrançois
Dans M.-A. Éthier et D. Lefrançois (dir.), Agentivité et citoyenneté dans l’enseignement de l’histoire : Un état de la recherchee en didactique de l’histoire au Québec (p. 7-26). MÉditeur.
Dans P. Noreau et coll. (dir.), Vingt chantiers pour l’accès au droit et à la justice (16 p.). Éditions Yvon Blais/Thomson Reuters., 2020
Dans S. Gervais, R. Iacovino et M.-A. Poutanen (dir.), Engaging with Diversity. Multidisciplinary Reflections on Plurality in Quebec (p. 366-385). Peter Lang., 2018
Dans M.-A. Éthier, D. Lefrançois et A. Joly-Lavoie (dir.), Mondes profanes. Enseignement, fiction et histoire (p. 33-47). Presses de l’Université Laval., 2018
Dans M.-A. Éthier, D. Lefrançois et A. Joly-Lavoie (dir.), Mondes profanes. Enseignement, fiction et histoire (p. 1-3). Presses de l’Université Laval., 2018
Dans Y. Lenoir, M. Tardif et G. Breton (dir.), Penser l’éducation : une vie à développer l’éducation, du primaire à l’université. En hommage à Mario Laforest (p. 45-58). Éditions cursus universitaire., 2018
Dans M.-A. Éthier, D. Lefrançois et F. Audigier (dir.), Pensée critique, pensée historienne et enseignement de l’histoire et de la citoyenneté (p. 134-145). De Boeck., 2018
Dans M.-A. Éthier, D. Lefrançois et F. Audigier (dir.), Pensée critique, pensée historienne et enseignement de l’histoire et de la citoyenneté (p. 1-18). De Boeck., 2018
Dans A. Barthes, J.-M. Lange et N. Tutiaux-Guillon (dir.), Dictionnaire critique. Des enjeux des « éducations à... » (p. 52-55). Éditions l’Harmattan., 2017
Dans A. Barthes, J.-M. Lange et N. Tutiaux-Guillon (dir.), Dictionnaire des éducations à... (p. 171-181). Paris : L’Harmattan. (AXE 3), 2017
Dans S. El Euch, A. Groleau et G. Samson (dir.), Les didactiques : bilans et perspectives (p. 179-198). Québec : PUQ, 2017
Uploads
Livres, manuels et ouvrages collectifs by David Lefrançois
Cet ouvrage contient les réponses de chercheur·euses en didactique sur ces diverses questions.
Leurs analyses portent sur ce que les enseignant·es pensent qu’il faut faire apprendre aux élèves, sur la manière dont iels se servent des manuels, des jeux vidéo ou d’autres moyens d’enseignement ainsi que sur le potentiel de ces moyens d’enseignement pour développer la « pensée historienne ». Il s’agit d’un concept lié à la démarche d’enquête de l’élève qui, avec de l’aide, travaille avec les sources du passé, en les contextualisant, en les comparant, en les interprétant pour résoudre des problèmes…
Les recherches de ce livre ont en commun de soutenir que l’histoire peut aider les citoyen·nes à se conscientiser et à s’émanciper, c’est-à-dire à faire collectivement et consciemment l’histoire, car elle peut apporter à chacun·e des outils de la pensée critique utiles pour se poser des questions sur la vie politique et sociale, y répondre soi-même et en débattre avec rigueur.
Ces recherches peuvent aussi offrir aux enseignant·es en exercice et en formation, ainsi qu’aux personnes s’intéressant à l’histoire et à son enseignement, des outils d’analyse critique des moyens et des méthodes visant à faire apprendre l’histoire aux élèves, à évaluer leurs savoirs scolaires et à en favoriser le transfert dans la vie de la cité.
En voici quelques-unes:
Comment faire aimer et apprendre l'histoire et la géographie aux élèves du primaire et du secondaire?
Comment faire de ces disciplines des matières à penser, à se questionner?
À quels savoirs devons-nous tenter de faire accéder ces élèves et dans quels buts?
Comment leur enseigner à chercher, établir et utiliser – ou réfuter – des preuves historiques ou géographiques pour formuler ou évaluer des arguments politiques et en débattre avec discipline, honnêteté, rigueur et tolérance?
Devons-nous (et comment pouvons-nous) les engager dans les débats historiques, sociaux, philosophiques et politiques fondamentaux?
Comment valoriser le dépassement de soi et la solidarité sans tomber dans le conformisme et la rectitude?
Comment concevoir et piloter des tâches en histoire ou en géographie adaptées aux effectifs hétérogènes et diversifiés des écoles québécoises?
Comment créer, évaluer, perfectionner et partager des outils pour amener les élèves à acquérir des compétences favorisant leur participation avertie, libre et réfléchie à la vie sociopolitique?
Cet ouvrage prend le taureau par les cornes et examine ces nombreuses questions en creusant à la fois les aspects théoriques et pratiques. De plus, après avoir exposé le contenu et l'esprit des programmes en sciences sociales au primaire et au secondaire passés et actuels, ainsi que les savoirs de références appropriés, il fait le point sur ce que la recherche dit à propos de l'enseignement de diverses méthodes disciplinaires en histoire et en géographie, puis, il présente des récits de pratiques d'enseignement qui tiennent compte de ces méthodes.
Contributions à des ouvrages collectifs (COC) by David Lefrançois
Cet ouvrage contient les réponses de chercheur·euses en didactique sur ces diverses questions.
Leurs analyses portent sur ce que les enseignant·es pensent qu’il faut faire apprendre aux élèves, sur la manière dont iels se servent des manuels, des jeux vidéo ou d’autres moyens d’enseignement ainsi que sur le potentiel de ces moyens d’enseignement pour développer la « pensée historienne ». Il s’agit d’un concept lié à la démarche d’enquête de l’élève qui, avec de l’aide, travaille avec les sources du passé, en les contextualisant, en les comparant, en les interprétant pour résoudre des problèmes…
Les recherches de ce livre ont en commun de soutenir que l’histoire peut aider les citoyen·nes à se conscientiser et à s’émanciper, c’est-à-dire à faire collectivement et consciemment l’histoire, car elle peut apporter à chacun·e des outils de la pensée critique utiles pour se poser des questions sur la vie politique et sociale, y répondre soi-même et en débattre avec rigueur.
Ces recherches peuvent aussi offrir aux enseignant·es en exercice et en formation, ainsi qu’aux personnes s’intéressant à l’histoire et à son enseignement, des outils d’analyse critique des moyens et des méthodes visant à faire apprendre l’histoire aux élèves, à évaluer leurs savoirs scolaires et à en favoriser le transfert dans la vie de la cité.
En voici quelques-unes:
Comment faire aimer et apprendre l'histoire et la géographie aux élèves du primaire et du secondaire?
Comment faire de ces disciplines des matières à penser, à se questionner?
À quels savoirs devons-nous tenter de faire accéder ces élèves et dans quels buts?
Comment leur enseigner à chercher, établir et utiliser – ou réfuter – des preuves historiques ou géographiques pour formuler ou évaluer des arguments politiques et en débattre avec discipline, honnêteté, rigueur et tolérance?
Devons-nous (et comment pouvons-nous) les engager dans les débats historiques, sociaux, philosophiques et politiques fondamentaux?
Comment valoriser le dépassement de soi et la solidarité sans tomber dans le conformisme et la rectitude?
Comment concevoir et piloter des tâches en histoire ou en géographie adaptées aux effectifs hétérogènes et diversifiés des écoles québécoises?
Comment créer, évaluer, perfectionner et partager des outils pour amener les élèves à acquérir des compétences favorisant leur participation avertie, libre et réfléchie à la vie sociopolitique?
Cet ouvrage prend le taureau par les cornes et examine ces nombreuses questions en creusant à la fois les aspects théoriques et pratiques. De plus, après avoir exposé le contenu et l'esprit des programmes en sciences sociales au primaire et au secondaire passés et actuels, ainsi que les savoirs de références appropriés, il fait le point sur ce que la recherche dit à propos de l'enseignement de diverses méthodes disciplinaires en histoire et en géographie, puis, il présente des récits de pratiques d'enseignement qui tiennent compte de ces méthodes.
En 2018, la pièce musicale historique SLĀV généra maints commentaires politiques dans les médias de masse du Québec, sur divers supports. Aidé d’une analyse de contenu semi-émergente, cet article exploratoire décrit les thèses qu’oppose la controverse dans les quotidiens. Les protagonistes énonçaient surtout des avis ou propositions politiques polarisés, fondaient leurs argumentaires sur des concepts déformés ou indéfinis et s’engagèrent dans une impasse dialogique. Sciemment ou non, les débatteurs agissaient comme si l’aporie engendrée par la conduite parallèle de leurs monologues assurait l’efficacité de leurs interventions et comme si leurs interventions devaient convaincre des tiers d’adopter leurs positions, c’est-à-dire comme si les visées réelles et formelles du débat divergeaient : il faut moins convaincre son vis-à-vis (visées formelles) que persuader un tiers (visées réelles) et tout se passe comme si la pétition de principe était un moyen d’y arriver. L’article conclut que le détournement du syntagme « appropriation culturelle » dans l’espace public plaide pour l’apprentissage de la problématisation et de l’analyse des productions médiatiques s’appuyant sur le passé pour proposer ou conforter des identités et appeler à l’action.
Abstract
In 2018, the historical musical play SLĀV generated many political comments in Québec’s mass media. Using a semi-emergent content analysis, this exploratory article describes the thesis offered by some protagonists in the newspapers who mainly stated polarized opinions or political proposals, based their arguments on distorted or undefined concepts and engaged in a dialogical stalemate. Deliberately or not, debaters acted as if the aporia generated by the parallel conduct of their monologues ensured the effectiveness of their interventions; as if their interventions were to convince others to adopt their positions, as if the real and formal aims of the debate were diverging. It is less necessary to convince an opponant (formal aims) than to persuade a third party (real aims); everything happens as if this petitio principii was a means to that end. The article concludes that the misappropriation of the concept "cultural appropriation" in the public space calls for the problematization and analysis of media
productions relating to the past which suggest or reinforce identities and call for action.
This article examines the periodic heated debate on the links that, in Québec, academic research in didactics has with political choices or decisions made in education. The authors focus in particular on the historical context and a description of the discourse that a fierce, dynamic and influential think tank has promoted since 2009 regarding the aims of learning history, the content of educational programmes in secondary school, and pre-service and in-service teacher training.
To fulfill its mission, Quebec elementary schools must ensure the psychosocial development and self-determination of its students. Mindfulness-based interventions have recently attracted a lot of attention in research and are very promising to promote the self-determination of youth. Similarly, philosophy workshops for children are also being implemented in schools. Based on self-determination theory and existential psychology, this article proposes to explore theoretical frameworks relevant to the application of both philosophy for children and mindfulness among pupils in elementary school, as well as that the contexts in which these two practices have been applied in Quebec.
Abstract: Terrorist attacks periodically serve as a pretext to restrict rights and freedoms. This sharply raises a triple question relating to the diversities of every human being: What does ‘being different’ mean? Can differences justify being treated differently and at a disadvantage? How can we overcome prejudices against oneself or other ‘different’ people? This is an issue of conceptualization. When faculty of education professors who train preservice social science teachers think about this issue as teacher-trainers, the role of teacher-training institutions simultaneously appears to be a pivotal question. In this context, this article first explores the point of view that social sciences should be used to problematize specific injustices from the perspective of their victims and to make them aware of their unity as agents of democratic development. The article then presents a content analysis of the Contemporary World curriculum, which is mandatory for high school students in Quebec.
Se revisan las críticas al enfoque de las habilidades históricas y se sintetizan investigaciones empíricas recientes sobre los efectos de este enfoque en el aprendizaje del pensamiento histórico. A este respecto, se propone una comparación de la efectividad de este enfoque en comparación con el de la enseñanza centrada en la narrativa ya construida del maestro.
Abstract:
Critiques of the historical skills approach are reviewed and recent empirical research on the effects of this approach on the learning of historical thought is synthesized. A comparison is proposed of the effectiveness of this approach in this respect compared to that of teaching centered on the already constructed narrative of the teacher.
Résumé:
Cet article fait état des critiques de l’approche par compétences en histoire et synthétise des recherches empiriques récentes sur les effets de cette approche sur l’apprentissage de la pensée historienne. Une comparaison est proposée de l’efficacité de cette approche à cet égard par rapport à celle d’un enseignement centré sur le récit déjà construit de l’enseignant.
This article explores the relationship between how students conceive school rules and codes as a proto- legal framework of the hidden curriculum and citizenship education. The robustness of Ewick and Silbey’s legal consciouness model, as well as Westheimer and Kahne’s citizenship typology in describing this relationship is evaluated through the study of two cases where high school students must resolve a legal situation. The results of the analysis lead to conclude that the third level of Ewick and Silbey’s model does not allow for a distinction between legitimately contesting a law and an anomic rejection of the law. It further highlights the importance of distinguishing legal education from rights education.
This article presents the results of a study which explores a specific way to link inclass and online teaching and learning that we call simultaneous bimodality: while some students are inclass with the teacher, others are attending the course online and in real time using a videoconferencing technology. The objective of this article is to better understand how to facilitate the inclusion of online students in simultaneous bimodal course. Results show that the number and the kind of interactions differ greatly between inclass and online students and cause teachers to adapt their practices. However, it is possible to distinguish two adaptation patterns in regards to the extent teachers adapt their practices and the perceived teaching and learning quality.