Talks by Marta Hernandez Alonso
Cet article est adapté d’une séance du séminaire "Politique(s) de la lecture : le collectif à ven... more Cet article est adapté d’une séance du séminaire "Politique(s) de la lecture : le collectif à venir ?" donnée au CIPH en 2018-2019 (Co-direction Marta Hernandez Alonso, Elias Jabre).
Il propose une mise en scène à plusieurs voix d'"Otobiographies, l’enseignement de Nietzsche et la politique du nom propre", une conférence donnée en 1976 à l’Université de Virginie par Jacques Derrida.
"Ce qui me reste tout d’abord d’Otobiographies, O-T-O, c’est l’image d’une oreille, disproportionnée du reste du corps. Une oreille comme une énorme machine de liaison. « Comment l’étudiant est-il relié chez vous à l’université ? », demande l’étudiant étranger. Et le philosophe, de répondre : « par l’oreille, c’est un auditoire »."
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Talks by Marta Hernandez Alonso
Il propose une mise en scène à plusieurs voix d'"Otobiographies, l’enseignement de Nietzsche et la politique du nom propre", une conférence donnée en 1976 à l’Université de Virginie par Jacques Derrida.
"Ce qui me reste tout d’abord d’Otobiographies, O-T-O, c’est l’image d’une oreille, disproportionnée du reste du corps. Une oreille comme une énorme machine de liaison. « Comment l’étudiant est-il relié chez vous à l’université ? », demande l’étudiant étranger. Et le philosophe, de répondre : « par l’oreille, c’est un auditoire »."
Il propose une mise en scène à plusieurs voix d'"Otobiographies, l’enseignement de Nietzsche et la politique du nom propre", une conférence donnée en 1976 à l’Université de Virginie par Jacques Derrida.
"Ce qui me reste tout d’abord d’Otobiographies, O-T-O, c’est l’image d’une oreille, disproportionnée du reste du corps. Une oreille comme une énorme machine de liaison. « Comment l’étudiant est-il relié chez vous à l’université ? », demande l’étudiant étranger. Et le philosophe, de répondre : « par l’oreille, c’est un auditoire »."