Nilfgaard
Nilfgaard
Nilfgaard
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Ce document regroupe des descriptions sur la civilisation Nilfgaardienne et son organisation afin
de fournir un support aux maîtres de jeu souhaitant approfondir le jeu dans l’Empire. Certaines
parties sont inventés par l’auteur de ce document et sont indiquées par un étoile (*).
“Nilfgaard est tout puissant, celui qui remet cela en question est soit un nationaliste Nordien
bas-du-front, soit un imbécile aveugle qui devrait retourner étudier sa géopolitique.”
- Académicien impérial
Parallèle historique
Nilfgaard est similaire à l’Empire romain, avec un rayonnement culturel et scientifique très
important, un empereur unique à sa tête et une bureaucratie importante pour gérer un territoire
qui est de plus en plus vaste à chaque invasion qui est permise par une armée puissante.
Forces en présences
L’Empire est toujours en constante expansion vers le
Nord et semble être un ennemi de poids pour les
Royaumes du Nord qui doivent obligatoirement
coopérer pour lutter contre les invasions. Pendant la
seconde guerre Nordiques, le nombre de soldats était
d'environ 320 000, dont 300 000 attaquant les
royaumes et environ 20 000 restant dans l'Empire pour
maintenir la paix et défendre les provinces centrales en
cas de retournement inattendu de la guerre. Comme
beaucoup d'autres armées, l'armée impériale est
également en possession d'armes de siège, notamment
des mangonneaux , des trébuchets, des scorpions de feu
zerrikaniens et des lanceurs de pourriture.
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Méthodes
Si l’armée de Nilfgaard est la face visible de sa puissance, la phase cachée réside dans la stratégie de
conquête et la préparation minutieuse des invasions Nilfgaardienne. Car même si l’armée
Nilfgaardienne est bien équipée, composée de soldats dévoués et de commandants forgés par
l’Académie militaire, la puissance de Nilfgaard se joue avant tout dans le génie tactique de sa
logistique.
Nilfgaard n’hésite pas à signer des traités pour aider ses armées ce qui lui permet de conquérir des
terres à l’aide de factions infiltrés menant des putschs. l’Empire signe aussi des pactes de
non-agression avec certains royaumes, lui laissant le champ libre pour envahir d’autres territoires
avant de trahir leurs accords et marcher sur leurs alliés d’hier.
Le principe simple de diviser pour mieux régner est donc mis en œuvre par un important réseau
d’espionnage. En effet, beaucoup de représentants politiques envoyés au Nord par Nilfgaard sont
aussi des espions qui participent à la préparation des futures invasions. Ses pions sont parfois
sacrifiés une fois leur devoir accompli.
Objectifs
Avec ce genre de soutien politique, la guerre sur le terrain s’illustre par la capture de positions
stratégiques économiquement. Le but est de capturer un maximum de ressources : les industries et
leurs machines, les réserves, les richesses mais aussi les gens qui deviendront des esclaves, puis les
délocaliser loin du front, en Nilfgaard. A ce pillage s’ajoute la destruction de ce qui n’est pas
utilisable ou déplaçable comme les cultures agricoles ou les villages. Cette stratégie similaire à celle
de la terre brûlée va réduire les risques de résistance de la part des pays conquis mais va aussi saboter
une potentielle reconquête de ces régions par les Nordiens qui seront ensuite inféodés
économiquement à leur voisins Nilfgaardiens en temps de paix. Dans le cas contraire, les régions
rasés pourront compter sur le soutien de l’immense Empire et de ses nouveaux esclaves pour se
reconstruire au sein de Nilfgaard.
Conséquences
Nilfgaard ne semble donc pas avoir d’ennemis à sa taille, son pire ennemi est en vérité lui-même.
Car la taille de l’Empire est aussi sa faiblesse, puisque les régions soumises doivent être gérées à
travers une bureaucratie importante, et doit avoir une armée suffisante pour gérer les rebelles et les
possibles gangs qui pullulent en zone envahie. Malgré tout, un système si important devient
gourmand en ressources humaines et économiques pour rester cohérent et la multiplication de
postes à responsabilités peut entraîner de la corruption en lien avec l’insécurité qui est difficile à
gérer dans un très vaste empire.
Pour contrer cela il existe un système judiciaire punitif qui permet la soumission voir l'approbation
de la population mais qui encourage la résistance voir de possibles guerres civiles surtout dans les
pays récemment conquis.
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Culture
L’armée a donc une place importante dans la société Nilfgaardienne puisque le patriotisme et le
sentiment de supériorité sur d’autres cultures est exacerbé au sein de l’Empire par l’Université
impériale et l’Académie militaire.
De plus, comme l’Empire impose sa culture à différentes régions soumises qui sont aussi différentes
entre elles au niveau de la culture, cela crée des sources de conflit et des dissensions au sein de
l’administration ou de l’armée. Ainsi l’Aristocratie Nilfgaardienne qui compose les gradés de l’armée
se considère comme de meilleurs Nilfgaardiens de part leurs traditions et se considère supérieurs
aux autres classes de la société impériales alors que les soldats proviennent parfois de pays
récemment conquis. Cela entraîne donc des mésententes entre soldats et généraux.
Mais la culture nilfgaardienne ne se résume pas aux arts militaires, comme en témoigne la
bibliothèque de l’Académie des sciences et des lettres, qui est aussi renommée que celles d’Oxenfurt
et de Lan Exeter. L’Académie des sciences et des lettres compte un effectif incroyable d’écrivains, de
musiciens, d’érudits, de philosophes et de scientifiques. Elle soutient leurs travaux tout en les
gardant dans son giron où les autorités peuvent les tenir à l'œil.
Aussi la compétitivité qui est largement encouragée au sein de l’Empire développe de la jalousie et
du mépris au sein des populations ce qui déchire encore plus la cohésion de l’Empire. A tout ceci
s'ajoutent des conflits parfois vengeurs entre prestigieuses familles Nilfgaardiennes. Face à ses
problèmes il y a un certain nombre de critiques qui ont commencé à apparaître envers l’Empereur
qui poursuit un objectif d’expansion qui est plutôt dangereux au vu de l’instabilité grandissante de
l’Empire.
La langue
Il est évident que l’Empire a eu à son arrivée sur le continent, après la conjonction des sphères, des
relations étroites avec les elfes. Ils ont donc du sang elfe et la langue Nilfgaardienne est un dialecte
dérivé de la langue ancienne, qu’elle impose à toutes ses provinces.
Le Nilfgaardien se caractérise par de longues syllabes étirées et une prononciation dure. Certains
mots de l’Ancien langage ont une signification totalement différente en Nilfgaardien.
Par exemple : “y” signifiant “de” dans l’Ancien langage devient “et” en Nilfgaardien. Ou encore :
“blanc” , généralement traduit par “gwen” par les elfes devient “wen” en Nilfgaardien.
Au cœur de Nilfgaard on dénomme généralement un aristocrate par son prénom suivi de la
désignation “Aep” signifiant probablement “fils de” suivi du nom du père. La dénomination “Var”
comme dans “Emhyr var Emreis” fait probablement référence à la famille ou la lignée aristocratique
citée après présente sur un territoire, comme avec “Henry var Attre”.
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La formulation “Van der” (*ou seulement “Van”) comme dans “Dettlaff van der Eretein” fait soit
référence à une région soit une lignée. Un simple nom après un prénom ne signifie apparemment
pas forcément la non-appartenance à l’aristocratie nilfgaardienne comme avec Morvran Voorhis.
L’esclavage
Concernant l’esclavage à Nilfgaard, l’engagisme est la forme de
servitude la plus représentée au sein de l’Empire. Les gens
condamnés pour des crimes mineurs ou des dettes et les
prisonniers de guerre sont « engagés » auprès de familles
fortunées pour une période comprise entre deux et dix ans. Les
peines encourues par les serviteurs qui tentent de s’échapper sont
très lourdes afin de tuer dans l'œuf tout esprit de rébellion.
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Droits et niveau de vie
Toute personne née dans un territoire nilfgaardien devient un citoyen de Nilfgaard. Les citoyens
ont le droit de vote et peuvent siéger au Sénat, bien que les places soient majoritairement occupées
par des nobles ou des universitaires. Il existe des citoyens elfes et nains qui possèdent leur propre
entreprise à Nilfgaard, où les races non-humaines sont mieux traitées que dans le Nord et les
pogroms sont chose rare. Les femmes peuvent détenir des terres ou des commerces en leur nom
propre. Dans les classes supérieures, les mariages arrangés existent toujours et la noblesse surveille
étroitement l’accès à ses titres. De jeunes femmes ont même intégré l’université, non pas l’Académie
militaire, mais l’Académie des sciences et des lettres.
Pouvoirs et hiérarchies
L’exercice de la politique à Nilfgaard est périlleux, car une poignée de maisons nobles mènent une
lutte incessante pour accroître leur pouvoir. L’Empereur a les pleins pouvoirs et reçoit le soutien des
familles alliées. Bien qu’il existe un Sénat, son avis ne pèse pas lourd dans la balance.
Les provinces sont gouvernées soit par des Intendants, soit par des rois. Dans les cas où un roi se
rend volontairement, il conserve son trône mais est soumis à l'Empereur ou simplement à un vassal.
Bien que partageant l’Empire avec un certain nombre de Barons, Comtes, Ducs, Princes, Sénateurs
et autres aristocrates, le règne de l'Empereur est totalitaire et la déloyauté est souvent punie de mort.
Institutions
Palais Impérial
Le Palais Impérial, situé dans la ville de Nilfgaard,
connue sous le nom de “ville des tours d'or” est la
résidence principale de l'Empereur de Nilfgaard.
L'ensemble du Palais est gardé par la Brigade Impera,
dont la tâche est de protéger l'Empereur et sa Cour.
Aucun empire n’a pris autant à cœur la chose, la brigade
compte cinq mille soldats.
Contrairement aux croyances populaires, la majorité des
tours de la capitale ne sont pas vraiment en or, mais
portent le nom du soleil qui danse sur leurs toits.
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Dans les jardins du palais, il y a un étang dans lequel vivait une ancienne carpe dorée, relâchée là par
l'ancien empereur, Torres var Emreis. La carpe portait une médaille commémorative en or
affichant une effigie de Torres et la date 1135, date à laquelle elle a été relâchée pour la première fois
dans l'étang. À la mort de la vénérable carpe, l'empereur Emhyr var Emreis lâcha une nouvelle
carpe dans l'étang qui, conformément à la tradition, portait également une médaille
commémorative en or affichant son effigie et sa date d'introduction.
Université impériale
Située à Castel Graupian, les jeunes hommes (et quelques jeunes femmes) de la capitale y étudiant,
ont joué des coudes pour y entrer. Ils peuvent alors tisser un vaste réseau de relations qui révélera
toute son importance au fil de leur existence.
Au bout de deux ans, les étudiants peuvent passer un concours pour être transférés à l’Académie
militaire Markus Braibant ou l’Académie des sciences et des lettres.
L’Académie militaire porte le nom du général de division Markus Braibant, qui a servi dans
l'armée impériale jusqu'en 1268, date à laquelle il a été tué lors de la bataille de Brenna. Une des
devises de l'Académie était “Guerre aux palais, paix aux huttes”; pendant les guerres du Nord
cependant, la dernière partie de la devise a été totalement oubliée.
*Dans les couloirs de l’Académie, des bustes en pierre d’officiers de l’Armée sont exposés, servant de
modèles à la futur élite. Chaque personne au sein de l’Académie rêve d’avoir lui aussi un buste à son
effigie dans les couloirs.
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Académie des sciences et des lettres
Principalement connue pour ses départements de sciences
humaines et scientifiques. Elle a produit de nombreux
linguistes et traducteurs. L'Académie n’a pas de département
de sciences militaires car l’Académie militaire Markus
Braibant, est réservée à ce domaine.
De nombreuses légendes nilfgaardiennes, chroniques de leurs
royaumes et généalogies de leurs rois sont conservées à
l'Académie, ainsi que la plupart de leurs écrits.
(*)Les matières étudiées sont : les beaux-arts, la poésie,
l’astrologie, la chimie, le droit, la médecine, l’histoire naturelle,
la philosophie, la technologie, l’archéologie appliquée et
l’histoire contemporaine.
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Le Sénat
Le Sénat est une assemblée gouvernementale de l'Empire nilfgaardien. Son siège est situé dans la
capitale avec un grand escalier utilisé pour les discours qui y conduisent. Il est plus que probable
qu'au cours des années précédentes, le Sénat a joué un rôle important dans la politique
nilfgaardienne. Au 12ème siècle, cependant, l'Empire était déjà une monarchie absolue dirigée par
l'Empereur héréditaire et le rôle du Sénat devint purement cérémonial.
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Pour assurer une meilleure coopération des populations avec les Chasseurs de Mages et Nilfgaard,
les agents n’ont pas le droit de porter atteinte aux civils, sauf pour mieux faire passer un message au
nom de l’Empire.
Administration
Monnaie
Le Mark sert de base à la monnaie en Nilfgaard. Le Florin est basé sur le Mark.
Car 60 Florins peuvent être frappés à partir d’un seul Mark. Le Mark est donc
souvent utilisé pour des quantités plus élevées. En tant que tel, il sert
également en tant que type de mesure du poids.
Territoires
L'Empire de Nilfgaard est divisé en plusieurs unités administratives afin que son territoire puisse
être effectivement gouverné. Ils peuvent, mais ne doivent pas obligatoirement, refléter les frontières
d'avant la conquête. Le degré de domination impériale varie, des provinces strictement contrôlées
comme Geso à des terres où les gouverneurs impériaux et les Palatins sont des "conseillers"
marionnettistes des monarques locaux (Comme à Maecht, Lyrie ou Rivie)
Provinces
Habituellement la plus grande unité, gouvernée par un gouverneur. Elle est divisée en sous-unités
connues des Nordiens sous le nom de «marches», bien que ce mot ne dénote pas le statut d'une
terre donnée. Par exemple, l'unité Province de Metinna se compose de la «marche» de Metinna et
la «marche» de Maecht du point de vue administratif, mais Metinna et Maecht sont formellement
des royaumes avec leurs rois et leurs cours royales.
L'Empire comprend plus d'une douzaine de provinces.
Palatinat
Généralement plus petit qu'une province, gouvernée par un Palatin. Un Palatinat est peut être juste
un nom officiel pour une «marche».
Préfecture/Starostie
La plus petite unité, généralement une ville avec des terrains adjacents. Il est dirigé par un préfet.
*Territoire, fief, circonscription administrative d'un staroste (responsable de la répartition de
l'impôt).
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Titres et Fonctions civiles
Prince : Un prince ou une princesse est généralement un enfant de la famille royale actuellement au
pouvoir. S'ils étaient l'aîné des enfants, ils sont généralement les suivants à devenir roi ou reine.
Duc
Comte
Baron
Burgrave : *nom donné au commandement militaire d'une ville ou place forte lorsqu'il exerçait en
même temps sur les bourgeois le droit de juridiction.
Général
Major général : Le major général est un poste militaire dans l'armée nilfgaardienne.
Commandant : Dirigeant d’un groupe armé pouvant avoir n’importe quel grade.
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Capitaine : Le capitaine est un grade militaire. Une bannière, (*un escadron) ou une garnison est
généralement dirigée par un capitaine.
Généralement, le chef d'un groupe non militaire (c'est-à-dire un gang de bandits) peut également
être appelé capitaine. Capitaine est également le titre généralement donné au chef de la garde de la
ville.
Sergent
Porte-étendard : Un porte- étendard est un soldat dont la tâche est de porter et de protéger son
insigne militaire sur le champ de bataille.
Divisions et brigades
(*Brigade : 7 000 à 8 000 homme, Division : 25 000 hommes)
3e armée : Troupes montées. Composée de :
- Division d'Alba
- Division Deithwen
- Division Ard Feainn
- deux divisions de cavalerie inconnues
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4e armée de cavalerie : Troupes montées. La 4e armée de cavalerie se composait
principalement des armées provinciales et comptait plus de 20 000 soldats.
- Division de Venendal
- Division Magne
- Division Frundsberg
- 2e brigade Vicovaro
- 7e brigade de Daerlan
- Groupement tactique de Sievers
- Groupement tactique de Vreemde
- Groupement tactique de Morteisen
- Brigade de Nauzicaa
- Brigade Vrihedd
*Petits groupes
Escadron : 120 hommes
Peloton : entre 20 et 30 hommes
Escouade : de 14 à 15 hommes.
L'escouade n'est pas une unité de manœuvre. Cette formation est regroupée, "à la
manière d'une petite famille", pour la vie courante de l'unité (couchage,
distributions, cuisine et la nourriture...).
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Division Deithwen : Troupes de lanciers. Leur nom signifie “Flamme
blanche” en Ancien langage.
2e brigade Vicovaro : Troupes montées. Ils sont décrits comme de féroces guerriers.
Division Ard Feainn : Troupes montées. Son nom signifie “Grand Soleil”
en Nilfgaardien, en référence au culte impérial. Les caparaçons de leurs
chevaux et leurs capes sont blanches avec une doublure intérieur rouge.
Leur casques comportent de grandes ailes déployées.
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Division d'Alba : Troupes blindées. Le signe de la division est un étendard
blanc avec un alérion noir.
Brigade nazairie : Branche de cavalerie légère du Groupe d'Armée du Centre de Nazair. En 1272,
l'unité était campée dans le camp central du groupe d'armées nilfgaardien à Velen.
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Chronologie
1290 : Le sergent en chef et confident de l’Empereur Peter Evertsen est promu Grand Trésorier
de la Couronne par l’Empereur Emhyr var Emreis.
1292* : Morvran Voorhis monte sur le trône impérial à la mort d’Emhyr var Emreis.
1293* : Peter Evertsen tombe en disgrâce après avoir été injustement accusé de détournement de
fonds au château de Winneburg au cours du règne de l'empereur Morvran Voorhis.
1297* : Jan Calveit monte sur le trône impérial à la mort de Morvran Voorhis
1297* : Dominik Bombastus Houvenaghel, Conseiller fidèle de l'empereur, est élevé au rang de
Burgrave de Venendalpar Jan Calveit. La starostie de Neweugen lui fut octroyée en
récompense des services rendus.
Remerciement à Cianurr qui a accepté que je reprenne le texte de sa vidéo sur Nilfgaard dans sa série
“Oh, Lore Witcher (FR)”
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