MODULE 6 de Sophrologie
MODULE 6 de Sophrologie
MODULE 6 de Sophrologie
MODULE N° 6
Madame, Monsieur,
Dans la mesure du possible, il serait judicieux que vous puissiez animer une séance
de Relaxation dynamique 1er Degré, 1er Cycle avec quelques amis volontaires.
LA COMMUNICATION NON-VERBALE
1. INTRODUCTION ET DÉFINITION
- 1 - DÉFINITION DE LA COMMUNICATION :
Il y a communication chaque fois qu’un organisme peut affecter un autre organisme
en le modifiant ou en modifiant son action à partir de la transmission d’une
information.
Ce schéma nécessite la présence d’un émetteur, d’un message, d’un médium, d’un
réflecteur, d’un impact.
Exemple N° 1 :
Un rat en période de dressage reçoit à manger en réponse à une tâche, il y a
deux ponctuations : premièrement il exécute la tâche, il reçoit à manger et c’est
l’expérimentateur qui domine. Deuxième ponctuation, il me donne à manger,
j’exécute la tâche : le rat domine la relation.
Exemple N° 2 :
Un mari et une femme s’affrontent, le mari dit : «je me replie parce que je te
sens hargneuse ». La femme répond, « je suis hargneuse parce que tu te replies ».
Ici le désaccord porte sur la manière de ponctuer la séquence de faits. En effet, pour
la femme repli = hargne, pour l’homme hargne = repli.
Exemple N° 1 :
A est autoritaire et B se soumet, ce qui autorise un autre acte autoritaire de A
qui va nécessiter un autre acte de soumission pour B (relation complémentaire).
Exemple N° 2 :
Si A et B sont en compétition, on parle de relation symétrique.
Exemple N° 1 :
Dans un village, il y a un barbier qui rase tous les hommes qui ne se rasent pas
eux mêmes, la logique conduit à un paradoxe, car on ne peut placer le barbier ni
parmi ceux qui se rasent eux mêmes, ni parmi ceux qui ne se rasent pas eux
mêmes.
Dans cet exemple, ce qui est visé, c’est la fonction du barbier, et c’est cet aspect qui
fait qu’il y a paradoxe.
Ce qui est intéressant c’est l’injonction paradoxale, elle sera rencontrée dans les
relations humaines dans les cadres suivants :
Relation de complémentarité
Lorsque pour obéir à l’injonction, il faut désobéir à l’injonction
Lorsque l’individu en positon faible ne peut pas s’extraire du cadre en
critiquant le paradoxe (position intenable).
MODULE N° 6 3 © Ecole de somatothérapies et de Sophrologie Appliquées
Exemple d’injonction paradoxale :
Un individu demande à sa secrétaire d’écrire correctement « le Paris de Pascal
est plus intéressant que celui de l’Ile de France ». Toute réaction à ce message sera
paradoxale elle aussi. On ne peut pas être cohérent et logique dans un contexte
incohérent et illogique. En effet, tentée d’obéir, la secrétaire démontrera son
incompétence, de même si elle refuse d’obéir elle montrera sa désobéissance.
Peut-on parler de code à ce propos ? Quelle place accorder aux significations liées
au contexte, aux signes que seuls décodent les experts ? Exemple : symptôme
psychologique. Du point de vue historique, ce sont surtout les communications
animales et l’observation des comportements sociaux de ces derniers qui nous
révèlent une grande coordination de leur activité. C’est de cette observation que sont
parties les recherches éthologiques.
Exemple :
La communication des abeilles à l’égard des sources de nourriture. En effet,
l’abeille est capable d’informer les autres de la distance, de la qualité de la nourriture,
elle dispose pour cela d’un ensemble de signes composés d‘unités de comportement
et définis par des traits pertinents dont l’articulation constitue un message impératif
qui déclenche une réaction immédiate du récepteur.
Dans cette communication, le code est lié à l’espèce et l’articulation des signes est
strictement dépendante du message.
b) Expression et communication
SCHEFFEN écrit « la communication comprend tous les comportements par
lesquels un groupe constitue, soutient, médiatise, corrige et intègre ses
communications », c’est-à-dire que les événements corporels jouent un rôle dans le
milieu social.
Exemple :
Le défaut de réponse va modifier les caractères du message, si un adulte ne répond
pas à un bébé, ce dernier va crier plus fort.
Exemple :
Les appels de phare en plein jour sont un langage par signes.
Exemple :
Chez les chiens lorsqu’ils hérissent leur pelage, cela exprime leur domination, le
chien soumis se pliera au chien dominateur.
Le signe, quant à lui est déjà présent dans la réponse à une perception.
Exemple N° 1 :
Chez la femme, le port des talons hauts qui la déhanchent, chez l’homme la carrure
élargie ; ces comportements révèlent des déclencheurs sociaux dont le caractère
sexuel est souvent inconscient chez leurs auteurs.
Exemple N° 2 :
Les parfums sont également des déclencheurs.
Selon les relations de signification qu’entretient le signe avec la réalité qu’il veut
évoquer, il est possible de déterminer des niveaux différents. JACOBSON distingue
trois niveaux :
L’icône est toujours une représentation sensible de l’objet .Exemple : une
carte de géographie relève d’un rapport iconique. Exemple : le bras d’honneur.
Comme il existe un lien naturel entre l’objet et l’icône, le message iconique est le
meilleur moyen de communiquer une expérience, reproduire un geste, une intonation
sont souvent mieux compris du récepteur qu’un discours.
La communication non verbale est placée dans le code analogique, lequel insiste
davantage sur l’aspect relationnel dans la communication et correspond mieux à la
variation de l’intensité d’un signal, qui de ce fait, transmet une information induisant
en même temps un comportement.
Alors que le code digital procède par tout ou rien, le code analogique procède par la
continuité du signifiant et par son rapport d’iconicité à l’égard du signifié. Le code
analogique est toujours susceptible d’engendrer une ambiguïté dans le message.
Le code analogique renvoie surtout à des relations entre individus et donc à des
valeurs affectives.
Les informations non verbales si elles paraissent plus sûres car elles renvoient à un
état d’esprit sont tout à fait inférieures au langage car elles sont restreintes à ici et
maintenant, donc dépendantes du lieu et du temps.
Dans le langage non verbal, le sujet est tout entier dans l’expérience présente.
Traduire le code analogique en code digital aboutit toujours à une distorsion fatale de
l’information, ceci est un gros problème pour la psychothérapie car elle passe aussi
par le langage. Exemple : en analyse, il y a communication non verbale lorsque le
thérapeute émet quelques sons par exemple.
Ces distances d’interaction varient selon les individus et les cultures. Exemple : en
Amérique du sud, les gens se parlent très rapprochés, en Amérique du nord, ce
rapprochement est sexualisé.
Exemple N°1 :
L’attitude de domination de l’homme (tête en extension, poitrine en avant), l’attitude
de séduction chez la femme (jambes croisées, tête rejetée en arrière).
Exemple N° 1 :
Un thérapeute écoute tête penchée, il redresse sa tête pour donner une
interprétation, lorsqu’il a la tête droite, il regarde le sujet et parle.
Exemple N°2 :
Lors des interactions amoureuses, on observe des attitudes faites de messages
contradictoires ; en effet, parfois une partie du corps se dirige vers le partenaire et
l’autre s’en éloigne, posture ou fuite et rapprochement se combinent dans un espace
proximal offrant aux partenaires la possibilité d’augmenter leurs pressions comme
leurs désirs réciproques.
Tous ces gestes constituent un ensemble codifié qui règle les expressions du corps
dans certaines situations sociales. La connaissance et le respect de ces signes
manifestent l’appartenance au groupe ; certains gestes (gestes de l’index sur la
bouche = silence) possèdent une signification précise et constituent un code
emblématique qui double le langage parlé ; ces emblèmes mettent en évidence les
différences culturelles dans les communications non verbales. Autre exemple, l’index
sur la tempe = suicide.
Exemple N° 1 :
L’anxiété peut prendre des formes différentes comme la pâleur ou la rougeur.
C’est souvent la manière dont chacun a noué des relations interpersonnelles dans sa
famille ou la société qui détermine les formes d’expression.
Exemple N° 2 :
Dans les milieux méditerranéens, l’émotion est souvent traduite par le geste.
b) Le regard
La valorisation positive du regard prend toute son importance dans la relation mère-
enfant. En effet, une mère d’enfant aveugle peut se sentir étrangère à son enfant tant
qu’elle n’a pas pu pallier cette absence du regard par un autre moyen de
communication. Le regard semble avoir une double fonction ; il indique à qui
s’adresse la communication et constitue un indice de l’attention accordée. Soutenir le
regard d’autrui, c’est le soumettre à sa dépendance. Ainsi les sujets ont tendance à
regarder dans la direction de leur interlocuteur lorsqu’ils ont la parole, de même un
sujet de rang inférieur regarde plus lorsqu’il écoute que lorsqu’il parle.
Exemple N° 1 :
Si une mère se montre positive vis-à-vis de son enfant alors que son attitude non
verbale est hostile, l’enfant se trouve pris dans une situation contradictoire.
CONCLUSION :
D’une façon générale, tout ce qui concerne le corps, la sensation et le plaisir lié à
cette sensation est ignoré de la communication directe mais le langage garde la
marque de ses autres formes d’expression car il y a une interaction profonde entre
corps et langage, ainsi le langage emprunte au corps toute une symbolique dans les
expressions, mais à l’inverse les désirs du corps s’inscrivent dans le langage, parler
c’est rendre compte du corps et la parole peut réduire une tension, un symptôme
voire guérir le corps dans la cure analytique.
LA COMMUNICATION INTIME
En effet, parfois on ne dit rien pour être reconnu ou par peur d’être abandonné ou
simplement par difficulté de s’approprier une parole qui soit la sienne.
Apprendre à communiquer, c’est aussi éviter de mettre des maux à la place des
mots.
Il est important, pour bien communiquer, de faire passer à l’autre la façon dont nous
avons vécu le fait, lui faire partager notre émotion.
3. Entendre.
Il faut accepter ce qui est à l’extérieur de nous, c’est à dire le réel de l’autre, son
imaginaire, sa Symbolique.
Exemple: Un enfant qui dit « j’ai peur des crocodiles » Il ne faut pas lui
répondre « il n’y a pas de crocodile » mais « peux-tu me parler des crocodiles dont tu
as peur? »
3. Apprendre à recevoir:
Souvent, nous sommes incapables de recevoir, car nous ne sommes pas
suffisamment responsables de nous-mêmes, et trop envahis par des préjugés
négatifs.
Exemple: « Oh tu as une belle chemise aujourd’hui »
« Oui, mais je l’ai acheté en solde »
4. Apprendre à refuser:
« Il faut apprendre à dire oui en disant NON » Jacques SALOME
Il faut oser dire non, mais pas un non systématique d’opposition afin de développer
la santé relationnelle.
Cependant, dire non peut éveiller chez l’autre une « mise en cause » qu’il confond
avec une mise en mots.
Il ne faut pas oublier que dans une relation, il y a deux extrémités et que chacun doit
être responsable de son extrémité.
1. L’appropriation:
C’est le fait de s’approprier le jugement et le point de vue de l’autre.
Exemple: S’il pense telle chose de telle personne, il a raison donc je pense la
même chose également.
2. La culpabilisation:
C’est laisser croire à l’autre qu’il est responsable de ce que nous ressentons
Exemple: Je suis triste car tu n’as pas voulu sortir aux champignons avec moi.
3. L’accusation:
« le tu qui tue » Jacques SALOME
Cette accusation se manifeste lorsque nous ne savons pas prendre la responsabilité
de ce que nous faisons en rendant l’autre responsable. Il s’agit d’un terrorisme
relationnel ou nous exprimons la violence de nos désirs sur l’autre.
5. Auto-disqualification:
C’est lorsqu’on donne à l’autre le sentiment qu’on ne vaut rien.
Cette tendance consiste à vouloir inconsciemment diminuer l’autre, car si l’autre est
avec moi c’est qu’il ne vaut rien lui aussi. Il s’agit d’un chantage affectif déguisé.
CONCLUSION:
Pour bien communiquer il faut accepter d’être responsable de soi-même afin d’avoir
un regard positif de soi à proposer à l’autre.
LA RELATION AMOUREUSE
INTRODUCTION
Dans notre vie quotidienne, nous pouvons constater des difficultés de
communication dans la vie de couple. Ce constat nous invite à nous poser la
question de savoir ce qu’il faut faire pour mieux communiquer dans la relation
amoureuse. Un apprentissage de la communication dans le couple va permettre aux
deux partenaires de construire ensemble une relation d’amour durable, une relation
de partage, le respect de la parole et du ressenti de chacun.
Ce qui caractérise un couple, ce n’est pas la force de ses sentiments, mais surtout la
qualité de la communication. C’est la raison pour laquelle, il peut y avoir des
malentendus pour passer du sentiment amoureux (la relation) a l’état d’amour (le
couple).
L’amour de besoin: c’est lorsqu’on dit « je t’aime » et que cela veut dire « aime-
moi! ». C’est un amour qui va mettre l’autre à mon service
L’amour idéalisé: on ne voit pas la réalité des choses. On ne voit chez l’autre que
ses manques. Et la communication devient agressive.
Exemple: « regarde tout ce que j’ai fait pour toi » « regarde tout ce que tu n’as pas
fait pour moi! »
1. Attentes:
Il faut réactualiser les attentes de chacun car la femme ou l’homme rencontré à 20
ans n’est plus le ou la même à 40 ans. Cette écoute permet de ne pas tomber dans
le seuil d’intolérance de l’autre.
Exemples d’attentes différentes: « veux-tu faire la sieste cet après midi? » (sous
entendu: relation sexuelle)
« Non, je n’ai pas sommeil je vais te faire des pâtisseries »
4. Le rythme de l’autre:
Il est important de s’adapter au rythme de l’autre. Chaque partenaire a le droit
d’évoluer à son rythme.
5. Le territoire de l’autre:
Chacun doit respecter le territoire de l’autre afin d’assurer une liberté souhaitable.
4. La vie en couple:
Toute relation de couple s’appuie sur un système relationnel fondé sur deux
positions complémentaires.
Si l’on change de système, (moi je suis celle qui sait) l’autre peut ne pas supporter et
il y a alors une rupture du système relationnel.
La différenciation: Il faut savoir dire à l’autre qu’on est différent: « je n’ai pas les
mêmes désirs, je n’ai pas les mêmes pensées »
CONCLUSION
On peut dire que les malentendus, les souffrances cachées dans la communication
méritent d’être traités. D’autant plus qu’il existe une différence fondamentale entre
les hommes et les femmes.
1. HISTORIQUE ET RAPPELS:
Dans les années 1960, CAYCEDO se rend en Orient, plus précisément au Tibet,
pour y étudier les techniques d’approche du corps. Il prend rapidement conscience
de l’intérêt des approches corporelles car elles ont l’avantage de bénéficier de
l’expérience ancestrale.
Le transfert s’inscrit dans une relation où le patient situe le thérapeute par rapport à
ses représentations. Il est à la fois bienveillant, sécurisant, mais peut être menaçant
ou castrateur.
L’ « alliance sophronique » laisse l’initiative au sujet dans le sens d’une relation qui
se veut « adulte-adulte » et non pas « parent-enfant ».
La sophrologie par le biais de la RD peut donner les moyens de canaliser nos idées,
nos pulsions néfastes, nos forces, en énergies positives au service de valeurs
nouvelles qui soient le fondement d’une civilisation différente.
La sophrologie donne à l’individu les moyens d’une aventure intérieure pour s’éveiller
à de nouvelles possibilités d’être.
1. CARACTERISTIQUES DE LA METHODES
La méthode repose essentiellement sur une succession de gestes associés à des
exercices respiratoires entrecoupés de périodes de récupération détente.
2. SCHEMA CORPOREL
La RD1 est une pratique qui a pour objet de favoriser la « conscience qu’a
l’individu de son schéma corporel »
3. CONCENTRATION
Le premier degré mobilise essentiellement les capacités de « concentration »:
• Concentration sur les muscles mobilisés
• Concentration sur le vécu de la récupération
Il n’est pas toujours facile de vivre son corps d’une façon harmonieuse dès les
premières séances. C’est la raison pour laquelle, cette méthode nécessite un
entraînement régulier. Les tensions et blocages décelés lors des premières séances
doivent être analysés en collaboration avec le sophrologue: (Mécanismes de
défense, résistances, rigidité éducative, etc..)
4. LA SYMBOLIQUE CORPORELLE
Lors de l’entraînement, le sophrologue doit être sensible à la « symbolique
corporelle »:
• Tension au niveau du front: maîtrise intellectuelle trop importante,
• Tension dans les zones orales: communication verbale difficile, lieu du
plaisir oral, lieu de l’affectif.
• Tension dans la gorge: zone d’échange entre l’affectif-thorax et
l’intellectuel-tête,
• Tension dans le thorax: le cœur symbolise l’amour, la haine, la vie, la mort,
• Tension dans le plexus solaire: Difficultés au niveau de l’être profond, zone
du hara.
• Tension dans les jambes: Difficultés au niveau de l’instinctivo-moteur, zone
sexuelle, zone du sacré, du honteux.
SOPHRO-ATTENTION
(RD1A)
1. Neti-Crya :
Il s’agit de se nettoyer le nez avec de l’eau salée ou du sérum physiologique, à température
voisine de celle du corps. Cet exercice consiste à purifier les voies respiratoires et à faciliter
la concentration mentale.
2. Exercice du chauffage corporel
En position debout, le sophronisé inspire en gonflant le ventre en orientant la tête en arrière,
puis expire en rentrant le ventre et en penchant la tête en avant. Il le fait d’abord lentement,
puis plus rapidement. Il peut aussi faire l’exercice de « barattage abdominal » en inspirant
profondément, en retenant l’air et en favorisant le brassage abdominal par une activation du
ventre d’avant en arrière.
3. Exercice du Tratac : convergence des yeux.
Il s’agit de projeter le pouce en avant, de le fixer en le ramenant vers le centre du front, au
dessus du point de « glabelle », situé entre les deux arcades sourcilières. Lorsque le pouce
touche le front, on redescend le bras le long du corps. On fait l’exercice 3 fois, puis on laisse
les yeux se fermer jusqu’à la fin de la séance.
4. Sophronisation de base debout.
5. Exercice respiratoire n° 1
On lève lentement les bras dans un geste harmonieux pour que les pouces viennent bloquer
les narines. On retient l’air, puis on expire en se penchant en avant. On fait l’exercice 3
fois.
6. Exercice respiratoire n° 2
On lève lentement les bras pour conduire les mains près du visage. On bouche les oreilles
avec les pouces. On pose les index sur les paupières. On bloque les narines avec les médius.
On retient l’air, puis on expire en se penchant en avant. On fait l’exercice 3 fois.
7. Gestes du cou.
• On penche lentement le tête en avant puis en arrière en prenant conscience des muscles
du cou et des effets de ce mouvement.
• On regarde à gauche puis à droite comme pour dire « non ».
• On enchaîne par de larges mouvements circulaires avec la tête comme si elle suivait un
cercle imaginaire.
• On termine par une contraction des sterno-cléido-mastoïdiens, une dizaine de fois.
8. Exercice respiratoire n° 3 : pompage des épaules.
On inspire profondément. On retient l’air. On active les épaules de haut en bas d’une façon
énergique.
BIBLIOGRAPHIE :
• Jacques CORRAZE « Les communications non-verbales »
aux Editions PUF (Collection le psychologue)
• Pierre WEIL et Roland TOMPAKOV « Notre corps parle, le
langage silencieux de la communication non-verbale »
aux Editions courrier du livre
• Jacques Salomé « Si je m’écoutais, je m’entendrais »
aux Editions de l’Homme
• Jacques Salomé « Heureux qui communique » aux
éditions Intravision-Michel Levy Editeur.