Pré️sentation Principes comptables OHADA

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HISTORIQUE DE LA

COMPTABILITE
Antiquité

Italie – Mésopotamie - Egypte


1494 : La partie double
Moine franciscain : LUCA
PACIOLI : « la summa de
arithmetica, geometria,
proportioni et proportionalita » :
-le mémorial (brouillard ou main courante)
-le journal
-le grand-livre
1543 : La partie double
Commerçant originaire des
Pays-Bas : JAN YMPYN
EN FRANCE
1915 : Première classification rationnelle
des comptes d’actif et de passif
1947 : Premier plan comptable français
1957: Première révision et rajout des
dispositions relatives à la comptabilité
analytique
1973 : International Accounting
Standards Committee (IASC)
Créé par les organisations
comptables des USA, Canada,
Australie, Allemagne, France,
Japon, Mexique, Pays-Bas,
Royaume Uni et République
d’Irlande.
Aujourd’hui IASC :+100 pays
membres
1973 : International Accounting
Standards Committee (IASC)
Pleine et entière autonomie pour
établir des normes comptables
internationales et publier des
documents de discussion sur tous
les sujets de comptabilité
internationale
1977 : International Federation of
Accountants (IFAC)
Créé par les organisations
comptables professionnelles.
1982 : accord IASC et IFAC
International Federation of Accountants
(IFAC)
Objectifs: Développer et
renforcer la profession
comptable sur le plan mondial et
d’une manière coordonnée avec
des normes harmonisées
EN AFRIQUE
Avant indépendance : utilisation du plan comptable
français de 1957 dans les colonies
1970 : Plan OCAM
1976 : Plan comptable Sénégalais et
ivoirien
1993 (17/10) : Traité OHADA à Port-
Louis (Iles Maurice)
EN AFRIQUE
1994 : Dévaluation FCFA
création UEMOA
Mise en place SYSCOA
er
1 /01/ 1998 : entrée en vigueur
SYSCOA pour remplacer tous les
plans comptables disparates
EN AFRIQUE
24 mars 2000 : adoption par l’OHADA
de l’acte uniforme portant
organisation et harmonisation des
comptabilités des entreprises
2013: Décision de révision par le
Secrétariat Permanent et la Banque
mondiale
EN AFRIQUE
2017 le 26 janvier : adoption de la
révision de l’acte uniforme portant
organisation et harmonisation des
comptabilités des entreprises par le
Conseil des Ministres de l’OHADA
Nouvelle dénomination : « Acte
uniforme relatif au droit comptable et
à l’information financière (AUDCIF) »
CADRE CONCEPTUEL
(CONCEPTUAL FRAMWORK)
Chapitre 1- Définition et
principaux utilisateurs des
états financiers
Section 1- Définition et objectifs
du cadre conceptuel
1.1- Définition du cadre conceptuel

- Système cohérent d’objectifs et de principes


fondamentaux liés entre eux ayant pour objet
de donner une représentation utile de l’entité
pour les différents utilisateurs de
l’information financière

- Structure de référence théorique servant de


support et de guide à l’élaboration de normes
comptables
1.2- Objectifs du cadre conceptuel
- Elaborer des normes cohérentes pouvant faciliter la
production de données et d’états financiers
- Faciliter l’interprétation de normes comptables et
l’appréhension d’opérations ou d’événements non
explicitement prévus par la réglementation
comptable
- Aider les auditeurs à se faire une opinion sur la
conformité des états financiers avec les normes
d’information financière du système comptable
OHADA
Section 2- Les principaux
utilisateurs des états
financiers et leurs besoins
2.1- les dirigeants, les organes d’administration et de contrôle et les différentes
structures internes de l’entité

2.2- les fournisseurs de capitaux (investisseurs, banques et autres


prêteurs, institution d’émission et autres bailleurs de fonds

2.3- l’Etat, la centrale des bilans et autres institutions dotées de pouvoirs


de planification, de réglementation et de contrôle

2.4- les autres partenaires de l’entité tels que les assureurs, les
salariés, les fournisseurs ou les clients

2.5- les autres groupes d’intérêts, y compris le public de façon générale


Chapitre 2- Structure et
champ d’application du cadre
conceptuel
Section 1 - Structure du cadre conceptuel

-Niveau 1: définitions et les principaux utilisateurs


-Niveau 2 : Structure et champ du cadre conceptuel
-Niveau 3 : objectifs et principes de base des états financiers
-Niveau 4 : définitions des éléments et contenus des états financiers
-Niveau 5 : règles d’évaluation, de comptabilisation et de sortie des
éléments des états financiers ainsi que les concepts de capital et de
maintien du capital
Section 2 - Champ
d’application du cadre
conceptuel
Chapitre 3- Objectifs et
principes de base des états
financiers
Section 1 - Objectifs des
états financiers
Section 2 – Dispositif
comptable de base
Section 3 – Hypothèse sous-
jacente à la préparation des
états financiers
L’hypothèse sous-jacente à la préparation des états financiers

Les états financiers sont établis sur une base de


continuité d’exploitation, c’est-à-dire en
présumant que l’entité poursuivra ses activités
dans un avenir prévisible, à moins que des
événements ou des décisions survenus avant la
date de publication des comptes rendent probable
dans un avenir proche la liquidation ou la
cessation d’activité
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Section 4 - Principes
comptables fondamentaux
Une nouvelle notion apparaît : les postulats et la notion de
principe comptable renvoie désormais à des conventions
comptables
(A)-Les postulats permettent de définir le champ du modèle
comptable. Ce sont des principes acceptés sans démonstration
mais cohérents avec les objectifs fixés.

(B)-Les conventions comptables sont destinées à guider le


préparateur des comptes dans l’évaluation et la présentation des
éléments devant figurer dans les états financiers. Elles ont un
caractère de généralité moins grand que les postulats comptables
et peuvent varier d’un pays ou d’un espace géographique à un
autre.
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4.1 Les postulats

Pour bien les appréhender cinq postulats ont été retenus :


1. Postulat de l’entité
2. Postulat de la comptabilité d’engagement,
3. Postulat de la spécialisation des exercices
4. Postulat de la permanence des méthodes,
5. Postulat de la prééminence de la réalité économique sur l’apparence juridique.
Dans l’ancien dispositif, ces aspects n’étaient pas énoncés et certains renvoyaient seulement
à des principes comptables

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4.1.1. Postulat de l’entité

Il s’agit d’une hypothèse fondamentale portant sur la relation


entre d’une part, la personne morale ou le groupe et d’autre
part son ou ses propriétaire (exploitant, associés, actionnaires,
membre). Distinction claire entre personne morale,
propriétaire et partenaire.
La comptabilité financière est fondée sur la séparation entre
le patrimoine de l’entité et celui des propriétaires.
Une entité s’étend à toute organisation exerçant une activité
économique et qui contrôle et utilise des ressources
économique, Lorsqu’une entité (personne morale) contrôle
une ou plusieurs entités, l’ensemble forme un groupe qui doit
présenter des états financiers consolidés
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4.1.2. Postulat de la comptabilité d’engagement

Les effets des transactions et autres événement sont pris en


compte dès que ces transactions ou événements se produisent
et non pas au moment des encaissements ou des paiements.
Ils sont enregistrés dans les livres comptables et présentés dans
les états financiers des exercices auxquels ils se rattachent.
L’information financière ainsi établie, à l’exception de celle
contenue dans le tableau de flux de trésorerie et sous réserve
des dispositions spécifiques concernant du SMT, renseigne les
utilisateurs non seulement sur les transactions passées ayant
entraîné des flux de trésorerie, mais également sur les
obligations et autres événements entraînant des encaissements
et décaissements futurs.
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4.1.3. Postulat de la spécialisation des exercices

Prévu à l’article 59 de l’acte uniforme relatif au droit comptable et à l’information financière,


signifie que de la vie de l’entité étant découpée en périodes appelées exercices à l’issue
desquels sont publiés des états financiers annuels, il faut rattacher à chaque exercice tous
les produits et les charges qui le concernent (nés de l’activité de cet exercice), et ceux là
seulement.
D’une manière générale, lorsque des revenus sont comptabilisés au cours d’un exercice,
toutes les charges ayant concouru à la réalisation de ces revenus doivent être déterminées
et rattachées à ce même exercice
Ce raisonnement ne peut pas s’étendre à toute les charges car certaines ne peuvent être
rattachées à aucun produit déterminé et constituent des charges de période engendrant la
réduction d’actif ou de passif
Le respect de ce postulat est assuré par le biais de comptes de régularisation qui permettent
d’ajuster les produits et les charges dans le temps.

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4.1.4. Postulat de la permanence des méthodes
Rappelé par l’article 40 de l’acte uniforme relatif au droit comptable et à
l’information financière, ce postulat exige que les mêmes méthodes de
prise en compte, de mesure et de présentation soient utilisées par l’entité
d’une période à l’autre. En effet la comparabilité et la cohérence des
informations comptables au cours de période successives implique la
permanence des méthodes d’évaluation et de présentation
On peut y déroger si un changement exceptionnel intervient dans la
situation de l’entité ou dans le contexte économique, industriel ou
financiers et que le changement de méthodes fournit une meilleure
information financière compte tenu des évolutions intervenues
(information dans les notes annexes)

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4.1.5. Postulat de la prééminence de la réalité économique sur
l’apparence juridique

Selon ce postulat, pour que l’information financière représente d’un manière pertinente les
transactions et autres événements qu’elle vise à représenter, il est nécessaire qu’ils soient
enregistrés et présentés en accord avec leur substance et la réalité économique et non pas
seulement selon leur forme juridique.
Le SYSCOHADA opte pour une application limité de ce postulat comptable.
Il y a quatre applications et non cinq comme dans l’ancien référentiel :
1. Inscription à l’actif du bilan des biens détenus avec clause de réserve de propriété
(comme si l’entité était propriétaire)
2. l’actif du bilan du locataire de bien utilisés dans le cadre d’un contrat de location
acquisition (coté preneur) et d’une créance de location financement (côté bailleur). Ces
dispositions sont limités aux contrats de crédit bail, de location vente ou toute autre
contrat de location assortie d’une option d’achat que le preneur est raisonnablement
certain d’exercer.

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4.1.5. Postulat de la prééminence de la réalité économique sur
l’apparence juridique

3. Inscription à l’actif des effets remis à


l’escompte et non encore échus ou honorés
4. Inscription dans les charges de personnel
du personnel facturé par d’autres entités

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4.2. Conventions comptables ou principes comptables fondamentaux

1. Convention du coût historique

2. Convention de prudence

3. Convention de régularité et transparence

4. Convention de la correspondance bilan Clôture-Bilan Ouverture

5. Convention de l’importance significative

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4.2.1 Convention du coût historique

La convention comptable du coût historique consiste à comptabiliser les opérations sur la base
de la valeur nominale de la monnaie sans tenir compte des éventuelles variations de son
pouvoir d’achat.
Il repose sur la stabilité de l’unité monétaire qui doit permettre d’additionner des unités
monétaires de différentes périodes, sans dénaturer l’information comptable.
Les actifs sont comptabilisés pour le montant payé ou pour la valeur de la contrepartie qui a
été donnée pour les acquérir.
Les passifs sont comptabilisés pour le montant des produits reçus en échange de l’obligation
ou, du montant qu’on s’attend à verser pour éteindre le passif.
▪ Les actifs acquis à titre onéreux sont comptabilisés à leur coût d’acquisition
▪ Les actifs produits par l’entité sont comptabilisés à leur coût de production
▪ Les actifs acquis à titre gratuit sont comptabilisés à la valeur actuelle
▪ Les actifs acquis par voie d’échange sont comptabilisés à la valeur actuelle des actifs reçus,
sauf si cette valeur actuelle ne peut être estimée de façon fiable. Dans ce cas, les actifs sont
comptabilisés à la valeur actuelle des actifs donnés en échange.
39
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4.2.2 - Convention de prudence

La prudence est l’appréciation raisonnable des faits


dans les conditions d’incertitude afin d’éviter le risque
de transfert, sur l’avenir, d’incertitudes présentes
susceptibles de grever le patrimoine ou le résultat de
l’entité.
Les actifs et les produits ne doivent pas être surévalués
et les passifs et les charges ne doivent pas être sous-
évalués.
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4.2.3 – Convention de Régularité et transparence

Dans le droit comptable OHADA, cette convention a été affirmée dans les
articles 6, 8, 9, 10 et 11 de l’acte uniforme relatif au droit comptable et à
l’information financière.
Il faut inclure dans ce concept :

1. La conformité aux règles et procédures du système comptable


OHADA, au plan comptable et à ses terminologies et à ses
présentations d’états financiers (notion de régularité)

2. La présentation et la communication claire et loyale de l’information


sans intention de dissimuler la réalité derrière l’apparence
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4.2.3 – Convention de Régularité et transparence

3. Le respect de la règle de non-compensation, dont la non observation


entraînerait des confusions juridiques et économiques et fausserait
l’image que doivent donner les états financiers annuels.

Sont uniquement autorisées les compensations juridiquement fondées


(article 34 de l’AU), en vertu de la loi ou d’un contrat.

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4.2.4 – Convention de la correspondance bilan de clôture – bilan d’ouverture

Cette convention est rappelée à l’article 34 de l’AU relatif au droit


comptable et à l’information financière : « le bilan d’ouverture d’un
exercice doit correspondre au bilan de clôture de l’exercice précédent.
Cette convention, classique mais d’application délicate, a pour principale
conséquence que l’on ne peut imputer directement sur les capitaux
propres (à l’ouverture de l’exercice donc à la clôture de l’exercice
précédent):
-ni les incidences (gains ou pertes) des changements de méthode
comptable
-ni les produits et les charges relatifs à des exercices précédents qui
auraient été omis.
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4.2.4 – Convention de la correspondance bilan de clôture – bilan d’ouverture

Ces corrections doivent transiter par le compte de résultat du nouvel


exercice.
Dans le cadre du système comptable OHADA, il a été considéré qu’il
n’existait que deux cas d’imputation possible, directement sur les
capitaux propres sans « passer » par le compte de résultat :
- Celui d’incidence d’un changement de méthodes ayant un impact fort
significatif sur les états financiers ;
- Celui de la correction d’une erreur significative.

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4.2.5 – Convention de l’importance significative

Sont significatifs tous les éléments susceptibles


d’influencer le jugement que les destinataires des états
financiers peuvent porter sur le patrimoine, la situation
financière et le résultat de l’entité (article 33 AUDCIF).

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4.3 – Caractéristiques qualitatives d’une information
financière utile

Caractéristiques essentielles
Caractéristiques auxiliaires

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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.1-Pertinence
Une information financière est pertinente lorsqu’elle
permet d’influencer les prises de décision et tient
compte du besoin exprimé par un utilisateur légitime.
Pour cela, l’information doit avoir une valeur de
prédiction, de validation, ou des deux.

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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.1-Pertinence
-Valeur prédictive : si elle peut être utilisée comme
une donnée par les utilisateurs pour prédire les résultats
futurs.
-Valeur de confirmation (ou rétrodictive) : si elle
confirme ou modifie des évaluations précédentes.

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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.1-Pertinence
La valeur prédictive et la valeur de confirmation de
l’information financière sont interdépendantes.
L’information qui a une valeur prédictive a souvent
aussi une valeur de confirmation.
La pertinence s’appuie sur la convention de
l’importance significative.
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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.2-Fidélité
L’information financière donne une image fidèle quand
elle dépeint la substance économique de la transaction,
de l’événement ou des circonstances sous-jacents de
façon complète, et exempt d’erreurs significatives.

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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.2-Fidélité
-Représentation complète : elle comprend les
informations nécessaires à un utilisateur pour
comprendre les faits qui y sont présentés, y compris
toutes les évaluations nécessaires, les descriptions et
explications

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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.2-Fidélité
-Erreur significative : la fidélité ne signifie pas
l’exactitude à tous les égards.
L’image que l’on donne de cette estimation peut toutefois
être considérée comme idéale si le montant est décrit
clairement et si les limites du processus d’estimation sont
expliquées.
L’expression ‘exempt d’erreurs’’ signifie qu’il n’y a pas
d’erreurs ou d’omissions dans la représentation du
phénomène.
52
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4.3.1– Caractéristiques essentielles

4.3.1.1-Fidélité
-le concept d’image fidèle : pour le système comptable
OHADA il s’agit d’un objectif d’image fidèle et non de
l’image fidèle.
Image fidèle : application de bonne foi des règles et
procédures du Système comptable OHADA.
Toutefois dans le cas exceptionnel où l’application d’une
règle comptable se révèle impropre à donner une image
fidèle, il doit y être dérogé.
Motifs à donner dans les notes annexes 53
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4.3.2– Caractéristiques auxiliaires

4.3.2.1-Comparabilité
La comparabilité est la qualité de l’information qui
permet aux utilisateurs de relever les similitudes et les
différences entre les éléments. La comparabilité est le
but ; la cohérence et la permanence dans le choix ainsi
que dans l’application des méthodes comptables
permettent d’atteindre cet objectif
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4.3.1– Caractéristiques auxiliaires

4.3.2.2-Vérifiabilité
La vérifiabilité est la qualité de l’information financière qui
donne aux utilisateurs l’assurance que l’information reflète
l’image fidèle des phénomènes économiques décrits. La
vérifiabilité suppose que divers observateurs bien informés
et indépendants pourraient aboutir à un consensus sur la
fidélité de l’information.
Si impossible de vérifier certaines informations
prospectives : indiquer les hypothèses sous-jacentes et
méthodes d’évaluation
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4.3.1– Caractéristiques auxiliaires

4.3.2.3-Rapidité
Elle répond au besoin de rendre l’information
financière accessible aux décideurs avant qu’elle ne
perde sa capacité d’influencer leurs décisions.
Rendre plus rapidement accessible une information
pertinente peut accroître son influence.
Plus une information date moins elle est utile.
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4.3.1– Caractéristiques auxiliaires

4.3.2.4-Compréhensibilité
C’est la qualité de l’information financière qui permet
d’en comprendre la signification.
Elle se trouve accrue lorsque l’information est classée,
définie et présentée de façon claire et concise.
La comparabilité, la simplicité et la rigueur logique
peuvent également améliorer la compréhensibilité.
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Chapitre 4 – Définitions et
structure des états financiers
Section 1 – Définitions des
principaux postes des états
financiers
Section 1 – Structure des
états financiers
Chapitre 5 – Règles
d’évaluation et de
comptabilisation des éléments
des états financiers
Section 1 – Règles
d’évaluation des éléments des
états financiers
Section 2 – Règles de comptabilisation
et de décomptabilisation des éléments
des états financiers

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