mp4 lucot.docx

Télécharger au format docx, pdf ou txt
Télécharger au format docx, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 19

2.1.2. Expliquer les principaux processus écologique mobilisable dans la gestion des agroécosystème.

2.1.3. Proposer une schématisation du fonctionnement au regards des services attendus

2.2. Identifier et organiser les principaux leviers permettant d'agir sur le fonctionnement d'un
agroécosystème.

2.2.1. Identifier les leviers mobilisables

2.2.2. Réaliser une approche comparée concernant la mobilisation des leviers dans des logique de
conduite différentes.

3. Mobiliser des connaissance scientifiques et techniques relatives aux productions animales.

3.1. Relier le fonctionnement digestif des animaux d’élevage à l’utilisation des aliments disponibles.

3.1.1. Apprécier la composition des aliments du bétail

3.1.2. Comparer les mécanismes de la digestion entre espèces

3.1.3. Identifier les notions de dépenses, besoins et Apports recommandés

3.1.4. Présenter les caractéristiques d’une alimentation rationnelle

3.2. Mobiliser des connaissances scientifiques et techniques en vue de conduire la reproduction des
animaux d’élevage

3.2.1. Caractériser et comparer les appareils reproducteurs mâle et femelle

3.2.2. Exposer la physiologie de la reproduction et de la lactation

3.2.3. Justifier les techniques de conduite de la reproduction

3.3. Mobiliser les notions essentielles de l’amélioration génétique pour en comprendre les
démarches

3.3.1. Décrire l’hérédité des caractères non quantitatifs

3.3.2. Décrire l’hérédité des caractères quantitatifs

3.3.3. Présenter les notions et les démarches de l’amélioration génétique

3.3.4. Définir les notions de race pure et de croisements ; identifier les principaux types de
croisement et justifier leur utilisation

3.4. Mobiliser les connaissance scientifiques et techniques permettant de maintenir le troupeau en


bonne santé

3.4.1. Situer l’importance des problèmes sanitaires et leurs conséquences

3.4.2. Caractériser les notions de maladie de trouble sanitaire et de facteur de risque

3.4.3. Présenter les modes d’expression de la maladie et les moyens de défense de l’animal

3.4.4. Aborder la gestion de la santé en élevage

4. Proposer des améliorations dans le fonctionnement d'un agroécosystème permettant une gestion
durable des ressources communes
Obj. 3. Mobiliser des connaissances scientifiques et techniques relatives aux productions animales

Obj. 3.1. Relier le fonctionnement digestif des animaux d’élevage à l’utilisation des aliments
disponibles

Obj. 3.1.1. Apprécier la composition des aliments du bétail

Aliment

M. S

M. O M. M cendre
Glucide. Protide. Lipide. Vitamine
Tous les aliments sont constitués des même composants :eau ; MM ; Glucides ; lipides et de matière
grasse azotées (protides).

Par dessication de l’aliment on obtient un résidu sec appeler matière sèche. Durant la dessication
une certaine quantité d’eau est évaporée.

Si on calcine la matière sèche elle laisse un résidu sec appelé cendre ou matière minérales ;la masse
qui disparaît lors de la combustion de la Ms est appelée MO

On peut dire que : MO = MS – MM

Les composant de la MO sont des glucides des lipides et des protides ou M, A

A : les constituant glucidiques

On distingue deux grande catégories de glucides selon leur localisations dans la cellule végétale. Les
glucides cytoplasmiques ou intracellulaire et les glucides pariétaux qui constituent la paroi végétale
(appelée aussi paroi squelettique ou paroi cytoplasmique).

-les glucides intracellulaire

-les glucides pariétaux

les constituant azotés M. A. T ( matière azotés totale) représente les quantités de matière azotés
totale dans un aliment. Ces matières azotés sont surtout présente dans le cytoplasme des cellules
végétales. Ces MAT sont classées

MA protidique

MAT. Polypeptide

MA non protidique

Forme azotés simple ; amide : ammoniaque : nitrates

Nh4. No3

Les matière azotés protidique donnent par hydrolyse des A. A ( acide aminé)

Les matière azotées ont des rôles prépondérant pour l’organisme

Les M. A ( matière azotés) ont pour rôles :

- Les matière azotés ont pour rôles l’élaboration des protéines qui constituent l’organisme
- Les matières azotés permettent l’élaboration des protéines fonctionnelles
- Les matière azotés permettent de fournir de l’énergie

L’excés de MA dans l’alimentation entraine des rejets important d’azotes dans


l’environnement. Ces rejets sont évacués sous forme d’urine ou de fèces

Les lipides : les constituant lipidique sont présent dans les chloroplaste des cellules végétale sont
présent sous forme de triglycérides composé d’AG et surtout d’un rôle énergétique
3.1.2. La classification des aliments

La classification est utiliser en élevage pour

A : les fourrages

Ce sont des aliment d’origine végétale qui sont riche en fibre leur teneur en CB (Cellulose brut) dans
la matière sèche dépasse 60 %. Ils sont constitué le plus souvent par les plante entière mais surtout
par l’appareil aérien des plante fourragère spontané ou cultivé.

Les principaux fourrage se répartissent en trois grande famille végétale ( fabacée légumineuses,
poacées graminée, brassicacées crucifère)

Famille fabacée ; famille poacées ; famille des brassicacées

- Luzerne. -dactyle. -colza


- Trèfles. -fétuques -chou
- Sainfoin. -phleole -navet
- Vesce. -ray-gras
- Lautier. -brome
-céréales

On distingue selon le mode de conservation et la teneur en MS différent types de fourrage

A1 Les fourrage vert : ce sont les fourrage pâturé

A2 Les fourrage conservé par vois humide( l’ensillage l’enrubannage )

A3 les fourrages secs

- Les fourrage secs c’est la conservation par voie sèche

Une humidité de 16% est souhaitable pour assurer la stabilité des fourrages stockés .

-soit sur la parcelle . Le foin est ramassé en bottes ou en balles. Cette technique nécessite plusieurs
jours de beau temps. Les facteur naturels de déssication sont : la chaleurs,le vent, l’ensoleillement .

Il existe deux méthodes : le fanage et la déshydratation.

- A3.1 le fanage

Cette méthode permet d’obtenir du foin. Le taux de MS est de 85% environ , ce qui empêche ou
inhibe tout développement bactérien.

- A3.2 la déshydratation
Cette technique est appliquée à d’excellent fourrages en particuliers la luzerne et les pulpes de
betteraves qui sont très riches en eau
Le fourrage vert est haché puis désséché rapidement en le soumettant à de fortes température
(100°) durant un temps très faibles ( 30 seconde à 3 minutes ).
Après la déshydratation le produit est soumis à la granulation . ce conditionnement permet de limiter
les pertes et facilites la manutention et le stockage.
Cette technique est séduisante car elle permet de conserver la qualité originelles du fourrages vert et
de s’affranchir des mauvaises condition météorologique. Compte tenu des dépenses énergétique,
elle n’est pas agroécologiques et est très coûteuse.

B : les betteraves et tubercules


Les tubercules et les racines résultent de l’accumulation de réserves glucidiques dans les parties
souterraines des végétaux
Ces aliments sont caractérisés par leurs :
- Richesse en eau : 75% pour la pomme et 85 pour les betteraves fourragère
- Richesse en glucides, ils possèdent donc une bonne valeurs énergétique.
- Pauvreté en matière azotées.

C : les aliments concentrés


- C’est la base de l’alimentation des monogastriques.
Au contraire des fourrages. Les concentrés sont pauvres en ‘’fibres’’. Leurs teneurs en cellulose
brute dans la MS est inférieur à 15%.
Ils sont également pauvres en eau
Ils s’agit d’aliment riche en énergie et parfois également en Ma ( protéines )
Dans ce aliments on distingue :
- Des aliments concentré simples tel que les grains de ccéréales, les graines oléagineuses ou
proteagineuses.
- Des aliments concentrés composés, leur fabrication se réalises après moutures et mélanges
d’aliment simples come des céréales et le protéagineux. On les trouves sous formes de
granulés, poudres ou miettes. Ils deviennent des aliments complet à partir du moment où ils
sont mélanger avec des additifs. Ex les croquettes pour chien ou aliments pour porc.
Les différents aliment concentrés simples sont :
- C1 les céréales et leurs coproduit.
- C.1.1 les céréales

Elles représentent la principale matière première des aliments composée et par conséquent
l’aliment principales des monogastriques. Elles constituent un compléments énergétiques pour
les ruminants
Elle referment beaucoup de sucres solubles. L’amidon occupant une part importante de la MS :
de 44 à 72 % pour l’avoine et le mais.
Pour améliorer leur digestibilité, les grains sont broyés plus ou moins finement ou aplatis
Leur taux de MS est important ( 87 à 89% ) et sont riche en amidon ( 44 à 72% de la Ms ). Elles
sont plus facilement digestibles quand elle sont broyées ou aplatis.
- C1.2 les coproduits des céréales.
Ils proviennent essentiellement de la transformation du blé de meunerie, du maïs d’amidonnerie et
de l’orge de brasserie.
Les issues de blé sont constitués principalement par des fragments de l’enveloppe des grains de blé
et des particules de grains. Elles comprennent principalement les sons, les remoulages et les farines
basses. Ces issues ont une bonnes valeur énergétique.
Les drêches des brasseries, sont les résidus issus de la fabrication de la bière. Elles sont riches en eau
et ont une bonne valeur en matière azotées. Elles peuvent être commercialisées fraiches ou parfois
déshydratées.
- C.2. les graines protéagineuses et oléagineuses et leurs coproduits
- C.2.1.
Les graines protéagineuses sont produites par des fabacées. Ces graines sont riches en protéines et
elles contiennent parfois en proportion variables des MG et de L’amidon. Leurs valeur énergétique
est bonne, mais leur utilisation est limitée car elles sont à granuler et contiennent parfois des
alcaloïdes.
- C.2.2
Ce sont les graines de soja, colza et tournesol. Elles ont la particularités d’être riche en protéines
mais aussi en MG. Elle allient donc une bonne valeur protéiques et une forte valeur énergétique,
d’où leur appellation d’oléoprotéagineux.
Leur utilisation est toutefois limitée par l’importance de la coque entourant la graines ou par
l’existence de substance nocives. Des traitements technologiques permettent de réduire ces
handicaps.
- C.2.3 les tourteaux
Ce sont des coproduits d’huilerie, issus de l’extraction de l’huile des graines ou des fruits
oléoprotéagineux. Ils sont caractérisés par leur richesse et en MA
- D les aliments d’origine animale
- D.1 les farine animales
Depuis novembre 2000 et suite aux crises de l’ESB en France et dans le monde. Les farines animales
sont interdites dans l’alimentation des monogastriques et des ruminants.
Egalement appelée « la maladie de la vache folle » qui est une infection dégénérative du système
nerveux central de l’animal. C’est une maladie mortelle analogue à la tremblante des ovins et des
caprins, causée par un agent infectieux très particulier sur le plan moléculaire appelée protéines
Prion.
Les seules farines animales autorisées mais distribuées en faibles quantité sont les farines de
poissons issue de la pêches industrielle. Aliments destinés aux poissons d’élevage.
- D.2 les coproduits de la filière lait.
Ce sont des produits liquides et très riche en eau. Ils peuvent être conditionnés sous formes
préconcentré ou sèche.
Les plus utilisés sont le lactosérum appelé aussi « petit lait », résidus issus de la coagulation des
protéines du lait lors de la fabrication fromagère. Ils sont intéressant sur le plan alimentaire car ils
contiennent des A.A indispensables.
- E les autres coproduits
Ils sont issus de culture végétales et des industries agro-alimentaire. Ils sont souvent déséquilibré et
rentrent dans la ration que sous formes de compléments
- E.1 les coproduits des cultures végétales.
- E.1.1 les pailles.
Ce sont les sous produit de la récolte des grains de céréales. Elles sont constituées essentiellement
par des graines, les tiges et les limbes de la céréales. Ce sont des fourrages pauvres et leurs utilisation
nécessite une complémentation énergétique azotée, minérale et vitaminique. On peut y injecter de
l’ammoniac pour l’enrichir sur le plan azoté.
Les pailles d’élevages ont une forte valeur en lignine, elle sont difficilement digestible et présentent
une faible valeur énergétique et azotée. Elles sont surtout utilisés comme litière des animaux
d’élevages
- E1.2 les écarts de triages des fruits et des légumes
Ce sont des fruits et des légumes utilisés en frais qui ne satisfont pas au cahier des charges de la
commercialisation.
Ils sont riches en eau et ont une valeur énergétique correcte.
Les plus utilisés sont les pomme, poires et carottes.
- E2 les coproduits issus des industries agro-alimentaires.
Ce sont des produits issus de la meunerie, de l’huilerie, des industries sucrière et des conserverie.
On peut citer : le Marc de pomme provenant de la fabrication du jus de pommes, les pulpes
d’agrumes provenant aussi des jus, des coproduits de l’industrie de la pommes de terre.
- F- les additifs alimentaires, les CMV ( complément minéral vitaminisé ).
Les aliments des animaux

A les fourrages A2 les fourrages conservé


par voie humides

A1 les fourrages verts l'ensilage et l'enrubannage


B les betteraves et
Ce sont les fourrages A3 les fourrages secs tubercules
pâturé
c'est la conservation par voie sèche

A3.1 le fanage
A3.2 la déshydratation

C les aliments concentré


C1.1 les céréales C1 les céréale et les
coproduits C2 les graines
C1.2 les coproduits des protéagineuses et
céréales oléagineuses et leurs
C2.1 les graines
coproduits
protéagineuses

C2.2 les graines


C.2.3 les oléagineuse
tourteaux

D1 les farines animales D les aliments d’origine animales


E les autres coproduits
D2 les coproduits
E.1 le coproduits E2 les coproduits de la filière lait
des cultures issus des industries
végétales agro-alimentaires

F les additifs alimentaires, les CMV

E.1.1 les pailles

E.1.2 les écarts de triages des fruits


et des légumes
3.1.2 ; l’anatomie comparé des appareils digestif des animaux
d’élevage
A. l’appareil digestif des ruminants
A.1.la cavité buccale

Elle assure la préhension des aliments et la rumination ( mérycisme )


La langue est longue, très mobile et très musclée. Elle est recouverte d’une muqueuse sèche et
râpeuse qui permet la prise de l’herbe au pâturage
La denture est caractérise par l’absence d’incisive supérieur remplacé par un bourrelet de kératine
cartilagineux et de canines
La formule dentaire 0/4 i + 0/0 c + 3/3 pm + 3/3 m
Le condyle de l’articulation des mâchoires permet des mouvements verticaux et latéraux

A.2. L’œsophage

C’est un tube qui va du pharynx au cardia du rumen : en se rétrécissant, de ce fait un bovin peut
s’étouffer avec une pomme.

A.3. les 3 pré-estomacs

Ils occupent une grande partie de la cavité abdominale et représentent 70% de volume du tube
digestif. Ce sont la pense ou rumen, le bonnet ou réseau, le feuillet
Le rumen est la poche la plus volumineuse, il contient les ¾ du contenu digestif. Il est composé d’une
musculeuse qui divise le réservoir en deux sacs. Il est aussi équipé d’une muqueuse qui intervient
dans l’absorption des A.G.V ( acides. gras. volatile )
Le bonnet ou réseau est un petit réservoir qui présente des alvéoles. Ce petit réservoir permet
d’effectuer un tris des particules alimentaire
Le feuillet présente une muqueuse formée de lames, c’est le lieu de l’absorption de l’eau

A.4. la caillette

Elle correspond à l’estomac des monogastriques, sa muqueuse est sécrétrice de la présure qui
permet au lait de coaguler ( ce phénomène s’appelle le caillage ). Il existe une gouttière
œsophagienne qui a du cardia au feuillet chez les jeunes animaux ruminant recevant une
alimentation lactée, elle disparait au moment ou l’alimentation devient solide
Les réservoirs gastriques contiennent une population microbienne importante ( ~ 10 MD de bactérie
par ML ; ~ 5 millions de protozoaires par ML ; champignons

A.5. intestin grêles

L’intestin grêles est très long et comprend trois partie : le duodénum ; le jéjunum ; l’iléon. Cet
intestin est constitué d’une muqueuse sécrétrice composé de villosité. Ces villosité ont la
particularité de produire de produire du suc intestinal et de permettre l’absorption des nutriments

A.6. Le gros intestin

Comprend le caecum, le colon et le rectum. Le colon est divisé en plusieurs parties, les deux
principale étant le colon transverse et le colon descendant
Le gros intestin permet l’absorption de l’eau et des sels minéraux, on rencontre dans le caecum une
population microbienne qui permet une digestion biologique peu intense

L’entrée du rumen s’appelle le cardia et la sortie de la caillette se nomme le pylore


A.7. Le rectum, l’anus

C’est l’appareil d’excrétion des fèces.


Les pertes liées à la digestion :
 Gaz -> ( méthane ; Co2 )
 Urine -> ( azote sous forme durée )
 Fèces -> ( Cellulose imprégné de lignine ; M.A mesure l'efficacité de la digestion avec le
coefficient de digestibilité

B. l’appareil digestif du porc


L’appareil digestif du porc à beaucoup de point commun avec celui de l’Homme

B.1. La cavité buccale


La mâchoire du porc est puissante
La dentition est complète. La formule dentaire est : 3/3 i + 1/1 c + 4/4 pm + 3/3 m = 22/22 = 44 dent
La digestion mécanique effectue un broyage grossier et peu efficace : le porc est un glouton

B.2. l’œsophage
L’œsophage est un conduit relativement larges
B.3. l’estomac
L’estomac est peut développé par rapport aux ruminants il représente 30% du tube digestif c’est le
lieux d’une digestion chimique importante mais incomplète. Un suc est produit, c'est le suc gastrique.
Il n’y a pas de digestion biologique dans l’estomac du porc
( digestion chimique = digestion enzymatique )

B.4. L’intestin grêle


Est bien développé chez le porc, il représente 35 à 40 % du volume du tubes digestif. C’est le lieu
principal de la digestion enzymatique. On trouve des villosité qui produisent le suc gastrique, le foie y
déverse la bile qui permet de remonter le ph de l’estomac à 8. Le suc pancréatique
C’est le lieu de l’absorption des nutriments

B.5. Le gros intestin


Représente 35 à 40 % du volume du tube digestif. C’est le lieu d’absorption de l’eau. Il existe une
légère digestion chimique

B.6. Le caecum
Il s’y déroule une légère activité microbienne mais son efficacité est moins importante que celle des
ruminants

B.7. Le rectum
Idem ruminants

Conclusion du tubes digestif des ruminant et du porc :


- Pour les ruminants, le tube digestif a la capacité de réaliser une digestion biologique grâce a
la présence d’une flore microbienne importante et efficace
Les poli gastrique ruminants ont la capacité de dégrader la cellulose.
- Les porcs sont des monogastrique qui développe une digestion enzymatique ou chimique
intense qui se déroule dans l’estomac et l’intestin grêle ils n’ont pas la capacité a dégrader la
cellulose qui leur sert exclusivement au transit intestinal

C. l’appareil digestif du cheval

C.1. la cavité buccale


3/3 i + 1/1 c ou 0/0 c + 3/3 pm + 3/3 M = 36 male 40 femelle
Les canines pour le Male sont : les crochets
La dentition est adapté au régime herbivores
Cette dentition à une croissance prolongées au cour de la vie de l’animal. Sur le plan zootechnique,
lorsque le cheval ne reçoit pas assez d’aliments grossiers
l’usure des molaires est insuffisante il se forme alors des pointes d’email acérées sur le bord des
molaires et cela provoque des lacérations douloureuses de la langues et des joues internes. Ces
pointes porte le surnom de « surdents » et elle doivent être râpées régulièrement car elles gènes le
cheval et l’empêche de bien mastiquer. Le voiles du palais est très développé chez le cheval. La
déglutition ne pet se faire qu’avec des bols alimentaire finement broyés et imbibé de salive. Ce voiles
empêche le cheval de rejeter les aliments pour la bouche.

C.2. l’œsophage
C’est un conduit relativement long et étroit qui permet le passage du bol alimentaire vers l’estomac.
Cette particularité prédispose le cheval aux obstructions surtout Chez les chevaux gloutons qui ne
prennent pas le temps de mastiquer.
C.3. l’estomac
L’estomac du cheval sécrète un suc gastrique une enzyme pepsine et de l’aide chlorhydrique
Chez le cheval le cardia est très serré du fait de la présence d’un replis au niveau de la muqueuse
œsophagienne. Cette particularité explique que le vomissement soit pratiquement impossible.
Le faible brassage des aliments, l’impossibilité d’éructer et de vomir prédispose le cheval aux
indigestion et aux coliques ( parfois létale )
La taille de l’estomac à une influence sur sa vidange qui doit se réaliser en continu. L’éleveur équin
doit augmenter le nombre de repas par jour pour couvrir les besoins alimentaire du cheval ( de trois
à 6 repas ).

C.4. L’intestin
L’intestin est très développé et représente 90% de la capacité totales du tube digestif.
L’intestin est composé de 5 parties :
-l’intestin grêle
-le gros intestin
-le caecum
-le colon ascendant
-le colon descendant

-L’intestin grêle mesure 20 mètre il est composé du duodénum ; jujénum et de l’iléon


Cet intestin grêle est tapissé de villosité qui permettent la production et le sécrétion de suc intestinal
et de mucus
-Le gros intestin est de fortes capacité il est divisé en 4 parties fonctionnelle : le caecum ; le colon
ascendant ; le colon descendant ; le rectum
Le caecum est une poche en cul de sac d’une capacité de 30 L. il abrite une population microbienne
qui joue un rôle important dans la digestion biologique. De plus il permet le tri des particules
alimentaire
-le colon ascendant, on l’appelle aussi le colon replié. Il prédispose le cheval à de fréquentes coliques

D. l’appareil digestif du poulet


L’appareil digestif est dépourvu de dents. Le bec corné permet la préhension et la fragmentation des
aliments.
D.1.La cavité buccale
est équipé de glandes salivaires peu développées. Ces glandes produise une enzyme appeler
ptyaline. La cavité buccale est dépourvu de palais. La déglutition se fait par redressement de la tête.
L’œsophage contient un renflement appelé jabot, c’est un organe qui peut stocker, humecter et
ramolli les aliments
D.2. l’estomac
L’estomac comprend 2 parties :
- L’estomac chimique : le ventricule succenturié, capable de libérer de l’acide chloridryque et
de la pepsine (enzyme)
- L’estomac mécanique : le gésier, qui ne sécrète pas d’enzyme. Il est constitué de muscles
puissants et son PH interne est très acide, il peut contenir de petit gravier nécessaire à la
digestion des graines intactes

D.3. L’intestin grêle


Est un tube de 1,2 M qui reçoit les sécrétion du pancréas et du foie, il est équipé de glande
sécrétrices qui poursuivent la digestion chimique.

D.4. Le gros intestin


Il est peu développé et se réduis à deux caecum ( deux poches ) où ont lieux des fermentation
bactérienne. Après un court rectum on trouve le cloaque, on trouve un carrefour des voie génitale,
urinaire et intestinale

Le poulet à quelques particularités digestive :


- Dans la cavité buccale la ptyaline commence à dégrader L’amidon
- Le jabot sécrète un mucus et participe au transit alimentaire, il joue le rôle d’une pompe
- Le ventricule succenturié réalise une protéolyse (destruction des bactéries) incomplète grâce
à l’aide chloridryque
- Le gésier permet de broyer les graines et poursuit la protéolyse
- L’intestin grêle c’est le principal lieu de la digestion chimique sous l’action des enzymes
intestinales et pancréatiques
- Le caecum est le siège de fermentations bactériennes secondaires. C’est le lieu de la
synthèse de la vitamine b, de l’absorption de l’eau et des sels minéraux

D.5. Le cloaque

Le cloaque est en forme de canal, celui-ci et en jonction qui permet le recuille des feces solide et de
l’urine.
Il permet :
- La reproduction quand c’est un orifice génital
- La sortie des œufs
- L’évacuation des urines
- L’évacuation des feces
Ce cloaque ce terminé par le sphincter anal.

3.1.3 comparaison des digestions des différents espèces


Digestions des ruminants :
- La digestion mécanique chez les ruminants est intense car les aliments subissent une double
mastication (merycisme ou rumination)
- La digestion prépondérante reste la digestion biologique. Les ruminants sont équipés d’une
grande cuve de fermentation : la pense ou rumen. Ce grand réservoir comporte une grande
flores microbiennes. La digestion biologique est donc très intense chez les ruminants.
- Grâce à la flore microbienne et a la digestion biologique les ruminants sont capable de
dégrader la cellulose.
La digestion des monogastriques, comme le porc :
- La digestion prépondérante et la digestion chimique, les monogastriques sont équipés de
nombreuses glandes riche en enzymes, cette digestion chimique est très utilisé pour
dégrader les protéine végétale ou animale.

La digestion des herbivores non ruminants :

- La principales digestion des équins est la digestion biologique mais la digestion chimique
reste relativement efficace comme les ruminants. Les chevaux ont la capacités de dégrader la
cellulose
Chez les gallinacés la digestion mécanique se situe au niveau du gésier. La digestion prépondérante
est la digestion chimique comme le porc.
3.1.4 la digestibilité des aliments
Introduction : les aliments ingérés par les animaux ne sont pas absorbés en totalité, une partie des
ingesta (I) (aliments ingérés) Se retrouve dans les feces (F).
L’utilisation digestives des aliments est caractérisé par leurs digestibilité.

1. Définition de la digestibilité
1.1. Définition de la digestibilité apparente ( DA )
La DA est la proportion I-F / I d’aliments qui disparaît apparemment dans le tubes digestif.
Dans ce calculs la digestibilité est toujours inférieurs à 1, elle peut s’appliquer à tout les aliments qui
composent une ration, comme elle peut s’appliquer à tout les composants de la ration.
Le Coefficient d’utilisation digestive (CUD) il mesure la proportion d’aliment assimilé dans
l’organisme. Il est en pourcentage et exprime la digestibilité d’un aliment.
Il existe aussi la digestibilité réelle. Les feces sur le plan biologique ont 2 origine :
- Les aliments ingérés non digérer
- Les substances andogènes (mucus)
Les cellules mortes du tube digestif.
La digestibilité peut être mesure de 3 façon :
- In Vivo
- In vitro
2. Les facteurs de variation de la digestibilité
Les facteurs de variation sont :
- Le stade du végétal (les feuilles sont plus digestible que la tige)
- L’espèce animal (une vache digérée mieux qu’un cheval)
- Le mode de conservation du fourrage. (Le foin a une digestibilité inférieure à l’ensilage)
- La composition de la ration et sont rythme de distribution. (L’ajout de concentré énergétique
a une ration constituer de fourrage augmente sa digestibilité)
3.1.5 l’alimentation énergétique.
Introduction :
Il existe 2 types de dépense :
- La dépense d’entretien, se sont les dépenses qui sont liées au bon fonctionnement de
l’organisme (respiration, circulation sanguine, renouvellement cellulaire, digestion…)
- La dépense de production, production de lait, production de fœtus, le travail.
- La dépense totale étant égal à la dépense d’entretien + la dépense de production = ala
dépense total de l’animal. (Un animal tarrie est en dépense d’entretien alors qu’un animal en
lactation cumul les 2 dépense celle de production + d’entretien.
Métabolisme :
- Anabolisme « construit »
- Catabolisme « détruit » (digestion) (respiration)
Les activités de l’organisme sont a l’origine d’une dépense ou d’un besoin en élément nutritifs
- Eau
- Énergie
- Protéine
- Vitamine
- Minéraux
Transporter aux cellules après leurs absorption les nutriments joue différents rôles :
1) Rôle énergétique ou dynamique
2) Rôle plastique.
3) Rôle physiologique fonctionnel

A) Les dépenses énergétiques des animaux.


Cette dépense énergétique correspond à 3 sous dépenses :
- La dépense énergétique d’entretien
Elle correspond à l’énergie dépensée par métabolisme de base et l’énergie nécessaire au maintien du
poids de l’animal dans les conditions de vie normal.
Métabolisme de base = fonction vitales

B) La dépense énergétique de production


Elle correspond à l’énergie contenue a la production ou dans les produits séparer
Depense de lactation. 5,5xproteines en gr +9,4x lipide en gr + 4,1 x glucides en gr
La dépense de croissance
La dépense de gestion
Cest la fixation de lenergie par le fœtus, le placenta, la parois utérine et la mamelle
C) La dépense d’extras chaleur
- et la digestion des aliments
- Utilisation métaboliques des aliments
L’utilisation des aliments par les animaux s’accompagnea de nombreuses transformation dans
l’appareil digestif, puis dans les tissus et les cellules. Les composants organique sont dégrader
progressivement et chaque étape entraîne des pertes organiques et calorifiques
(EB) énergie contenue dans les aliments : cette énergie est exprimé en Kcal. Chaque composant
organique contient de l’énergie ( Glucide ; lipide ; protides )
1g de lipide contient 9,4 Kcal ; 1g de protide contient 5,5 Kcal ; 1g de Glucide contient 4,1 Kcal
Par exemple :
- 1Kg de foin en moyenne est composé de 700g de Glucide ; 151g de protide et 30g de lipide.
Qui est égal à 3 977 Kcal.
- 1Kg d’orge en moyenne est composé de 750g de glucide ; 100g de protide et 20g de lipide.
Qui est égal à 3 813 Kcal.
Les aliments dans l’ensemble sont très énergétique mais cette énergie n’est pas toujours accessible
aux cellules avant que cette énergie brute soit disponible plusieurs étapes ont lieu :
Les aliments dans l’ensemble sont très énergétique mais cette énergie n’est pas tjr accessible au
cellules.
Avant que cette énergie doit disponible pour la cellule, différentes étapes on lieux :
- La digestion
- La modification crée par le métabolisme de l’animal
- l’utilisation par la Cellule.
L’énergie ingéré (EB) pair énergie contenu dans le feces.
Énergie net
Une partie seulement de l’énergie métabolisable est utilisé par les cellules. Cette énergie contribue à
couvrir les 2types de dépenses :
- Dépense d’entretien
- Dépenses de distribution
Une partie est dissipé sous forme de chaleur sa sappel lextrat chaleur

Le mode d’expression le mode d’expression de l’énergie dans les rations


Le mode d’expression différe pour tout les espèces animales, la valeur énergétique des aliments
distribuer exprimée dans le même système d’unité. Certain système d’expression utilise l’énergie
métabolisable et certain système d’énergie net. Pour les ruminants les cheveux et parfois les porc on
utilise le système Basé sur l’énergie net.
Le système utilisé pour les ruminants UFL-UFV
Unité fourrager lait – viande
Le système UFL c’est la quantité d’énergie net contenu dans un kilo d’orge de référence distribuer à
une femelle laitière. 1 UFL =1700 KCAL d’énergie nette.
Se système est utilisé pour le bovin caprin ovin en lactation, en gestation ou tarrie, pour les animaux
ayant une croissance modérée
Système UFV c’est la quantité d’énergie nette fourni par 1kg d’orge de référence pour l’entretienet
l’engraissement pour un animal en croissance.
- Pour les chevaux
On utilise le système UFC = unité fourragère cheval
Énergie nette contenu dans 1 kg d’orge de référence
1 UFC= 2250kcal
- Pour !e porc
Énergie nette exprimer en kcal ou en kj
3.1.6
Alimentation protéique ou azoté
L’élément de base des MA (protéines) A.A
- Substances plastiques, élaboration de protéines qui constitue l’organisme .
- Élaboration protéines fonctionnelles
- Fournitures énergétique
Les différentes dépenses azotées :
La quarence et l’excès de ma dans laliment des animaux présente parfois des risques graves :
- Diminution de l’appétit et des performances
Gmq : mesure de la croissance : gain moyen quotidien : grammes/jours
IC : indice de consommation
- L’excès de viande favorise les états congestifs
3.1.6 l’alimentation azotés ou protéique
Les dépenses azotées
La couverture des dépenses azotées
A partir des A.A absorbé dans l’intestin, l’animal (monogastrique ou polygastrique) fabrique ses
propres protéines.
C.A.A sont issus :
- des protéines alimentaire
-

Il existe 20 types d’acides aminés différent


- Acide aminé banale que l’on trouve dans la ration
- Acide aminé essentiel que l’on trouve pas dans la ration
Certain de ses acides aminés peuvent être synthétisé a partir d’autre A.A essentiel (transamination)
les protéines de l’animal sont fabriquer a partir de ces deux catégories d'acides aminés.
Ses protéines sont fabriquées dans les cellules en présence d’énergie. lenergie peux être un facteur
Pour la protéosynthèses. Dans certains cas les performances de l’animal chutent.

L’utilisation des matière azotés alimentaire


Les matières azotées ne sont que partiellement par l’animal. Les rejets azotés contenus dans les
déjections correspondent à la fraction d’azote alimentaire non utilisées par l’animal.
Les 2 voies principales délimitation de cette azote non utilisé sont :
- Les urines
- La voie fécale

Vous aimerez peut-être aussi

pFad - Phonifier reborn

Pfad - The Proxy pFad of © 2024 Garber Painting. All rights reserved.

Note: This service is not intended for secure transactions such as banking, social media, email, or purchasing. Use at your own risk. We assume no liability whatsoever for broken pages.


Alternative Proxies:

Alternative Proxy

pFad Proxy

pFad v3 Proxy

pFad v4 Proxy