mp4 lucot.docx
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2.2. Identifier et organiser les principaux leviers permettant d'agir sur le fonctionnement d'un
agroécosystème.
2.2.2. Réaliser une approche comparée concernant la mobilisation des leviers dans des logique de
conduite différentes.
3.1. Relier le fonctionnement digestif des animaux d’élevage à l’utilisation des aliments disponibles.
3.2. Mobiliser des connaissances scientifiques et techniques en vue de conduire la reproduction des
animaux d’élevage
3.3. Mobiliser les notions essentielles de l’amélioration génétique pour en comprendre les
démarches
3.3.4. Définir les notions de race pure et de croisements ; identifier les principaux types de
croisement et justifier leur utilisation
3.4.3. Présenter les modes d’expression de la maladie et les moyens de défense de l’animal
4. Proposer des améliorations dans le fonctionnement d'un agroécosystème permettant une gestion
durable des ressources communes
Obj. 3. Mobiliser des connaissances scientifiques et techniques relatives aux productions animales
Obj. 3.1. Relier le fonctionnement digestif des animaux d’élevage à l’utilisation des aliments
disponibles
Aliment
M. S
M. O M. M cendre
Glucide. Protide. Lipide. Vitamine
Tous les aliments sont constitués des même composants :eau ; MM ; Glucides ; lipides et de matière
grasse azotées (protides).
Par dessication de l’aliment on obtient un résidu sec appeler matière sèche. Durant la dessication
une certaine quantité d’eau est évaporée.
Si on calcine la matière sèche elle laisse un résidu sec appelé cendre ou matière minérales ;la masse
qui disparaît lors de la combustion de la Ms est appelée MO
On distingue deux grande catégories de glucides selon leur localisations dans la cellule végétale. Les
glucides cytoplasmiques ou intracellulaire et les glucides pariétaux qui constituent la paroi végétale
(appelée aussi paroi squelettique ou paroi cytoplasmique).
les constituant azotés M. A. T ( matière azotés totale) représente les quantités de matière azotés
totale dans un aliment. Ces matières azotés sont surtout présente dans le cytoplasme des cellules
végétales. Ces MAT sont classées
MA protidique
MAT. Polypeptide
MA non protidique
Nh4. No3
Les matière azotés protidique donnent par hydrolyse des A. A ( acide aminé)
- Les matière azotés ont pour rôles l’élaboration des protéines qui constituent l’organisme
- Les matières azotés permettent l’élaboration des protéines fonctionnelles
- Les matière azotés permettent de fournir de l’énergie
Les lipides : les constituant lipidique sont présent dans les chloroplaste des cellules végétale sont
présent sous forme de triglycérides composé d’AG et surtout d’un rôle énergétique
3.1.2. La classification des aliments
A : les fourrages
Ce sont des aliment d’origine végétale qui sont riche en fibre leur teneur en CB (Cellulose brut) dans
la matière sèche dépasse 60 %. Ils sont constitué le plus souvent par les plante entière mais surtout
par l’appareil aérien des plante fourragère spontané ou cultivé.
Les principaux fourrage se répartissent en trois grande famille végétale ( fabacée légumineuses,
poacées graminée, brassicacées crucifère)
Une humidité de 16% est souhaitable pour assurer la stabilité des fourrages stockés .
-soit sur la parcelle . Le foin est ramassé en bottes ou en balles. Cette technique nécessite plusieurs
jours de beau temps. Les facteur naturels de déssication sont : la chaleurs,le vent, l’ensoleillement .
- A3.1 le fanage
Cette méthode permet d’obtenir du foin. Le taux de MS est de 85% environ , ce qui empêche ou
inhibe tout développement bactérien.
- A3.2 la déshydratation
Cette technique est appliquée à d’excellent fourrages en particuliers la luzerne et les pulpes de
betteraves qui sont très riches en eau
Le fourrage vert est haché puis désséché rapidement en le soumettant à de fortes température
(100°) durant un temps très faibles ( 30 seconde à 3 minutes ).
Après la déshydratation le produit est soumis à la granulation . ce conditionnement permet de limiter
les pertes et facilites la manutention et le stockage.
Cette technique est séduisante car elle permet de conserver la qualité originelles du fourrages vert et
de s’affranchir des mauvaises condition météorologique. Compte tenu des dépenses énergétique,
elle n’est pas agroécologiques et est très coûteuse.
Elles représentent la principale matière première des aliments composée et par conséquent
l’aliment principales des monogastriques. Elles constituent un compléments énergétiques pour
les ruminants
Elle referment beaucoup de sucres solubles. L’amidon occupant une part importante de la MS :
de 44 à 72 % pour l’avoine et le mais.
Pour améliorer leur digestibilité, les grains sont broyés plus ou moins finement ou aplatis
Leur taux de MS est important ( 87 à 89% ) et sont riche en amidon ( 44 à 72% de la Ms ). Elles
sont plus facilement digestibles quand elle sont broyées ou aplatis.
- C1.2 les coproduits des céréales.
Ils proviennent essentiellement de la transformation du blé de meunerie, du maïs d’amidonnerie et
de l’orge de brasserie.
Les issues de blé sont constitués principalement par des fragments de l’enveloppe des grains de blé
et des particules de grains. Elles comprennent principalement les sons, les remoulages et les farines
basses. Ces issues ont une bonnes valeur énergétique.
Les drêches des brasseries, sont les résidus issus de la fabrication de la bière. Elles sont riches en eau
et ont une bonne valeur en matière azotées. Elles peuvent être commercialisées fraiches ou parfois
déshydratées.
- C.2. les graines protéagineuses et oléagineuses et leurs coproduits
- C.2.1.
Les graines protéagineuses sont produites par des fabacées. Ces graines sont riches en protéines et
elles contiennent parfois en proportion variables des MG et de L’amidon. Leurs valeur énergétique
est bonne, mais leur utilisation est limitée car elles sont à granuler et contiennent parfois des
alcaloïdes.
- C.2.2
Ce sont les graines de soja, colza et tournesol. Elles ont la particularités d’être riche en protéines
mais aussi en MG. Elle allient donc une bonne valeur protéiques et une forte valeur énergétique,
d’où leur appellation d’oléoprotéagineux.
Leur utilisation est toutefois limitée par l’importance de la coque entourant la graines ou par
l’existence de substance nocives. Des traitements technologiques permettent de réduire ces
handicaps.
- C.2.3 les tourteaux
Ce sont des coproduits d’huilerie, issus de l’extraction de l’huile des graines ou des fruits
oléoprotéagineux. Ils sont caractérisés par leur richesse et en MA
- D les aliments d’origine animale
- D.1 les farine animales
Depuis novembre 2000 et suite aux crises de l’ESB en France et dans le monde. Les farines animales
sont interdites dans l’alimentation des monogastriques et des ruminants.
Egalement appelée « la maladie de la vache folle » qui est une infection dégénérative du système
nerveux central de l’animal. C’est une maladie mortelle analogue à la tremblante des ovins et des
caprins, causée par un agent infectieux très particulier sur le plan moléculaire appelée protéines
Prion.
Les seules farines animales autorisées mais distribuées en faibles quantité sont les farines de
poissons issue de la pêches industrielle. Aliments destinés aux poissons d’élevage.
- D.2 les coproduits de la filière lait.
Ce sont des produits liquides et très riche en eau. Ils peuvent être conditionnés sous formes
préconcentré ou sèche.
Les plus utilisés sont le lactosérum appelé aussi « petit lait », résidus issus de la coagulation des
protéines du lait lors de la fabrication fromagère. Ils sont intéressant sur le plan alimentaire car ils
contiennent des A.A indispensables.
- E les autres coproduits
Ils sont issus de culture végétales et des industries agro-alimentaire. Ils sont souvent déséquilibré et
rentrent dans la ration que sous formes de compléments
- E.1 les coproduits des cultures végétales.
- E.1.1 les pailles.
Ce sont les sous produit de la récolte des grains de céréales. Elles sont constituées essentiellement
par des graines, les tiges et les limbes de la céréales. Ce sont des fourrages pauvres et leurs utilisation
nécessite une complémentation énergétique azotée, minérale et vitaminique. On peut y injecter de
l’ammoniac pour l’enrichir sur le plan azoté.
Les pailles d’élevages ont une forte valeur en lignine, elle sont difficilement digestible et présentent
une faible valeur énergétique et azotée. Elles sont surtout utilisés comme litière des animaux
d’élevages
- E1.2 les écarts de triages des fruits et des légumes
Ce sont des fruits et des légumes utilisés en frais qui ne satisfont pas au cahier des charges de la
commercialisation.
Ils sont riches en eau et ont une valeur énergétique correcte.
Les plus utilisés sont les pomme, poires et carottes.
- E2 les coproduits issus des industries agro-alimentaires.
Ce sont des produits issus de la meunerie, de l’huilerie, des industries sucrière et des conserverie.
On peut citer : le Marc de pomme provenant de la fabrication du jus de pommes, les pulpes
d’agrumes provenant aussi des jus, des coproduits de l’industrie de la pommes de terre.
- F- les additifs alimentaires, les CMV ( complément minéral vitaminisé ).
Les aliments des animaux
A3.1 le fanage
A3.2 la déshydratation
A.2. L’œsophage
C’est un tube qui va du pharynx au cardia du rumen : en se rétrécissant, de ce fait un bovin peut
s’étouffer avec une pomme.
Ils occupent une grande partie de la cavité abdominale et représentent 70% de volume du tube
digestif. Ce sont la pense ou rumen, le bonnet ou réseau, le feuillet
Le rumen est la poche la plus volumineuse, il contient les ¾ du contenu digestif. Il est composé d’une
musculeuse qui divise le réservoir en deux sacs. Il est aussi équipé d’une muqueuse qui intervient
dans l’absorption des A.G.V ( acides. gras. volatile )
Le bonnet ou réseau est un petit réservoir qui présente des alvéoles. Ce petit réservoir permet
d’effectuer un tris des particules alimentaire
Le feuillet présente une muqueuse formée de lames, c’est le lieu de l’absorption de l’eau
A.4. la caillette
Elle correspond à l’estomac des monogastriques, sa muqueuse est sécrétrice de la présure qui
permet au lait de coaguler ( ce phénomène s’appelle le caillage ). Il existe une gouttière
œsophagienne qui a du cardia au feuillet chez les jeunes animaux ruminant recevant une
alimentation lactée, elle disparait au moment ou l’alimentation devient solide
Les réservoirs gastriques contiennent une population microbienne importante ( ~ 10 MD de bactérie
par ML ; ~ 5 millions de protozoaires par ML ; champignons
L’intestin grêles est très long et comprend trois partie : le duodénum ; le jéjunum ; l’iléon. Cet
intestin est constitué d’une muqueuse sécrétrice composé de villosité. Ces villosité ont la
particularité de produire de produire du suc intestinal et de permettre l’absorption des nutriments
Comprend le caecum, le colon et le rectum. Le colon est divisé en plusieurs parties, les deux
principale étant le colon transverse et le colon descendant
Le gros intestin permet l’absorption de l’eau et des sels minéraux, on rencontre dans le caecum une
population microbienne qui permet une digestion biologique peu intense
B.2. l’œsophage
L’œsophage est un conduit relativement larges
B.3. l’estomac
L’estomac est peut développé par rapport aux ruminants il représente 30% du tube digestif c’est le
lieux d’une digestion chimique importante mais incomplète. Un suc est produit, c'est le suc gastrique.
Il n’y a pas de digestion biologique dans l’estomac du porc
( digestion chimique = digestion enzymatique )
B.6. Le caecum
Il s’y déroule une légère activité microbienne mais son efficacité est moins importante que celle des
ruminants
B.7. Le rectum
Idem ruminants
C.2. l’œsophage
C’est un conduit relativement long et étroit qui permet le passage du bol alimentaire vers l’estomac.
Cette particularité prédispose le cheval aux obstructions surtout Chez les chevaux gloutons qui ne
prennent pas le temps de mastiquer.
C.3. l’estomac
L’estomac du cheval sécrète un suc gastrique une enzyme pepsine et de l’aide chlorhydrique
Chez le cheval le cardia est très serré du fait de la présence d’un replis au niveau de la muqueuse
œsophagienne. Cette particularité explique que le vomissement soit pratiquement impossible.
Le faible brassage des aliments, l’impossibilité d’éructer et de vomir prédispose le cheval aux
indigestion et aux coliques ( parfois létale )
La taille de l’estomac à une influence sur sa vidange qui doit se réaliser en continu. L’éleveur équin
doit augmenter le nombre de repas par jour pour couvrir les besoins alimentaire du cheval ( de trois
à 6 repas ).
C.4. L’intestin
L’intestin est très développé et représente 90% de la capacité totales du tube digestif.
L’intestin est composé de 5 parties :
-l’intestin grêle
-le gros intestin
-le caecum
-le colon ascendant
-le colon descendant
D.5. Le cloaque
Le cloaque est en forme de canal, celui-ci et en jonction qui permet le recuille des feces solide et de
l’urine.
Il permet :
- La reproduction quand c’est un orifice génital
- La sortie des œufs
- L’évacuation des urines
- L’évacuation des feces
Ce cloaque ce terminé par le sphincter anal.
- La principales digestion des équins est la digestion biologique mais la digestion chimique
reste relativement efficace comme les ruminants. Les chevaux ont la capacités de dégrader la
cellulose
Chez les gallinacés la digestion mécanique se situe au niveau du gésier. La digestion prépondérante
est la digestion chimique comme le porc.
3.1.4 la digestibilité des aliments
Introduction : les aliments ingérés par les animaux ne sont pas absorbés en totalité, une partie des
ingesta (I) (aliments ingérés) Se retrouve dans les feces (F).
L’utilisation digestives des aliments est caractérisé par leurs digestibilité.
1. Définition de la digestibilité
1.1. Définition de la digestibilité apparente ( DA )
La DA est la proportion I-F / I d’aliments qui disparaît apparemment dans le tubes digestif.
Dans ce calculs la digestibilité est toujours inférieurs à 1, elle peut s’appliquer à tout les aliments qui
composent une ration, comme elle peut s’appliquer à tout les composants de la ration.
Le Coefficient d’utilisation digestive (CUD) il mesure la proportion d’aliment assimilé dans
l’organisme. Il est en pourcentage et exprime la digestibilité d’un aliment.
Il existe aussi la digestibilité réelle. Les feces sur le plan biologique ont 2 origine :
- Les aliments ingérés non digérer
- Les substances andogènes (mucus)
Les cellules mortes du tube digestif.
La digestibilité peut être mesure de 3 façon :
- In Vivo
- In vitro
2. Les facteurs de variation de la digestibilité
Les facteurs de variation sont :
- Le stade du végétal (les feuilles sont plus digestible que la tige)
- L’espèce animal (une vache digérée mieux qu’un cheval)
- Le mode de conservation du fourrage. (Le foin a une digestibilité inférieure à l’ensilage)
- La composition de la ration et sont rythme de distribution. (L’ajout de concentré énergétique
a une ration constituer de fourrage augmente sa digestibilité)
3.1.5 l’alimentation énergétique.
Introduction :
Il existe 2 types de dépense :
- La dépense d’entretien, se sont les dépenses qui sont liées au bon fonctionnement de
l’organisme (respiration, circulation sanguine, renouvellement cellulaire, digestion…)
- La dépense de production, production de lait, production de fœtus, le travail.
- La dépense totale étant égal à la dépense d’entretien + la dépense de production = ala
dépense total de l’animal. (Un animal tarrie est en dépense d’entretien alors qu’un animal en
lactation cumul les 2 dépense celle de production + d’entretien.
Métabolisme :
- Anabolisme « construit »
- Catabolisme « détruit » (digestion) (respiration)
Les activités de l’organisme sont a l’origine d’une dépense ou d’un besoin en élément nutritifs
- Eau
- Énergie
- Protéine
- Vitamine
- Minéraux
Transporter aux cellules après leurs absorption les nutriments joue différents rôles :
1) Rôle énergétique ou dynamique
2) Rôle plastique.
3) Rôle physiologique fonctionnel