FMOS
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Supérieur et de la Recherche Un peupleUnButUne Foi
Scientifique
(FMOS)
UNIVERSITÉ DES SCIENCES, DES TECHNIQUESET DES TECHNOLOGIES DE BAMAKO
LASSANA KONATE
(DIPLOME D’ÉTAT)
Chère Maître,
C’est un grand honneur que vous nous faites en acceptant de présider ce Jury de
thèse malgré vos multiples et importantes occupations.
Soyez rassurés de notre profonde gratitude. Nous vous remercions pour l’intérêt
que vous avez immédiatement porté à ce travail.
Cher Maître,
Merci de nous avoir fait partager votre expérience dans la bonne humeur et de
nous avoir permis de faire le bon choix.
Pr Bourama KANE
Cher maitre
C’est une chance pour nous de vous compter parmi les membres de ce jury
malgré vos multiples occupations.
Nous avons été impressionnés par votre qualité d’humanisme, votre disponibilité
et votre simplicité.
Cher Maître,
Nous ne cesserons jamais de vous remercier pour la confiance que vous aviez
placée en nous, pour effectuer ce travail.
Vous nous avez impressionnés tout au long de ces années d’apprentissage, par la
pédagogie, l’humanité, l’accessibilité et la simplicité dont vous faites preuves.
C’est un grand honneur et une fierté pour nous de compter parmi vos élèves.
Cher Maître,
C’est un grand honneur que vous nous faites en acceptant de diriger ce travail
malgré vos multiples occupations.
Que ce travail puisse être à la hauteur de vos attentes et que Dieu vous comble
de grâces abondantes.
INTRODUCTION
I GENERALITE
II OBJECTIFS
III METHODOLOGIE
IV RESULTATS
V DISCUSSION
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS
Epdl : facteur de conversion permettant le calcul de la dose efficace à partir du produit dose
longueur
Sv : Sievert
Dans les pays médicalisés, le concept ALARA donne une priorité à l’utilisation de
l’échographie et de l’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) dans l’exploration
des pathologies de l’enfant. Ce qui n’est pas le cas en Afrique subsaharienne où en
l’absence de l’IRM, la tomodensitométrie constitue la seule méthode de pointe en
imagerie [30].
La radioprotection des patients fait partie des obligations légales depuis le décret N o
06-488/P-RM du 23 Novembre 2006 relative à la protection contre les rayonnements
ionisants, la sureté et la sécurité des sources de rayonnement ionisant. Ce texte rend
désormais obligatoire pour les praticiens demandant ou réalisant des examens
d'imagerie, utilisant les rayonnements ionisants l'application des principes
fondamentaux de justification et d'optimisation [24].
L’enfant est particulièrement exposé du fait de la radiosensibilité importante de ses
organes : la Commission Internationale de Protection Radiologique considère que le
risque de cancer radio-induit par rapport à l’adulte est 3 fois plus élevé chez l’enfant
de sa naissance jusqu’à l’âge de 10 ans [11]
1. OBJECTIF GENERAL :
- Evaluer les doses d’exposition reçues par les enfants lors des examens
TDM.
2. OBJECTIFS SPECIFIQUES :
- Déterminer la fréquence et les facteurs sociodémographiques.
- Analyser les indications des examens tomodensitométriques ainsi que
leurs justifications sur la base du guide de bon usage de la Société
Française de Radiologie.
- Déterminée la dose d’exposition délivrée par examen chez les enfants de
0 à 15 ans.
- Comparer ces résultats aux NRD.
3. La tomodensitométrie :
La tomodensitométrie est un système d’exploration morphologique du corps
humain utilisant des rayons X pour avoir les informations précises de la partie à
examiner à travers l’analyse des atténuations des faisceaux de rayons X sur une
section volumique mince. Les éléments de base d’un appareil de
tomodensitométrie sont le tube à rayons X et les détecteurs. Le tube à rayons X
tourne autour du patient, produisant des faisceaux de rayons X étroitement
collimatés. Une fois atténué par le patient, le faisceau de rayons X frappe le
détecteur qui transforme l’intensité du photon en signaux numériques.
En 1971 les premières coupes du cerveau ont été faites avec ce prototype grâce
au Dr AMBROISE dans son service dans la ville de Wimbledon.
Figure 08 : Illustration des données manquantes en mode spiralé (a) mode incrémental (b)
mode spiralé
3.4.2.1 Principe
A partir de 1998, les constructeurs ont ajouté dans leurs gammes de produits des
scanners dits
« multibarettes ». Ils avaient l’avantage d’acquérir en une seule rotation 2 fois
plus de données. (Figure09).
La juxtaposition de plusieurs rangées de détecteurs suivant l’axe longitudinal a
permis l’acquisition de n projections simultanées. La juxtaposition de rangées a
été rendue possible grâce à l’utilisation de détecteurs solides qui, par leur
conception, peuvent être logés dans un espace réduit. L’utilisation de système
d’acquisition de données (DAS) permet, lors de l’acquisition de combiner les
signaux des différents détecteurs.
3.4.2.2 Détecteurs
La taille des détecteurs est donnée à l’isocentre du scanner. La taille et la
disposition des détecteurs varient d’un constructeur à l’autre. Avec les premier
modèles de scanner multi-barrettes (1èregénération de multicoupe), trois types
d’agencement ont été développés :
Les scanners matriciels ou symétriques où tous les détecteurs ont la même
largeur suivant l’axe longitudinal (Figure 10).
Figure 10 : Détecteur matriciel. Les détecteurs possèdent tous la même largeur, ici
0.75 mm
Aujourd’hui, tous les constructeurs ont adoptés un système hybride (Figure 13).
Figure 13 : Disposition des détecteurs suivant l’axe longitudinal pour les principaux
constructeurs.
Le passage à la deuxième génération de scanner multibarettes a été franchi avec
l’acquisition simultanée de 16 coupes. Aujourd’hui, le nombre de
Pour les scanners 64 coupes, quasiment tous les constructeurs ont opté pour une
configuration où le nombre de barrettes est égal au nombre de coupes. Seul
Siemens, avec son principe de double échantillonnage en z, utilise encore un
système de détection hybride composé au centre de 32 barrettes d’épaisseur de
0,6 mm et à l’extérieur d’un double jeu de barrettes de 4*1,2 mm.
(1)
Avec D la dose délivrée par le tube, I l’intensité en mA, t le temps de rotation en
s et d la distance patient-tube en m. Par exemple, en travaillant à 120 kV plutôt
qu’à 140 kV, on peut réduire la dose d’environ 50%.
Thèse de Médecine Mr. Lassana KONATE Page 27
3.5.2 Intensité (mA) et charge du tube (mAs).
L’intensité dans le tube à rayons X s’exprime en milliampères (mA). Mais en
pratique, la grandeur utilisée est la charge du tube, exprimée en milliampères-
seconde (mAs) qui régit la dose délivrée (produit I.t formule (1)).
L’intensité du courant circulant entre l’anode et la cathode (I en mA) ainsi que
les mAs sont réglables par le manipulateur. Le temps de rotation correspond à la
durée d’émission des ayons-X par le tube, exprimée en s ou en ms.
La réduction de la charge du tube (mAs) va se traduire par une diminution de la
dose et une dégradation du rapport signal à bruit (d’un facteur 1,4 pour une
réduction de 50% des mAs car le bruit est inversement proportionnel à la racine
carrée de la dose (mAs) à kV fixes). La réduction des mAs constituera
cependant un compromis acceptable dans l’exploration des régions à fort
contraste naturel où l’on va privilégier la résolution spatiale (sinus ou des
poumons). En revanche, les mAs doivent être maintenues plus élevés dans les
régions à faible contraste naturel (cerveau, foie) où l’on va privilégier la
détectabilité à bas contraste limitée par le niveau de bruit. La notion de
mAseffectives fait intervenir la valeur du pitch :
(2)
(3)
d la durée de rotation du tube en s
C l’épaisseur nominale minimale de coupe en mm,
n le nombre de coupes par rotation
V la vitesse d’avancement de table en mouvement de translation en m.s-1
3.5.6 Collimation
Elle s'exprime en multiples de l'épaisseur de détection sélectionnée, selon le
nombre de détecteurs couplés par exemple une collimation de 20mm correspond
à 16 x 1,25 ou 8 x 2,5. La différence réside alors principalement dans l'épaisseur
minimale de coupe qui peut être reconstruite. Un point très important est
l'importance relative de la pénombre (overbeaming) selon l'épaisseur de coupe.
En effet, afin que les détecteurs situés aux extrémités de la couronne de
détecteurs dans l'axe Z soient exposés à la même quantité de rayonnement que
les détecteurs centraux, la collimation primaire ne doit pas être strictement
limitée à la couverture des détecteurs mais un peu plus large, afin que les bords
du faisceau dans l'axe Z, constitués de rayonnement de pénombre, ne soient pas
inclus dans la mesure. Comme cette pénombre est indépendante de l'épaisseur de
la collimation, plus la collimation est étroite, plus son importance relative (donc
l'exposition inutile) augmente. C'est ce que certains constructeurs traduisent par
"l'efficience de dose", affichée avec les informations de dose.
Ce paramètre attire l'attention de l'utilisateur sur la proportion de rayonnement
qui contribue réellement à la formation de l'image, et il est d'autant plus faible
que l'exposition non contributive à l'image augmente.
4. DOSIMETRIE
Les indices actuels pour la spécification de la dose en scanographie sont :
IDSV ou CTDIvol déterminé à partir de l’Indice de Dose en Scanographie
(IDS) ou CTDI (ComputedTomography Dose Index)
Le Produit-Dose-Longueur (PDL) ou Dose Lenght-Product (DLP)
Le CTDI est l’intégrale du profil de dose le long de l’axe longitudinal z pour une
coupe unique. Il est défini par l’équation suivante :
1 +∞
CTDI= ∫−∞ 𝐷(𝑧)𝑑𝑧(4)
𝑇
Le CTDI peut être mesuré dans l’air ou dans un fantôme et sera donc
usuellement écrit de la manière suivante : CTDIair.
En pratique, le profil de dose est mesuré sur une longueur définie. En Europe, le
guide des bonnes procédures en scanographie propose une intégration sur une
longueur de 100mm positionnée symétriquement à la coupe réalisée. Elle sera
noté CTDI100.
L’utilisation du CTDI100, a été standardisé par la Commission Internationale en
Electrotechnique40 et a été utilisé par les constructeurs de scanner depuis sa
mise en place.
Pour les mesures de CTDI, deux fantômes PMMA (polyméthacrylate de
méthyle) cylindrique de 14 cm de longueur vont être utilisés. Pour les examens
(6)
Depuis 2002, l’affichage du CTDIvol est devenu obligatoire sur tous les
scanners sortis après cette date.
Le CTDIw et le CTDIvol sont mesurés en mGy. On utilise l’indice n quand les
mesures de CTDI ont été normalisées avec les mAs. Il s’exprime en mGy/mAs.
Dans quelques cas, comme lorsque le pitch n’est pas égal à 1, l’interprétation
des valeurs de dose sur la console doit être faite avec minutie. Beaucoup de
recommandations de dose sont exprimées en CTDIw alors que la console affiche
le CTDIvol. Pour permettre des comparaisons, la correction du pitch présente
dans le CTDIvol devrait être inversée en multipliant le pitch avec le CTDIvol.
Le DLP est utilisé pour calculer la dose pour une acquisition ou pour un examen
complet. Il est défini par l’équation suivante :
(7)
5. Radioprotection
5.6 La radioprotection
La radioprotection est l’ensemble des moyens techniques, administratifs,
législatifs et réglementaires mis en œuvre pour protéger l’homme et son
environnement contre les effets néfastes des rayonnements ionisants. La
radioprotection se repose sur trois principes : La justification de la pratique,
l’optimisation de la protection et de la sûreté, et la limitation de dose.
7. Méthode d’étude :
7.4 Technique :
Les techniques d’examens de scanner ont été réalisée selon les protocoles du
service avec respect des normes de la radioprotection.
- La sédation :
8. Aspect d’éthique
- Une autorisation de l’administration de l’Hôpital du Mali obtenue,
comme pour toutes les activités de recherche, de mémoires et de thèses.
- Notre étude a eu l’assentiment des parents de chaque enfant avant
d’être inclus. Nous leur avons expliqué les objectifs de notre étude.
- Les donnes sociodémographiques ont été recueillies dans la salle
d’examen de manière anonyme avec un numéro d’identifiant.
Sexe
Age Masculin Féminin Nombre %
(année)
<1 an 22 25 47 22,93
10 à 15 ans 13 14 27 13,17
Les garçons étaient majoritaires dans 60% des cas avec une tranche d’âge
de 1-<5ans prédominante.
L’examen crânio-encéphalique a été la plus exploré dans 149 cas soit 72,68%
Le retard psychomoteur était la cause de demande de TDM dans 21% des cas.
18% Médecin
spécialiste
Médecin
généraliste
Assistant médical
80%
Les médecins spécialistes étaient les plus grands prescripteurs de TDM avec 165
demandes, soit 80%
140 131
120
100
80
60
34 34
40
20 4
0 1 0 1
0
Médecin Médecin Assistant médical autres
spécialiste généraliste
Justifié Non justifié
Cette figure montre que la justification des demandes est liée à la qualification
du prescripteur.
Pneumopathie 13 6,34
Normal 97 47,32
Autres* 16 7,80
Ce tableau montre que les résultats des TDM étaient normaux dans 47,32% et
dans 31,22% des examens, nous avons une pathologie encéphalique.
10 à 15 - - - -
40
34,35
35
30,88
30 27,66
24,41
CTDI vol (mGy)
25
20
15
8,84 9,82
10 7,29
4,51 5
3,95
5
1,76
0
0
<1 1-<5 5-<10 10 15
1184 1195
1200 1070 1070 1084
1000 911
PDL Moyenne en mGy.cm
800
320 360
400
200
0
0
<1 1-<5 5-<10 10 15
500 436
400
305
300
200 137
100 26 40
20
0 0 0 0
0
<1 1-<5 5-<10 10 15
696
700
599
600
PDL Moyenne en mGy.cm
500
380
400
300
180
200
95
65
100
0 0
0
<1 1-<5 5-<10 10 15
9. Données sociodémographiques
9.1 Fréquence
Pendant notre période d’étude, la prévalence des examens de tomodensitométrie
pédiatrique à l’Hôpital du Mali était de 4%.Prévalence largement inférieure du
11,7%rapportée par N’Goan-Domoua et al. en Côte d’ivoire [30].Ongolo-Zogo
P et al. ont trouvé14% au Cameroun [31],Tchaou M et al15,45% au Togo[40].
Cette grande différence pourrait s’expliquer en partie par la période d’étude, qui
s’est coïncidée avec l’avènement de la maladie à corona virus (Covid 19), dont
l’Hôpital du Mali est l’un des centres de la prise en charge, ainsi que par le
profil de l’hôpital non pédiatrique par rapport aux CHU Gabriel TOURE et le
Centre Hospitalier Mère-Enfant le Luxemburg.
9.2 Age
Dans notre série, la tranche d’âge de 0 à <5 ans était la plus exposée (64,39%),
ce résultat est comparable à celui de Tankoano A et al (60%) au Burkina [3].
9.3 Sexe
Les garçons étaient majoritaires avec 122 garçons (60%) pour 83filles (40%), ce
qui donne un sex-ratio garçons/filles de 1,5.
Le thorax avec et sans PDC était enregistré le plus souvent pour des raisons de
pneumopathies, de pleurésies enkystés. Il a représenté 7% des prescriptions
TDM de notre étude, fréquence supérieure au 2%de l’étude de Tankoano Aet
al.au Burkina [3]. Cette fréquence pourrait s’expliquer par la présence du service
de chirurgie thoracique.
11. Prescripteur
Les services de pédiatrie ontreprésenté45%, suivi de la neurochirurgie (18%).
Les médecins spécialistes étaient les plus grands prescripteurs de TDM (80%)
suivis des médecins généralistes (18%).Au Togo selon Tchaou M et al [40] les
généralistes étaient les plus grands prescripteurs de TDM(29,81%). Cette
différence pourrait s’expliquer par la provenance de nos patients qui étaient
issues majoritairement des services spécialisés.
12. Justification
La justification des actes scanographiques reste aujourd’hui l’outil le plus
pertinent lorsque l’on veut expliquer la radioprotection. En effet, le premier des
principes de réduction de dose est la justification de l’examen proposé, c’est à
dire la confirmation argumentée non seulement de l’indication clinique, mais
aussi de la TDM comme technique d’imagerie la plus appropriée (SFR et IRSN,
Si le CTDI rend compte des paramètres d’acquisition utilisées pour réaliser les
actes de scanographie (haute tension, charge, pas…), le PDL est le reflet des
pratiques en termes de longueur explorée. Pour un examen dont le CTDI est
inférieur au NRD, un PDL supérieur au NRD traduira une longueur
d’acquisition supérieure aux pratiques courantes [24].
En comparant nos résultats de PDL calculés aux NRD, 96% des TDM cérébrales
avaient des valeurs de PDL supérieures aux NRD définies en fonction des
tranches d’âge. En considérant les moyennes des PDL, les nôtres dépassaient
largement les NRD pour tous les examens. Nos résultats étaient proches à celui
de Tchaou M. et al au Togo [40], mais légèrement inférieurs à celui de
Tankoano A et al au Burkina[3]. Ces résultats pourraient s’expliquer par le
balayage systématique des sinus de la face et souvent même des mâchoires ou
du mauvais fenêtrage du topogramme au cours de ces acquisitions cérébrales.
5 à <10 545 - 40 -
10 à 15 - - - -
La totalité de nos acquisitions thoraciques avaient des valeurs de PDL ainsi que
les moyennes calculées largement au-dessus des NRD. Ce résultat dépassait
largement celui de Tankoano A et al[3]. Un mauvais paramétrage et un excès de
hauteur des champs d’explorations pourraient expliquer cette grande différence.
Les doses d’irradiation délivrées aux cours des examens TDM étaient élevées,
non conformes aux NRD français dans 100% et environ plus de trois fois
supérieures aux niveaux de référence dans les explorations thoraciques et
abdomino-pelviennes.
Les indications étaient préférentiellement neurologiques.
Du point de vue de la justification la conformité des indications avec le guide de
bon usage des examens d’imagerie médicale n’est pas totale, mais satisfaisante.
L’analyse des différentes procédures montre qu’une amélioration des pratiques
notamment par rapport aux paramètres techniques et aux protocoles, associée à
un renforcement des compétences en radioprotection des manipulateurs en
radiodiagnostic contribuera à une meilleure radioprotection des enfants. Faire
publier les paramètres selon NRD.
Ce travail initial a permis la conception d’une intervention comportant l’arrêt et
la modification du protocole préprogrammé, la sensibilisation de l’ensemble des
personnels du service, notamment les manipulateurs pour une meilleure
radioprotection des enfants, l’affichage des protocoles modifiés pour les enfants.
Keywords :
- Pediatric
- Computed tomography
- Radiation protection
- Diagnostic Level Reference (DRL)
1. Adambounou. K. et al.
Q2 Taille :……… m
Q3 Poids :………………Kg
Q5 Antécédents :
II La demande de l’examen
Q7 Grade de demandeur :
Q8 Examen demandé :
Q9 Indication :…………………………….
Q10 Justification :
Q23 Résultat de
l’examen :………………………………………………………………………………………………
……
……………………………………………………………………………………………………………
…………………………………..
Admis à l’intérieur des maisons, mes yeux ne verront pas ce qui s’y passe, ma
langue taira les secrets qui me seront confiés et mon état ne servira pas à
corrompre les mœurs, ni à favoriser le crime.
Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses.
JE LE JURE