Expose Mte Groupe 19
Expose Mte Groupe 19
Expose Mte Groupe 19
GRANDS LACS
BP :368 Goma
www.ulpgl.net
fr
-MOTEUR A COMBUSTION INTERNE
-TRUBOCOMPRESSEUR
-TURBOPROPULSEUR
-COMPRESSEUR AXIAL
1.1. Définition
Les moteurs à combustion interne sont des moteurs dans lesquels le processus de combustion
se produit à l'intérieur du moteur. Il existe deux types de moteurs à combustion interne : les
moteurs à allumage commandé (essence) et les moteurs à allumage spontané ou auto-allumage
(diesel). Les moteurs à combustion interne sont utilisés dans une grande variété de véhicules, y
compris les voitures, les camions, les motos, les bateaux et les avions.
Exemples de moteurs à combustion interne :
Moteur à essence à quatre temps : ce type de moteur est le plus couramment utilisé dans les
voitures de tourisme. Il utilise de l'essence comme carburant et fonctionne selon un cycle à
quatre temps : admission, compression, combustion et échappement.
Moteur diesel : ce type de moteur est utilisé dans les camions, les bateaux et les voitures diesel.
Il utilise du diesel comme carburant et fonctionne selon un cycle à quatre temps : admission,
compression, combustion et échappement.
1.2. Les organes constituants un moteur à combustion interne
La culasse : elle ferme le haut du bloc moteur et contient les soupapes, les bougies
d'allumage ou les injecteurs de carburant.
le carter d'huile : il contient l'huile lubrifiante qui assure la lubrification des organes mobiles.
Les pompes à huile et à eau : elle permet de faire circuler l'huile lubrifiante dans le moteur
pour assurer la lubrification des organes mobiles.
1.2.2. Les organes mobiles d’un moteur à combustion interne
Arbres à cames : les arbres à cames commandent l'ouverture et la fermeture des soupapes
d'admission et d'échappement.
Soupapes : les soupapes d'admission et d'échappement contrôlent le flux d'air et de
carburant dans le moteur ainsi que l'évacuation des gaz d'échappement.
Le carburant pulvérisé très finement et mélangé à l’air forme un mélange combustible qui
est introduit dans le cylindre.
Cette introduction correspond à l’opération d’admission.
A ce stade de l’introduction dans le cylindre, le mélange gazeux est à faible pression. Si on
l’enflammait à ce moment, il ne pourrait fournir qu’un travail insuffisant, il faut au préalable
le comprimer : c’est l’opération de compression.
Puis, le mélange enflammé se détend en fournissant l’effort moteur transformée en
mouvement de rotation sur l’arbre moteur grâce au mécanisme bielle-manivelle.
Enfin, il faut que les gaz brûlés soient évacués avant qu’un nouveau mélange frais soit admis
dans le cylindre : c’est l’opération d’échappement.
Selon le mode de fonctionnement il y deux types de moteur à combustion interne :
- Moteur fonctionnant suivant le cycle d’Otto ou BEAU DE ROCHAS, (V= constant) à
essence appelé moteur à allumage commandé.
- Moteur fonctionnant suivant le cycle diesel, (P= constante) moteur à auto-allumage
- Moteur diesel à cycle mixte (V= constante et P= constante)
𝑉+𝑣
On pose 𝜀 = : rapport volumétrique de compression
𝑣
2→3 : Combustion à volume constant (explosion).
Apport de chaleur par combustion de mc en présence de l’oxygène de ma.
Le cycle Diesel est utilisé dans les moteurs à allumage par compression (moteurs Diesel) et est
basé sur un processus de combustion à pression constante, contrairement au cycle Otto qui est
à volume constant. Dans le cycle Diesel, le carburant est injecté directement dans l'air comprimé
chaud, ce qui provoque une combustion spontanée. Le cycle Diesel est plus efficace que le
cycle Otto car il utilise un rapport de compression plus élevé, mais il produit également plus de
pollution en raison de la formation de particules de suie. Le cycle Diesel est un cycle à
combustion interne qui comprend les quatre temps classiques du moteur à combustion interne
: l'admission, la compression, la combustion et l'échappement.
Les transformations sont les suivantes :
• Dans ce cycle, une partie de l'apport de chaleur se fait à volume constant et le reste à
pression constante.
• L'ajout de chaleur à volume constant tend à augmenter l'efficacité du cycle, tandis que le
passage à l'ajout de chaleur à pression constante limite la pression maximale. C'est pourquoi
ce cycle est également appelé cycle à pression limitée.
2. TURBOCOMPRESSEUR
2.1. Definition
Directement après la proposition de la turbine à gaz par le Suisse Alfred J. Buchi en 1912,
l’américain Sanford A. Moss développe le concept du turbocompresseur. En 1918, Moss met
un turbocompresseur sur le moteur d’un avion LIBERTY V-12, et montre une augmentation
de puissance du moteur à 4200 m au-dessus de la surface de mer, puissance qui passe de 221
cv à 356 cv. En 1930 apparaît la première application de cette technologie aux gros moteurs
Diesel stationnaires et marins. En 1938, le turbocompresseur est utilisé sur un moteur de
Boeing B-17 (Wright R1820-51), volant à haute altitude. A partir de 1960, l’utilisation du
turbocompresseur dans le domaine automobile se répand : en 1962 la première voiture de
tourisme la General Motors Corvair suivie par la voiture Jetfire Turbo-Rocket V8
d’Oldsmobile. Le turbocompresseur devient ainsi indispensable aux moteurs qui doivent offrir
des densités de puissance de plus en plus élevées ainsi que de faibles émissions. En outre, le
turbocompresseur est vu comme une voie de réduction de la consommation, en accompagnant
le downsizing des moteurs et une combustion pauvre pour les moteurs essences à injection
directe.
Le fluide technique que nous considérons sera toujours du type compressible, soit un gaz
idéal, soit un fluide réel condensable. En conséquence, les phénomènes sont régis par les lois
fondamentales des écoulements compressibles en régime permanent que nous commencerons
par établir section. Nous montrerons notamment qu’en faisant varier la vitesse d’un gaz, il est
possible de modifier sa pression.
D'une manière générale, une turbomachine est constituée de quatre éléments en série (figure
4.3.1).
• un convergent C d'entrée, ou distributeur, pièce fixe qui a pour fonction d'orienter
correctement les filets fluides à leur entrée dans la roue mobile, et de les accélérer légèrement
;
• la roue mobile RM, ou rotor, animée d'un mouvement de rotation autour d'un arbre. Cette
roue comporte des aubages délimitant des canaux, entre lesquels se répartit le débit de fluide.
Elle communique au fluide l'énergie mécanique des aubages, sous forme d'énergie cinétique,
thermique et de pression ;
• le diffuseur D est un organe fixe qui a pour fonction de transformer en pression une partie
de l'énergie cinétique acquise par le fluide lors de la traversée de la roue. Selon les cas, ce
diffuseur peut comporter ou non des aubages. On dit qu'il est cloisonné ou lisse ;
• une volute V, fixe elle aussi, qui redresse les filets fluides sur la périphérie de la roue, et les
dirige vers l'aval de la turbomachine.
Une turbomachine comporte fréquemment plusieurs étages, chacun d'entre eux ayant une
hauteur manométrique limitée. On parle alors de turbomachine multiétagée. Dans les
turbomachines axiales, les étages successifs sont juxtaposés par groupes compacts au sein
desquels la volute n'est plus nécessaire, et où le diffuseur et le convergent situés entre deux
roues mobiles peuvent être combinés pour ne former qu'une seule couronne dont le rôle est de
redresser les filets fluides pour qu'ils se présentent correctement à l'entrée de la deuxième
couronne. Dans de telles conditions, les étages intermédiaires ne comportent que deux
composants. Il arrive aussi parfois que, pour des raisons de simplicité, une turbomachine
même monoétagée ne soit composée que de deux composants, l'un fixe, l'autre mobile. Dans
une turbine, il est essentiel de disposer des tuyères de détente et de guidage en amont de la
roue, alors que le diffuseur ne joue qu'un rôle secondaire et peut éventuellement disparaître.
Dans un turbocompresseur, à l'inverse, le guidage en amont de la roue joue un rôle secondaire
par rapport à la récupération de l'énergie cinétique en sortie. On peut donc éventuellement se
passer du distributeur amont.
Nous nous limiterons dans un premier temps au cas des écoulements permanents absolus où la
pression et les trois composantes de la vitesse sont supposées constantes dans le temps.
L'écoulement se fait dans des filets fixes, ce qui implique l'absence de parois mobiles. Ces
conditions sont obtenues dans le convergent et le diffuseur d’une turbomachine.
Nous supposerons dans un premier temps le fluide parfait du point de vue hydrodynamique,
c'est-à-dire dépourvu de viscosité (on notera qu'un gaz parfait n'est pas nécessairement un
fluide parfait de ce point de vue).
On obtient la loi d'écoulement d'un fluide compressible en appliquant à un tube de courant le
premier principe de la thermodynamique, et en tenant compte dans le calcul de l'enthalpie des
forces de pesanteur.
D'après (2.4.7), on a :
δτ = vdP + dK + gdz + δπ
La relation (4.3.1) a été établie dans le cas d'un écoulement permanent absolu. Elle peut être
généralisée dans le cas d'un écoulement permanent relatif, où la pression et la vitesse ont des
valeurs fixes en tout point d'un système animé d'un mouvement d'entraînement uniforme. Ce
sont les conditions que l’on rencontre dans la roue mobile d’une turbomachine.
Il faut pour cela exprimer que le travail utile est égal à 0 (parois fixes), plus le travail des
forces d'inertie correspondant à l'accélération d'entraînement. On obtient ainsi les lois
suivantes :
• système animé d'un mouvement de translation uniforme (cas des turbomachines axiales) :
l'accélération d'entraînement étant nulle, l'équation (4.3.1) reste valable ;
• système animé d'un mouvement de rotation uniforme (cas des turbomachines centrifuges) :
l'accélération d'entraînement est radiale, et le travail de la force d'inertie centrifuge
correspondante est ∆ω2 R2/2. En posant U = ωR, vitesse d'entraînement, l'équation (4.3.1) se
transforme en :
(C2 – U2)/ 2 + ⌡⌠vdP + gz = Cste (4.3.2)
La viscosité ne modifie que peu les relations précédentes. Le travail utile reste nul, les parois
étant immobiles, et le travail des forces de viscosité reste nul, si l'on applique le premier
principe à une veine s'étendant jusqu'à la paroi, car la vitesse d'un fluide visqueux est toujours
nulle à la paroi.
on a : δτ = 0 = vdP + dK + gdz + δπ
On en déduit :
C2
/2 + ⌡⌠vdP + gz + ⌡⌠δπ = Cste (4.3.3)
L'effet des frottements est en définitive une diminution de la charge. On retrouve ainsi la
notion de "perte de charge" π.
π = ⌡⌠δπ
Dans l'état actuel de nos connaissances, on ne sait pas calculer π a priori, aussi la détermine-t-
on de manière expérimentale.
PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
Le turbocompresseur est en effet un compresseur d’air entraîné par les gaz d’échappement.
Les gaz d’échappement sortant du moteur par le collecteur d’échappement sont dirigés vers la
chambre de turbine dans laquelle se trouve le rotor. À travers d’un arbre commun, il entraîne
le rotor du compresseur, situé de l’autre côté du dispositif (souvent appelé « froid »), qui
comprime l’air alimentant le moteur. Puisque l’air comprimé contient plus d’oxygène dans
une unité de volume, il devient possible de créer de meilleures conditions du processus de
combustion. Une plus grande quantité d’air combiné à une quantité supplémentaire de
carburant peut être utilisé pour augmenter la puissance de moteur ou, comme dans le cas des
moteurs diésel, permet une meilleure combustion, en réduisant considérablement la quantité
de polluants émis et en augmentant l’efficacité du moteur. En augmentant la compression de
l’air, et donc la quantité de gaz dans la même unité de volume, on éleve en même temps sa
température. Plus la température est élevée, plus la densité est faible, ce qui signifie que les
cylindres reçoivent moins d’oxygène que si la température de l’air était plus basse. C’est
pourquoi on utilise un refroidisseur d’air de suralimentation (intercooler). Généralement, il
s’agit d’un échangeur de chaleur de type air-air ou (moins souvent) air-eau.
Les voitures équipées d’un turbocompresseur se caractérisent par les avantages suivants:
Sécurité :
Un moteur turbo est capable de générer jusqu’à 7 fois plus de puissance qu’un moteur
atmosphérique sans suralimentation. À titre d’exemple, citons le moteur de Formule 1d’il y
a quelques années, qui, à une capacité de 1,5 l, pouvait produire une puissance aux roues de
plus de 1000 CV. Dans les conditions standard, il est possible de doubler la puissance d’un
moteur atmosphérique, ce qui rend la voiture plus maniable et, en effet, plus sûre. Également,
la suralimentation empêche la réduction de la puissance du moteur en fonction de l’altitude
au-dessus du niveau de la mer.
Économie :
Les turbocompresseurs transforment l’énergie générée par les gaz d’échappement
en puissance. En conséquence, les moteurs suralimentés sont plus économes en carburant que
leurs homologues atmosphériques.
Écologie :
Puisque le turbocompresseur fournit beaucoup plus d’air au moteur, la combustion est plus
efficace et plus complète, et donc plus « propre ». Aujourd’hui, les moteurs de type turbo
diesel produisent 50% moins de NOx et de CO2 que les moteurs traditionnels.
TYPE DE GRILLE
Lorsqu’elle est interposée dans un écoulement, une grille de profils constitue, pour le fluide
qui la traverse, une suite de canaux qui selon la courbure des profils seront convergent ou
divergent.
Canal convergent.
Loi de conservation du débit :
Q = VS :
2.3.1.1. Description
Un compresseur axial est composé d'éléments en rotation et d'éléments statiques :
1. L'arbre central, guidé par des roulements, est composé d'anneaux composés eux-mêmes
d'aubes rotoriques et statoriques. L'ensemble est un montage alternant des rotors et des stators.
On appelle un étage, un disque de rotor suivi d'un disque de stator.
2. L'étage rotorique accélère l'écoulement du fluide grâce à l'énergie transmise par l'arbre de
transmission.
3. L'étage statorique transforme l'énergie cinétique en pression via la forme du stator.
4. La section entre le rotor et le carter du compresseur diminue pour maintenir un flux d'air
constant au fur et à mesure de la compression, et conserver le flux dans le sens axial du
moteur.
Avantage :
- aire frontale réduite
- rendement par étage élevé
- roto plus léger et moins stresse
Désavantage :
- taux de pression par étage petit
- plus susceptibles aux instabilités aérodynamiques
- Le turbopropulseur se compose de :
Diffuseur (D).
Compresseur (C).
Chambre de combustion (CC)
. Turbine (T).
Tuyère d’échappement (Ty).
Réducteur de vitesse (R).
Hélice (H).
La vitesse angulaire de rotation de l’arbre de transmission est tres élevée. Une boite de
réduction est nécessaire avant de transmettre la puissance à l’hélice, car ce dernier ne
fonctionne pas à des vitesses élevées.
3.2. Type de turbopropulseur
• Turbopropulseur turbine liée
Dans ce type de propulseur la turbine de travail est solidaire du générateur de gaz. le régime
de rotation de l’hélice est donc lié au régime général.
3.3. Fonctionnement
- L’air provenant de l’atmosphère rentre dans le diffuseur du turbopropulseur. Sa vitesse
diminue et sa pression statique augmente.
- l’air sortant du diffuseur est comprimé davantage en traversant le compresseur rotatif.
- l’air à haute pression se mélange dans la cc avec un carburant approprié. Une combustion est
réalisée et le système reçoit une quantité de chaleur à pression constante.
- Les gaz de combustion fortement chauffées sont ensuit partiellement détendu (80 à 90%) en
traversant la turbine.
- la puissance mécanique produite par la turbine est exploitée pour l’entrainement du
compresseur et l’hélice.
- l’hélice est utilisé pour augmenter le débit d’air ce qui conduit ensuite à une meilleure
économie de carburant.
- les gaz chaud sortant de la turbine traversent ensuite la tuyère pour une deuxième détente et
sortent à l’atmosphère à très grande vitesse.
- en raison de l’injection des gaz à très grande vitesse une réaction ou une force de poussée
est développée dans la direction opposé
. - l’avion est propulsé par la somme des deux poussées produites respectivement par l’hélice
et la tuyère d’échappement.
3.4. Etude énergétique : section entrée d’air
L’étude énergétique théorique et réelle de l’entrée d’air consiste à évaluer l’évolution des
paramètres de pression et de température lors de son fonctionnement afin de déterminer
l’efficacité du processus d’admission d’air.
Avec :
Z2=Z1 :Pas de variation de hauteur.
WT :Pas de travail de transvasement (sans machine).
Q=0 : Pas d’echange de chaleur (adiabatique)
H=CPT : Enthalpie du gaz parfait.
D’où :
Or, si la temperature totale reste constante il vient immediatement que la pression total se
conserve. Donc :
Ceci implique que la température réelle T2 en fin de compression dans l’entrée d’air est
supérieure à T1.
En ce qui concerne la Pt2, nous savons que l’efficacité
La différence entre Pt1 et Pt2 représente l’efficacité de la manche puisque Pꚙ= Pt1 (écoulement
externe adiabatique réversible).
Par contre, la Tt se conserve quelle que soit la nature réversible ou non de l’écoulement.
La notion d’efficacité comme étant le rapport de pression d’arrêt réelle (ou pression d’impact
)
Sur la pression isentropique :
Ce rapport est aussi équivalent aux rapports des pressions d’impacts respectives :
Relation entre la vitesse de rotation du compresseur et le taux de compression
Le travail de compression s’établie par la formule :
Le travail fourni par le compresseur sera d’autant meilleur que le taux de compression sera
élévé.
La vitesse de périphérie est :
L’étude du cycle thermodynamique correspondant au schéma est particulièrement facile, cette étude
présente un grand intérêt pratique, car la plupart des turbos propulseurs sont réalisés à base du
cycle de Brayton. La conversion de la chaleur dégagée de la combustion du carburant en énergie
mécanique dans un turbos propulseur est réalisée suivant ce cycle. Il est représenté dans un
diagramme h-s. Le cycle de Brayton ou Joule comme comporte deux processus isentropiques
(adiabatiques et réversibles) et un processus isobare, les grandeurs principales qui fixent le cycle
thermodynamique de turbo propulseur sont : •La température minimale T1 (température ambiante
dans le cas du cycle ouvert) •La température maximale T3 du cycle fixé par la température maximale
admissible en entrée. •Le rapport de pression ou taux de compression Rp=P2/P1
Applications
En raison de sa grande souplesse de fonctionnement et sa bonne économie de carburant, le
turbopropulseur est le mieux adapté pour les avions commerciale et militaire.