Electroculture Juin 2018

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L’Electroculture, pour que le courant passe avec vos plantes !

(Compte-rendu à partir de notes)

Avec Yannick Van Doorne

L’Electroculture peut se pratiquer dans tous les types de sols.


Yannick fait des formations et des interventions auprès des amateurs et des professionnels.

Les résultats spectaculaires parfois parus dans les articles d’électroculture ne sont peut-être en fait
qu’ordinaires : la normalité est peut être ralentie par rapport à son plein potentiel naturel ?

Tous les êtres vivants perçoivent l’électromagnétisme ambiant.


L’électromagnétisme, tout comme la qualité de l’air ou la température, fait partie de
l’environnement. L’expression des plantes diffère en fonction de leur environnement
électromagnétique. L’électricité influence le vivant.

Si on observe une plante : Les feuilles vont vers le haut et les racines vers le bas.
Communément il est dit que les feuilles cherchent la lumière et les racines l’eau.
Cependant il pourrait y avoir une explication en parallèle : le sol est électronégatif et l’air est
électropositif.
Apparemment un test à l’ombre a été fait avec des électrodes placées de part et d’autre de la plantes
l’une chargée positivement et l’autre négativement : les racines se dirigent vers le négatif et la tige
vers le positif. C’est la notion d’électrotropisme.
L’électricité serait également impliquée dans les phénomènes de mouvement d’eau du vivant.
Certains ions mis en mouvement par un champ électrique entrainent avec eux l’eau : c’est
l’électroosmose (Utilisée pour assécher les murs avec les champs électriques).

Rendez-vous du jardinage écologique – Jardins du Pflixbourg le 23 juin 2018


Notre environnement électrique
Nous sommes constamment dans un champ électrique de 100 à 300 V/ m du sol vers le ciel. Mais
l’ampérage est extrêmement faible.
Quand le temps devient électrique, le voltage monte (par exemple dans des temps orageux).
Les différences de sol au sein d’un même terrain (humide/sec ou sols différents) créent un courant
électrique.
L’électroculture permet d’accentuer et de réguler les énergies électriques naturelles. Les plantes
auraient ainsi un environnement qui leur serait plus favorable, elles deviendraient plus productives
et plus résistantes.

Nous en savons encore peu sur l’électricité


L’électricité pourrait véhiculer des énergies encore non mesurées.
On ne fait que progresser dans sa description. Au début elle fut définie par son ampérage, son
voltage et sa fréquence. Puis par son type sinusoïdal ou non, et ainsi de suite.

L’électricité naturelle est plus employée chez Yannick que l’électricité artificielle. Elle pourrait
véhiculer des énergies plus complexes, que l’électricité artificielle serait incapable de reproduire
fidèlement. De plus l’utilisation de l’électricité naturelle nécessite moins d’installations.

On capterait l’énergie électrique en se mouvant dans un champ, ce qui favoriserait la circulation du


courant électrique dans notre corps. Marcher pied-nu augmenterait cet effet et serait bénéfique
pour mieux recevoir le courant.
Toute l’énergie que nous utilisons ne proviendrait pas directement de l’alimentation, une part
électrique peut-être ?

L’effet de pointe

Les plantes se terminent en pointe. Les pointes renforcent le champ magnétique


autour d’elles. Elles attirent notamment les éclairs, ou sont responsables des feux de
Saint-Elme (mât des bateaux entourés d’un halo lumineux). Cet effet favoriserait
l’évacuation des électrons donc la montée de la sève grâce au phénomène
d’électroosmose.

Les « antennes » pourraient amener de l’humidité


Autour des antennes il semble être observé que les terrains sont plus humides. Comme pour les
arbres.
Le même phénomène serait observable au niveau des pyramides.
Les arbres amènent l’humidité, là où il y a des arbres il semble pleuvoir plus que là où il n’y en a pas
(désert).
Le fer à béton peu onéreux suffit à faire l‘effet d’une antenne et à amplifier le champ magnétique
naturel. (Les antennes seront toujours placées du côté sud par rapport à un arbre.)

Un arbre aurait un effet bénéfique sur les récoltes sur 1 Ha de culture. Un champ de céréale avec
un grand arbre au milieu produit plus de récolte qu’un même champ sans arbre. Similaire avec un
champ avec une ou plusieurs antennes d'électroculture comparé à un champ sans.

Des aimants dans le sol


Dans l’objectif de renforcer les énergies électromagnétiques au niveau d’une culture, il est possible
de placer des aimants dans le sol reliés à un fil de fer galvanisé. Ils doivent être orientés dans le

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même sens que le magnétisme terrestre. Pour vérifier si le sens est bon, il faut que l’aiguille d’une
boussole placée à côté ne soit pas perturbée c’est-à-dire qu’elle garde son positionnement naturel.

Pour prolonger l’effet des aimants, il est possible de les joindre à du fil de fer galvanisé (toujours
orienté de la même façon). L'aimant est alors relié à l'extrémité sud du fil et le fil est positionné en
ligne droite vers le nord comme indiqué par la boussole. L’effet de l’aimant sera prolongé le long du
fil. Le fil a un effet autour de lui de 100 cm environ. On peut dérouler le fil sur plusieurs hectares !
Petit inconvénient : le travail du sol est compliqué lorsque l’on place un dispositif de fils sous la terre.
On enterre le fil et l'antenne magnétique à une profondeur allant de 30 à 50 cm. On peut adapter
une dent d'une machine sous-soleuse pour dérouler et enterrer un fil de fer galvanisé sur des
grandes surfaces.

Du simple fil conducteur ?


Les fils n’ont pas forcement besoin d’aimant une fois magnétisés. Mais rajouter l’aimant est plus sûr
et amplifie l'effet. Le magnétisme du fil pourrait changer à cause de l’influence d’éléments du sol.

Les Pyramides

Elles doivent être entièrement en cuivre, il faut que les raccords


soient en cuivre !
Il est possible de faire une structure en bois qui est longée par du fil
de cuivre : c’est un peu moins efficace mais une façon de faire moins
coûteuse.
Les énergies seraient harmonisées au niveau des pyramides ! Il y
aurait moins de choc de transplantation, les plantes se sentent
rapidement bien à cet endroit. Les semences placées sous les
pyramides se verraient renforcées.
Au niveau des pyramides les aliments semblent bien mieux se
conserver.
Les effets les plus forts de la pyramide se situent au niveau des coins,
de la pointe et du tiers supérieur. L’effet est le plus fort si l’un des
côtés est perpendiculaire à l’axe Nord-Sud magnétique. En plus on retrouve aussi l'effet de pointe,
d'électro-osmose avec une pyramide tout comme avec les antennes d'électroculture classiques.

Le circuit de Lakovsky

Le circuit Lakovsky ou appelé aussi circuit oscillant


avec ou sans isolant stimule la plante.
Il s’agit d’un fil de cuivre, positionné en un cercle
ouvert pour accentuer l’énergie électromagnétique
naturelle autour de la plante.

Il serait possible d’augmenter la vitalité des


personnes en faisant des bracelets ou ceintures sur
ce principe pour l’Homme. Pour l’arthrose, les
rhumatismes ou pour mieux dormir.

Il est aussi possible de faire des sortes d'antennes en fil de cuivre en forme de spirale. Le
fonctionnement est alors encore différent du circuit Lakhovsky. Le sens des spirales doit toujours
être celui des aiguilles d’une montre. Une spirale avec la pointe dirigée vers le ciel va capter

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davantage l'énergie électromagnétique cosmique ou venant du ciel. Une spirale avec la pointe
dirigée vers le sol amplifiera davantage les énergies venant du sol ou de la terre. Les plantes à
proximité s'en trouvent stimulées, ce qui s'exprime en une croissance et santé supérieures aux
témoins.

L’electroculture n’est pas nouvelle


Le début des études d’électroculture remonte aux années 1790. Peu à peu les techniques évoluent
(simple antenne, antenne reliée à des fils, aimants, direction vers le nord,…). Yannick fait partie de
cette histoire et développe encore des nouvelles techniques d’électroculture.

Les plantes qui apprécieraient particulièrement l’électroculture

Les plantes sont différentes vis-à-vis de leur affinité avec


l’électricité.
D’après l’expérience de Yannick les plantes qui répondent
particulièrement bien à l’électroculture sont les fraises, le
poireau, la rhubarbe, le maïs, le tournesol, les tomates,
poivrons, concombres, carottes, pommes de terre,
potimarrons, courges, céréales, ... en réalité quasi toute les
plantes de culture.

L’electroculture pour rééquilibrer les sols


L’électroculture permettrait d’équilibrer les sols.
Même pour les forces telluriques et cosmiques. Les techniques d'électroculture stimulent fortement
le développement de la vie du sol, ces micro-organismes avec tous les avantages que cela comprend
pour la fertilité du sol.
Un exemple est expliqué où en biodynamie des choux avaient reçu des traitements de silice trop
importants, ce qui stimule fortement les énergies cosmiques, ce qui peut se traduire en une
stimulation de la floraison. Les choux, plantes bisannuelles qui fleurissent habituellement la
deuxième année, se mettaient à fleurir dès la première année. Ce qui posait un grave problème pour
la récolte. L’électromagnétisme du sol était perturbé. Grâce à l’ajout d’aimants, d'antennes
magnétiques, ce dernier fut rééquilibré en augmentant les énergies de la terre, telluriques ce qui
favorise le grossissement du végétal. Les choux ont repris une forte croissance et grossissaient et ne
fleurissaient plus la première année.

Attention à ne pas priver les plantes de leur énergie électrique !


Il faut rester vigilant à ne pas faire de court-circuit avec la plante dans le cas où un fil toucherait la
plante et le sol (elle se verrait privée d’une somme d’énergie)
Pour deux arbres liés par un fil de linge : l’un sera chétif et donnera son énergie à l’autre, tandis que
l’autre en profitera et présentera un plus important volume.
Et cela même si ordinairement le fil plastique est un isolant : l’électricité pourrait être conduite sur le
dessus du fil. Au-dessus d’une certaine fréquence, elle est capable de se propager en surface.
Les dispositifs d’electroculture ne fonctionnent pas à leur plein potentiel trop près d’un arbre ou d’un
fil électrique qui jouent déjà un rôle d’antenne.

Les animaux seraient sensibles également

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Les animaux sont aussi sensibles aux changements magnétiques. Les limaces par exemple sont moins
présentes (elles s’attaquent d’abord aux plus faibles, qui reçoivent peu les bienfaits de
l’électroculture)

Et les insectes ?
Les pollinisateurs sont particulièrement sensibles à l’électricité dégagée par les plantes à fleurs
(chargées positivement). Lorsque les fleurs ne sont pas encore butinées elles sont chargées
électriquement. Les insectes repèreraient rapidement les fleurs non butinées.

Conseil : bien investir son énergie !


Il vaut mieux utiliser une partie de son énergie à la réflexion, plutôt que de passer trois jours de
travail acharné à faire quelque chose chose de faisable en 2 jours !

Effet insecticide
Le cuivre est un insecticide naturel contre le varroa (acarien parasite des abeilles). On pose un fil ou
bande de cuivre à l'entrée de la ruche. Les abeilles qui vont passer sur ce fil amènent ainsi des ions
dans toute la ruche. Les ruches ainsi équipés sont en bien meilleure santé et maitrisent
naturellement le varroa.

Effet des couleurs sur le végétal ?


Les couleurs auraient aussi un effet sur le vivant : le rouge marcherait mieux sur la végétation, le bleu
sur les fruits.
2 arbres sur 10 mal en point ont été équipés d'un circuit Lakhovsky, une année lors de gel printaniers,
seul l’un des équipés donna des fruits, les autres non.

Dernier conseil
Observer son jardin reste très important et puis il y a aussi une question de ressenti. Quand on ne le
sent pas, mieux vaut ne pas faire.

Nous remercions Yannick pour le partage de ses connaissances !!


Pour plus d’infos sur l’électroculture, rendez-vous sur :
http://www.electroculturevandoorne.com/

N’hésitez pas à faire un tour sur la chaine youtube de Yannick :


https://www.youtube.com/channel/UCZWFUZDdFSpuaP768ezslTg

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