J Mexerce en Math

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Serigne Mor Thiam

Lycée Kothiary,Tambacounda Octobre 2019


Je m’exerce en Maths M. Thiam

Fonctions -Numériques ......................................................................................... 2


Fonction logarithme Népérien ................................................................................. 8
Fonction exponentielle .......................................................................................... 13
Suites Numériques ............................................................................................. 19
Calcul intégral .................................................................................................. 23
Equations Différentielles ...................................................................................... 27
Nombres Complexes(1 ere partie) ......................................................................... 29
Nombres Complexes(2 eme partie) ......................................................................... 33
Dénombrement.................................................................................................. 37
Calcul de Probabilités ......................................................................................... 39
Série Statistique à deux variables ............................................................................ 44
Tests de Niveau ................................................................................................. 47

serignemorthiam@gmail.com 1
Je m’exerce en Maths M. Thiam

Fonctions -Numériques
Exercice 1
Déterminer les limites suivantes lorsqu’elles existent
√𝑥+1−2√𝑥−2 3√𝑥−1−2√𝑥+4 √𝑥 2 +𝑥+3−3 𝑥√𝑥−8
1) lim ; 2) lim ; 3) lim ; 4) lim
𝑥→3 𝑥−3 𝑥→+∞ √𝑥 2 −9−2√𝑥−1 𝑥→2 𝑥 2 +𝑥−6 𝑥→4 4−𝑥

𝑥 3 −8 cos √𝑥−1 sin 3𝑥


5) lim 𝑥 4 −16 ; 6) lim √𝑥 2 + 𝑥 + 1 − 𝑥 − 1 ; 7) lim ; 8) lim tan 5𝑥 ;
𝑥→2 𝑥→+∞ 𝑥→0 𝑥 𝑥→0

2cos3 𝑥+3 cos 𝑥−5 1−𝑠𝑖𝑛𝑥−𝑐𝑜𝑠𝑥


9)lim ; 10) lim .
𝑥→0 sin2 𝑥 𝑥→
𝜋 1−𝑠𝑖𝑛𝑥+𝑐𝑜𝑠𝑥
2

Exercice 2
1) Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 pour que la fonction 𝑓 définie sur ʀ par:
𝜋
−2 sin 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ − 2 ,
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
𝑓(𝑥) = 𝑎 sin 𝑥 + 𝑏 𝑠𝑖 − 2 < 𝑥 < 2 , soit continue en 2 et en − 2 .
𝜋
{ cos 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 2 .
2) Etudier la continuité en 1 de la fonction 𝑓 définie par :
√𝑥−𝑥
𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑥 ∈ ] − ∞; 1[,
√𝑥−1
𝑓(𝑥) = {−𝑥 + 4𝑥 − 4 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑥 ∈ ]1; +∞[,.
2

𝑓(1) = −1.

Exercice 3
Pour chacune des fonctions suivantes, donner son ensemble de dérivabilité puis dériver la fonction :
 1 1 1 x²  x
f ( x )  x 3  3x  2 ; g( x )   x   ; h(x)  3 x  6  ; k(x)  ;
 x x x x 1
x²  1 x ²  3x  2 tan x 4 cos x  3
m( x )  x ; n(x)  ; p(x)  ; q( x )  ;
x²  1 x 1 1  2 sin x 2 cos x
2 x²  4
l(x)  cos ² x  sin x cos x ; r(x) 
x  2  x²  4
Exercice 4
Soit 𝑓 la fonction définie sur R par :
√𝑥(𝑥 + 1)
𝑓(𝑥) =
𝑥2
1. a) Déterminer l’ensemble de définition de 𝑓.
b) Calculer lim+ 𝑓(𝑥).
𝑥→0
2. a) vérifier que 𝑥 < √𝑥(𝑥 + 1) < 𝑥 + 1 pour tout 𝑥 > 0.
1 𝑥+1
b) En déduire que 𝑥 < 𝑓(𝑥) < 𝑥 2 , pour tout 𝑥 > 0.
c) Calculer alors lim 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞
3. a) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 1 admet au moins une solution 𝛼𝜖]1; 2[.
b) Donner un encadrement de 𝛼 à 10−2 prés.
Exercice 5
On considère la fonction f dé sur 3; par : f x   x 2 x  3 .

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1) a- Justifier que f est continue sur 3; et Déterminer son ensemble dérivabilité.
b- Etudier le comportement de C f en +  .
c- Calculer la dérivée et dresser le tableau de variation de f .
4
2) a- Montrer que l’équation x  3  2 possède une unique solution réelle.
x
2
b- Donner un encadrement à 10 près de cette solution.
3) a- Montrer que f réalise une bijection de 3; vers un intervalle J à déterminer.
b- Déterminer le domaine de continuité et de dérivabilité de f 1 la réciproque de f .
4) Tracer C f et C f 1 sur un repère orthonormé (O i ; j ).
Exercice 6 :
1) Soit la fonction g définie par : g x   x 1  x 2  1.
a- Etudier les variations g.
b- Montrer qu’il existe un réel unique α tel que g    0 et que de plus 0,7    0,8 .
c- En déduire le signe de g sur son ensemble de définition.
x3
2) Soit la fonction h définie par : hx    1 x2 .
3
a- Etudier les limites de h aux bornes de son ensemble de définition.
x.g  x 
b- Montrer que , pour tout élément x de Dh ; on a h'  x   .
1 x2
c- En déduire le tableau de variation de la fonction h.
3) Tracer C h sur un repère orthonormé ( O i ; j ).

Exercice 7:
Soit f la fonction donnée par f(x) = sin2(x) + cosx
1) En étudiant la parité et la périodicité de f, justifier le choix de [0,] comme intervalle d'étude.
2) Etudier les variations de f sur [0,] puis tracer la courbe de f sur [-, ].
2 3
3) Démontrer que l'équation f(x) = 0 admet dans [ , ] une solution unique dont on donnera une
3 4
valeur approchée à 10-2 près.

Exercice 8:
2 sin 2x
Soit f la fonction donnée par : f(x) =
1  cos x
1) Déterminer le domaine de définition de f puis montrer qu'on peut réduire le domaine d'étude de f a
l'intervalle [0, [.
2) Déterminer la limite de f en -.
 1 5
3) Soit  l'unique réel de [0,[ tel que cos = . Montrer que cos 2x  cos x 1  0 ssi x[0, [
2
4(cos 2 x  cos x  1)
4) Montrer que f'(x) = en déduire le signe de f' en utilisant (3) puis dresser le tableau
1  cos x
de variation de f sur [0,[.
5) Tracer la courbe de f sur ]-2, 2[. Unité: 1cm.

Exercice 9

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Dans chacun des cas suivants, détermine une primitive de la fonction 𝑓.


2𝑥−1
1. 𝑓(𝑥) = (𝑥 2 −𝑥+1)2
2. 𝑓(𝑥) = 4𝑥(2𝑥 2 − 3)3
𝜋
3. 𝑓(𝑥) = cos(−3𝑥 + 4 )
1
4. 𝑓(𝑥) =
√(1−𝑥)3
1 1
5. 𝑓(𝑥) = 𝑥 2 sin 𝑥
6. 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥
7. 𝑓(𝑥) = tan 𝑥 + 𝑡𝑎𝑛3 𝑥
Exercice 10
On considère la fonction 𝑓 définie dur R∗+ par
6 𝑥−2 2
𝑓(𝑥) = 2 ( )
𝑥 𝑥
1. Justifier l’existence d’une primitive de 𝑓 sur R∗+ .
2. Déterminer l’ensemble des primitives de 𝑓 sur R∗+ .
3. En déduire celle dont la représentation graphique passe par le point 𝐴(−1,0).
Exercice 11
La courbe ci-après est la représentation graphique
Cf d’une fonction 𝑓.

1. Préciser l’ensemble de définition D𝑓 de la


fonction 𝑓.
2. Détermine les limites de 𝑓 aux bornes de D𝑓 .
3. Donner toutes les asymptotes à C𝑓 .
4. On admet que la fonction dérivée de 𝑓
s’annule en −√3 et en √3. De plus 𝑓(−√3) =
3 3
− 2 √3 et 𝑓(√3) = 2 √3.
Dresser le tableau de variations de 𝑓.
5. Déterminer l’expression de 𝑓(𝑥) sachant
qu’elle peut s’écrire sous la forme
𝑥3
𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 2 +𝑏𝑥+𝑐 où 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des nombres réels.

Exercice 12
 1
x  2  si x  0
 1  x
Soit la fonction f définie par f  x    x 1
 si x  0
 x 2  2x  1

1) Justifier que la fonction est définie sur R
2) Ecrire f  x  sans valeur absolue
3) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0 puis interpréter les résultats
4) Etudier la dérivabilité de f en 2. Interpréter les résultats.
5) Déterminer les limites aux bornes de l’ensemble de définition.

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6) Etudier les branches infinies de Cf


7) Etablir le tableau de variations de f
8) Tracer Cf dans un repère orthonormé unité 2 cm
9) Soit g la restriction de f à 2;
a) Montrer que g admet une bijection réciproque g 1 dont on précisera son ensemble de définition
et ses variations.
b) Etudier la dérivabilité de g 1

 
c) Calculer g 1 2
d) Expliciter g 1 x 
e) Tracer Cg 1

Problème 1 :
On pose f x  
2
 x3
1 x
1) Ecrire f  x  sans le symbole
2) Etudier les limites de f aux bornes de son domaine de définition.
Préciser les équations des asymptotes de C f puis étudier la position de cette dernière par rapport à
chaque asymptotes.
3) Etudier la continuité de f .
4) La fonction f est-elle dérivable en 3.
5) Calculer la dérivée de f sur les intervalles où elle est dérivable.
6) Etudier le sens de variation de f et dresser son tableau de variation.
7 9
7) Déduire que l’équation f  x   0 admet une solution unique  dans  ;  . Calculer 
2 2
8) Soit g la restriction de f à 3; . Montrer que g admet une fonction de réciproque g 1 dont on
indiquera les variations.
3
 
' 3 
9) Monter que g 1 est dérivable en . Puis calculer g 1   . Et donner l’équation de la tangente de
2 2
3
C g 1 au point d’abscisse .
2
10) Construire C f et C g 1 dans un repère orthonormé ( O i ; j ).

Problème 2
 x 1
g( x )  x si x  0
Soit h la fonction donnée par 
x
 x3  x2
g ( x )  si x  0
 x 2 1
1°/ Montrer que g est définie sur  . Ecrire g sans barres de valeur absolue
2°/ Etudier la continuité et la dérivablité de g en 0 et -1
3°/ Etudier les branches infinies et la position de la courbe par rapport aux éventuelles asymptotes
4°/ Calculer h'(x) sur les intervalles où h est dérivable .
5°/ Soit (x)= x3 + 3x - 2.

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a) Montrer que l'équation (x)=0 admet une solution unique  sur . Donner un encadrement de  par deux
entiers consécutifs
b) En déduire le signe de  sur 
x( x )
6) Montrer que g'(x)= sur [0, [ puis établir le tableau de variation de g sur 
( x 2  1) 2
1) Tracer les droites remarquables puis la courbe de g
2) a) Montre que la restriction g1 de g à ]-  ; -1] est bijective de ]- ;-1] sur un intervalle J à préciser.
b) Donner les variations de g1-1 . g1-1 est-elle dérivable sur J ? Calculer g1-1 (2) puis (g1-1)'( 2 ). tracer Cg1-1
Problème 3
Soit 𝑓 la fonction définie par :
𝑥(𝑥−2)
si 𝑥 < 0
𝑓(𝑥) = { 𝑥−1 .
𝑥 + √|𝑥 2 − 𝑥| si 𝑥 ≥ 0
On note (𝐶𝑓 ) sa représentation graphique dans un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗),unité 2𝑐𝑚.
1) a) Déterminer 𝐷𝑓 et écrire 𝑓 sans le symbole de la valeur absolue.
b) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de 𝐷𝑓 .
2) a) Etudier la continuité de 𝑓 en 0.
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0 et en 1.
Donner une interprétation graphique des résultats obtenues.
3) a) Calculer 𝑓 ′ (𝑥) dans les intervalles où 𝑓 est dérivable.
b) Résoudre dans ]0; 1[ l’inéquation 2√𝑥 − 𝑥 2 + 1 − 2𝑥 ≤ 0.
c) Etudier le signe de 𝑓 ′ (𝑥) puis dresser le tableau de variations de 𝑓.
4) a) Montrer que (𝐶𝑓 ) admet une asymptote oblique (∆) en +∞.
Etudier la position relative de (𝐶𝑓 ) et (∆) sur ]1; +∞[.
b) Montrer que (𝐶𝑓 ) admet une asymptote oblique (𝐷) en −∞.
Etudier la position relative de (𝐶𝑓 ) et (𝐷) sur ] − ∞; 0[.
5) Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à l’intervalle ]1; +∞[.
a) Montrer que 𝑔 définie une bijection de 𝐼 =]1; +∞[ sur 𝐽 à préciser.
b) La bijection réciproque 𝑔−1 est-elle dérivable sur 𝐽? Calculer (𝑔−1 )′ (2).
c) Expliciter 𝑔−1 (𝑥) pour tout 𝑥𝜖𝐽.
6) Construire (𝐶𝑓 ) ainsi que (C𝑔−1 ) dans le repère (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗).

Problème 4
Soit ℎ la fonction définie de R dans R par :
𝑥
√𝑥 2 +1
𝑠𝑖 𝑥 < 0
ℎ(𝑥) = { 𝑥 .
2
𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
𝑥 −1
Soit (Cℎ ) sa représentation graphique dans un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗),unité 4𝑐𝑚.
1. Déterminer l’ensemble de définition Dℎ de ℎ.
2. 2tudier les limites de ℎ aux bornes de Dℎ .
(On précisera la nature de chaque branche infinie éventuelle.)
3. Etudier la continuité puis la dérivabilité de ℎ en 0.
4. Dresser le tableau de variation de ℎ.
5. Tracer (Cℎ ).
6. On appelle 𝑓 la restriction deℎ à 𝐼 =]1 ;+∞[.
a. Montrer que 𝑓 est une bijection de 𝐼 vers un intervalle 𝐽 à préciser.
1
b. Déterminer (𝑓 −1 )′ (2).

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c. Tracer (C𝑓−1 ) dans le repère précèdent.

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Fonction logarithme Népérien


Exercice 1 :
Calculer les limites suivantes.
ln x ln 1  x  ln x
a) lim x ln x b) lim c) lim e) lim
x 0 x 0 x x 0 x x   x 2

ln 2 x  3 ln x  1
i) lim x ln x  ln x 
1 2
g) lim h) lim x ln j) lim
x   ln x x   x x   x 0 x
 1 1 x2 
k) lim  2 ln  l) lim
ln x 
10
m) lim
1
n) lim 
 ln x 

x 0
x cos x  x  
x x 0 xln x 
2
x   x²  1 

n) lim  3
 ln x²  1 

x   x  1 
o) lim x  ln x 
x 

p) lim x 3  2 x  ln x
x  
 q) lim x  ln x ²  1
x 

  1   3 ln x 
s) lim x  ln x  t) lim   
ln x
r) lim  x ln  1    x  1 u) lim   2 x  1
x 0  x  x 0 x 0  x²  x  
 x 
Exercice 2 :
A. Résoudre dans R les équations suivantes
a. ln(x + 3) + ln(x + 2) = ln(x + 11)
b. ln(x² − x − 1) = 0
c. ln(x + 3) − ln(x − 5) = ln15
d. ln|2𝑥 − 5| − ln|3𝑥 + 2| = ln |𝑥 + 1|
1  ln x
e. 1
2  ln( x  2)
f. ln(2x + 8) − ln(3x + 2) = ln(x + 1)
g. 3ln²x − 5lnx + 2 = 0
h. ln ² x  (1  2 ln 2) ln x  2 ln 2  0
i. 2 ln 3 ( x  1)  9 ln ²(x  1)  2 ln( x  1)  9  0
j. ln 3 x  2 ln ² x  ln x  2  0
 x   x   x 
k. 2 ln 3    3 ln ²   3 ln  2  0
 x2  x2  x2
B. Résoudre dans R les inéquations suivantes
a. ln(2x − e) > 1;
b. ln( 2  3 x)  0 ;
c. ln(2x + 3) < ln(x + 3);
d. n(2 − x) + ln(x + 4) > ln(3x + 2);
e. ln( x  2)  ln( x²  4) ;
2  ln x
f. 0 ;
1  ln x
g. 1  ln x2  ln x  0 ;
h. 2 ln 3 ( x  1)  9 ln ²(x  1)  2 ln( x  1)  9  0 ;
 x   x   x 
i.  2 ln 3    3 ln ²   3 ln  2  0 ;
 x2  x2  x2
C. Résoudre dans R2 les systèmes suivants

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 x  y  25 x  y  2  e  x ²  y²  700  ln x  3 ln y  1
a)  b)  c)  4 d)  20
ln x  ln y  2 ln 12  ln( x  y)  1 ln x  ln y  2 ln 3 ln x  2 ln y 
 3  3
Exercice 3 :
Dans chacun des cas suivants, dresser le tableau de variation de la fonction 𝑓.

a) f x   ln x 2  2 x  1 ; b) f x  
ln x 2 ; c) f x  
1  (ln x) 2
1  ln x 
2
x
x 1
d) f x   ln x  ln x e) f ( x)  ln ln x f) f ( x)  ln
x 1
g) f ( x)  x ln x  x h) f ( x)  ln x  x 2  1 i) f ( x )   x
ln x
j) f ( x)   x 2  x 2 ln x .

Exercice 4 :
 f ( x)  ( x  1)² si x  1
1. Soit f la fonction définie par 
 f(x)  lnx si x  1
1.1. Montrer que 𝑓 est continue sur R
1.2. Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 1. Interpréter ce résultat géométriquement.
 g( x )  3x ²  2x  1 si x  0
2. Soit g la fonction définie par : 
g( x )  x  1  ln( x  1) si x  0
2.1. Montrer que g est continue en 0 .
2.2. Etudier la dérivabilité de g sur R

Exercice 5 :

Soit 𝑓 la fonction définie par : f ( x )  x ² ln x x  0
 f ( 0)  0
1. Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0.
2. Etudier f sur son domaine de définition.

Exercice 6 :
Soit f : x  ( x  1) ln x  1  x ln x
1. Déterminer Df.
2. Etudier les variations de f
 g(0)  g(1)  0
3. Soit g définie par : 
g( x )  f ( x ) si x  0 et x  1
a)Montrer que g est un prolongement par continuité de 𝑓.
b)Etudier la continuité et la dérivabilité de g en 0 et en 1.
c) Calculer lim f ( x )
x  
d)Etudier g puis représenter sa courbe représentative ( Cg ) dans un repère ( unité graphique 2cm )

Exercice 7 :
x  ln x
On se propose d’étudier la fonction f définie sur 0; par f ( x) 
x2
1) Soit h la fonction définie sur 0; par : h( x)   x  1  2 ln x .
a) Calculer ℎ(1) puis étudier les variations de ℎ.

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b) En déduire le signe de ℎ(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.


2) a) Etudier les limites de f aux bornes de son domaine.
b) Calculer f ’(x) et en déduire le tableau de variation de f .
c) Montrer que l’équation f(x)=0 admet un solution unique  sur 0; .
d) montrer que 0,5<  <0,6 puis donner en justifiant, une valeur approchée de  à 10 2 près par défaut.
3) Tracer la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (unité 2cm).

Exercice 8:
x
1) Soit f ( x)   ln x  1
x 1
a) Etudier f et dresser son tableau de variation.
b) Calculer f(0) en déduire le signe de f.
2) Soit g : x  x ln x  1
a) Etudier g et tracer C g .
b) Soit A le point d’intersection de C g et l’axe (Ox), d’abscisse nulle.
Démontrer que A est un point d’inflexion de C g et écrire l’équation de la tangente (T) à C g en A.
3) Soit h  g / 1; (c’- à- d la restriction de g sur 1; ).
Démontrer que h est une bijection de 1; vers un intervalle J à préciser et construire sur un autre
graphique les courbes C h et Ch1 .
Exercice 7:
Soit f la fonction numérique définie sur IR  par :
  1
 f ( x)  x ln  x   pour x  0
  x
 f(0)  0
a) Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓 en 0.
b) On considère la fonction g définie pour x  1; par g ( x)  x ln x et on appelle (  ) sa courbe
représentative dans le même repère (O i; j ). Etudier g et tracer (  ) .
c) Etudier la limite de 𝑓 quand 𝑥 tend vers +  .
Montrer que les courbes (  ) et (C f ) sont asymptotiques et préciser leurs positions relatives.
d) Déterminer f ' et f ' ' puis étudier le sens de variation de f ' et montrer que f ' est positive.
e) Achever l’étude de la fonction 𝑓 puis tracer la courbe (C f ) sur la même figure que (  ) .
Exercice 8 :
𝑙𝑛𝑥
Le but de cet exercice est d’étudier la fonction 𝑓 définie sur ]0; +∞[ par: 𝑓(𝑥) = 2
.
1+𝑥
1. Etude d’une fonction auxiliaire
On considère d’abord la fonction 𝑔 définie sur ]0; +∞[ par: 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑥 2 − 2𝑥 2 𝑙𝑛𝑥 .
a. Montrer que si 0 < 𝑥 ≤ 1, on a 𝑔(𝑥) > 1.
b. Calculer 𝑔(1) et 𝑔(2).
c. Montrer qu’il existe un réel strictement positif et un seul 𝛼 tel que 𝑔(𝛼) = 0.
d. Donner une valeur approchée de 𝛼 à 10−1 près.

2. Etude de la fonction𝒇
a. Exprimer 𝑓′(𝑥) à l’aide de 𝑔(𝑥).

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b. Etudier les variations de 𝑓.


1
c. 𝛼 étant le réel introduit dans la question 1. c. Montrer que 𝑓(𝛼) = 2𝛼2 .
d. Calculer les lim f ( x) et lim f ( x) .
x 0 x  

e. Dresser le tableau de variation de 𝑓 et construire la courbe représentative 𝐶𝑓 de 𝑓 dans un repère


orthonormé(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗). (unités graphiques: 2cm abscisse et 5cm ordonnée).
On fera figurer la tangente 𝑇 au point d’abscisse 1.
Exercice 9 :
(1 − 𝑥)[1 − ln(1 − 𝑥)], 𝑠𝑖 𝑥 < 1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = {
𝑥 − 1 + √𝑥 2 − 1 , 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 1
1. Préciser𝐷𝑓 , ensemble de définition de 𝑓 et les limites aux bornes puis étudier la continuité de 𝑓 sur 𝐷𝑓 .
2. Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 1. Interpréter géométriquement ces résultats.
3. Calculer la dérivée de 𝑓 puis étudier son signe. Dresser le tableau de variation de 𝑓.
4. Montrer que la droite (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 − 1 est une asymptote à la courbe 𝐶𝑓 en  .
𝑓(𝑥)
5. Déterminer lim . Interpréter géométriquement ce résultat.
𝑥→−∞ 𝑥
6. Soit 𝛼 l’abscisse du point d’intersection 𝐴 de 𝐶𝑓 avec l’axe des abscisses (𝑥 ≠ 1).
Déterminer l’équation de la tangente (𝑇) à 𝐶𝑓 en 𝐴.
7. Tracer (𝑇) et 𝐶𝑓 dans un repère orthonormé(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
8. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à [1; +∞[.
a. Montrer que 𝑔 définit une bijection de [1; +∞[. sur un intervalle I à préciser.
b. Expliciter 𝑔−1 puis représenter graphiquement 𝐶𝑔−1 dans le même repère.

Exercice 10
(𝑥−1)2
On considère la fonction numérique 𝑓définie sur [0; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛 ( 𝑥+1 )
1. Déterminer l’ensemble de définition de 𝑓.
𝑓(𝑥) 2 1
2. Montrer que si 0 < 𝑥 < 1 , alors 𝑥 = − (−𝑥) 𝑙𝑛(−𝑥 + 1) − 𝑥 𝑙𝑛(𝑥 + 1).
f ( x)
En déduire lim . La fonction 𝑓 est–elle dérivable au point 𝑥0 = 0?
x 0 x
3. a. Déterminer les limites de 𝑓 aux bornes de son domaine de définition.
f ( x)
b. Calculer lim . Que peut on en déduire?
x   x
c. Etudier les variations de 𝑓.
d. Résoudre l’équation𝑓(𝑥) = 0.
e. Tracer 𝐶𝑓 dans un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
4. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à l’intervalle ]1; +∞[.
a. Montrer que 𝑔 admet une application réciproque 𝑔−1 définie sur ℝ.
b. Déterminer (𝑔−1 )′(0) et tracer𝐶𝑔−1 dans le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).

Problème :
x² x3
A- Soit g : x  ln( x  1)  x  
2 3
1.

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1 x3
a) Démontrer que x   on a g' (x )  
2 1 x
1
b) En déduire que x   on a g' (x)  2 x 3
2
1
c) En appliquant les inégalités des accroissements finis à g déduire de ce qui précède que x   on a
2
g( x )  2 x 4
 1
 f ( 0) 
2. Soit f la fonction définie par :  2
x  ln( x  1)
et ( C ) sa courbe représentative dans le plan
f ( x )  x  0
 x²
  
muni d’un repère O; i ; j 
a) En utilisant les encadrements obtenus dans A) démontrer que f est dérivable en 0 et préciser une équation
cartésienne de la tangente à ( C ) au point d’abscisse 0
x ²  2x
b) Soit h la fonction définie par h(x)    2 ln( 1  x )
1 x
i. Etudier les variations de h
ii. Calculer h(0). En déduire le signe de h(x) suivant les valeurs de x
c) Calculer f’(x). Trouver une relation une relation entre f’(x) et h(x). En déduire les variations de f.
d) Etudier les limites de f aux bornes de Df puis déterminer les branches infinies de ( C)
e) construire (C) ( unité graphique 2 cm)
f) Calculer la dérivée de la fonction x  x ln x . En déduire une primitive de f qui s’annule en 1

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Fonction exponentielle
Exercice 1 :
1°/ Calculer les limites suivantes :

lim x  e x
x  
; lim 
 ex 
,
x   x  1 
lim 5  3x e 2 x ,
x  
 
 3e x  1   e 2 x  5e x  12    ex  1 
lim  x , lim   lim  ln  x  ,
x   5e  2  x    2e  3x  5e 2 x  2  x    e  2  
      
 e 3x     
lim x  2e x 1  ; lim x  2e x 1 
1 1
lim   ,
x   5x  1  x 1  x    
 
2°/ calculer les limites suivantes

lim  2 x ln x ,
x 0
 x 0 
 ex  1 
lim   
 ,
x 0 
 e 3x  e 2 x
lim  
x

,

 x   

x 0

lim  x3 x e x ,   1
lim   xe x  ;
x 0  
 ,
lim e  x ²
x  

 e sin x  1   x
1

e 
lim    , lim    .
x 0  x  x 0  x ² 
   
3°/ Soient a et b deux réels strictement positifs.
 a x  bx   x 
 
x
Calculer lim   . En déduire lim  a  b  et lim n n a  n b .
x 0 x  x  0 e x  e  x  n 
   
4°/ Détermine, si possible, la limite des fonctions suivantes en  : f ( x )  x  ln 2e x  1 et g ( x )  x ²e  x  x 3 .
5°/ Soient P une fonction polynôme et axn son monôme du plus haut degré.
a) Montrer que lim P(e x )  lim ax n 
x   x  

P (e x )
b) En déduire alors lim si P et q sont des polynômes.
x   q (e x )
Exercice 2
Résoudre dans ℝ les équations et inéquations suivantes :
e
1°/ a) e2x 1  2 x 1
 e 1 , b) e 2 x  e x  2  0 , c) e 2 x  3e x ,
e
ex  2 e2x  e x  4
d) e 2 x  3  4e 2 x , e) 2 f) 1
1  3e x 3e x  2
g) ( x ²  1)e ln(x  2)  ln e ( x 1)
2°/ a) e  x  1e 2 x  3  0 ,
e x  2e3x
b) e 3x  e x  7 , c) 2,
1  3e 2  x
x
 1
d) 3 x  32 x , e) 1     5 .
5
Exercice 3:
Résoudre dans ℝ² les systèmes suivants :
 e x  e y  2 e x  e y  7  2 x  2 y  8
a)  , b)  , c) 
3e x  2e y  4  e x  y  10 2 x  2 y  5 2

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Exercice 4 :
Pour chacune des fonctions suivantes
1) Déterminer Df
2) Calculer les limites aux bornes de Df.
3) Déterminer l’ensemble de dérivabilité de 𝑓 puis calculer f ' (x)
x ex ex
a) f ( x)  x  e x
b) f ( x)  x  e c) f ( x)  d) f ( x) 
x 1 ( x  1) 2
ex ex 1 e2x  1 ex 1
e) f ( x)  f) f ( x)  2 x g) f ( x)  h) f ( x) 
1 ex e 1 x x
1 1 1
sin x
i) f ( x)  x(e x  1) j) f ( x)  e x ln x k) f ( x)  l) f ( x)  xe x
1 ex
2 x3 x
m) f ( x)  e ( x ln x )
n) f ( x)  e o) f ( x)  ln( e x  7  e  x )
x2
Exercice 5 :
 f ( x )  xe x si x  0
On considère la fonction f : x  
f ( x )  x ln x si x  0
1°/ Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0
2°/ Montrer que f est dérivable et calculer f’(x)
Exercice 6 :
1°/ Soit  : x  1  e x  1
1 1
 x
a) Etudier les variations de 
b) En déduire le signe de (x) suivant les valeurs de x
 f (0)  0

2°/Soit f la fonction définie par : f ( x )  x x  0
 1

 1 ex
a) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0
b) Etudier les variations de f  
c) Soit (C) la courbe représentative de f dans un repère O; i ; j  
 x
c-1) Calculer lim f ( x )  
x   2  
c-2) Conclure puis tracer (C)

Exercice 7 :
ex  2
Soit la fonction f définie sur IR par : f ( x) 
ex 1
3
1) a) Vérifier que pour tout réel x : f ( x)  1 
e 1
x

En déduire la limite de f(x) en + 


b) Calculer la limite de f(x) en - 
2) Etudier les variations de f
1  2e x
3) Vérifier que pour tout réel x f ( x) 
1 ex

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1
En déduire que le point I(0, ) est un centre de symétrie.
2
4) Donner une équation de la tangente (T) à la courbe C f au point I.
5) Préciser l’intersection de C f avec l’axe (Ox).
6) Tracer (T) et C f .
3e x
7) Vérifier que pour tout réel x : f ( x)  2  . En déduire une primitive F de f sur ℝ.
ex 1
Exercice 8 :
1
x
Soit f la fonction définie par f ( x)  ( x  4)e 2

1) Etudier les variations de f.


Déterminer lim f ( x) et lim f ( x) .
x   x  

2) a) Donner une équation de la tangent (T) à C f au point d’abscisse 0.


b) On veut préciser la position de C f par rapport à (T). On pose h( x)  f ( x)  y
Calculer h’(x) et h’’(x). Etudier les variations de h’ et en déduire le signe de h’(x).
Puis par un raisonnement analogue, déterminer le signe de h(x) et en déduire la position de C f par
rapport à (T).
c) Montrer que C f admet en ce point d’abscisse 0 un point d’inflexion.
3) Tracer (T) et C f
1
x
4) On désigne par f la fonction numérique définie par F ( x)  (ax  b)e 2
a) Déterminer a et b pour que F soit une primitive de f.
b) Calculer lim F ( )  F (4)
  

5) Utiliser la courbe C f pour représenter graphiquement dans le même repère, la fonction g définie par
1
x
g ( x)  x  4 e 2
1
x
6) Résoudre graphiquement l’équation x  4 e =m où m désigne un paramètre réel.
2

Exercice 9 :
A/ Soit la fonction définie sur R par 𝜑(𝑥) = (𝑥 2 + 𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 − 1.
1. Determiner lim 𝜑(𝑥) 𝑒𝑡 lim 𝜑(𝑥).
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2. Etudier les variations de 𝜑(𝑥).puis dresser son tableau de variations.
3. Montrer que l’équation 𝜑(𝑥) = 0 admet deux solutions dans , dont l’une 𝛼 dans l’intervalle [1 ; +∞[
.Determiner un encadrement d’amplitude 10−2 𝑑𝑒 𝛼.
4. En déduire le signe de 𝜑(𝑥) sur R.
B/ On considère les fonctions 𝑓 et 𝑔 définies sur R. Par 𝑓(𝑥) = (2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 𝑒𝑡
2𝑥+1
𝑔(𝑥) = 𝑥 2 +𝑥+1 On note 𝐶𝑓 𝑒𝑡 𝐶𝑔 leurs courbes représentatives dans un repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1. Vérifier que 𝐶𝑓 𝑒𝑡 𝐶𝑔 passent par 𝐴(0 ; 1).
(2𝑥+1)
2.a. Vérifier que 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 +𝑥+1 𝜑(𝑥).
b. Etudier le signe de 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) sur R.
c. En déduire la position relative de 𝐶𝑓 𝑒𝑡 𝐶𝑔 .

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3.a. On considère la fonction 𝐹 définie sur R par 𝐹(𝑥) = −(2𝑥 + 3)𝑒 −𝑥 .


Vérifier que 𝐹 ′ (𝑥) = 𝑓(𝑥) , pour tout x dans R.
b. En déduire la primitive sur R de 𝑓 − 𝑔 qui s’annule en 0.

Exercice 10
A/On désigne par 𝑔 la fonction définie sur]0 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 𝑒 𝑥 − 𝑙𝑛𝑥 − 𝑥𝑒 𝑥 + 1.
1. Déterminer la limite de 𝑔 en 0.
2. Déterminer la limite de 𝑔 en +∞.
3. Etudier le sens de variation de 𝑔 puis dresser son tableau de variation.
4. Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼.
5. Justifier que 𝛼 ∈ ]1,23 ; 1,24[.
6. Donner le signe de 𝑔(𝑥)pour tout 𝑥 ∈ ]0 , +∞[.
B/On considère la fonction 𝑓 definie [0 , +∞[ par
𝑥
𝑠𝑖 𝑥 > 0
𝑓(𝑥) = {𝑒 𝑥 −𝑙𝑛𝑥
0 𝑠𝑖 𝑥 = 0 .
On désigne par C la représentation graphique de la fonction 𝑓 dans un repère ortho normal(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1. Montrer que 𝑓 est continue en 0.
2. Déterminer la limite de 𝑒𝑛 + ∞ , Interpréter graphiquement le résultat.
4. Montrer que 𝑓 ′ (𝑥)est de même signe que 𝑔(𝑥).
En déduire les variations de 𝑓 puis dresser son tableau de variation.
1
5. Montrer que (𝛼) = 1 .
𝑒𝛼−
𝛼
C/1.Etudier le sens de variation de la fonction ℎ
1
Définie sur ]0 , +∞[ 𝑝𝑎𝑟 ℎ(𝑥) = 1 .
𝑒 𝑥−
𝑥
2. En déduire l’encadrement du réel 𝛼.determiner un encadrement de 𝑓(𝛼).
3. Tracer la courbe C et préciser ses tangents aux points d’abscisses 0 et 𝛼.

Problème 1 :
1ère Partie
1°/ Soit g : x  x  1  ln x
a) Etudier les variations de g
b) En déduire le signe de g(x) en fonction de x
2°/ Soit h : x  1   ln x . Etudier les variations de h puis tracer sa courbe représentative
1
 x
2ème Partie
 11

Soit f la fonction définie par f (x  x si x  0


x


 f (0)  0
1°/ Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0
f (x)
2°/ Calcul lim .
x   x
ln x
f (x)  x e x  1
a) Démontrer que x  0 et x  1 on a :  1
ln x x
ln x

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f (x)
b) Montrer que la fonction x  admet une limite en  . Quelle est cette limite ? La fonction
x
x  f ( x )  x admet elle une limite en  ?
3°/ Montrer que f est une bijection de 0; sur lui-même.
4°/
a) Montrer que f " (1)  0
b) Tracer la courbe représentative de f et la tangente à cette courbe au point d’abscisse 1. (considéré comme
point d’inflexion).
Problème 2 :
1ère Partie : Soit f : x  1  x  1  e1 x  et (C) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère
orthonormé.
1°/ Soit g : x  1  xe1 x
a) Etudier les variations de g.
b) En déduire le signe de g.
2°/
a) Etudier les limites de f en 
b) Etudier les branches infinies de (C)
c) Etudier les variations de f puis montrer que f admet une réciproque f-1. Est elle dérivable en 4 ?
d) Etudier la position relative de (C) par rapport à sa tangente au point d’abscisse 1.
e) Construire dans le même repère les courbes (C), (C’) et les droites   : y  x  1 et ' : y  x  1
2ème Partie
1°/
 x  1
a) Montrer que f ( x )  x  
ln(  x  1)  x  1  0
b) Etudier la fonction h : x  ln(  x  1)  x  1 . En déduire que l’équation f(x)=x admet une solution unique
qu’on notera  dans .
2°/
a) Comparer f(x) et x pour x=-2 puis x=-1. En déduire que x   2;1 on a  2  f 1 ( x )  1
b) Déduire des questions précédentes que x   2;1 on a
1
 
 f 1 ' ( x ) 
1
1  2e 2
1 e2
c) Montrer que x   2;1 on a f 1 (x)   
1
x .
1  e2
 u 0  1
d) Soit u n n  0 la suite définie par :  1
u n  f (u n 1 ) n  0
d-1) Montrer que n  0 on a u n   1;2
d-2) En déduire alors que n  0
1
un    u0   . Calculer lim u n .
1  e 
2 n n  

Problème 3 :
A) Soit la fonction h définie par hx   1  x 2  2 x  2e  x
1) Dresser le tableau de variation de h
2) Démontrer que l’équation h x   0 admet une unique solution   0,1 .
Donner une valeur approchée de  à 10 1 prés. En déduire le signe de h  x 

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 1 1x
1  e si x  0
B) Soit la fonction f définie par f x    x
 
 x  1  x 2  2 e  x si x  0

1) Justifier que f est définie sur R
2) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0.Interpréter les résultats.
3) Etudier les branches infinies de Cf .
4) Dresser le tableau de variation de f .
5) Montrer que f     1  2e  
6) Tracer Cf dans un repère orthonormé unité 2cm
C) Soit g la restriction de f à  ,1
1) Prouver l’existence de g 1 . Etudier la dérivabilité de g 1 .
  
1
 2e 2 

 
2) Résoudre g 1 x   2 puis calculer g 1  
 2 
 
1
3) Tracer la courbe de g dans le même repère.
Problème 4
Partie A
On considère la fonction définie g définie par g x   ln x  1  e x
1) Etudier les variations de g
2) Montrer que l’équation g  x   0 admet une solution unique a tel que 0,6  a  0,7 .
3) En déduire le signe de g  x 
Partie B
On considère la fonction définie par
 x ln x  e  x si x  0
 1
f x    e 2 x
 2 si x  0
 x  1
1) Justifier que 𝑓 est définie sur R-{−1}.
2) Ecrire f  x  sans la valeur absolue.
3) Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓 en 0 (on pourra montrer que si x   1,0 ,
 1x 
1  e2 1
  x
2 1 x 
f x   f 0  
  2 
x0 x2  1
4) Déterminer les limites aux bornes puis étudier les branches infinies.
5) Dresser le tableau de variation de f. Montrer que f a   a  1ln a  1
6) Soit h la restriction de f à a,
a) Montrer que h admet une bijection réciproque h-1 définie sur un intervalle J à préciser.
h-1 est-elle dérivable sur J ? justifier.
 1 
b) Calculer h(1) puis h 1    .Tracer Cf et Ch1 dans le même repère orthonormé unité 2cm
e

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Suites Numériques
Exercice 1
Montrer les propositions suivantes par récurrence.
1) Pour tout entier naturel 𝑛, et pour tout nombre réel 𝑥, (1 + 𝑥)𝑛 ≥ 1 + 𝑛𝑥.
2) Pour tout 𝑛 ≥ 1
13 + 23 + 33 + ⋯ + 𝑛3 = (1 + 2 + 3 + ⋯ + 𝑛)2

Exercice 2
1) Calculer les trois premiers termes consécutifs 𝑎, 𝑏 et 𝑐 d’une suite arithmétique décroissante sachant que :
1 1 1 33
𝑎 + 𝑏 + 𝑐 = 15 et + 𝑏 + 𝑐 = 40.
𝑎
2) Calculer les trois premiers termes consécutifs 𝑎, 𝑏 et 𝑐 d’une suite géométrique croissante sachant que :
𝑎𝑏𝑐 = 216 et 𝑎 + 𝑏 + 𝑐 = 19.

Exercice 3
Soit la suite (𝑢𝑛 ) définie par 𝑢0 = 10 et 𝑢𝑛+1 = √𝑢𝑛
1) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛,
𝑢𝑛 ≥ 1.
2) Montrer que la suite est décroissante.
3) En déduire qu’elle converge puis déterminer sa limite.

Exercice 4
Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
Soit 𝑢 la suite définie par :
𝑢0 = −1
{ 2𝑢𝑛 + 2
∀ 𝑛 𝜖 N* , 𝑢𝑛+1 =
2 + 𝑢𝑛
2𝑥+2
1) Construire la représentation graphique de la fonction 𝑥 → 2+𝑥 pour 𝑥 > −2.
2) En déduire la construction des trois premiers termes de cette suite sur l’axe (𝑂𝐼).
3) Quelle conjecture peut-on faire sur sa convergence?
Démontrer cette conjecture.
4) Quelles sont les valeurs possibles de lim 𝑢𝑛 .
𝑛→+∞
5) Donne en justifiant la limite de 𝑢𝑛 .

Exercice 5
On considère la suite numérique (𝑢𝑛 ) définie par :
𝑢1 = 6
{ [𝑛 𝜖 N* ]
5𝑢𝑛+1 = 𝑢𝑛 + 16
1) Démontrer que la suite 𝑢 est décroissante et minorée par 4.
2) Pour tout entier naturel non nul 𝑛, on pose
𝑣𝑛 = 𝑢𝑛 + 𝑘, 𝑘 𝜖 R
a) Pour quelle valeur de 𝑘, la suite (𝑣𝑛 ) est géométrique. On donnera sa raison et son premier terme.
b) Exprimer 𝑣𝑛 puis 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛 (on considère la valeur de 𝑘 trouvée)
c) Calculer 𝑆𝑛 = 𝑣1 + 𝑣2 + ⋯ + 𝑣𝑛 puis
𝑆′𝑛 = 𝑢1 + 𝑢2 + ⋯ +𝑣𝑛 en fonction de 𝑛.

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Exercice 6
On considère les suites numériques (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) définies par :
𝑢0 = 12 𝑣0 = 1
{ 𝑢𝑛 +2𝑣𝑛 ; { 𝑢 +3𝑣 .
𝑢𝑛+1 = 3 , 𝑛 ≥ 1 𝑣𝑛+1 = 𝑛 4 𝑛 , 𝑛 ≥ 1
1) On pose : 𝑤𝑛 = 𝑢𝑛 − 𝑣𝑛 ,[𝑛 𝜖 N* ].
Démontrer que la suite 𝑤 de terme général 𝑤𝑛 est géométrique puis exprimer 𝑤𝑛 en fonction de 𝑛.
2) Démontrer que la suite 𝑣 est croissante et que la suite 𝑢 est décroissante.
3) En déduire des questions précédentes, que (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) sont adjacentes.
4) Démontrer que pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, 𝑢𝑛 ≥ 𝑣𝑛 . En déduire que 𝑢1 ≥ 𝑢𝑛 ≥ 𝑣𝑛 ≥ 𝑣1 .
5) Démontrer que la suite (𝑥𝑛 )𝑛≥1 de terme général 𝑥𝑛 = 3𝑢𝑛 + 8𝑣𝑛 est constante puis détermine la limite
commune à 𝑢 et 𝑣.

Exercice 7
𝑢 et 𝑣 sont des suites numériques données par :
5
𝑢0 = 4
{ 1 4 ; 𝑣𝑛 = 𝑢𝑛 + 𝑎𝑛 + 𝑏, 𝑎 et 𝑏 sont des nombres réels.
𝑢𝑛−1 = 3 𝑢𝑛 − 𝑛 − 3 (𝑛 ≥ 1)
1) Détermine 𝑎 et 𝑏 sachant que (𝑣𝑛 ) est géométrique.
En déduire 𝑣𝑛 puis 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.
2) On pose :
𝑆𝑛 = 𝑣0 + 𝑣1 + ⋯ + 𝑣𝑛 et
𝑇𝑛 = 𝑢0 + 𝑢1 + ⋯ + 𝑢𝑛 .
Exprimer ces deux expressions en fonction de 𝑛.

Exercice 8
Le plan est muni du repère orthonormé (𝑂, 𝐼, 𝐽).
𝑢0 = 4,
On considère la suite (𝑢𝑛 )𝑛 définie par : { 1
∀ 𝑛 𝜖 N*, 𝑢𝑛+1 = 2 𝑢𝑛 − 3.
1) Construire les 4 premiers termes de cette suite sur l’axe des abscisses.
2) a. Démontrer que :
1
∀ 𝑛 𝜖 N*, 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 = 2 (𝑢𝑛 − 𝑢𝑛−1 ).
b. En déduire que ∀ 𝑛 𝜖 N,
1 𝑛
𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 = −5 (2) .
3) Exprimer 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛 puis déduire que (𝑢𝑛 )𝑛 converge.
4) Donner l’expression de
𝑆𝑛 = 𝑢0 + 𝑢1 + 𝑢2 ⋯ ⋯ + 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.

Exercice 9:
Soit u n n0 une suite numérique définie par :
 u 0 ; u1
 où u0 et u1 sont des réels.
u n  2  6u n 1  9u n n  0

1°/ On considère la suite v n n 0 définie par u n  3 v n


n

a)Exprimer v n 1  v n en fonction de v n  v n 1 . Exprimer alors v n 1  v n en fonction de v0 et v1.


b)Exprimer alors vn puis un en fonction de n ;u0 et u1.

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1
2°/ on suppose que u 0  1 et u 1 
3
a)Que peut on dire des suites v n n 0 et u n n 0 ?
b)Calculer alors S n  u 0  u 1  ........  u n en fonction de n.
c) La suite S n n 1 admet t- elle une limite ?

Exercice 10:
 a1  1
On considère la suite a n n 1 définie par :  et la suite b n n 1 définie par :


a n 1 
1
16
 
1  4a n  1  24a n n  1

b n  1 24a n

1°/ Montrer que pour tout entier naturel non nul n on a : b n 1  b n  3 .


1
2
En déduire une formule explicite de b n
1 1 1
2°/ Montrer que a n   
3 2 n
3  2 2n 1
Exercice 11 ;
On définit sur ]0; +∞[ la fonction 𝑓 donnée par :
1 2
𝑓(𝑥) = (𝑥 + )
2 𝑥
1) Dresser le tableau de variations de 𝑓.
2) Etudier le comportement de (Cf), courbe représentative de 𝑓 au voisinage de 0 et en +∞.
3) Construire (Cf) dans un repère orthonormé (unité 2cm).
1 2
4) On définit, pour tout entier naturel 𝑛, la suite (𝑢𝑛 ) par : 𝑢0 = 2; 𝑢𝑛+1 = 2 (𝑢𝑛 + 𝑢 )
𝑛
a. Construire les premiers termes de la suite sur le graphique précédent.
b. Montrer que (𝑢𝑛 ) est décroissante.
c. Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, √2 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 2.
2
(𝑢𝑛 −√2)
5) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, 𝑢𝑛+1 − √2 = 2𝑢𝑛
.
1
6) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛+1 − √2| ≤ |𝑢 − √2|.
2 𝑛
a. En déduire que
1 𝑛
|𝑢𝑛 − √2| ≤ (2) |𝑢0 − √2|.
b. Trouve la limite de 𝑢𝑛 .

Exercice 12 :
1
On considère les fonctions 𝑓 et 𝑔 données par : 𝑓(𝑥) = 𝑥 2 +𝑥+1 et 𝑔(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑥 2 + 𝑥 − 1.
1) Etudier les variations de 𝑔. En déduire que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique
1
𝛼 𝜖 [3 ; 1].
1
2) Montrer que, dans [3 ; 1] les équations 𝑔(𝑥) = 0 et 𝑓(𝑥) = 𝑥 ont même ensemble de solutions.
1
Donner alors la solution dans [3 ; 1] de l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥.
3) Etudier les variations de 𝑓.

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a) En déduire que pour tout nombre réel


1 1
𝑥 𝜖 [3 ; 1], 3 ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 1.
4 1
b) Démontrer que |𝑓′(𝑥)| ≤ 5 ∀ 𝑥𝜖 [3 ; 1].
1
c) En déduire que ∀ 𝑥𝜖 [3 ; 1],
4
|𝑓(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
5
4) Soit la suite (𝑢𝑛 ) définie par la relation de récurrence :
2
𝑢0 = 3 et 𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 ).
a) A l’aide d’un raisonnement de récurrence, démontrer que pour tout entier naturel 𝑛,
1
≤ 𝑢𝑛 ≤ 1.
3
b) En utilisant le théorème de l’inégalité des accroissements finis, établir la relation
4
|𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
5
4 𝑛 2
c) En déduire que |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ (5) × 3.
d) Donne la valeur de lim 𝑢𝑛 .
𝑛→+∞

Exercice 13:
x ln x
Soit la fonction f : x  . On se propose de résoudre l’équation f(x)=n avec n entier naturel non nul.
x 1
Partie A :
1°/ Soit  : x  ln x  x  1 montrer que l’équation ( x )  0 admet une solution unique  vérifiant
0,27    0,28 .
2°/ Exprimer f’ en fonction de . En déduire que n  * l’équation f(x)=0 admet une solution unique  n
Partie B : Comparaison de  n et e n
1°/ Etablir que f  n   n . En déduire que  n  e n .
  n
2°/ Prouver que f(x)=0 peut s’écrire ln  nn   n (1).
e  e
 n 
3°/ Déduire à l’aide (1) lim  
n  en 
Partie C
On pose  n  e n 1   n  avec  n  0
1°/ A l’aide (1) exprimer 1   n  ln 1   n  en fonction de n

2°/ Etablir que t  0 , 0  (1  t ) ln(1  t )  t  .
2
n n²
3°/ En déduire que pour tout entier n ;  n  n  e n   n  et 0  n  e n   n  e 2n
2 2
4°/ A l’aide des relations ci-dessus déterminer lim e n  n   n .
n  
 

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Calcul intégral
Exercice 1
Calculer les intégrales I suivantes :

 ex 
1
x 1 t3 1 ln x 2
a) I= 
ln 3
d) I=  1 
3
e dt b) I=  2 e tan x dx c) I=  dx  x
dx
1 t4 0 1  cos 2 x 2 x ln 2
 1 e 
1 dt x 3 e 2 dx
t h) I= 
1
g) I= 
1
e) I= f) I=  dx dt
0 2
 2t  1 0
x 2
1  3 0
3  2t 4 e x ln x


 
i) I= 2 tan ln 1  cos x dx
x
 
3

j) I=  sin x sin 2 xdx k) I=  2 cos5 x  3 cos x sin x dx l) I=


3
2 0 0


x2 1 1 
 tan x  tan xdx n)   2t  1 
3
4 3
m) I=  dx dt
0 1
x 2
 4x
2 0
 t 5
Exercice 2
Calculer les intégrales en faisant un changement de variable.
2 t 4
a) I=  t 2 a  t dt avec a >0 b) I=  dt c) I=  t 1  t 2 dt
1

1 0
t 1 1

Exercice 3
Calculer les intégrales suivantes en utilisant une ou des intégrations par parties.

 2 x ln t t
a) I=  x cos xdx b) I=  2 dt c) I=  3
x e
dt d) I=  (1  t ) ln tdt e) I=  x 2 ln xdx
0 1 t 0 cos2 t 1 1
2 x  
f) I=  ( x 2  x  1)e 2 x dx g) I=  ln( t  t 2  1)dt h) I=  2t cos 2 t sin tdt i) I=  e x sin xdx
2

0 1 0 
Exercice 4
n
I n   ln x  dx
e
n  IN
1
1) a) Justifier l’existence de I n .
b) Démontrer que n  2 I n  e  nI n 1
2) On définit la suite ( U n ) et on pose n  IN * , I n  (1) n (eU n  n!)
a) Exprimer n  IN * U n 1 en fonction de n et U n
b) En déduire que U n  IN.
Exercice 5
x nx
1 dx 1 e dx 1 e dx
On donne I 0   ; I  0 1  e x ; I  0 1  e x
0 1 ex
1 n

1) Calculer I 0  I 1 et I 1 . En déduire la valeur de I 0


2) Calculer I n  I n1 en fonction de n. En déduire I 2 et I 3
3) Comparer e nx et e ( n 1) x lorsque x  0;1 . En déduire sans calculer que ( I n ) est croissante.

4) Montrer que  x  0;1 on a 


1 1 1
 . En déduire un encadrement de I n . Quelle est la limite
4 1 e x
2
de ( I n )

x
Exercice 6 On pose I=  4 (  sin 5 t costdt )dx
0 0

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15  44
Linéariser sin 6 x et Démontrer que I=
1152

Exercice 7 Soit f la fonction numérique de la variable réelle x définie par


x 1
f ( x)   ln x  ln( x  1)
x
1) Etudier les variations de f et tracer sa courbe.
2) Soit  un réel supérieur à 1 et D  { M(x,y) , 1  x   et 1  y  f ( x) }
Calculer l’aire A (D  ) de D  . Etudier la limite de A (D  ) lorsque  tend vers + 
Exercice 8 :
Soit (D) un domaine du plan défini par les systèmes suivants. Calculer l’aire de (D).
 0x3  0x2  1 x  2
a)  ; b)  c)  ;
0  3x  x ² 0  y  x ²  3x  1 x ²  1  y  ( x  1)²

 1 x  3  1 x  2
d) e  x  y  x  ln x e) ln 1  1   y  ln( 2  x)

 x 
  x

Exercice 9
 
cos x sin 2 x
1) On pose I 1   2 dx ; I   2 dx et I 1  I  I 2
0 1  2 sin x 0 1  2 sin x

Calculer I 2 puis I 1 et en déduire I


 
2) Soit I   x cos xdx et J   2 x sin 2 xdx
2 2
0 0
a) Calculer I+J et I-J en effectuant une intégration par parties.
b) En déduire I et J.
Exercice 10
e
a) Soit I n   x n ln xdx où n est un entier naturel
1

1) Calculer I n en utilisant la formule d’intégration par parties.


2) Calculer la limite de I n quand n tend vers + 
b) On désigne par n  Z et x  IR avec n  1 et x>1
x
1) Calculer I n ( x)   t n ln tdt
1
x
En déduire le calcul de J n ( x)   t n (ln t ) 2 dt
1

2) Calculer I n (e)  J n (e)


I n ( e)  J n ( e)
3) Calculer lim
n  e n1
Exercice 11
Soit la fonction définie sur 0; par f ( x) 
2 ln x
On se propose de trouver un encadrement de l’aire A
x2  x
 x 3
de l’ensemble des points M   tels que 1  x  et 0  y  f ( x)
 y 2
1) Etudier f et Tracer C f .

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ln x ln x
2) Monter que pour tout x  1 : 2
 f ( x) 
x x
3 3
ln x

ln x
3) Calculer I   2 dx et J  2 dx
1 x2 1 x
3
4) En déduire un encadrement de K   2 f ( x)dx puis un encadrement de A.
1
Exercice 12 :
Soit I n n 0 une suite définie par : I n  1  t 
1

n! 
1 n
t

n 1
e 2 dt
2 0

1°/ Calculer I0
1
2°/ Démontrer que I n 1  I n  n 1
2 (n  1)!
1 1 1
3°/ Montrer que e  1    ..  n  I n
2  1! 2²  2! 2 n!
 1 1 1 
En déduire que e  lim 1    ..  n 
x  2  1! 2²  2! 2 n! 
Exercice 13 :
Soit deux suites (𝐼𝑛 ) et (𝐽𝑛 ) définies pour tout entier naturel 𝑛 par :
𝜋 𝜋
𝐼𝑛 = ∫02 𝑒 −𝑛𝑥 sin 𝑥 𝑑𝑥 et 𝐽𝑛 = ∫02 𝑒 −𝑛𝑥 cos 𝑥 𝑑𝑥.
1. Calculer 𝐼0 et 𝐽0 .
𝑛𝜋
2. En intégrant par parties 𝐼𝑛 puis 𝐽𝑛 , montrer que 𝐼𝑛 + 𝑛𝐽𝑛 = 1 et −𝑛𝐼𝑛 + 𝐽𝑛 = 𝑒 − 2 .
3. En déduire les expressions de 𝐼𝑛 et 𝐽𝑛 en fonction de 𝑛.
4. Déterminer les limites de 𝐼𝑛 et 𝐽𝑛 .
Problème 1:
Partie A :
  x1²
Soit  : x  (x )  e si x  0

 (0)  0
1°/ Montrer que  et ’ sont continues et dérivables sur  et que pour tout réel x on a :
2( x )  x 3 ' ( x ) (1)
2°/ Etudier les variations de  et tracer sa courbe représentative dans un repère O; i ; j  . On
 

précisera les points d’inflexions.


Partie B :
x
Soit f la fonction définie par f(0)=0 et f ( x )  e x ²  ( t )dt si x  0
1

0
1°/
a) Montrer que f est une fonction impaire.
x
b) Démontrer que, pour tout réel strictement positif x, on a :  (t )dt  xe
 x1²
.
0

c) En déduire que f est continue en 0 puis sur .


2
2°/ Démontrer que, pour tout réel non nul x, on a : f ' ( x )  1  f (x) .
x3
3°/
a) En utilisant la relation (1), montrer que pour tout réel positif x on a :
x x3 x
  t ²(t)dt
3
( t )dt  ( x )  (2)
0 2 2 0

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x
 t ²(t)dt  x e
3  x²
1
b) Démontrer que, .
0

 f (x) 
c) Calculer lim    . En déduire que f est dérivable en 0 et que f’(0)=0.
x 0  x 
 f (x) 
d) Calculer lim   .
x 0  x² 
4°/
x x5 x
 
5
a) En utilisant la relation (1), montrer que, pour x positif on a : t ²( t )dt  ( x )  t 4( t )dt
0 2 2 0

(3)
x

 x1²
b) Démontrer que, pour tout réel positif x, on a : t 4 ( t )dt  x 5 e .
0

 f (x)  1
c) En utilisant les inégalités (2) et (3), établir que : lim   
x 0  x3  2

Problème 2 :
2x
On considère la fonction f : x  
dt
x ln t
1°/ Déterminer le domaine de définition de f
2°/
x
ln
a) Montrer que f est dérivable et que f ' (x)  2
ln 2x ln x 
b) Déterminer les variations de f
3°/
 1
a) Démontrer que x  0;   1; on a
x x
 f (x) 
 2 ln 2x ln x
f (x)f (x)
b) Déterminer alors lim f ; lim  ; lim f et lim
0 x 0 x x  x  

4°/ Soit g la fonction définie sur]0;1] par : g(x)  2 - 2x  lnx


a) Etudier les variations de g et ses limites aux bornes de son domaine de définition
b) En déduire !   0; 1  / g()  0 et que : x  ;1 ; ln x  2x  2
 2
2x dt
c) Montrer que : f (x)   . En déduire alors lim  f ( x )
x t 1 x 
1
2

d) Dresser le tableau de variations de f puis donner l’allure d sa courbe représentative.

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Equations Différentielles
Exercice 1
Dans chacun des cas suivants, trouve la solution de l’équation différentielle satisfaisant à la condition indiquée
a) 3𝑦 ′ + 7𝑦 = 0 ; 𝑦(2) = 5.
b) 𝑦 ′ − 2𝑦 = 0 ; 𝑦(0) = 1.
c) 𝑦 ′′ − 9𝑦 = 0 ; 𝑦(0) = 1, 𝑦 ′ (0) = −1.
d) 𝑦 ′′ − 2𝑦 ′ + 𝑦 = 0; 𝑦(0) = 𝑦 ′ (0) = 1.
e) y' '9 y  0 ; y (0)  1 ; y' (0)  1
f) 𝑦′′ − 4𝑦′ + 3𝑦 = 0; 𝑦(0) = 6, 𝑦′(0) = 10.
g) 𝑦 ′′ + 𝑦 ′ + 𝑦 = 0; 𝑦(0) = 𝑦 ′ (0) = 1.
Exercice 2
1. Résoudre l’équation différentielle
(𝐸): 𝑦" − 2𝑦′ + 5𝑦 = 0.
2. Détermine la solution 𝑓 de (𝐸) vérifiant 𝑓(0) = 0 et 𝑓′(0) = 1.
3. On pose pour tout nombre réel 𝑥,
1
𝐹(𝑥) = − 5 [𝑓 ′ (𝑥) − 2𝑓(𝑥)].

Justifier que F est une primitive de f sur R


Exercice 3
Soit l’équation différentielle
(𝐸): 𝑦" + 4𝑦′ + 8𝑦 = 20sin(2x) − 10cos(2x).
1. Résolvez l’équation
(𝐸0 ): 𝑦" + 4𝑦′ + 8𝑦 = 0.
2. Pour quelle valeur de 𝑎, 𝑏, la fonction ℎ donné par ℎ(𝑥) = acos 2𝑥 + 𝑏 sin 2𝑥 est solution de (𝐸).
3. Démontrer que 𝑓 est solution de (𝐸) si et seulement si 𝑓 − ℎ est solution de (𝐸0 ).
4. Donner toute les solutions de (𝐸).
Exercice 4
On considère l’équation différentielle
(𝐸): 𝑦" + 2𝑦′ + 𝑦 = −2𝑒 −𝑥 .
1. Montrer que la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = −𝑥 2 𝑒 −𝑥 est une solution de (𝐸).
2. Résoudre l’équation différentielle
𝑦" + 2𝑦 ′ + 𝑦 = 0.
3. En déduire les solutions de (𝐸).
Exercice 5
Soit l’équation différentielle
(𝐸): 𝑦" − 2𝑦′ + 2𝑦 = 2 − 4𝑥 + 2𝑥 2 .
1. Trouver une fonction g polynôme du second degré solution de (𝐸).
2. Montrer que ℎ est solution de (𝐸) si et seulement si ℎ − 𝑔 est solution de l’équation différentielle
(𝐸1 ): 𝑦" − 2𝑦′ + 2𝑦 = 0.
3. En déduire les solutions de (𝐸).
4. Trouver la solution 𝑓 de (𝐸) dont la courbe représentative passe par l’origine du repère et admet en ce
point une tangente parallèle à la droite d’équation 𝑦 = 𝑥.
5. Déterminer une primitive de 𝑓 en utilisant (𝐸).

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Exercice 6
On considère l’équation différentielle
(𝐸): 𝑦" − 2𝑦′ + 2𝑦 = 𝑒 −𝑥 sin 𝑥
1. Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 pour que la fonction 𝑔: 𝑥 → (a cos 𝑥 + 𝑏 sin 𝑥)𝑒 −𝑥 soit une solution de
(𝐸).
2. Montrer qu’une fonction 𝑓 est solution de (𝐸) si et seulement si 𝑓 − ℎ est solution de l’équation
différentielle (E’) : 𝑦" − 2𝑦 ′ + 2𝑦 = 0.
3. Résoudre (𝐸 ′ ) puis en déduire les solutions de (𝐸).
4. Détermine la solution 𝜑 de (𝐸) dont la représentation graphique passe par 𝑂 et admet en ce point une
1
tangente de coefficient directeur − 2 .

Exercice 7:
Soit (E ) l‘équation différentielle: y' '4 y'8 y  20 sin 2 x  10 cos 2 x
1/ Résolvez l‘équation y' '4 y'8 y  0 (E ' )
2/ Déterminer les coefficients a et b tels que la fonction g définie par g ( x)  a cos 2 x  b sin 2 x est solution
de (E )
3/ Démontrer que f est la solution de (E ) si et seulement si f  g est solution de (E ' )
4/ Donner toutes les solutions de (E )
Exercice 8:
1/ On donne l‘équation différentielle: y' '2 y' y  0 ( E1 )
a/ Résolvez ( E1 )
b/ Déterminer la solution particulière f de ( E1 ) telle que f (0)  4 et f (1)  3e .
2/ On considère maintenant l’équation différentielle : y' '2 y' y  2e x ( E 2 )
Montrer que la fonction g définie sur ℝ par g ( x)  ( x 2  5 x  7)e x est solution de ( E 2 ) .
3
3/ Calculer J   g (t )dt
1

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Nombres Complexes(1 ere partie)


Exercice 1 :
Donner sous forme algébrique les nombres complexes suivants :
  1  i 3   1  i 3 
   ;
1
;
3  i 1  2i  ;  1  2i 3 et  3i 
 
2
.

 2 
 2 
 1 2  i 3 1  3i 2  i  1  i 4  1  2i 
Exercice 2 :
1°/ Pour quelles valeurs du réels x le nombre complexe X  10  x  i(2  x )x  i  est il réel ?
1
2°/ Déterminer les nombres complexes z tels que : Z  soit réel, imaginaire pur.
4  z 2  iz 
Exercice 3
1°/ Ecrire sous forme algébrique le conjugué des nombres complexes suivants : 4  i 3 1  i  ;
2i
;
 3i  i
1  i 2  i 
2i 3  i 
3  2i 3  2i
2°/ Soit z1  et z 2 
 5  7i 5  7i
Sans calculer démontrer que z1-z2 est réel et z1+z2 est imaginaire.
Exercice 4 :
Dans chacun des cas suivants déterminer le module et un argument de z
3 3
1 3  1 3  1 3 1  i 3  2 i 2 
z   i
2 
, z    i    i  , z  , z    et 𝑧 = (1 − 𝑖)4 .

 2   2 2  2 2  3  i   1  i 
Exercice 5 :
Ecrire sous forme exponentielle les nombres complexes suivants
2 i 

1 i i ,  3  i1  i 3 , 1 i i e 1  cos x  i sin x


3
e ,
4
et
1 i 3 2 i 2 1  cos x  i sin x
Exercice 6 :
A- Déterminer l’ensemble des points M d’affixe z pour lesquels on a :
1.

z  z 1  4 , z  z  1  i  9 ; Arg(3i  z)  02 ; Arg(z  3  i)   et Arg(z²  4)  Arg(z  2)2
4
2.
z  5  2i  z  2  i ; z  1  2i  3z  9  3i ; zz  i(z  z)  3  0 et 2 z  i  z  z  2i
Exercice 7 :
6 i 2
Soit z1  et z 2  1  i
2
z1
1°/ Ecrivez sous forme trigonométrique z1, z2 et
z2
 6 2  6 2
2°/ Déduisez en cos  et sin 
12 4 12 4
3°/ Résoudre dans ;  l’équation  6  2 cos x   6  2 sin x  2
Exercice 8 :
1°/ Soit   0;  ; on considère l’équation E  : 4 1  sin  z²  2 1  cos 2 z  1  sin   0
a) Résoudre dans ℂ l’équation ( E ).
b) Déterminer le module et un argument des solutions de ( E ).

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c) Déterminer les valeurs de   0;  pour que OAB; où A et B sont les images des solutions de (E) soit
équilatéral.
2°/ Résoudre dans ℂ l’équation suivantes : (1  i)z  3  3i  z  6  54
2 2

Exercice 9:
Donner les racines carrées des nombres complexes suivants :
1) z = 5 − 12i , 2)z = −8i , 3)z = 7 + 24i

Exercice 10:
1°/ Résoudre dans ℂ l’équation suivante (E) : z²  2iz  2  0
2°/ Soient z1 et z2 les solutions de ( E) . Calculer 2z1+3z2 ; z1  z 2 2 ; z18 et z10
2 .

3°/ Résoudre dans ℂ l’équation 2  i z ²  (9  2i)z  5(3  i)  0


Exercice 11:
1. Résoudre dans ℂ l’équation 𝑧 2 = 1 + 𝑖. Donner les solutions sous forme algébrique puis sous forme
trigonométrique
2  1 i 3 
2. On pose u  1 
2

 
1  i 2  1 
a) Donner le module et un argument de u
b) Calculer u4 et u1972
Exercice 12:
1 i 3
On pose z 
1 i
Déterminer les valeurs de l’entier naturel 𝑛 pour lesquelles 𝑧 𝑛 est réel ; imaginaire pur.
Exercice 13:
1. Soit E  : z²  (5  4i 3 )z  9  0
a) Résoudre dans ℂ l’équation (E)
b) Déterminer le module et un argument de chacune des solutions
2. Soit   0;  on considère l’équation E' : 4(1  sin )z²  2(1  cos 2)z  1  sin   0 .
a) Résoudre (E’) dans ℂ.
b) Déterminer le module et un argument de chacune des solutions suivant les valeurs de   0;  .
Exercice 14:
Soit (E) : z3  (1  i)z ²  (4  i)z  12  6i  0
1. Montrer que cette équation admet une solution réelle que l’on déterminera
2. Le plan complexe étant muni d’un repère O;
 
i ; j  , on désigne par A, B et C les points d’affixes respectives
a, b et c solutions de l’équation ( E). Montrer que le triangle ABC est rectangle et isocèle.
Exercice 15:
On considère l’équation (E) : z 3  2z ²  2(2  3i)z  20  0 .
1. Montrer que l’équation ( E ) admet une solution imaginaire pure notée z0. Trouver les autres solutions z1 et
z2 .
2. Le plan complexe étant muni d’un repère O; i ; j  on note A ,B et C les points d’affixes respectives z0 ,z1 et
 

z2 .
a) Déterminer l’affixe du barycentre G des points pondérés (A,-1) , (B ;1) et (C ;1).
b) Déterminer l’ensemble des points M du plan tels que : MA²  MB²  MC²  36
Exercice 16:
Soit P(z)  z 4  (5  2i)z3  (8  i)z ²  (6  16i)z  12i
1. Montrer que P(z) admet une racine réelle et une racine imaginaire pure

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2. En déduire toutes les racines de P(z)


3. Soient a , b c et d les racine de P(z) ( où a est la solution réelle et d la solution imaginaire pure) . On pose
ca cd
u et v 
ba bd

et Arg  
u u
a) Déterminer
v v
b) On note par A ,B ,C et D les point d’affixes respectives a ,b ,c et d. Que peut- on dire du quadrilatère
ABCD ?

Exercice 17
1. Linéariser les expressions suivantes :
A  cos 3 x sin ² x  cos 4 x , B  cos 4 x sin 4 x ; D  sin 8x cos 5x ; E  cos 8 x  cos 6 x sin 4 x  cos 3x sin 5x
2. Exprimer en fonction de cos x et sin x les expressions suivantes : A  cos 9x  sin 7x ,
B  cos 5x  cos 6x sin 2x

Exercice 18 :
On rappelle pour tout entier naturel non nul 𝑛 et pour tout complexe 𝑎 tel que : X  a ;
a n  Xn
a n 1  a n 2 X  .....  aX n 2  X n 1 
aX

1994
1°/ Soit w  e 997 . On pose   1  2w  3w ²  ...  1994 w 1993 . Montrer que  
i

1 w
n n
2°/ Soit x et  deux réels . On pose A   cospx    et B   sin px   
p 0 p 0

a) Déterminer A  iB
b) En déduire une expression simplifier de A et B.On remarquera que cos px     i sin px     e i e ipx
n n
c) Déterminer C   p cospx    et D   p sin px   
p 1 p 1
n n
3°/ Soit   0;  on pose alors a n   cos p  cos(p) et b n   cos p  sin( p)
p 1 p 1
n 1
cos  sin( n)
a) Montrer que a n 
sin 
b) Déterminer bn

Exercice 19 :
𝜋 2𝜋 (𝑛−1)𝜋
Pour tout n   * , soit 𝑆𝑛 = sin (𝑛) + sin ( 𝑛 ) + ⋯ + sin ( 𝑛 )
𝜋 𝜋
a) Posons 𝑧 = cos ( ) + 𝑖 sin ( )
𝑛 𝑛
Donner une expression simple de la somme 1 + 𝑧 + 𝑧 2 + ⋯ + 𝑧 𝑛−1
b) Déterminer la partie réelle et la partie imaginaire de cette somme.
1
c) En déduire l’égalité 𝑆𝑛 = 𝜋
tan( )
2𝑛

S 
d) Quelle est la limite de la suite  n n   * ?
 n 
Exercice 20 :
Dans l’ensemble ℂ des nombres complexes, on considère l’équation
(E) :𝑧 4 − (2 − 𝑖)𝑧 3 − 3𝑖𝑧 2 + (4 − 𝑖)𝑧 + 1 + 3𝑖 = 0

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1°) Préliminaire : quel est le terme constant du polynôme


𝑃(𝑧) = (𝑧 − 𝑧1 )(𝑧 − 𝑧2 )(𝑧 − 𝑧3 )(𝑧 − 𝑧4 ) de la variable complexe 𝑧 où 𝑧1 , 𝑧2 , 𝑧3 , et 𝑧4 sont des
nombres complexes donnés?
2°) a) Montrer que l’équation (E) admet une solution réelle notée 𝑧1 et une solution imaginaire pure notée
𝑧2 .
b) Vérifier que 𝑧3 = 2 + 𝑖 est une solution de l’équation (E).
c) Déterminer alors la solution restante 𝑧4 de (E).
𝑧 −𝑧 𝑧 −𝑧
d) Montrer que 𝑎 = 𝑧2 −𝑧4 × 𝑧1 −𝑧3 est un nombre réel.
1 4 2 3
3°) Soient 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 𝑒𝑡 𝑀4 les points du plan d’affixes respectives 𝑧1 , 𝑧2 , 𝑧3 𝑒𝑡 𝑧4 .
a) Montrer que ces 4 points sont cocycliques.
b) Déterminer la mesure de l’angle orienté (𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2 𝑀1 , 𝑀2 𝑀3 ).
c) En déduire l’affixe 𝑧0 du centre du cercle passant par les points 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 𝑒𝑡 𝑀4 .

Exercice 21 :
 
Soit    ;  . On suppose que le plan complexe est muni d’un repère orthonormé O; u; v  .
1°/ Déterminer un argument de 1  ei ei 2 . En déduire alors un argument de 1  e i .

2°/ On pose z() 


1  e 
i 2

2
a) Déterminer le module et un argument de z ()

b) Représenter dans le plan z 
6
3°/ soit M le point d’affixe z () et A le point d’affixe 1.
On projette orthogonalement A en P sur la droite (OM).
a)Déterminer z P en fonction de z () .
b)Quel est l’ensemble des points M lorsque  varie dans  ;  .
c) Calculer la distance PM.
d)Donner une construction géométrique de M.

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Nombres Complexes(2 eme partie)


Exercice 1 :
Soient, dans le plan complexe P, deux points M et M’ d’affixes respectives z et z’ tels que l’on ait :
z’ = (1 + i) z + 1
1°) Calculer le module et un argumentde1 + i.
2°) Déterminer les éléments géométriques de la transformation du plan complexe qui, à tout point M d’affixe z,
associe le point M’ d’affixe (1 + i) z +1.
3°) Déterminer l’ensemble des M du plan complexe tels que les vecteurs OM et OM ' aient la même norme.

Exercice 2 :
Dans le plan complexe soit ƒ la similitude qui, à tout point M d’affixe z, associe le point M’ d’affixe z’ définie par :
𝑧 = (1 − 𝑖)𝑧 + 2𝑖
1°) Déterminer le rapport, l’angle et le centre de ƒ.
2°) soient 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑧′ = 𝑥′ + 𝑖𝑦′,les formes algébriques des nombres complexe z et z’.
Exprimer x’ et y’ en fonction de x et de y.
3°) Quelle est l’image par ƒ de la droite d’équation x + 2y -1 = 0 ?
4°) Quelle est l’image par ƒ du cercle (C) de centre le point d’affixe i et de rayon √2 ?

Exercice 3 :
Dans plan complexe, soit ƒ la transformation qui au point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ définie
par :z’ = (1 + i√3) z + √3 (1 – i).
1°) Démontrer que ƒ admet un unique point invariable I ; déterminer l’affixe de I. Caractériser ƒ.
2°) Soit G le barycentre des points I, M, M’ affectés respectivement des coefficients 3, 2, 1.
Calculer les coordonnées de G en fonction de celles de M.
3°) On suppose que le point M décrit la droite d’équation : y = x.
Quel l’ensemble décrit par le point G?

Exercice 4 :
Soit b un nombre complexe et  z  C , ƒ(z) = (1 + 3 i) z + b
Soit F l’application du plan complexe dans lui-même qui, à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe ƒ
(z)
 1
1°) Déterminer b pour que le point A de coordonnées  
 1 soit invariant par F.
 

2°) Déterminer les éléments géométriques de F.

Exercice 5 :
Dans le plan affine euclidien muni d’un repère orthonormé (𝑂; 𝑢 ⃗⃗; 𝑣⃗) on considère les points A et B d’affixes
respectives 1 + 3𝑖 𝑒𝑡 2𝑖
1°) Soit S la similitude plane directe de centre B qui transforme O en A.
On note z’ l’affixe du point M’ transformé par S du point M d’affixe z.
a) Calculer le module et un argument du nombre complexe affixe du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐴𝐵 .
b) Calculer l’angle et le rapport de la similitude S.

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c) Exprimer z’ en fonction de z.
2°) Soit T la transformation qui, à tout point M d’affixe z, associe le point M’’ d’affixe z’’ = iz + 3.
Donner la nature de T en précisant ses éléments caractéristiques. On note  le point invariant par la
transformation T.
3°) Montrer que les points A, 𝛺, B sont les sommets d’un triangle isocèle .

Exercice 6
2  6i 4i
On considère les complexes : z1  (1  i )(1  2i ); z2  ; z3  avec M 1 , M 2 et M 3 leurs
3i i 1
images respectives.
a) Calculer la partie réelle et la partie imaginaire de ces complexes.
b) Placer M 1 , M 2 et M 3
z 3  z1
c) Calculer . En déduire que le triangle M 1 M 2 M 3 est rectangle isocèle.
z 2  z1
d) Construire M 4 tel que M 1 M 2 M 3 M 4 soit un carré et trouver son affixe z 4 .
Exercice 7 :
2iz  1 z  3 1
Soit z un nombre complexe différent de 1. On pose Z 1  ; Z2  (avec z  2i )
z 1 2i  z
On note z  x  iy , Z 1  X 1  iY1 et Z 2  X 2  iY2 .
a) Exprimer X 1 et Y 1 en fonction de x et y. (faire de même pour X 2 et Y 2 )
b) M est le point d’affixe z. Trouver
o l’ensemble E des points M tels que Z 1 soit un réel.
o l’ensemble F des points M tels que Z 1 soit un imaginaire pure.
o l’ensemble G des points M tels que Z 1  2
c) Déterminer l’ensemble H des points M (z) tels que Z 2 soit un réel.
3
d) Déterminer l’ensemble I des points M (z) tels que arg (Z 2 )  2 .
2
e) Dessiner E, F, G, H et I dans un repère.

Exercice 8 :
Soit P( z )  z 3  (9i  14) z 2  (1  60i) z  46  9i
1) Montrer que 𝑃(𝑧) = 0 admet une solution z 0 imaginaire pure à préciser.
2) Résoudre ainsi 𝑃(𝑧) = 0 . On notera z 2 la solution de plus grand module.
3) Montrer que z 0 , z1 et z 2 sont en progression géométrique.
Exercice 9 ;
On considère dans C l’équation (E) : z 4  5z 3  6 z 2  5z  1  0
a) Montrer que 0 n’est pas solution de (E).
u 2  5u  4  0
b) Montrer que cette équation équivaut au système  1
 u  z  z

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c) Résoudre l’équation u 2  5u  4  0
d) En déduire les solutions de (E).
Exercice 10
1) Résoudre dans ℂ les équations
a) z 2  2 z  5  0 b) z 2  2(1  3) z  5  2 3  0
2) On considère les points A, B, C et D d’affixes respectifs
z A  1  2i ; z B  1  3  i ; z C  1  3  i et z D  1  2i
a) Placer A, B, C et D dans le plan (P).
z  zB
b) Vérifier que D  i 3 . En déduire la nature du triangle ABD.
z A  zB
c) Montrer que A, B, C et D appartiennent à un même cercle  dont on précisera le centre et le rayon.
3) On considère (E) : z 2  2(1  2 cos ) z  5  4 cos  0
a) Résoudre (E) dans C.
b) Montrer les points images des solutions de (E) appartiennent à  .
Exercice 11 :
1) Exprimer 1 cos 2 en fonction de sin  et exprimer sin 2 en fonction de sin  et cos
2) Résoudre dans C l’équation 2 z 2 (1  cos 2 )  2 z sin 2  1  0 dans la quelle z est l’inconnue et 
 
est un paramètre réel tel que    et   0
2 2
3) Déterminer un module et un argument de chacun de racines z1 et z 2 .
4) On désigne par M 1 et M 2 les image de z1 et z 2 dans le plan rapporte au repère orthonormé
(O, e1 , e2 ) . Déterminer  pour que le triangle O M 1 M 2 soit isocèle et rectangle en O.

Exercice 12 :
Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O, e1 , e2 ) , on considère l’application F qui à tout
point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ définie par
z'  u 2 z  u  1 où u  C .

1) Déterminer l’ensemble des complexes u pour lesquels F est une rotation d’angle .
2
2) Déterminer u pour lesquels F est une translation.
3) Déterminer u pour lesquels F est une homothétie de rapport -2
4) Caractériser F lorsque u  1  i

Exercice 13 :
On considère l’application f qui à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ définie par
3i 3 1 i 3
z'  z . On note A le point d’affixe 2.
4 2
1) a) Déterminer l’affixe de A’ image de A.
b) Déterminer l’affixe du point P tel que f (P)=0.
2) Déterminer la nature de f et ses éléments caractéristiques.

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3) Lorsque le point M est distinct de A.


a) Démontrer que le triangle AMM’ est rectangle en M’.
b) Le point M et le milieu du segment  AM  étant donnés.
Déduire une construction au compas du point M’.

Exercice 14 :
  
Soit    ; et f  : M ( z )  M ' ( z ' ) tel que z '  (1  i tan  ) z  i tan   2 .
 2 2 
1) Déterminer le module et un argument de  1  i tan  .
2) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de f  .
1
3) Soit h l’homothétie de centre  (d’affixe 1) et de rapport . Donner une écriture complexe de la
cos
rotation r telle que f   r oh
Exercice 15
Soit u n n 0 la suite géométrique de 1er terme u0=4 et de raison
1
2
 
Soit v n n 0 la suite arithmétique de 1er terme v 0  et de raison .
4 2
Soit zn le nombre complexe de module un et d’argument vn.
1°/
a)Exprimer un et vn en fonction de n.
b)En déduire zn fonction de n.
2°/ Démontrer que z n  est une suite géométrique de raison
1
i et de 1er terme z 0  2 2  2i 2 .
2
 
 
3°/ Soit P le plan complexe rapporté au repère orthonormé O; i ; j et Mn le point d’affixe zn.
a)Déterminer la nature de la transformation qui au point Mn associe le point Mn+1 d’affixe zn+1.
b)Donner ses éléments caractéristiques.
4°/ Pour tout entier naturel n on pose Z n  z 0 z1 .........z n
a)Exprimer en fonction de n un argument de Zn.
b)Démontrer que si n est impair alors Zn est réel.

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Dénombrement
Exercice 1
Un sac contient trois jetons blancs et deux jetons noirs. On tire simultanément trois jetons de l’urne.
Combien y a t il de tirages contenant:
1. un jeton noir et un seul. 2. 2 jetons noirs. 3. aucun jeton noir. 4. au moins un jeton noir.
Exercice 2
A l’aide de 6 chiffres 1, 2, 3, 4, 5 et 6, combien peut-on écrire
1. de nombres de 3 chiffres 2. de nombres de 3 chiffres distincts 3. de nombres de 6 chiffres
distincts
Exercice 3
Dans un centre de rechercher, on se propose de former, pour une expérience, une équipe de 4 chercheurs
choisis parmi un effectif de 10 personnes dont 4 femmes :
1. Combien d’équipes différentes peut-on constituer ainsi?
2. Combien d’équipes différentes peut-on constituer si les 4 chercheurs sont des femmes?
3. Combien d’équipes différentes peut-on constituer si un chercheur et un seul doit être une femme
4. Combien d’équipes différentes peut-on constituer si un chercheur au moins doit être une femme
Exercice 4
Une urne contient 3 boules vertes et 7 boules jaunes. On tire successivement avec remise 4 boules de l’urne.
Déterminer le nombre de triages comportant :
1. a. 4 jaunes b. 4 vertes c. 3 jaunes et une verte dans cet ordre
d. 3 jaunes et une verte e. 2 jaunes et 2 vertes dans cet ordre f. 2 jaunes et 2 vertes
2. Reprendre la question ( 1. ) dans le cas où les 4 boules sont tirées successivement sans remise
Exercice 5
Une urne contient 5 jetons vertes numérotes de 1 à 5 et 4 jetons rouges numérotes de 1 à 4
1. On tire simultanément 3 jeton de l’urne. Combien y a t il de tirages contenant:
a. 3 jetons de la même couleur ? b. contenant le vert numéro 1 et le rouge numéro 1?
c. un seul jeton portant le numéro 1? d. exactement un jeton vert et un jeton numéro 1?
2. On tire successivement sans remise 3 jetons de l’urne.
a. Combien y a-t-il de tirages possibles.
b. Combien y a-t-il de tirages contenant 1 rouge et 2 vert dans cet ordre
c. Combien y a-t-il de tirages contenant 7 rouge et 2 vert.
Exercice 6 :
Une urne contient 12 boules numérotées : 5 noires (5N), 3 blanches (3B), 4 rouges (4R)
1. On tire simultanément 5 boules
a. Combien y a-t-il de tirages possibles? b. Combien y a-t-il de tirages comportant 2N et 3B?
c. Combien y a-t-il de triages comportant 2R ; 1N et 2B?
2. Idem lorsqu’elles sont tirées successivement avec remise.
3. Répondre aux questions précédentes lorsque les 5 boules sont tirées sans remise.
Exercice 7 :
Une urne contient 7 boules blanches numérotées de 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 et 8 boules rouges numérotées de 8 ;
9 ; 10 ; 11 ; 12 ; 13 ; 14 ; 15. Sachant que l’on tire simultanément 5 boules de l’urne, déterminer :
1. le nombre de tirages possibles
2. le nombre de tirages contenant 5 boules de même couleur
3. le nombre de tirages contenant au moins 3 boules rouges
4. le nombre de tirages contenant 5 boules dont les numéros sont pairs
5. le nombre de tirages contenant 5 boules dont les numéros sont inférieurs ou égaux à 9
6. le nombre de tirages contenant au plus 2 boules blanches
Exercice 8 :
Dans un jeu de 32 cartes, on tire simultanément 8 cartes, qui constituent une main

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1/ Calculer le nombre de possibilités


2/ Dénombrer les mains qui contiennent :
a. exactement un sac b. aucun as
c. au moins un as d. exactement 2 cœurs et 3 piques
e. exactement 2 cœurs ,3 piques et un trèfle f. exactement 2 cœurs et 2 dames
g. 4 cartes de même valeur
Exercice 9 :
On jette simultanément 3 dés identiques dont les faces sont numérotées de 1 à 6 et on note les résultats
obtenus.
1. Calculer le nombre de possibilités
2. Calculer le nombre de façon d’obtenir
a. le même numéro
b. des numéros différents
c. le numéro 5 exactement une fois

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Calcul de Probabilités
Exercice 1 :
Une classe de 30 élèves dont 12 filles doit élire un comité comportant un Président, un Vice-président et un
Secrétaire
1/ Combien de comités peut-on constituer ?
2/ Calculer la probabilité de chacun des événements.
a. un comité dont le poste de Secrétaire est occupé par une fille.
b. un comité comportant l’élève X
c. un comité pour lequel le Président et le Vice-président sont de sexes différents
Exercice 2 :
Une urne contient dix boules numérotées de 0 à 9 .On tire successivement avec remise 4 boules de l’urne.
Déterminer la probabilité de chacun des événements suivants : où le nombre formé
1. commence par zéro.
2. se termine par zéro.
3. commence par zéro et se termine par zéro.
4. commence par zéro ou se termine par zéro.
Exercice 3 :
On considère les 50 nombres de 1 à 50.On tire simultanément trois de ces nombres au hasard
1. Combien y a-t-il de tirages possibles ?
2. Calculer la probabilité de chacun des événements : Parmi les trois nombres tirés.
a. il n’y a aucun multiple de 5 b. il n’y a au moins un multiple de 5 c. il n’y a un seul multiple de 5
d. il n’y a deux multiples de 5 e. il n’y a trois multiples de 5 f. il n’y a deux diviseurs de 24
g. il n’y a un diviseur de 32 h. il n’y a aucun diviseur de 75 i. il n’y a au moins un nombre premier
j. il n’y a aucun chiffre pair k. Il n’y a aucun carré parfait
Exercice 4 : On dispose d’un dé pipé dont les faces sont numérotées de 1 à 6 et on désigne par Pi la probabilité
d’apparition de la face numérotée i. Les réels Pi sont les termes consécutifs d’une suite arithmétique et l’on a
P6  2P1 .
1. Calculer 𝑃𝑖 , 𝑖 ∈ {1,2,3,4,5,6}
2. On jette 5 fois de suite ce dé. Calculer la probabilité des événements suivants :
a) Obtenir exactement 3 fois une face de numéro pair.
b) Obtenir autant de numéros pairs que de numéros impairs.
c) Obtenir au moins une fois une face de numéro pair

Exercice 5 (BAC S2 2001) : Une urne contient 10 jetons numérotés de 1 à 10. Une épreuve consiste à tirer
successivement et sans remise 2 jetons et on note dans l’ordre de sortie les 2 nombres inscrits. Tous les tirages sont
supposés équiprobables.
1. Quelle est la probabilité des événements suivants :
A : Les 2 nombres inscrits sont strictement inférieurs à 5
B : Le premier nombre inscrit est strictement supérieur au double du second
2. Un joueur effectue 7 parties successives, les parties étant supposées indépendantes. Quelle est la
probabilité pour que à l’issue de la 7éme partie, B soit réalisé 2 fois exactement ?au moins une fois ?
Exercice 6:
Dans une entreprise, on fait appel à un technicien lors de son passage hebdomadaire, pour l’entretien des
machines.
Chaque semaine, on décide donc pour chaque appareil de faire appel ou non au technicien. Pour un certain
type de machines, le technicien constate ;

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- qu’il doit intervenir la première semaine ;


3
- que s’il est intervenu la nième semaine, la probabilité qu’il intervienne à la (n+1) iéme semaine est égale à 4

- que s’il n’est pas intervenu à la nième semaine, la probabilité qu’il intervienne à la (n+1) iéme semaine est égale
1
à 10
On désigne par En l’événement : « le technicien intervient la nième semaine » et par Pn la probabilité de cet
événement
1°) Déterminer les nombres P(E1), P(En+1/En), P(En+1/ En ) puis en fonction de Pn déterminer P(En+1∩ En)
13 1
2°) En déduire que pour tout entier n non nul : Pn+1 =20 Pn + 10
2
3°) On pose qn  pn  . Montrer que la suite (qn) est géométrique. En déduire l’expression de Pn en
7
fonction de n .
3
Pour quelles valeurs de n a-t-on Pn ≤ 10 ?
Exercice 7 :
Dans une population donnée , 15o/o des individus ont une maladie Ma. Parmi les individus atteints de la
maladie Ma, 20o/o ont une maladie Mb et parmi les individus non atteints de la maladie Ma, 4o/o ont la maladie
Mb.
On prend un individu au hasard et on désigne par A et les événements
A : « l’individu est atteint de la maladie Ma »
B : « l’individu est atteint de la maladie Mb »
a) Donner les valeurs de P(A), P(B/A) et P(B/ A )
b) Calculer P (B)
c) Calculer P(A/B).
Exercice 8 :
On veut choisir un jury de 5 membres parmi 15 professeurs : 7 de français, 2 de philosophie, et 6 d’anglais. Les
chances d’être choisies sont égales.
Quelle est la probabilité d’avoir un jury avec :
1. 2 professeurs d’anglais et 3 de français.
2. Des professeurs d’une même discipline.
3. Autant de professeurs d’anglais que de français.
4. Au moins un professeur de chaque discipline.
Exercice 9 :
On lance deux dés ordinaires et on fait la somme des nombres lus sur les faces supérieures des deux dés.
1. Faire un tableau à double entrée représentant les différentes éventualités.
2. Quelle est la probabilité d’avoir une somme égale à 10 ?
3. Quelle est la probabilité d’avoir une somme strictement supérieure à 10 ?
4. Quelle est la somme obtenue avec la plus grande probabilité ?
5. Quelle est la probabilité d’obtenir un total pair ? En déduire la probabilité d’obtenir un total impair ?

Exercice 10 :
1. On dispose d’une urne U1 contenant trois boules rouges et sept boules noires.
On extrait simultanément deux boules de cette urne, on considère que tous les tirages sont équiprobables.
1.1. Quelle est la probabilité P1 que les deux boules tirées soient rouges ?
1.2. Quelle est la probabilité P2 que les deux boules tirées soient noires ?

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1.3. Quelle est la probabilité P3 que les deux boules tirées soient de même couleur ?
1.4. Quelle est la probabilité P3 que les deux boules tirées soient de couleurs différentes ?
2. On dispose aussi d’une deuxième urne U2 contenant quatre boules rouges et six boules noires.
On tire simultanément deux boules de l’urne U1 et une boule de l’urne U2. On suppose que tous les tirages
sont équiprobables. On considère les événements suivants.
R « les trois boules tirées sont rouges »
D « les trois boules tirées ne sont pas toute de même couleur. »
B « la boule tirée dans l’urne U2 est rouge »
2.1. Calculer P(R).
2.2. Quelle est la probabilité de tirer trois boules de même couleur ?
2.3. Calculer la probabilité de l’événement B sachant que l’événement D est réalisé.
Exercice 11 :
Pour un examen dix examinateurs ont préparé chacun deux sujets. On dispose donc de vingt sujets que l’on
place dans des enveloppes identiques. Deux candidats se présentent : chacun choisit au hasard deux sujets ;
de plus les sujets choisis par le premier candidats ne seront plus disponibles pour le deuxième.
On note A1 l’événement : «les deux sujets obtenus par le premier candidat provienne du même examinateur» et
A2 «les deux sujets obtenus par le deuxième candidat proviennent du même examinateur».
1
1. Montrer que la probabilité de l’événement A1 est égale à .
19
2. a.Calculer directement la probabilité conditionnelle P (A2 / A1).
b. Montrer que la probabilité que les deux candidats obtiennent chacun deux sujets provenant d’un
1
même examinateur est .
323
 
3. a. Calculer P A2 / A1
b. En remarquant que 𝐴2 = (𝐴2 ∩ 𝐴1 ) ∪ (𝐴2 ∩ ̅̅̅ 𝐴1 ), calculer P(𝐴2 ) puis en déduire que
33
𝑃(𝐴2 ∪ 𝐴1 ) = 323
4. Soit X la variable aléatoire égale au nombre de candidats qui ont choisi chacun deux sujets provenant d’un
même examinateur. La variable aléatoire X prend donc les deux valeurs 0,1 ou 2.
a. Déterminer la loi de probabilité de X.
b. Calculer l’espérance mathématique de la variable aléatoire X.

Exercice 12 :
Une urne contient six boules indiscernables au toucher : Quatre boules grises et deux boules jaunes.
1. On tire simultanément au hasard deux boules de l’urne. On note X la variable aléatoire qui à chaque
tirage de deux boules associe le nombre de boules grises tirées.
Déterminer la loi de probabilité de X et calculer son espérance.
2. On tire au hasard deux fois de suite deux boules simultanément, les boules n’étant pas remises dans
l’urne. On note A, B, C, D les événements suivants :
A « aucune boule grise n’est tirée au cours du premier tirage de deux boules »
B « une boule grise et une boule jaune sont tirées au cours du premier tirage de deux boules »
C « deux boules grises sont tirées au cours du premier tirage de deux boules »
D « une boule grise et une boule jaune sont tirée au cours du deuxième tirage de deux boules »
a. Calculer P (D/A) ; P (D/B) ; P (D/C)
b. En déduire les probabilités des événements 𝐷 ∩ 𝐴; 𝐷 ∩ 𝐵 et 𝐷 ∩ 𝐶
c. Calculer la probabilité de l’événement D.
Exercice 13 :

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1. Un industriel produit des balances dans deux usines A et B. Pour une période donnée, l’usine A fabrique
2400 balances dont 6% présentent des défauts, l’usine B fabrique 4000 balances dont 7% présentent des
défauts. Ces deux productions sont stockées au centre d’expédition. On prélève au hasard l’une de ces
balances.
a. Quelle est la probabilité que la balance présente un défaut.
b. Quelle est la probabilité que la balance ne soit pas défectueuse?
c. Sachant que la balance est défectueuse qu’elle est la probabilité qu’elle soit de l’usine A ? de l’usine B ?
3. Des tests effectues sur les balances vendues ont montre que 90% de ces balances fonctionnaient
encore parfaitement à la fin de la garantie d’un an.
4. Un hôtelier en achète six. Notons X la variable aléatoire qui compte le nombre de balances qui
fonctionnent parfaitement au bout de d’un an.
a. Expliquer pourquoi la loi de probabilité de X est une loi binomiale.
b. Quelle est la probabilité qu’au bout d’un an :
 Toutes les balances fonctionnent
 Aucune balance ne fonctionne
 Au moins la moitie des balances fonctionnent.
 Au plus la moitie des balances fonctionnent.
Exercice 14 :
Une urne contient 5 boules dont 3 rouges, 2 blanches. On tire successivement 2 boules avec l’hypothèse
suivante :
* Si la boule tirée est blanche, on la remet avant de faire le tirage suivant.
* Si la 1ere boule est rouge, on ne la remet pas et on procède au tirage suivant.
On désigne par X la variable aléatoire : le nombre de boules rouges obtenues.
a. Définir la loi de probabilité de X, E(X), V(X),  (X )
b. Définir et représenter la fonction de répartition de X.
Exercice 15 :
On dispose de trois urnes U 1 , U 2 , U 3
U 1 Contient 3 boules vertes et 2 boules rouges
U 2 Contient 4 boules vertes et 5 boules jaunes
U 3 Contient 1 boule verte, 5 boules jaunes et 4 boules rouges
L’épreuve consiste à tirer une boule dans U 1
Si elle est verte on la met dans U 2 puis on tire une boule dans U 2
Si elle est rouge, on la met dans U 3 puis on tire une boule dans U 3
A. Calculer la probabilité d’avoir
1. une boule verte au deuxième tirage sachant que la première est verte.
2. une boule verte au deuxième sachant que la première est rouge.
3. En déduire la probabilité d’avoir une boule verte au deuxième tirage.
4. une boule jaune au second tirage.
5. une boule rouge au deuxième tirage
B. Au cours de cette épreuve si on obtient au deuxième tirage
-une verte on gagne 1000 F
- une jaune on gagne 500 F
- une rouge on perd 500 F
Soit X la variable aléatoire qui à chaque boule obtenue au second tirage associe un gain défini ci-dessus.
1. Déterminer la loi de probabilité et espérance mathématique de X.
C. Cette épreuve est faite par chacun des 15 élèves d’une classe dans les mêmes conditions et d’une manière
indépendante. Les résultats sont donnés aux centièmes près par défaut. Calculer la probabilité
1. pour que 8 élèves obtiennent une verte au second tirage.

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2. Seulement les 8 premiers obtiennent une verte au second tirage.


3. Au moins un élève ait une boule verte au second tirage.

Exercice 16 :(Bac D 98)


Une boite contient 5 jetons : 2 noirs, 3 blancs indiscernables au toucher.
1. On extrait simultanément au hasard 2 jetons de la boite.
a. Déterminer la probabilité des événements suivants :
E «on extrait deux jetons noirs ». F « on extrait deux jetons de même couleurs »
b. Soit X : « le nombre de jeton noirs obtenus »
Déterminer la loi de probabilité de X et E(X).
2. On effectue un tirage successif de deux jetons de la manière suivante : on tire un jeton ; on note sa
couleur et on le remet dons la boite en ajoutant en plus dans la boite un autre jeton de même couleur ;
on tire ensuite un second jeton.
Soit N1 « on obtient un jeton noir au 1er tirage »
N2 «un jeton noir au second »
B1 « on obtient un jeton blanc au 1er tirage »
a. Calculer P (N2/N1) et P (N2/B1).
b. En déduire P (N2).

Exercice 17 : (Bac D 91)


Dans une classe de10 élèves, 2 élèves ont triches pendant un devoir.
1. Un professeur choisit n élèves dans cette classe. Calculer la valeur minimale de n pour que la
probabilité d’avoir au moins un tricheur parmi ces élèves soit  0,9 .
2. Chacun des deux tricheurs portent le no1, chaque autre élève porte le no0. On choisit 3 élèves dans
cette classe soit X la variable aléatoire égale à la somme des numéros portés par ces élèves.
Déterminer
a. la loi de probabilité de X et l’espérance mathématique.
b. Définir et représenter la fonction de répartition.

Exercice 18 : (Bac D 93)


Une épreuve consiste à tirer une boule d’un sac contenant 5 boules d’un sac de 0 é 4. Soit Pn la probabilité de
1
tire la boule numéro n. Les réels Pn sont les termes d’une suite arithmétique de raison r  .
20
1. Calculer P0, P1, P2, P3 et P4. (résultats sous forme décimale)
2. X la variable aléatoire qui prend les valeurs 0, 1, 2, 3, 4 avec les probabilités P0, P1, P2, P3 et P4.
Calculer E(X) et  X .
3. On procède à 5 tirages successifs avec remise d’une boule. Calculer la probabilité d’obtenir
exactement 3 fois une boule de numéro impair.

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Série Statistique à deux variables


Exercice 1
Les relevés de l’intensité (xi) du travail fourni exprimée en kilojoules par minute et la fréquence cardiaque (y i)
(nombre de battements par minute) de 8 personnes sont consignés dans le tableau suivant :
xi 9,6 12,8 18,4 31,2 36,8 47,2 49,6 56,8
yi 70 86 90 104 120 128 144 154
1°) Représentez le nuage de points Mi (xi ; yi).
2°) Déterminez les moyennes 𝑋̅ et 𝑌̅ , les variances V(x) et V(y) de x et y . On précisera les formules utilisées.
3°) Déterminez la droite de régression de y en x ; la tracer.
Exercice 2
Afin de mieux gérer ses stocks, une entreprise décide d’estimer son besoin en matières premières par
l’intermédiaire d’une grandeur dont la valeur peut être connue rapidement (chiffre d’affaires ou total des
salaires). on note X la quantité, en tonnes de matières premières ; Y le chiffre d’affaires en milliers de francs.
Dans tout l’exercice on pourra donner directement les résultats fournis par la calculatrice. Le relevé des mois
précédents est le suivant :
Numéro du mois 1 2 3 4 5 6
X 0,9 1,2 0,6 0,5 1,4 1
Y 37 40 33 33 41 35
Z 3,9 3,7 3,2 3,3 3,6 3,7
1°) a) Calculer les coefficients de corrélation linéaire r1 entre X et Y et r2 entre X et Z.
b) Est-ce un ajustement entre Y et X ou entre Z et X qui permettra la meilleure estimation de X ?
2°) Déterminer une équation de la droite de régression de Y en X et en déduire une estimation du besoin en
matières premières pour Y = 39.
Exercice 3 :
Une entreprise a mis au point un nouveau produit et cherche à en fixer le prix de vente. Une enquête est
réalisée auprès des clients potentiels ; les résultats sont donnés dans le tableau suivant où yi représente le
nombre d’exemplaires du produit que les clients sont disposés à acheter si le prix de vente, exprimé en milliers
de francs, est xi.
xi 60 80 10 120 140 160 180 200
yi 952 805 630 522 510 324 205 84
On appelle x la variable statistique dont les valeurs sont xi et y celle dont les valeurs sont les yi.
1°) Calculer le coefficient de corrélation linéaire de y et x. La valeur trouvée justifie-t-elle la recherche d’un
ajustement linéaire ?
2°) Déterminer l’équation de la droite de régression de y en x .
3°) Les frais de conception du produit se sont élevés à 28 millions de francs. Le prix de fabrication de chaque
produit est de 25 000 francs.
a) Déduire de la question précédente que le bénéfice z en fonction du prix de vente x est donné par
l’égalité : z = ― 5,95 𝑥 2 + 1426,25 x ― 59937,5 où x et z sont exprimés en milliers de francs.
b) Déterminer le prix de vente x permettant de réaliser un bénéfice maximum et calculer ce bénéfice.
N .B Prendre 2 chiffres après la virgule sans arrondir.
Rappel : Bénéfice = Prix de vente ― Prix de revient.

Exercice 4
Dans une maternité, on a relevé pour chacune des 20 naissances d’une journée, l’âge x de la mère (en
années) et le poids y du nouveau-né (en kilogrammes). Les résultats sont regroupés dans le tableau à double
entrée ci-dessous :

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X 16 18 20 22 26 Totaux
Y

2,6 0 0 0 0 1 1
2,8 1 1 0 3 0 5
3 0 2 0 2 2 6
3,2 0 0 3 1 0 4
3,4 0 2 0 0 0 2
3,6 0 0 1 0 1 2
Totaux 1 5 4 6 4 20

Donner les formules avant d’effectuer les calculs puis les réponses à 10−2 près par défaut.
1°) a) Déterminer les séries marginales associées aux caractères x et y.
b) Déterminer les moyennes respectives de ces séries marginales.
c) Déterminer le coefficient de corrélation de x et y. La corrélation est-elle bonne ?
2°) A la fin de la journée, une équipe de journalistes de passage pour les besoins d’un reportage désire prendre
en photo un bébé. On suppose que les bébés ont tous les mêmes chances d’être choisis pour la photo. Soient
les événements :
A « Le bébé choisi pèse 3,2 kilogrammes »
B « Le bébé choisi a une maman de 22 ans »
A « Le bébé choisi pèse 2,8 kilogrammes »
a) Déterminer les probabilités des événements A ; B et A ⋂ B. En déduire la probabilité p (A ⋃ B).
Justifier les résultats.
b) Déterminer la probabilité 𝑝(𝐶/𝐵̅ ). Justifier.

Exercice 5
Les questions 1) et 2) sont indépendantes
1) (X, Y ) est une série double.
Soit (D1) : 𝑦 − 7𝑥 − 19 = 0 la droite de régression de Y en X et (D2) : 𝑥 − 0, 14𝑦 + 4, 84 = 0 la
droite de régression de X en Y . 𝑉 (𝑌 ) = 100 est la variance de Y.
a) Calculer Cov(X, Y ) et V (X).
b) Calculer le coefficient de corrélation linéaire entre X et Y .
c) Calculer 𝑋̅ et 𝑌̅ les moyennes de X et de Y .
2) Un laboratoire étudie la croissance d’une souche de bactéries Acétobacter ; il obtient les résultats suivants
:
Temps xi (en heures) 4 5 6 7 8 9
Nombre ni de bactéries par unité de volume (en milliers) 13,6 21,3 70,9 121,5 383 590
Les points de coordonnées (xi; ni) ne sont pas alignés, le laboratoire décide alors de poser 𝑦𝑖 = ln (𝑛𝑖).
a) Recopier et compléter le tableau ci-dessous puis donner les valeurs arrondies au centième prés :
𝑥𝑖 4 5 6 7 8 9
𝑦𝑖
b) Représenter le nuage de points de coordonnées (xi; yi).
c) Déterminer les coordonnées du point moyen G. Placer le point G.
d) Calculer le coefficient de corrélation linéaire. Interpréter le résultat.

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e) Donner une équation de la droite de régression de X en Y .


f) Déterminer le temps nécessaire à l’obtention de 1.000.000 de bactéries par unité de volume.
Exercice 6
Une étude a été faite sur la quantité d’huile xi en litre consommée par famille et par mois en fonction de l’effectif
yi de ces familles.
[0,5[ [5, 10[ [10,20[ [20,40[ [40,60[
X
Y
[1,2] 8 2 0 8 0
[3,4] 1 15 5 1 0
[5,7] 1 5 42 12 4
[8,10] 0 2 23 34 17
[11,19] 0 0 2 10 8
1) Calculer X , V  X , Y ,V Y , cov X , Y 
2) Déterminer une équation de la droite de régression de X en Y

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Tests de Niveau

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Test de Niveau N°1


( Durée : 2 heures)

Exercice 1 : 10 points
x 1  
On considère la fonction f : x  et (Cf) sa courbe représentative dans un repère O; u; v 
x  1  x²  x  2
1.
a. Déterminer Df
b. Calculer les limites de f aux bornes de Df. En déduire les branches infies de (Cf)
c. Montrer que f admet un prolongement par continuité g en 1.g est il dérivable en 1 ?
2.
4 x ²  x  2  3x  5
a. Calculer la dérivée de f puis montrer que : f ' ( x )  .

2 x²  x  2 x  1  x²  x  2 
2

b. Dresser le tableau de variations de f


3. Soit h la restriction de f sur 1; .
a. Montrer que h est une bijection de 1; sur un intervalle J à préciser.
b. Montrer que h-1 est dérivable sur J puis calculer h 1 ' 5 .
Exercice 2 : 10 points
x 3  2x ²  
Soit f ( x )  , ( C ) sa courbe représentative dans un repère O; u; v  ( unité
x²  1
graphique 2cm).
Partie A
Soit g la fonction définie par g ( x )  x 3  3x  4
1. Etudier g , puis montrer qu’il existe un unique réel  tel que g()  0 . Déterminer  à 10-2 près
2. Déterminer le signe de g sur 
Partie B
1. Déterminer les limites de f aux bornes de son domaine de définition
x  g( x )
2. Calculer f’(x) puis montrer que f ' ( x )  . En déduire le tableau de variations de f
x ²  12
3.
x2
a) Montrer qu’on peut écrire f ( x )  ax  b  x  Df
x²  1
b) En déduire les asymptotes de ( C ) au voisinage de l’infini
c) Etudier les positons relative de ( C ) et la droite (D) : y  x  2
Partie C
1. Déterminer l’abscisse des points de ( C ) où la tangente est parallèle à la droite (D) : y  x  2
2. Déterminer une équation cartésienne de chacune de ces tangentes et les représenter
3. En déduire graphiquement , suivant les valeurs de m , le nombre de solutions de l’équation
f (x)  x  m

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Test de Niveau N°2


(Durée : 2 heures)

Exercice 1 : 04 points
Déterminer, si possible, les limites suivantes :
 x  ln( x  1)   x  ln( x  1)   2  ln( x  1)  2 1  x 
lim   , lim   et lim  

x 0
 x  x  0 x²  x 0
 x² 
Exercice 2 : 06 points
 
On considère dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé O; u; v  le point A d’affixe i. Soit

l’application du plan dans lui même F : M(z)  M' (z' ) telle que : z' 
iz
1°/ Déterminer les points M tels que M=M’
2°/ On pose z  x  iy et z'  x 'iy ' où x, y ; x’ et y’ sont des réels.
x x ²  y ²  2 y 
a) Montrer que : x '   .
x ²  1  y 
2

b) En déduire l’ensemble des points M dont l’image M’ est sur l’axe des imaginaires purs.
Dessiner le.
3°/
a) Trouver une relation simple entre OM ; AM et OM’.
b) En déduire l’ensemble des points M du plan tels que M et M’ soient situés sur un cercle de
centre de centre O. Construire cet ensemble.
4°/ Soit G l’iso barycentre des points A ; M et M’.
a) Calculer l’affixe z g de G en fonction de z
b) Monter que G est situé sur un cercle de centre O dont vous donnerez le rayon si appartient
à un cercle de centre A.
 
  

c) Comparer les angles u; OG et u; AM en déduire une construction de M

Problème : 10 points
ln x
Soit f ( x ) 
x  13
Première partie : Etude d’une fonction auxiliaire
Soit g : x  x  1  3x ln x
1. Etudier les variations de g puis déterminer ses limites aux bornes de son domaine de définition.
2. Dresser son tableau de variations.
3. Montrer que !   1;2 / g()  0 . Montrer que : 1,69    1,7 .

Deuxième partie : Etude de f


1°/
a) Etudier la limite de f en 0+
lnx
b) Montrer que x  1; 0  f(x) 
x3
 
c) Préciser les asymptotes à (C), courbe représentative de f dans un repère O; i ; j 

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2°/
a) Montrer que f est dérivable puis calculer f ' (x)
b) En déduire le tableau de variations de f
1
c) Montrer que f ()  . En déduire un encadrement de f( ) à 10-2 près
3  1
2

3°/ Déterminer une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse 1.

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Test de Niveau N°3


(Durée : 2 heures)

Exercice 1 : 08 points

1°/ Soit f : x   x 
ln x
x
 
et (C) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère O; i ; j . 
a) Déterminer Df
b) Préciser les branches infinies de (C)
2°/ On donne g : x  x ²  1  ln x
a) Calculer g(1)
b) Etudier les variations de g puis en déduire le signe de g(x) en fonctions des valeurs de x
c) Calculer f’(x)
d) Dresser le tableau de variations de f puis tracer (C)

Exercice 2 : 12 points
1°/ Soit g : x  2 - x + ln x

a) Déterminer Dg et les limites de g aux bornes de Dg.


b) Etudier les variations de g .En déduire qu’il existe trois réels 1 ;  2 et  3 ; vérifiant

 1  0   2  1   3 et g(1)= g(2)= g(3)=0

x (1  ln x )
2°/ Soit f : x 
1 x
a) Déterminer Df
b) Etudier les variations de f. Préciser les branches infinies de (Cf)
3°/ Soit F un prolongement le f en 0 défini par F(0)=0
a) Etudier la continuité et la dérivabilité de F en 0
b) Etudier les variations de F
c) Donner les points d’intersections de (CF) avec la droite d’équation y  -x
d) Donner l’allure de (CF) (unité graphique 3cm sur (Ox) )

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Test de Niveau N°4


(Durée : 2 heures)
Exercice 1 : (07 Points)
1
On considère la fonction f définie par f ( x)  1 
x2 1
1) Démontrer que l’équation f ( x)  x admet une solution unique dans l’intervalle [1,2].
2) On considère la suite numérique (Un) définie par :
U0 = 1
1
Un+1 = 1 
U n2  1

a) Représenter graphiquement les termes U1, U2 et U3


de la suite (Un) sur l’axe des abscisses.
b) Montrer par récurrence que pour tout entier naturel n, 1≤ Un ≤2.

Exercice 2 (13 Points)

On considère la fonction f définie par :


1−√|1−𝑥 2 |
𝑓(𝑥) = si 𝑥 ≠ 0
{ 𝑥 .
𝑓(0) = 0

1) Déterminer son domaine de définition Df.


2) Etudier la parité de f et en déduire son domaine d’étude.
3) Etudier la continuité de f en 0
4) Etudier la dérivabilité de f en 0 et en 1
5) Calculer les limites de f aux bornes du domaine d’étude.
6) Calculer la dérivée de f dans chaque intervalle où f est dérivable puis établir le tableau de variation
de f dans son domaine d’étude.
7) Montrer que le point d’abscisse 0 est un point d’inflexion de la courbe Cf.
8) Construire la courbe Cf.
9)-a) Montrer que f réalise une bijection de [1, ∞[ sur un intervalle J que l’on déterminera.
-b) Soit f-1 la réciproque de f /[1, ∞[ , construire Cf-1 .
-c) f-1 est-elle dérivable en 1 ?
-d) Exprimer f-1(x) en fonction de x.

Bonne Chance

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Test de Niveau N°5


(Durée : 4 heures)

Exercice 1 (5 points)
𝑢0 = 2,
Soit la suite (𝑈𝑛 )𝑛𝜖𝑁 définie par : {
2𝑢𝑛 = 5(𝑢𝑛+1 − 1) ∀ 𝑛 𝜖 𝑁 ∗ .
1. Calculer U1 et U2 .
2. On considère la suite (𝑉𝑛 )𝑛𝜖𝑁 définie par 𝑣𝑛 = 𝑢𝑛 + 𝑎, avec 𝑎 un nombre réel.
a. Détermine 𝑎 sachant que (𝑉𝑛 )𝑛𝜖𝑁 est une suite géométrique.
(On précisera sa raison et son premier terme).
b. En déduire 𝑣𝑛 puis 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.
3. On pose 𝑆𝑛 = 𝑣0 + 𝑣1 + 𝑣2 ⋯ +𝑣𝑛 et 𝑅𝑛 = 𝑢0 + 𝑢1 + 𝑢2 ⋯ +𝑢𝑛 avec 𝑛 𝜖 𝑁.
Calculer 𝑆𝑛 et 𝑅𝑛 en fonction de 𝑛.
Exercice 2 (4,75 points)
2+2𝑖
On donne le nombre complexe 𝑍 défini par : 𝑍 = −
1+𝑖√3
1. Ecrire 𝑍 sous forme algébrique.
2. Ecrire 𝑍 sous forme trigonométrique.
𝜋 𝜋
3. Déduire des questions précédentes les valeurs exactes de cos (12) et sin (12)
4. Pour quelles valeurs de l’entier 𝑛, 𝑍 𝑛 est réel.
5. Pour quelles valeurs de l’entier 𝑛, 𝑍 𝑛 est imaginaire pur.
Problème (10,25 points)
Partie A
|𝑥 2 +3𝑥|
𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0,
Soit la fonction numérique définie par : 𝑓(𝑥) = { 𝑥+1
𝑥
𝑠𝑖 𝑥 > 0
𝑥+√𝑥
On note par C la représentation graphique de 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1. Montrer que D𝑓 = ℝ-{−1}.
2. Ecrire 𝑓(𝑥) sans le symbole de la valeur absolue.
3. Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓 en −3 et en 0. Interpréter les résultats Déterminer la
nature des branches infinies de C.
4. Calculer 𝑓′(𝑥) dans les intervalles où 𝑓 est dérivable.
Dresser le tableau de variation de 𝑓.
5. Construire C.
Partie B
La fonction numérique 𝑔 est définie par la restriction de 𝑓 sur 𝐼 =]0; +∞[.
1. Montre que 𝑔 réalise une bijection réciproque 𝑔−1 définie sur un intervalle 𝐽 à préciser.
2. Etudier la dérivabilité de 𝑔−1 sur 𝐽.
3. Expliciter 𝑔−1 (𝑥).
1
4. Calculer (𝑔−1 )′ (2).
5. Tracer la courbe représentative de 𝑔−1 dans le repère (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗).

BONNE CHANCE

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Test de Niveau N°6


(Durée : 4 heures)

Exercice1
Soit f la fonction définie par :
 x
 f ( x)  si x  0
 1 x  1 x
 f (0)  1
1) Donner le domaine de définition de f puis étudier la parité de f.
2) Montrer que pour tout x appartenant à Df ; f(x) peut s’écrire sous la forme
1 x  1 x
f ( x) 
2
3) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0.
4) Dresser le tableau de variation de f.
5) Soit g la restriction de f à  1,0 . Montrer que g admet une bijection réciproque g 1 dont on
précisera le domaine de définition.
2
6) g 1 est –elle dérivable en ? justifier.
2
7) Construire (C f ) et (C g 1 ) dans un même repère orthonormé (O, i, j ).
Problème
Soit la fonction numérique h : IR  IR telle que
 2x
 h( x )   x  2  2 si x  1
 x 1

h ( x )  x  1  3 x  1
2
si x  1
A) 1) Justifier que Dh =IR.
2) Etudier la continuité et la dérivabilité de h en 1.
3) Déterminer les limites de h aux bornes de Dh .
4) a) Montrer que la courbe C h admet une asymptote ( D1 ) d’équation : y  x  2
en -  à préciser.
b) Etudier le comportement de C h en +  .
c) Préciser la position de C h par rapport aux asymptotes.
5) a) Calculer h' ( x) dans les intervalles où h est dérivable.
b) Etablir le tableau de variation de h.
c) Tracer C h et les asymptotes dans un repère orthonormé (O, i, j ).
B) Soit g la restriction de h à l’intervalle  ,1
1) Montrer que g est bijective de  ,1 sur un intervalle J à déterminer.
2) Montrer que l’équation g ( x)  x admet une unique solution  .
1 3
Montrer que    .
3 4
3) a) Etudier la dérivabilité de g 1
  '
b) Calculer g 1 (2)

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c) Construire (C g 1 )
Bonne Chance

Test de Niveau N°7


(Durée : 4 heures)
Exercice 1 (7 points)
𝑍0 = 1
On définit les nombres complexes 𝑍𝑛 de la manière suivante : { 1 1
𝑍𝑛+1 = 𝑍 + 3 𝑖,
3 𝑛
𝑛 𝜖 N*
1. Pour tout entier naturel, on pose 𝑈𝑛 = 𝑍𝑛 − 𝑖.
a. Exprimer 𝑈𝑛+1 en fonction de 𝑈𝑛 .
1 𝑛
b. Montrer que pour tout 𝑛 𝜖 N, 𝑍𝑛 = (1 − 𝑖) × (3) + 𝑖.
2. a. Exprimer en fonction de 𝑛, la partie réel 𝑋𝑛 et la partie imaginaire 𝑌𝑛 de 𝑍𝑛 .
b. Calculer les limites des suites (𝑋𝑛 ) et (𝑌𝑛 ).
3. On note par 𝐴𝑛 et 𝐵𝑛 les points du plan complexe d’affixes respectives 𝑈𝑛 et 𝑍𝑛 .
a. Calculer le module et l’argument de 𝑈𝑛 .
b. Montrer que les points 𝐴𝑛 sont alignés, ainsi que les points 𝐵𝑛 .
4. Placer les points 𝐴𝑛 et 𝐵𝑛 pour 𝑛 ≤ 2 dans le repère orthonormé (𝑂, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗).(Unité graphique 6cm)
Problème (13 points)
−𝑥 + √𝑥 2 + 4 , 𝑥 < 0,
Soit la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = {
√|4 − 𝑥 2 |, 𝑥 ≥ 0.
1. Déterminer l’ensemble de définition de 𝑓.
2. Ecrire 𝑓 sans le symbole de la valeur absolue.
3. a. Etudier la continuité de 𝑓 en 0.
b. Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0 puis en 2. Interpréter les résultats obtenus.
4. Etudier les branches infinies en l’infini.
3
5. Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝛼 ∈ [1; 2]. Que représente
graphiquement 𝛼.
6. Construire Cf dans un repère orthonormé.
7. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à ]2; +∞[.
a. Montrer que 𝑔 admet une bijection réciproque 𝑔−1 dont on précisera son ensemble de définition
et ses variations.
b. Etudier la dérivabilité de 𝑔−1 .
c. Expliciter 𝑔−1 (𝑥).
d. Calculer (𝑔−1 )’(√5).
e. Tracer 𝐶𝑔−1 dans le repère précèdent.
3 3√7
8. a. Montrer que ∀ 𝑥 ∈ [1; 2] , |𝑓′(𝑥)| ≤ 7
.

3 3√7
b. En déduire que ∀ 𝑥 ∈ [1; 2], |𝑓(𝑥) − 𝛼| ≤ 7
|𝑥 − 𝛼|.

BONNE CHANCE

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Test de Niveau N°8


(Durée : 4 heures)
Exercice 1
Le plan complexe P est rapporté à un repère orthonormé (O, u , v)
On considère f ( z)  z  2( 3  i) z  4(1  i 3)  8i
3 2

a) Vérifier que l’équation f ( z )  0 admet une solution imaginaire pure notée z 1 .


b) Résoudre dans C f ( z )  0
c) Ecrire sous forme trigonométrique les solutions.
d) On considère M 1 ( z1 ), M 2 ( z 2 ) et M 3 ( z 3 ) . Montrer que M 1 , M 2 et M 3 sont sur un même
cercle de centre O
e) Calculer z 2  z 3 et z 2  z 3 . Déterminer la nature du quadrilatère OM 1 M 2 M 3
Exercice 2
2z  i
On considère l’application g de C \ 2i dans C définie par g ( z ) 
z  2i
a) Résoudre dans C g ( z )  z . (On notera z 4 et z 5 les solutions)
On donnera les solutions sous forme algébrique puis sous forme trigonométrique.
b) Calculer z 4  z 5
4 4

c) Soit M (z) un point du plan P. Soit () l’ensemble des ponts M (z) tel que
g (z) soit imaginaire pur .Donner une équation cartésienne de () . Tracer () .
d) Montrer que z  1 équivaut à f ( z )  1 .
Problème Soit g ( x)  (1  x)e  x  1
1) Etudier les variations de g.
2) Calculer g (0) et en déduire le signe de g(x) sur  ;0
 f ( x)   x  xe  x si x  0
II) Soit f la fonction définie par 
 f ( x)  ln x  1 si x  0
2

C f sa courbe représentative dans un repère orthonormé (O, i, J ) du plan (unité 2cm)


A] 1) Déterminer le domaine de définition D de f
2) Etudier la continuité et la dérivabilité de f sur D.
3) Calculer f ‘(x) puis dresser le tableau de variation de f.
4) Déterminer, lorsqu’ils existent, les points d’intersection de C f avec l’axes des de
coordonnées.
5) Montrer qu’il existe un unique point E de C f en le quel la tangente est parallèle à la
droite d’équation y   x . Donner une équation de cette tangente (T).
B] Soit h la restriction de f à l’intervalle I  0;1 .
1) Montrer que h admet une bijection réciproque h 1 dont on précisera l’ensemble définition
J.
2) Donner le tableau de variation de h 1 .
3
3) h 1 est elle dérivable en y 0  0 et en y1  ln ?
4
Si oui, donner le nombre dérivé de h 1 en chacun de ces points.

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4) Expliciter h 1 ( x) pour x  J .
5) Tracer C f et Ch1 dans le repère (O, i, J )

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Test de Niveau N°9


(Durée : 3 heures)

Exercice 1 (6points)
On considère dans C l’équation (E) d’inconnue 𝑧 donnée par
(E) :𝑧 4 + (−3 + 3𝑖)𝑧 3 + 𝑖𝑧 2 + (−2 − 2𝑖)𝑧 − 6 = 0.
1) Montrer que −1 et 𝑖 sont des solutions de (E).
2) Trouver les autres solutions de (E).
Dans le plan complexe on considère les points A(𝑖), B(−1), C(1 − 𝑖) et D(3 − 3𝑖).
3) Montrer que les droites (AB) et (CD) sont perpendiculaires.
4) Déterminer l’écriture complexe de la similitude 𝑓 qui transforme A en C et B en D.
5) Donner le centre Ω et le rapport 𝑘 de 𝑓.
6) Donner les éléments caractéristiques de 𝑓 −1 , transformation inverse de 𝑓.
Exercice 2 (7,75points)
Soit sur [0; +∞[ la fonction ℎ définie par : ℎ(𝑥) = (𝑥 − 2)𝑒 𝑥 − 2
1) Dresser le tableau de variation de ℎ.
2) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝑎 sur [0; +∞[
Montrer que 2,2 < 𝑎 < 2,3.
3) En déduire le signe de ℎ sur [0; +∞[.
𝑒 𝑥 +1
4) On considère la fonction 𝑓 définie sur ]0; +∞[ par : 𝑓(𝑥) = 𝑥2
a. Déterminer les limites de 𝑓 aux bornes de son domaine de définition.
b. Etudier le comportement de (Cf) au voisinage de +∞.
ℎ(𝑥)
c. Justifier que 𝑓 est dérivable sur ]0; +∞[ puis montrer que 𝑓 ′ (𝑥) = .
𝑥3
1
d. Monter que 𝑓(𝑎) = 𝑎(𝑎−2) puis donner un encadrement de 𝑓(𝑎).
e. Dresser le tableau de variation de 𝑓.
f. Construire (Cf) dans un repère orthonormé.
Exercice 3 (6,25points)
On considère la fonction donnée par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 + ln|1 − 𝑥|.
On note par (Γ) sa représentation graphique dans un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1) Déterminer l’ensemble de définition (Dg) de la fonction 𝑔.
2) Ecrire 𝑔 sans le symbole de la valeur absolue.
3) Etudier les limites aux bornes de (Dg) ainsi que la nature des branches infinies à (Γ).
4) Déterminer l’ensemble de dérivabilité de 𝑔 puis calculer 𝑔′(𝑥).
5) Dresser le tableau des variations de 𝑔.
6) Construire la courbe (Γ).

Bonne Chance

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Test de Niveau N°10


(Durée : 4 heures)
Questions de Cours (3 points)
Répondre en justifiant par vrai ou faux aux affirmations suivantes.
𝑐𝑎𝑟𝑑 𝐴
 La probabilité d’un évènement A est toujours donnée par la formule 𝑃(𝐴) = 𝑐𝑎𝑟𝑑 𝜔 où 𝜔 est
l’ensemble des éventualités.
 Si deux évènements A et B de probabilité non nulle sont incompatibles alors ils sont forcément
indépendants .
 Si 𝑓 est une application du plan complexe dans lui-même qui 𝑀(𝑧) → 𝑀′(𝑧′) tel que 𝑧 ′ =
𝑎𝑧 + 𝑏 avec 𝑎 et 𝑏 des nombres complexes alors 𝑓 est une rotation.
 L’inéquation −𝑒 2−3𝑥 ≥ 0 a des solutions dans R.

Exercice 1 (3 points)
Une urne contient trois boules rouges numérotées 1, 2, 2 et trois boules blanches numérotées 1, 1, 2.
Un épreuve consiste à tirer simultanément trois boules de l’urne.
1. Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
a. A : "Avoir trois boules de même couleur"
b. B : "La somme des nombres inscrits sur les boules tirées est égale à cinq".
2. Soit C l’évènement "Avoir au moins une boule rouge qui porte le numéro 2".
Détermine P(C).

Exercice 2 (4 points)
1. On considère l’équation différentielle (E): 9𝑦 ′′ + 6𝑦 ′ + 𝑦 = 0.
Détermine la solution de (E) telle que 𝑦(0) = 6 et 𝑦′(0) = 0.
𝑥
2. Soit la fonction 𝑓 : 𝑥 → 2(𝑥 + 3)𝑒 −3 et C sa représentation graphique dans un repère
orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
Dresser le tableau de variation de 𝑓 puis en déduire le signe de 𝑓 sur [0; +∞[.
3. Soit 𝜇 un réel strictement positif.
a. Détermine l’aire 𝑆(𝜇) du domaine compris entre C, l’axe des abscisses et les droites
d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝜇.
b. Détermine la limite de cette aire lorsque 𝜇 tend vers +∞.
Problème (10 points)
Partie A
Soit la fonction 𝑔définie sur R par 𝑔(𝑥) = 𝑒 𝑥 + 𝑥 + 1.
1. Dresser le tableau de variation de 𝑔 sur R.
2. Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet sur R une solution unique 𝛼.
Justifie que −1,28 < 𝛼 < −1,27.
3. En déduire le signe de 𝑔(𝑥) sur ] − ∞; 0].
Partie B
𝑥𝑒 𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑒 𝑥 +1 ; 𝑥 ≤ 0,
Soit 𝑓 la fonction définie sur R par {
𝑓(𝑥) = 𝑥 2 ln 𝑥 ; 𝑥 > 0.
Cf est sa représentation graphique dans un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1. Justifie que l’ensemble de définition Df de 𝑓 est R.
2. Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓 en 0. Interpréter les résultats obtenus.

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3. Etudier la nature des branches infinies de Cf.


𝑒 𝑥 𝑔(𝑥)
4. a. Montrer que pour tout 𝑥𝜖] − ∞; 0], 𝑓 ′ (𝑥) = (𝑒 𝑥 2 .
+1)
b. Détermine 𝑓 ′ (𝑥) pour tout 𝑥𝜖]0; +∞[.
5. Montrer que 𝑓(𝛼) = 1 + 𝛼 puis en déduire un encadrement de 𝑓(𝛼).
6. a. Détermine le signe de 𝑓 ′ (𝑥) pour tout 𝑥 de R
b. Dresser le tableau de variation de 𝑓.
7. Construire Cf.

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Test de Niveau N°11


(Durée : 4 heures)

Exercice 1
Un sac contient quatre jetons rouges numérotés de 1 à 4 et quatre jetons noirs numérotés de1 à 4
1. Un joueur tire au hasard et simultanément 2 jetons du sac. On convient de la règle suivante : * S’il
tire 2 jetons numérotés 1, il gagne 600F.
* S’il tire 2 jetons de même couleur, il gagne 200F.
* Dans tous les autres cas il perd 200F.
Déterminer la probabilité pour qu’il tire :
a. 2 jetons de numéro 1.
b. 2 jetons de même couleur.
c. il perd 200F.
2. Apres le premier tirage, le joueur remet les deux jetons dans le sac et procède à un deuxième tirage
de 2 jetons, en convenant de la même règle.
Soit X la variable aléatoire qui à deux tirages successifs associe « le gain » du joueur (positif ou
négatif).
a. Déterminer la loi de probabilité de X
b. En déduire la probabilité pour que le gain du joueur soit au moins égal à 400 F.
Exercice 2
Une enquête a montré que :
- avant de passer l’épreuve du Bac, 75% des candidats ont travaillé très sérieusement ;
- lorsqu’un candidat a travaillé très sérieusement, il réussit le Bac dans 80% des cas ;
- lorsqu’un candidat n’a pas beaucoup travaillé, il ne réussit pas au Bac dans 70% des cas.
Après la proclamation des résultats, on interroge au hasard un candidat.
On note T l’événement : « Le candidat a travaillé très sérieusement » ;
R l’événement : « Le candidat a réussi le Bac ».
Les probabilités seront données sous forme décimale, arrondies éventuellement au millième.
1. Traduire les trois probabilités de l’énoncé.
2. a. Calculer la probabilité de l’événement « Le candidat a travaillé très sérieusement et il a réussi le
Bac ».
b. Montrer que la probabilité P(R) qu’un candidat réussisse le Bac est égale à 0,675.
3. Le candidat interrogé vient d’échouer. Quelle est la probabilité qu’il ait travaillé très sérieusement.
4. Toujours après la proclamation des résultats, on interroge au hasard et façon indépendante
5 candidats (on suppose que ce choix peut être assimilé à un tirage successif avec remise).
Calculer la probabilité P2 d’interroger exactement 2 élèves ayant réussi à l’épreuve.
5. On interroge désormais au hasard et de façon indépendante n candidats.
Quelle est la probabilité Pn d’interroger au moins une personne ayant échoué à l’épreuve.
Problème
I. On considère l’équation différentielle (E) : y' '2 y' y  2e  x
1. Montrer que la fonction U telle que U ( x)   x 2 e  x est solution particulière de (E).
2. Résoudre l’équation différentielle : y' '2 y' y  0
3. En déduire la solution générale de (E)
4. Déterminer la solution f de (E) satisfaisant aux conditions initiale :
f (0)  1 et f ' (0)  0

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Je m’exerce en Maths M. Thiam

 g ( x)  x ln x  x  1 si x  0
II. On considère la fonction g définie par :  x
 
 g ( x)  e  x  x  1 si x  0
2

 
Soit (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé O, i, j (unité graphique 1 cm)
1. a. Déterminer Dg domaine de définition de g. Calculer les limites aux bornes de Dg.
b. Etudier les branches infinies.
2. Etudier la continuité et la dérivabilité de g en 0. Interpréter graphiquement le résultat.
3. a. Calculer g ' ( x) pour x  0 puis pour x  0
b. Etudier les variations de g puis dresser le tableau de variation.
4. a. Résoudre l’équation g ( x)  0 pour x  0;  
b. Montrer que g ( x)  0 admet une solution unique x 0 dans l’intervalle  ; 0
Prouver que  4  x0  3
c. En déduire le nombre de points d’intersection de (C) avec l’axe des abscisses.
5. Tracer (C). (on construira les demi tangentes aux points d’abscisse 0).

 
III. 1. a. En remarquant que f ( x)  e  x  x 2  x  1 est solution de (E). Montrer que :
 x  IR, f ( x)  2e  x  2 f ' ( x)  f ' ' ( x) .
b. En déduire une primitive G de g sur 0;  
c. Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe (C), l’axe des abscisses, l’axe des ordonnées
et la droite d’équation x  1

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